Rejoignez-nous

Suisse

La Suisse est passée à l'heure d'été

Publié

,

le

Les horloges ont été avancées d'une heure à 02h00 (archives). (© KEYSTONE/APA/APA/HELMUT FOHRINGER)

La Suisse est passée à l'heure d'été dans la nuit de samedi à dimanche. La nuit a été plus courte d'une heure, mais les soirées bénéficieront ensuite de la lumière du jour plus longtemps. L'heure d'été prendra fin le 29 octobre.

Dimanche à 02h00, les montres ont été avancées à 03h00. Le changement d'heure pour la saison estivale commence le dernier dimanche de mars et se termine le dernier dimanche d'octobre, selon l'Institut fédéral de métrologie (Metas).

La suppression éventuelle du changement d'heure saisonnier est devenue ces dernières années un sujet de discussion politique, surtout dans les pays voisins. Mais aucune décision n'a jusqu'ici été prise, ni au niveau de l'Union européenne ni dans les Etats.

Selon Metas, la Suisse suit l'évolution dans les pays voisins et examinera soigneusement si une éventuelle adaptation de la réglementation horaire est pertinente et dans l'intérêt de la Suisse. Jusqu'à nouvel ordre, la réglementation actuelle reste en vigueur.

Depuis 1996, tous les pays de l'UE et la Suisse sont à l'unisson pour avancer leur horloge d'une heure le dernier dimanche de mars et la reculer d'une heure le dernier dimanche d'octobre. Cette concordance est surtout motivée par des raisons économiques.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Cliquez pour commenter

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Suisse

VAT Group met fin au chômage partiel dans deux usines en Suisse

Publié

le

VAT Group constate que la demande dans les activités de semi-conducteurs et de services s'est stabilisée, mais des incertitudes demeurent (archives). (© KEYSTONE/GIAN EHRENZELLER)

VAT Group a mis fin au 1er décembre aux mesures de réduction de l'horaire de travail (RHT) en vigueur depuis juin 2023. La demande croissante dans la division Advanced Industrials a motivé cette décision, explique jeudi le fabricant d'équipements pour pompes à vide.

Au total, 650 employés de production sur les deux sites de Haag, dans le canton de Saint-Gall, étaient concernés par ces mesures de chômage partiel initialement mise en place pour trois mois, mais dont la durée avait été prolongée jusqu'à présent.

La demande dans les activités de semi-conducteurs et de services s'est stabilisée, néanmoins, les incertitudes subsistent quant aux exportations vers la Chine et au niveau de la demande. La situation devrait perdurer jusqu'au premier semestre 2024, mais la direction du groupe est optimiste pour la suite.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

Continuer la lecture

Suisse

ABB relève son objectif de croissance et de rentabilité

Publié

le

ABB veut poursuivre les acquisitions, à un rythme de cinq à dix petits rachats par année (archives). (© KEYSTONE/CHRISTIAN BEUTLER)

ABB a passé en revue ses objectifs à l'occasion de sa journée des investisseurs organisée sur son site de Frosinone, en Italie. Le géant zurichois de l'automation et de l'électrotechnique s'attend désormais à une marge opérationnelle Ebita entre 16 et 19%.

Jusqu'ici,, la direction s'attendait à une marge Ebita à 15% d'ici 2023. ABB table désormais sur une progression des recettes à long terme et sur une base comparable entre 5 et 7%, à comparer à la cible de 3-5% visée précédemment, précise un communiqué diffusé jeudi.

La croissance externe devrait se situer entre 1 et 2%. ABB veut poursuivre les acquisitions, à un rythme de cinq à dix petits rachats par année.

L'objectif de rendement des capitaux investis (RoCE) est fixé à au moins 18%, alors qu'ABB tablait auparavant sur une fourchette entre 15 et 20%. Le bénéfice par action devrait croître à un rythme soutenu, proche de 10% sans toutefois atteindre ce seuil, selon la multinationale.

Le groupe veut continuer à verser un dividende en hausse et "durable", précise le communiqué. Les liquidités excédentaires seront destinées à d'éventuels programmes de rachat d'actions.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

Continuer la lecture

Sport

Young Boys: deux belles histoires

Publié

le

Ulisses Garcia, le portier Anthony Racioppi et Loris Benito: une belle soirée contre l'Etoile Rouge. (© KEYSTONE/EPA/PETER SCHNEIDER)

Le parcours européen des Young Boys raconte de belles histoires. Celles notamment d’Anthony Racioppi et de Loris Benito, deux hommes qui étaient pratiquement à la rue il y a deux ans à peine.

Remplaçant en Ligue 2 à Dijon en novembre 2021, Anthony Racioppi a, ainsi, tout d’abord été préféré à David von Ballmoos dans le rôle de no 1 avant de figurer dans le cadre de l’équipe nationale. A 24 ans, l’ancien gardien de l’équipe de Suisse M21 évolue désormais dans la cour des grands grâce notamment à la qualité de son jeu au pied. Même s’il prend parfois un malin plaisir à jouer avec les nerfs des supporters bernois avec notamment sa relance pleine axe trop risquée mardi soir en début de match, Anthony Racioppi permet à ses défenseurs d’évoluer un cran plus haut avec cette faculté de s’immiscer très loin de sa cage dans le jeu de passe de ses coéquipiers.

Troisième pour la première fois

Loris Benito n’hésite, ainsi, jamais à solliciter son gardien en dehors de la surface pour provoquer le surnombre qui déjoue le pressing de l’adversaire. Comme Anthony Racioppi, l’Argovien de 31 ans a tenu un rôle déterminant dans cette campagne en Ligue des Champions des Young Boys que l’on peut juger comme réussie dans la mesure où elle est la première qui trouvera un prolongement après l’hiver, En 2018 et en 2021, les Bernois n’avaient pas échappé à la quatrième et dernière place du groupe. La troisième arrachée mardi soir à l’Etoile Rouge leur offrira un repêchage en Europa League avec la promesse de vivre des jeudis soir exaltants.

A l’automne 2021, Loris Benito avait choisi de résilier sa dernière année de contrat avec Bordeaux. Une relation "compliquée" avec Vladimir Petkovic et l’impression que la nouvelle gouvernance pouvait mener le club dans le mur ont sans doute dicté ce choix fort. "J’aurais bien voulu prolonger ma carrière à l’étranger", souffle cependant celui qui avait vécu plus jeune une expérience bien difficile à Benfica. Il osait toutefois ensuite en janvier 2022 le pari du FC Sion pour un bail de six mois qui ne lui a pas laissé un souvenir impérissable. Son retour ensuite à Berne ne fut également pas couronné de succès dans un premier temps dans la mesure où il a dû le plus souvent de se contenter d’un rôle de doublure d’Ulisses Garcia sur le flanc gauche de la défense.

La succession de Cédric Zesiger

Mais cet été, le départ de Cédric Zesiger à Wolfsburg a tout changé pour Loris Benito. "Le club n’a pas cherché à recruter un défenseur central pour remplacer Cédric, dit-il. L’idée était de me refixer dans l'axe. Steve von Bergen s’est souvenu que l’on avait parfois fait la paire ensemble lors de mon premier passage aux Young Boys."

Le directeur sportif et Raphaël Wicky ont toutefois dû attendre un bon mois pour juger de la pertinence de leur choix en raison de la blessure de Garcia qui a contraint Benito à débuter la saison comme latéral gauche. Ce n’est qu’à Haïfa le 23 août, lors du barrage aller contre le Maccabi que Raphaël Wicky pouvait associer pour la première fois Loris Benito et Mohamed Camara en défense centrale. Le Valaisan avait trouvé son binôme, quitte à laisser Aurèle Amenda sur le banc, lequel cet été avait été l’objet de bien des sollicitations de la part de clubs étrangers. Mais comme avec la préférence accordée à Anthony Racioppi aux dépens de David von Ballmoos, Raphaël Wicky ne fait pas de sentiment. Et pour l’instant, le Valaisan n’a-t-il pas fait tout juste ?

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Sport

Le doux rêve d'une revanche pour le Servette FC

Publié

le

Rene Weiler peut avoir le sourire. Son équipe est en bonne position avant de recevoir l'AS Roma. (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

La venue jeudi de la Roma pour le compte de la Ligue Europa et le déplacement à Berne dimanche pour le choc de la Super League contre les Young Boys: le Servette FC s’apprête à vivre 3 jours de folie.

Assurés d’une présence sur la scène européenne après la trêve hivernale à moins d’une stupéfiante métamorphose du Sheriff Tiraspol, les Grenat peuvent aborder la rencontre contre la Roma l’esprit libre. "Mais avec l’ambition de faire un résultat, lâche René Weiler. Dans un stade plein face à une grande équipe, il nous revient de faire le travail même si le match de Berne est bien sûr dans un coin de ma tête."

"Une leçon à Rome"

L’entraîneur et ses joueurs veulent en premier lieu effacer le souvenir du 4-0 du match aller à l’Olimpico où le Servette FC était apparu bien trop "léger". "Nous avons pris une leçon à Rome, concède René Weiler. Nous avions offert trop d’espaces. Mais je suis conscient qu’il est difficile de bien défendre face à une équipe qui possède tant de talent sur le plan individuel." Jeudi soir, les Grenat seront ainsi, selon toute vraisemblance, confrontés au duo formé par Romelu Lukaku et par Paolo Dybala qui a réussi une véritable démonstration dimanche lors du succès 3-1 devant l’Udinese.

Tout indique que Jose Mourinho alignera pratiquement son équipe-type pour gagner le plus largement possible afin de combler les trois buts d’écart qui séparent les Romains du Slavia Prague dans ce groupe G. C’est, en effet, la différence de buts qui devraient départager les Tchèques et les Italiens dans la lutte pour la première place, synonyme d’accès direct en huitième de finale sans passer par un tour contre le troisième d’un groupe de la Ligue des Champions.

Soigner la note artistique

Pour sa part, le Servette FC sera reversé en Conférence League dès jeudi soir s’il fait aussi bien que le Sheriff Tiraspol qui recevra le Slavia Prague. Au pire, la qualification des Grenat sera officialisée le 14 décembre dans la mesure où personne ne peut imaginer comment les Moldaves pourraient éviter la défaite à Rome. Le Servette FC a en quelque sorte classé l’affaire avec le succès 2-1 obtenu sur le fil il y a trois semaines face au Sheriff. Il lui reste maintenant à soigner la note artistique pour les deux dernières rencontres contre les Romains et les Pragois.

Jeudi soir, René Weiler sera privé de Joël Mall, qui ne rejouera pas avant janvier, de Bradley Mazikou, de David Douline et d’Enzo Crivelli. Avec ces absences et la proximité du choc contre les Young Boys, René Weiler peut réserver des surprises dans ses choix pour le onze de départ. Mais le Zurichois aimerait que les séries vertueuses du Servette FC - sept victoires de rang en Super League et neuf matches sans défaite toutes compétitions confondues depuis le 4-0 de Rome du 5 octobre - se prolongent le plus longtemps possible.

"Je vois nos progrès. Nous jouons de manière plus compacte. Il y a plus de solidarité dans l’équipe, plus de créativité aussi, se félicite-t-il. Face à la Roma, le public peut nous pousser vers l’exploit." Pourquoi pas vers une septième victoire sur la scène européenne contre une équipe de l'un des cinq grands championnats après celles obtenues contre Liverpool en 1971, l’Athletic Bilbao en 1977, Nancy en 1978, Sochaux en 1980, Saragosse et Hertha Berlin en 2001.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Politique

Zurich et Genève dans le top 3 des villes les plus chères au monde

Publié

le

Zurich détrône New York qui figurait en tête du classement l'an dernier au côté de Singapour (image prétexte). (© KEYSTONE/MICHAEL BUHOLZER)

Zurich et Singapour sont les villes les plus chères au monde, selon un classement publié jeudi par l'hebdomadaire The Economist. Genève est troisième, à égalité avec New York.

La revue britannique estime que les prix ont augmenté de 7,4% sur un an en moyenne dans les 173 villes étudiées, soit un léger ralentissement par rapport à une inflation de 8,1%, un record, enregistrée en 2022.

"La crise du coût de la vie est loin d'être terminée et les niveaux de prix restent largement au-dessus des tendances historiques", relève Upasana Dutt, responsable de l'étude, qui se fonde sur le prix de 200 produits et services.

"Nous prévoyons une poursuite de la décélération de l'inflation en 2024", ajoute-t-elle, en raison de l'effet des hausses de taux d'intérêt décidées par les banques centrales pour lutter contre l'augmentation des prix.

New York détrônée

Zurich détrône New York qui figurait en tête du classement l'an dernier au côté de Singapour. L'Europe classe quatre villes parmi le top 10, en raison d'une inflation toujours élevée dans l'alimentaire et l'habillement, ainsi que grâce à l'appréciation de l'euro face au dollar.

Ce classement est réalisé en dollars et donc après conversion des devises des différents pays en billet vert. Une hausse de l'euro face au dollar se traduit mécaniquement par des prix plus élevés dans la zone euro, ce qui favorise les villes de la région.

Genève troisième

Outre Zurich, Genève pointe à la 3e place (à égalité avec New York), Paris arrive 7e (deux places gagnées), devant Copenhague qui est 8e, ex aequo avec Tel Aviv, qui était en tête du classement en 2021. En revanche, les villes américaines ont reculé, à l'image de Los Angeles (6e) et San Francisco (10e).

La plus forte baisse au sein du classement concerne les villes russes de Moscou (142e) et Saint-Pétersbourg (147e), en raison d'un affaiblissement du rouble, découlant des sanctions décidées suite à l'invasion de l'Ukraine. La ville la moins chère du monde est Damas, juste derrière Téhéran, avant-dernière du classement.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture