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Economie

Légère hausse des prix à la production et à l'importation en mars

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L'indice des prix à la production et à l'importation (PPI) a atteint 100,8 points pendant le mois sous revue, enregistrant une hausse de 0,6% comparé à février et une baisse de 0,2% par rapport à mars 2020, selon un communiqué des statisticiens basés à Neuchâtel (archives). (© KEYSTONE/VALENTIN FLAURAUD)

Les prix à la production et à l'importation ont progressé en mars sur un mois, mais ont affiché un recul comparé à la même période de l'année précédente, a annoncé vendredi l'Office fédéral de la statistique (OFS).

L'indice des prix à la production et à l'importation (PPI) a atteint 100,8 points pendant le mois sous revue, enregistrant une hausse de 0,6% comparé à février et une baisse de 0,2% par rapport à mars 2020, selon un communiqué des statisticiens basés à Neuchâtel.

Sur un mois, les tarifs à la production ont enflé de 0,4%, essentiellement en raison des prix pétroliers, mais aussi des tarifs pour la feraille, les produits semi-finis en métaux et la viande.

Quant aux tarifs à l'importation, ils ont renchéri de 1% par rapport à février, également en raison d'une hausse des prix des hydrocarbures et des métaux, mais aussi des produits alimentaires, le cuir, les chaussures, les voitures et les composants de véhicules. Une baisse des prix des ordinateurs a par contre été constatée.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Economie

Condamnations dans l'affaire des subventions de CarPostal

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Sept anciens collaborateurs sont condamnés à des amendes dans le cadre des subventions perçues à tort par CarPostal, (archives) (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

L'Office fédéral de la police inflige des sanctions pénales à sept anciens collaborateurs de CarPostal. Selon les enquêteurs fédéraux, ils se sont rendus coupables de fraude aux subventions de CarPostal ou ne l'ont pas empêchée.

Selon l'évaluation de l'Office fédéral de la police (fedpol), les conditions pour des peines privatives de liberté ne sont pas remplies, a-t-il annoncé lundi. Fedpol a donc rendu des décisions pénales après l'analyse des requêtes des personnes concernées.

Des peines ont été prononcées à l'encontre de cinq personnes pour fraude aux prestations et à l'encontre de deux personnes pour omission d'empêcher la fraude aux prestations.

Les peines comprennent des amendes avec sursis allant de 56'000 à 420'000 francs ainsi que des amendes fermes allant de 12'000 à 60'000 francs.

Les personnes concernées peuvent faire opposition. Fedpol sera compétent pour les examiner et rendre des décisions pénales ou des ordonnances de non-lieu. Actuellement, aucune des décisions pénales n'est entrée en force.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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L'ex-patron de Julius Bär privé de bonus en 2023

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L'an dernier, la banque a vu ses résultats lourdement pénalisés par l'affaire Signa, avec un produit d'exploitation en chute de 15,9% à 3,24 milliards. (KEYSTONE/Alessandro Della Bella) (© KEYSTONE/ALESSANDRO DELLA BELLA)

L'ancien directeur général de Julius Bär Philipp Rickenbacher, qui s'est retiré au 1er février dernier, éclaboussé par la retentissante faillite de l'empire immobilier Signa de l'Autrichien René Benko, a dû se contenter d'un peu plus que son salaire de base en 2023.

Philipp Rickenbacher a perçu 1,5 million de salaire de base, comme en 2022, en plus de contributions sociales et liées au fond de pension, soit une rémunération totale de 1,72 million, selon le rapport annuel publié lundi. Sa rémunération variable s'est retrouvée à zéro.

La somme est bien loin de celle de 2022, quand l'ancien patron avait perçu en tout 6,03 millions de francs. Les 10 membres de la direction ont aussi été mis au régime, percevant 13,02 millions l'an passé, après presque 35,5 millions en 2022.

Le conseil d'administration a aussi dû se serrer la ceinture. Ses membres ont reçu 2,95 millions, contre 3,80 millions il y a deux ans. Le président Romeo Lacher s'est vu octroyer 654'000 francs, après 1,08 million.

"La regrettable erreur d'appréciation du risque et la provision pour perte sur prêts de la dette privée qui en a résulté" ont conduit "à imposer d'importantes mesures correctives en matière d'indemnisation", souligne le document.

L'an dernier, la banque a vu ses résultats lourdement pénalisés par l'affaire Signa, avec un produit d'exploitation en chute de 15,9% à 3,24 milliards. Ce repli est la conséquence d'une perte nette sur crédits de 606,3 millions de francs ayant occasionné un amortissement de 586 millions et qui est liée au crédit défaillant accordé à M. Benko.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Zurich Insurance: le CEO Mario Greco a perçu 9,83 millions en 2023

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Le patron de Zurich Insurance, Mario Greco, a vu son salaire progresser (archives). (© KEYSTONE/GIAN EHRENZELLER)

Le directeur général (CEO) de Zurich Insurance Mario Greco a encaissé un total de 9,83 millions de francs l'an dernier, soit 420'000 francs de plus qu'en 2022. Son salaire de base a progressé d'une soixantaine de milliers de francs à 1,76 million.

La part variable, liée aux performances de l'entreprise à plus ou moins longue échéance, a progressé de manière plus marquée. La rémunération cumulée des autres membres de la direction a grappillé moins de 200'000 francs à 55,91 millions, peut-on lire dans le volumineux rapport annuel publié vendredi.

A la tête de l'organe de surveillance, Michel Liès a perçu pour deux millions de francs de jetons de présence, comme un an auparavant. Son suppléant et ancien président de Roche Christoph Franz aussi a vu sa rémunération stagner à 450'000 francs, contribution additionnelle de 4202 francs pour sa caisse de pension mise à part.

L'enveloppe dévolue à l'organe de surveillance dans son ensemble a enflé à 5,85 millions, contre 5,63 millions en 2022.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Les résultats annuels de Postfinance portés par les hausses de taux

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L'effectif de Postfinance s'élevait à 3250 équivalents plein temps à fin décembre, contre 3340 douze mois auparavant. (KEYSTONE/ Peter Schneider). (© KEYSTONE/PETER SCHNEIDER)

Postfinance a profité du revirement des taux d'intérêts en 2023, dopant ses opérations d'intérêt. Le bras financier de la Poste a vu ses recettes et sa rentabilité augmenter, alors que les volumes d'affaires ont suivi une courbe de croissance plus conventionnelle.

Les recettes ont bondi d'un quart à 1,96 milliard de francs, indique jeudi l'établissement bernois, l'une des quatre banques d'importance systémique du pays. "PostFinance est sur la bonne voie pour normaliser progressivement sa marge d'intérêts globale et (...) poursuit sa trajectoire de croissance", lit-on dans le communiqué. Le résultat opérationnel s'est envolé de 15,3% à 264 millions.

A fin décembre, les créances hypothécaires s'élevaient à 6,19 milliards de francs (+3,7%), alors que les dépôts clientèle stagnaient (+0,5%) à 104,62 milliards.

Postfinance propose une offre de crédit par le biais de banques partenaires. "Même l'environnement de taux positifs n'efface pas le désavantage concurrentiel résultant du fait qu'il est interdit à PostFinance d'octroyer des crédits et des hypothèques à son compte", rappelle l'établissement détenu à 100% par la Confédération. Un projet de privatisation, une condition mise par le politique à la levée de cette interdiction, a été abandonné en septembre 2022.

Hors bilan, la masse sous gestion s'est étiolée de 10,4% à 15,85 milliards.

L'effectif de Postfinance s'élevait à 3250 équivalents plein temps à fin décembre, contre 3340 douze mois auparavant.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Recul du bénéfice de la Poste, qui réclame "plus de liberté"

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Pour réaliser sa mission, la Poste a besoin de "davantage de liberté", a plaidé son président Christian Levrat jeudi devant les médias à Berne. (© KEYSTONE/ANTHONY ANEX)

Le bénéfice consolidé de la poste a une nouvelle fois reculé en 2023, à 254 millions de francs. La diminution du volume de lettres et de colis, le recul du trafic des paiements ainsi que le renchérissement ont fortement impacté le résultat financier.

La Poste juge que ce résultat correspond aux attentes, "compte tenu du contexte difficile". Lors de son exercice précédent, la Poste avait vu son bénéfice consolidé fondre de plus d'un tiers, à 295 millions de francs. De 2022 à 2023, le recul a ainsi atteint 41 millions.

Le résultat d'exploitation est lui aussi en baisse sur la même période, de 358 à 323 millions (moins 35 millions). Le chiffre d'affaires a lui augmenté, franchissant la barre des 7 milliards de francs (7,279 milliards), contre 6,859 milliards l'année précédente.

Lors de la conférence de presse annuelle à Berne, le directeur général Roberto Cirillo a qualifié ce résultat de "très bon", compte tenu "des forts vents contraires" auxquels la Poste a dû faire face. Le géant jaune ne pourra cependant pas garantir cette performance ces prochaines années sans une adaptation du cadre régulatoire, a-t-il prévenu.

"Ne pas devenir un musée"

La Poste réclame "la marge de man½uvre nécessaire pour pouvoir se concentrer sur les besoins de la clientèle et développer ses prestations, et ainsi maintenir son succès à long terme", précise l'entreprise aux mains de la Confédération dans un communiqué.

Pour réaliser sa mission, la Poste a besoin de "davantage de liberté", a également plaidé le président Christian Levrat. "Il y a une certaine urgence", a affirmé le Fribourgeois devant les médias. Face aux défis actuels, notamment dans le domaine de la numérisation, "nous avons pris les mesures pour développer les premières réponses", a assuré Christian Levrat.

"Mais ce n'est pas suffisant", selon l'ancien conseiller aux Etats socialiste. Il a cité les questions de l'identité électronique, le dossier électronique du patient de même que l'e-voting.

"Nous ne voulons pas nous transformer en musée, nous voulons construire la Poste de demain", a encore lancé Roberto Cirillo.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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