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Suisse

Le palmarès des prénoms en Suisse

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(KEYSTONE/Gaetan Bally)

L'an dernier, Noah, Liam et Matteo ont été les prénoms les plus données en Suisse chez les garçons. Mia, Emma et Elena composent le podium chez les filles.

Est-ce que le prénom que vous avez donné à votre enfant est original? Ou bien, au contraire, est-ce qu'il figure dans le "hit parade" des prénoms les plus données en 2021? La réponse vient de l'Office Fédéral des Statistiques qui publie aujourd'hui le palmarès des prénoms.

Quentin LienardJournaliste

Chez les garçons Noah, Liam et Matteo arrivent en tête dans l’ensemble de la Suisse. C’est le même trio qu’en 2020 et Noah se classe 1er pour la 8ème fois ces 10 dernières années. C’est aussi le prénom le plus donné en 2021 à Genève.

Pour les filles, Mia et Emma sont respectivement 1er et 2ème du classement dans le pays. Un duo qui se partage le hit parade des prénoms féminins les plus donnés depuis plus de 5 ans. Elena fait un bond au classement et complète ce podium.

Si on regarde en Suisse romande c’est un peu différent… Gabriel arrive en tête devant le duo Noah, Liam. Pas de changement par rapport à l’année dernière… 165 petits garçons ont été appelés Gabriel en Suisse romande en 2021.

Pour les filles, le classement a plus évolué! Emma est toujours en tête comme c’est le cas depuis plus de 5 ans. Mais Alice arrive en 2ème position avec un peu plus de 100 naissances en Suisse Romande. C’est même le 1er prénom à Genève. Olivia arrive 3ème en Suisse Romande.

Enfin pour avoir une idée de ce que l’avenir nous réserve: sachez que les prénoms Vera chez les filles et Zayn chez les garçons sont ceux qui ont le plus progressé entre 2020 et 2021.

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Suisse

Abbaye de St-Maurice: une aide extérieure laïque "indispensable"

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A la fin novembre, plus d'une dizaine de personnes ont signalé aux autorités de poursuite pénale valaisannes des "potentiels abus liés à l'abbaye de St-Maurice ou au milieu ecclésial" (archives). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

L'administrateur apostolique nommé par le pape François pour diriger l'abbaye de Saint-Maurice après la révélation de cas d'abus sexuels entend demander une aide extérieure pour traiter l'affaire. Il lui semble "indispensable" de faire appel à des laïcs.

"Il faut que la lumière complète soit faite sur ces situations, par respect pour les victimes, c'est le moins que l'on puisse faire, mais aussi pour éviter de fausses accusations et pour prendre toutes les mesures nécessaires", déclare le chanoine Jean-Michel Girard dans une interview publiée mardi soir sur le site du Nouvelliste.

A ses yeux, "une enquête extérieure et une véritable analyse de ce qui s'est passé me semblent indispensables. Comme nous n'avons pas été capables de faire la lumière par nous-mêmes sur ces cas (d'abus sexuels), il me semble évident qu'il faut avoir l'humilité de demander une aide externe", ajoute-t-il.

Et d'expliquer que l'abbaye a "besoin de gens plus compétents que nous, avec plus de recul et avec un point de vue plus neutre sur la situation".

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Politique

Auditions des candidats PS: aucun parti ne dévoile ses cartes

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Les autres partis ont entendu le candidat socialiste au Conseil fédéral Jon Pult (GR). (© KEYSTONE/ALESSANDRO DELLA VALLE)

Les groupes parlementaires ont commencé mardi à auditionner les candidats à la succession d'Alain Berset. L'UDC, les Vert-e-s, le PLR et le PVL n'ont pas dévoilé lequel des deux socialistes, Beat Jans (BS) ou Jon Pult (GR), l'emportait.

Dans un communiqué publié en soirée, le parti conservateur indique que le groupe va poursuivre ses discussions lors de sa prochaine séance le 12 décembre. Il entend respecter la formule définissant la répartition des sièges au gouvernement, à savoir deux sièges aux trois partis ayant le plus grand nombre d'électeurs et un siège au quatrième.

L'UDC a questionné les deux socialistes sur la souveraineté de la Suisse vis-à-vis de l'UE, l'immigration et la croissance de l'Etat. Pour le reste du Collège, le parti soutient la réélection des conseillers fédéraux sortants.

"L'élection au Conseil fédéral est une affaire compliquée", a déclaré à titre personnel le conseiller national UDC Thomas de Courten (BL) devant les médias au Palais fédéral. "Les deux candidats prêtent le flanc à la critique, c'est connu."

L'UDC va réfléchir, a-t-il ajouté. La course au Conseil fédéral se joue jusqu'au 13 décembre. Le parti ne devrait donner sa recommandation de vote que le jour même de l'élection. Les discussions continueront jusque-là, a poursuivi M. de Courten en allusion à une éventuelle "candidature sauvage".

Deux bons candidats pour les Vert-e-s

Les Vert-e-s ont quant à eux estimé les candidatures des deux socialistes très bonnes. Mais le parti n'a pas donné de piste sur son choix final. "Les auditions se sont très bien passées, les candidats les ont menées avec beaucoup de sérieux", a déclaré devant la presse Léonore Porchet (Vert-e-s/VD).

Interrogée sur leurs différences, la conseillère nationale a répondu que ce sont à la fin des "questions de personnalité". Les deux candidats ont encore une semaine pour arpenter la salle des pas perdus du Parlement.

Pas de nom non plus au PVL et au PLR

Les Vert'libéraux ont également auditionné les deux socialistes et leur ont posé des questions sur la protection du climat et sur les relations avec l'UE. "Nous voulons un Conseil fédéral qui surmonte enfin le blocage des réformes et qui apporte des solutions aux défis de notre époque", a indiqué la présidente du groupe Tiana Moser citée dans un communiqué.

Le PVL décidera ultérieurement des personnes qu'il soutiendra dans le cadre de l'élection au Conseil fédéral, ajoute-t-il.

Même son de cloche du côté du PLR. "Les discussions se poursuivront jusqu'à l'élection. Nous déciderons la veille ou le jour même si nous donnerons une consigne de vote", a déclaré le chef du groupe Damien Cottier (NE) devant les médias.

"La discussion était ouverte, sincère et constructive", a-t-il poursuivi, expliquant que les deux socialistes ont présenté leurs expériences et leurs priorités. Et de confirmer que le PLR élirait un des deux si les autres partis respectent "les règles du jeu" lors de la réélection des deux conseillers fédéraux libéraux-radicaux qui se représentent. "Les trois premiers partis ont droit à deux sièges", a rappelé M. Cottier.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Politique

Le sénateur Mauro Poggia (MCG/GE) rejoint le groupe UDC

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Le conseiller aux Etats genevois Mauro Poggia rejoindra le groupe parlementaire de l'UDC. (© KEYSTONE/ALESSANDRO DELLA VALLE)

Le conseiller aux Etats Mauro Poggia (MCG/GE) a enfin trouvé un groupe parlementaire. L'UDC a annoncé mardi soir avoir intégré le Genevois dans son groupe.

La semaine dernière, M. Poggia avait déjà indiqué avoir trouvé un accord avec le groupe UDC au Conseil des Etats. Il avait assuré pouvoir siéger en commission, tout en gardant sa liberté.

Seul élu MCG de la Chambre des cantons, Mauro Poggia aurait souhaité collaborer avec le Centre, mais ce parti a refusé de l'accueillir, estimant que les positions des deux partis étaient trop éloignées.

En outre, selon les services du Parlement, les élus fédéraux d'un même parti doivent siéger dans des groupes identiques. Or les deux élus MCG au Conseil national avaient déjà rejoint le groupe UDC.

L'ex-conseiller d'Etat Poggia, très populaire à Genève, a été élu le 12 novembre au Conseil des Etats avec le sortant Carlo Sommaruga (PS). Lisa Mazzone, des Vert-e-s, a perdu son mandat.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Sorties

En mains américaines, Crans-Montana veut déployer son potentiel

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Le rachat du domaine skiable de Crans Montana par le géant Vail Resorts ouvre de nouvelles perspectives pour la destination valaisanne. (KEYSTONE / JC BOTT) (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Le rachat du domaine skiable de Crans Montana par Vail Resorts ouvre de nouvelles perspectives. " C'est un signal positif pour les investisseurs et cela permettra d'accélérer notre croissance", souligne Bruno Huggler, directeur de Crans Montana Tourisme et Congrès.

Un peu plus d'un an après l'acquisition d'une participation majoritaire dans Andermatt-Sedrun Sport, le géant des domaines skiables Vail Resort a jeté son dévolu sur Crans Montana, sa deuxième acquisition en Europe. "C'est un signe de confiance, une preuve que Vail Resort croit au potentiel de développement des stations suisses", s'est réjoui M. Huggler en marge d'une conférence de presse à Zurich. Il entrevoit de potentielles synergies avec son homologue grisonne.

Pour l'instant, difficile de dire à quoi ressemblera la nouvelle tarification pour les forfaits de Crans Montana lors de l'hiver 2024/2025, lors que la transaction déploiera complètement ses effets. L'abonnement pour l'année coûte actuellement 900 francs, soit l'équivalent du prix de l'Epic Pass américain, qui donne accès à plus de 65 domaines skiables, principalement aux Etats-Unis.

"La stratégie derrière les abonnements multi-destinations est de créer du volume, en élargissant l'offre, tout étant meilleur marché. Mais je pense que les Américains tiendront compte des spécificités en Europe", indique le spécialiste du tourisme.

Vail Resort collabore déjà avec plusieurs stations européennes, dont Ski Arlberg en Autriche depuis 2016, où les détenteurs d'un Epic Pass peuvent skier trois jours consécutifs, à condition de résider dans un hébergement participant à l'opération. "Le plus grand avantage est la valeur marketing et la visibilité obtenue dans la communauté des amateurs de sports d'hiver en Amérique du Nord, un de nos marchés clés", explique une porte-parole de l'office de tourisme de St. Anton am Arlberg.

Clientèle américaine en forte hausse

"L'acquisition nous ouvre les bras de la clientèle américaine, qui pèse pour environ 3% des hôtes actuellement à Crans-Montana. De plus, le marché américain s'est avérée un segment en forte progression au cours des dernières années", a abondé M. Huggler. Il s'attend à une demande additionnelle, dans la mesure où la station compte environ 12'000 résidences secondaires et que la clientèle est à 80% suisse: "il est évident que la situation ne va pas changer du jour au lendemain, nous allons rester une station suisse".

Faire vivre les résidences secondaires est d'ailleurs vital pour la station et M. Huggler constate une amélioration de l'utilisation depuis la pandémie. "J'estime qu'à peu près 15 à 20% sont loués sur Airbnb ou sur d'autres plateformes, nous travaillerons à augmenter cette part".

Avoir un partenaire "expérimenté" comme Vail Resort est aussi une bonne nouvelle pour Crans-Montana, alors qu'elle accueillera les championnats du monde de Mountainbike en 2025 et ceux du ski alpin en 2027. Les investissements "significatifs" de 30 millions de francs annoncés sont aussi de nature à soutenir le développement de l'infrastructure, et devraient encourager d'autres investisseurs.

En février, Six Senses a été la première chaîne hôtelière internationale à ouvrir un hôtel à Crans-Montana, le seul établissement en Suisse du groupe haut de gamme. La chaîne Hyatt devrait également ouvrir un établissement prochainement, portant à 4-5 nouveaux hôtels sur les quatre prochaines années. M. Huggler s'attend également à ce que la transaction avec Vail soutienne les prix immobiliers, en hausse depuis la pandémie.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Politique

Plus de 15'000 places de garde seront nécessaires d'ici 2030

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Le besoin croissant d'accueil de jour des enfants s'explique par un triple facteur: la croissance démographique vaudoise, la diminution du nombre de ménages dans lesquels seul un des deux parents exerce une activité professionnelle et la hausse du taux moyen d'activité des mères (archives). (© Keystone/DPA/CHRISTOPH SOEDER)

Alors qu'il manque actuellement plus de 10'000 places de garde dans le canton de Vaud, la Fondation pour l'accueil de jour des enfants (FAJE) estime qu'il en faudra 41'600 en 2025 et 43'100 à l'horizon 2025. Ces objectifs visent un taux de couverture idéal de 40%, soit 40 places pour 100 enfants, permettant de couvrir la totalité de la demande estimée d'ici 2025-2030.

Aujourd'hui, le taux de couverture se situe à près de 28% avec l'offre subventionnée et de 33% environ en y ajoutant l'offre privée. "Le besoin en placement préscolaire et parascolaire ne cesse de croître", ont affirmé devant la presse mardi à Lausanne le président du Conseil de Fondation et la directrice de la FAJE, Andreas Sutter et Sylvie Lacoste.

Sur la base de deux études, ils ont fixé et présenté les objectifs ainsi que les orientations stratégiques de la FAJE à horizon 2025-2030, en matière de développement et de financement des prestations d'accueil de jour des enfants.

L'augmentation du nombre de places reste la priorité, ont expliqué les deux responsables. Une première étude a donné des réponses statistiques, révélant un triple phénomène: la croissance démographique vaudoise, la diminution du nombre de ménages dans lesquels seul un des deux parents exerce une activité professionnelle et la hausse du taux moyen d'activité des mères.

Demande partiellement satisfaite

Le rapport indique qu'il faudrait atteindre, à horizon 2025, un taux de couverture global tous âges confondus de 40%, soit 41'600 places plein temps alors qu'en 2021, le nombre de places subventionnées s'élevait à 24'496 en accueil collectif et 3448 places en accueil familial de jour, soit au total 27'994 places plein temps. Le besoin a tendance à s'accroitre en 2030, avec un plafond théorique de 43'106 places (1/3 en préscolaire et 2/3 en parascolaire).

Ce constat global ne rend pas compte de la réalité contrastée sur le terrain, certains des 32 réseaux vaudois d'accueil de jour étant proches de la pleine satisfaction du besoin et d'autres continuant à souffrir d’un décalage important entre l'offre et la demande, a souligné Mme Lacoste.

A relever que, malgré la "hausse spectaculaire" du nombre de places depuis les quinze ans d'existence de la FAJE - +85% en préscolaire de 0 à 4 ans et +209% en parascolaire de 4 à 12 ans -, la demande n'est que partiellement satisfaite. La Fondation évalue que 13'606 places seraient nécessaires en 2025 et 15'112 places à horizon 2030.

"Nous nous fixons comme objectif de croissance raisonnable d'atteindre au minimum la moitié de ces places manquantes, soit environ 1120 places par an sur sept ans", a indiqué Mme Lacoste. Elle n'écarte pas la perspective d'atteindre même 60 à 65% du but.

Proche du domicile et petites structures

En collaboration avec Statistique Vaud et l'Institut gfs.bern, une enquête qualitative avait été lancée auprès d'un échantillon représentatif de 5000 ménages afin de connaître la perception des parents concernant les modes de garde existant dans le canton.

Cette étude montre que deux tiers des parents interrogés recourent à l'utilisation de solutions d' accueil externes. Il en ressort dans l'ensemble "un fort degré de satisfaction". Les facteurs renforçant la satisfaction tiennent essentiellement à un accueil favorisant le bien-être de l'enfant, avec la possibilité d'obtenir une solution d'accueil proche du domicile, dans de petites structures, dotées d'un personnel stable, propice au lien de confiance.

La disponibilité des places est jugée bonne pour la moitié des parents tandis que l'autre moitié la juge insuffisante, toujours selon cette seconde étude. Cela traduit probablement la disparité de l'offre sur le canton, selon M. Sutter.

Les principales critiques concernent l'absence de solutions alternatives d'accueil lorsque l'enfant est malade (77% des parents interrogés), la cherté des places (61%) et un manque de flexibilité dans la solution d'accueil (47%). Elles ont été prises en compte dans la stratégie 2025-2030 de la FAJE.

Budget de 160 millions

Pour cette année, la FAJE dispose d'une enveloppe budgétaire de 160 millions de francs et de 170 millions environ pour 2024. Précisons que pour 2022 par exemple, 53% du financement provient de l'Etat de Vaud et 45% des employeurs. Le solde provient de l'Office fédéral des assurances sociales (6%), de la contribution des communes (3%) et de la Loterie romande (1%).

Pour cette même année 2022, le coût total de l'accueil de l'enfance dans le canton s'est élevé à 628 millions de francs. La FAJE y contribue à hauteur de quelque 22%, les communes à 33% et les parents à 42% environ.

Outre le subventionnement des réseaux d'accueil de jour existant dans le canton, la FAJE a pour mission d'évaluer les besoins, de coordonner l'organisation de l'accueil de jour et de favoriser la création de places.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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