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Suisse

Forte hausse des accidents de circulation en 2022

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Le nombre de morts dans des accidents de la circulation a augmenté de près de 21% en 2022 par rapport à l'année précédente (Photo d'illustration). (© Keystone/KANTONSPOLIZEI LUZERN)

Le nombre d'accidents de la circulation a connu une forte augmentation l'an dernier, à l'encontre de la tendance des dernières années. Celui des tués aussi, en hausse de 20,5% sur un an. Face à ce constat, l'OFROU et le BPA lancent des analyses.

En 2022 en Suisse, l'Office fédéral des routes (OFROU) a dénombré 18'396 accidents avec dommages corporels. Cela représente une augmentation de 40% par rapport à la moyenne des cinq dernières années, et de 5,5% par rapport à 2021, qui avait déjà connu un peu plus d'accidents que les années précédentes, lesquelles suivaient une tendance à la baisse.

Les trois quarts de ces accidents n'ont fait que des blessés légers. Mais 241 personnes y ont perdu la vie et 4002 ont été grièvement blessées. Cela représente 41 tués et 69 blessés graves de plus que l'année précédente, respectivement 20,5% et 1,8% de plus. Et par rapport à la moyenne des cinq dernières années, la hausse est de respectivement 2,9% et 55,2%, selon les chiffres transmis jeudi par l'OFROU.

Ce sont surtout les accidents de vélos électriques et de voitures qui ont augmenté. Cette hausse allant à l'encontre de la tendance à la baisse du nombre d'accidents observée depuis de nombreuses années, l'OFROU a lancé une analyse approfondie pour déterminer les possibles causes de cette évolution. Les premiers résultats devraient être disponibles au troisième trimestre 2023.

"Signal à prendre au sérieux"

Le Bureau de prévention des accidents (BPA) analysera lui aussi en détail ces statistiques, fait-il savoir dans un communiqué. Il pourra ainsi déterminer les raisons exactes de cette hausse et définir les mesures les plus pertinentes pour inverser la tendance.

Le BPA considère l'augmentation du nombre d'accidents graves de la circulation comme un "signal à prendre au sérieux". Tous les acteurs de la sécurité routière doivent désormais collaborer pour inverser cette tendance. De par son mandat légal de prévention et de coordination, le BPA a un rôle central à jouer dans ce domaine, note-t-il encore.

Automobiliste en cause 3 fois sur 4

Dans le détail, 87 des personnes tuées (+22 par rapport à 2021) et 768 de celles qui ont été grièvement blessées (+30) occupaient des voitures. Les augmentations les plus marquées concernent les victimes d’accidents graves dus à un dérapage ou à une perte de maîtrise du véhicule (+48 victimes; 446 au total) et à des collisions frontales (+22; 149).

La plus forte augmentation du nombre de tués et de blessés graves a été enregistrée chez les plus de 75 ans (+30; 145). En revanche, la catégorie d'âge des 18-24 ans est la seule dont les chiffres ont diminué (-21; 175).

Parmi les automobilistes grièvement accidentés, près des trois quarts ont provoqué eux-mêmes l'accident. Ce n'est pas tant la vitesse qui était à l'origine de ces accidents, mais bien plus l'état de la conductrice ou du conducteur sous l'effet de l'alcool, de médicaments ou de la fatigue. Environ un quart des blessés graves étaient des passagers.

Vélos et des trottinettes électriques

Chez les adeptes du vélo électriques, le nombre de tués (23) a augmenté de six individus et celui des blessés graves (560) de 29. Environ 80% des blessés graves circulaient avec un vélo électrique lent, les autres avec un cycle rapide. Dans les deux catégories, le plus grand nombre de victimes se trouvent dans la catégorie d'âge des 55 à 64 ans.

Parmi les conducteurs de vélos électriques grièvement accidentés, les trois quarts ont provoqué eux-mêmes l'accident. Les principales raisons étaient l'inattention et la distraction, un mauvais comportement au volant et l'alcool. Quatre des accidentés graves étaient des passagers.

Les trottinettes électriques ont également connu davantage d'accidents graves. En 2022, trois personnes sont décédées et 114 ont été grièvement blessées. L'année précédente, il n'y avait pas eu de morts et 89 blessés graves. L'alcool était la cause principale des accidents pour environ un tiers d'entre eux.

Chez les cyclistes n'utilisant que la force du mollet, il y a eu un peu moins d'accidents graves que l'année précédente, surtout chez les personnes âgées de 65 à 74 ans. Il y a également eu une légère baisse chez les motocyclistes. La vitesse et l'inattention restent les principales causes des accidents, a indiqué l'OFROU.

Piétons

Sur les 36 piétons qui ont perdu la vie en 2022 (-1 par rapport à 2021), neuf (14) ont été fauchés sur un passage protégé. Le nombre de piétons grièvement blessés en 2022 a légèrement augmenté, à 445 personnes (424).

L'OFROU relève également 4 morts conduisant d'autres véhicules (zéro en 2021), quatre sur cinq d'entre eux étant des trottinettes normales. Dans cette catégorie, 20 (28) enfants âgés de deux à treize ans ont été grièvement blessés.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Santé

Un Suisse sur trois va se serrer la ceinture en 2026

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Un bon tiers de la population suisse souhaite réduire son budget ménage et dépenser moins dans quasi tous les domaines de la vie courante, et cela particulièrement en Suisse romande et au Tessin. (© KEYSTONE/EPA/TOLGA AKMEN)

Le climat de consommation s'annonce difficile en Suisse l'an prochain. Un bon tiers de la population souhaite réduire son budget ménage et dépenser moins dans quasi tous les domaines de la vie courante, et cela particulièrement en Suisse romande et au Tessin.

A l'aube de cette nouvelle année, la moitié de la population s'inquiète pour son budget. Ainsi, 30% des personnes interrogées ont déjà procédé à des ajustements budgétaires pour joindre les deux bouts, alors que 17% trouvent que la période est difficile et 4% parlent même de crise, selon le moniteur de la consommation publié mardi par l'institut d'études de marché management tools research.

Le reste de la population se montre davantage optimiste: 42% des sondés estiment que leur situation économique est bonne et 6% très bonne, selon une enquête menée auprès de plus 1200 personnes âgées de 16 à 79 ans.

Cette perception diffère de façon notable entre les différentes régions du pays. En Suisse alémanique, plus de la moitié des participants à l'étude ne s'inquiètent pas de l'état de leur compte bancaire et 52% d'entre eux qualifient leur situation économique de bonne ou très bonne, quand au Tessin 59% de la population juge sa situation "tendue, difficile, voire critique". En Suisse romande, ce chiffre atteint même 61%.

Une morosité qui se reflète dans la planification budgétaire. Une personne sur trois (32%) dit souhaiter réduire son budget familial en 2026, un chiffre qui atteint même 41% chez les moins de 45 ans. Seuls 19% des interrogés souhaitent dépenser plus au cours de la nouvelle année et 44% maintenir leurs dépenses à un niveau constant.

Prudence de mise

Les sondés veulent avant tout faire des économies dans les domaines où les achats peuvent être reportés: 37% dévoilent prévoir de dépenser moins pour les articles de consommation courante et 35% pour les vêtements. Beaucoup réduiront également leurs dépenses liées aux sorties: 31% entendent se serrer la ceinture au niveau de la restauration et 24% dans les domaines de la culture, des loisirs et autres activités.

Seuls les domaines des assurances et des frais de santé ne permettront pas de réaliser des économies. Près de la moitié des personnes interrogées s'attendent à une augmentation des dépenses de santé pour l'année prochaine, "ce qui montre à quel point les primes pèsent lourdement sur le budget", souligne l'étude.

Ce comportement prudent des consommateurs devrait se répercuter sur les revenus de nombreux fournisseurs. Un quart des personnes interrogées souhaitent par exemple dépenser moins d'argent dans le commerce de meubles, comme par exemple chez Ikea. Les détaillants d'électronique, d'articles ménagers et en ligne sont également sous pression, plus d'un cinquième d'entre elles indiquant vouloir réduire leurs dépenses chez Galaxus, Media Markt, Fust et Interdiscount.

Concernant les denrées alimentaires, un peu moins de personnes ont l'intention d'économiser mais chez Migros, Coop, Aldi et Lidl si "environ la moitié souhaite dépenser autant que l'année précédente, les interrogés souhaitent plutôt réduire leur budget que l'augmenter".

Recours aux crédits

Afin de pouvoir effectuer des achats importants malgré un budget serré, de nombreuses personnes envisagent par ailleurs de modifier leurs habitudes de paiement. Elles sont 25% à admettre qu'elles paieront plus souvent sur facture l'année prochaine, 11% à miser davantage sur les paiements échelonnés, 4% sur le leasing et 3% à envisager un crédit.

Sur ce dernier point, les hommes sont deux fois plus nombreux que les femmes à vouloir faire une demande de crédit et ils sont également plus enclins à recourir au paiement échelonné et au leasing.

Par ailleurs, 13% des sondés déclarent ne pas pouvoir épargner du tout. Au Tessin, ce pourcentage est plus de deux fois plus élevé et atteint 29%. Le montant moyen épargné est de 1220 francs par mois, mais l'écart est énorme: ceux qui gagnent moins de 7000 francs épargnent en moyenne environ 360 francs, alors que les personnes dont le salaire mensuel dépasse 9000 francs peuvent mettre plus de 2800 francs de côté. Et tandis que les locataires ne peuvent épargner qu'environ 750 francs par mois, les propriétaires immobiliers économisent plus de 2000 francs.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Suisse

Personne ne décroche la bonne combinaison à l'Eurodreams

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Proposé en Suisse et dans sept autres pays européens, le jeu Eurodreams offre un gain principal sous forme d'une rente mensuelle de 22'222 francs pour une durée de 30 ans. (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Personne n'a trouvé la combinaison gagnante à l'Eurodreams lundi soir. Pour gagner une rente mensuelle de 22'222 francs durant 30 ans, il fallait jouer les six numéros 5, 8, 16, 19, 24 et 39, ainsi que le numéro "dream" 2, a indiqué la Loterie romande.

Eurodreams est proposé dans huit pays européens. En Suisse, le jeu est exploité par la Loterie romande et par Swisslos côté alémanique. Le tirage est effectué les lundis et jeudis soir.

https://jeux.loro.ch/games/eurodreams

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

La monogamie, un régime lié à la concurrence pour l'héritage

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La monogamie n'a pas toujours été le modèle dominant (archives). (© KEYSTONE/CHRISTIAN BEUTLER)

Les conflits autour des successions ont contribué à faire de la monogamie un modèle à succès. L'idée de léguer ses biens et ses terres sans partage a poussé les hommes à restreindre le nombre de leurs épouses.

C'est ce qui ressort d'une étude menée par des chercheurs de l'Université de Zurich dans la revue spécialisée "Pnas", et dont les résultats ont été publiés lundi.

Historiquement, la polygamie, qui consiste pour un homme à avoir plusieurs femmes, était le système matrimonial le plus répandu. Il devait permettre aux femmes de partager un homme privilégié avec d'autres afin d'assurer de meilleures conditions de vie à leurs enfants.

La raison pour laquelle la monogamie s'est imposée au fil du temps dans de nombreuses sociétés reste un mystère. Les chercheurs s'attendaient à ce que la polygamie soit plus fréquente dans les communautés agricoles caractérisées par de grandes différences de propriété et de statut social.

Ressources en jeu

Mais finalement, là où les ressources comme les terres agricoles devenaient rares, qu'elles étaient privées et transmissibles par héritage, la monogamie a pris le dessus. L'équipe de l'Uni de Zurich a analysé les données de 186 sociétés à travers le monde pour cette étude.

Selon les chercheurs, les hommes ont réduit le nombre de leurs épouses afin d'éviter le partage de l'héritage et d'assurer un avantage à leur descendance. Ils n'ont en revanche pas pu confirmer une autre théorie selon laquelle la monogamie favoriserait la stabilité sociale.

Cette hypothèse part du principe que la polygamie entraîne un surplus d'hommes célibataires, ce qui favoriserait la violence. La monogamie réduirait donc la concurrence entre les hommes et apporterait un avantage à la société. Les chercheurs n'ont trouvé aucune preuve claire à l'appui de cette hypothèse.

Les résultats de l'étude remettent également en question l'hypothèse selon laquelle la monogamie serait principalement un héritage historique des sociétés européennes. L'analyse montre que la monogamie est apparue plusieurs fois dans les mêmes conditions de pénurie de ressources, indifféremment de la culture ou de la langue de la société.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Le franc devrait rester solide en 2026

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Selon les experts, la monnaie helvétique devrait poursuivre en 2026 sa tendance haussière qui dure depuis des années. (archive) (© KEYSTONE/MICHAEL BUHOLZER)

Le franc ne faiblit pas, malgré le choc des droits de douane américains qui menaçait de frapper l'économie suisse. Selon les experts, la monnaie helvétique devrait poursuivre en 2026 sa tendance haussière qui dure depuis des années.

Quels arguments en faveur du franc?

Les experts citent comme principaux piliers du franc la stabilité politique, les excédents élevés de la balance courante, le faible endettement, une économie forte et très innovante, ainsi qu'une inflation très faible en Suisse. C'est pourquoi il est considéré depuis des décennies comme une valeur refuge, très prisée en période de crise.

Grâce à l'accord récemment conclu dans le conflit douanier avec les Etats-Unis, la Suisse a également pu éliminer une menace massive pour sa compétitivité par rapport à d'autres pays. Ce danger semble désormais écarté.

Qu'est-ce qui pourrait nuire au franc?

La réintroduction des taux d'intérêt négatifs pourrait affaiblir le franc. Récemment, des données sur l'inflation négative, les incertitudes sur les marchés financiers et dans le domaine politique ont alimenté les spéculations à ce sujet. Mais celles-ci ont été immédiatement dissipées par la Banque nationale suisse (BNS). En effet, les taux d'intérêt négatifs ont des effets secondaires importants, notamment sur la prévoyance vieillesse, ce que la BNS souhaite éviter.

Et le dollar?

Le billet vert s'est nettement affaibli sous les effets des droits de douane américains. Encore à 0,9132 franc pour un dollar début janvier, la paire de devises a continuellement chuté pour atteindre fin décembre 0,78960 USD/CHF.

"Méfiez-vous du dollar", prévient cependant Thomas Stucki, directeur des investissements à la Banque cantonale de Saint-Gall. Si le président américain Donald Trump parvient à prendre le contrôle de la Réserve fédérale américaine (Fed) et que la nomination du successeur du président de la banque centrale, Jerome Powell, suscite de nouveaux doutes quant à l'indépendance de l'institution, cela pourrait nuire davantage à la confiance dans le dollar. Une baisse du cours vers 75 centimes ne serait alors plus très loin, estime M. Stucki.

La banque Valiant s'attend certes à de nouvelles baisses des taux d'intérêt de la Fed l'année prochaine, mais continue de voir le dollar évoluer dans une fourchette comprise entre 79 et 81 centimes. UBS ne voit quant à elle aucune raison d'anticiper une nouvelle faiblesse marquée du dollar.

Un euro stable?

En revanche, l'euro s'est révélé globalement assez stable en 2025. La monnaie unique est actuellement cotée à 0,9287 franc, après avoir démarré l'année à 0,9395 EUR/CHF. Son cours a toutefois été très volatil, oscillant entre un peu moins de 92 et près de 97 centimes. Mi-novembre, l'euro a même atteint un plus bas historique à 0,91783 EUR/CHF.

La plupart des experts s'attendent désormais à une évolution latérale de l'euro. Selon Valiant, cela s'explique notamment par le fait que la Banque centrale européenne (BCE) a déjà intégré le niveau actuel des taux d'intérêt de 2% dans ses prévisions pour l'ensemble de l'année 2026.

Selon Raiffeisen, l'euro offre certes des taux d'intérêt plus élevés que le franc, mais la banque coopérative table néanmoins sur un léger recul du cours euro-franc à 91 centimes d'ici fin 2026. Cette prévision s'explique par les perspectives économiques moroses dans l'UE et la volatilité des marchés.

L'évolution future de la monnaie unique européenne dépendra donc essentiellement de la mise en oeuvre effective du vaste programme d'infrastructures allemand et de sa capacité, conjuguée aux dépenses militaires colossales prévues en Europe, à relancer l'économie. L'euro pourrait alors se redresser quelque peu, selon Raiffeisen.

Vers un franc toujours solide

Le franc devrait rester fort et représenter un défi permanent pour l'économie suisse orientée vers l'exportation. "Surtout en combinaison avec les droits de douane plus élevés", avertit M. Heller. Cependant, l'économie d'exportation suisse a prouvé par le passé qu'elle était capable de faire face à cette situation.

Les consommateurs devraient, eux, se réjouir, qu'ils soient touristes d'achat dans les pays voisins ou voyageurs grâce à des effets de change substantiels selon les destinations.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Suisse

Les métaux précieux calment leurs ardeurs après de nouveaux sommets

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L'or a atteint dans la nuit de dimanche à lundi un nouveau sommet historique à 4550,52 dollars l'once. (archive) (© KEYSTONE/EPA/CHRISTOPHER NEUNDORF)

Les cours de l'or, de l'argent et du platine se sont envolés ces dernières 24 heures, avant de voir leurs cours retomber lundi matin sous le coup des prises de bénéfices mais aussi des avancées dans les négociations de paix en Ukraine.

Mais même après ce repli, ces métaux précieux vont terminer l'année en fanfare. Allant de record en record, l'or a atteint dans la nuit de dimanche à lundi un nouveau sommet historique à 4550,52 dollars l'once avant de retomber dans la matinée à 4462,46 dollars (-1,55%). Depuis le début de l'année, le prix du métal jaune s'est envolé de 71,3%.

Les investisseurs semblent avoir pris leurs bénéfices, alors que les pourparlers de paix en Ukraine avancent, ont commenté les analystes de la plateforme Trading Economics.

Le président américain Donald Trump a en effet estimé dimanche être plus près que jamais d'un accord de paix en Ukraine, après une réunion avec son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky et une conversation téléphonique avec le président russe Vladimir Poutine. Le locataire de la Maison Blanche n'a toutefois fait mention d'aucune avancée concrète.

Mais les tensions au Moyen-Orient, ainsi qu'entre les Etats-Unis et le Venezuela soutenaient la demande pour l'or en tant que valeur refuge, selon Trading Economics.

Les experts d'UBS ont pour leur part rappelé que l'envolée de l'or allait de pair avec la faiblesse du dollar, les investisseurs cherchant des placements plus solides.

"Les achats continus par les banques centrales, plus d'investissements dans les ETF et une plus forte demande en lingots et pièces soutiennent aussi le rally, alors que les taux directeurs devraient baisser aux Etats-Unis", ont ajouté les analystes de la banque aux trois clés. Ces derniers voient l'or grimper à 5000 dollars l'once dès mars 2026.

Les autres métaux précieux cédaient aussi leurs gains. Après avoir atteint un sommet à 83,97 dollars l'once, l'argent reculait de 5,9% à 74,60 dollars. Le platine faisait de même, baissant de 6,4% à 2291,29 dollars, après un plus haut à 2478,50 dollars. Depuis janvier, ces deux métaux ont également enregistré une importante envolée de respectivement 159,2% et 154,8%.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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