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Élections fédérales

Elections fédérales : Sami Kanaan tente l’aventure à Berne

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Réuni en assemblée générale mardi soir, le PS genevois a désigné 12 candidats pour le Conseil national, l'automne prochain. L'actuel conseiller administratif de la Ville de Genève Sami Kanaan va tenter de décrocher un siège à Berne.

Le magistrat qui s'occupe de la culture municipale figure dans la liste de 12 personnes (6 hommes, 6 femmes) aux côtés, notamment, de la conseillère nationale Laurence Fehlmann Rielle et du conseiller national Christian Dandrès, tous deux partants pour un nouveau mandat sous la Coupole.

Dans un communiqué, le parti socialiste indique avoir l'ambition, dans cette élection, de reconquérir le troisième siège qu'il avait perdu il y a quatre ans. Pour le Conseil des Etats, les socialistes genevois font confiance à leur actuel représentant à la Chambre des cantons Carlo Sommaruga pour conserver leur siège.

La députation genevoise au Conseil national est forte de douze personnes.

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Actualité

🔴 Fédérales en direct: Vos priorités et les partis qui grimpent

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Le parlement fédéral attend sa nouvelle composition (archives). (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

Le 22 octobre, faites compter votre voix! Exprimez vos valeurs et influencez les décisions qui guideront notre pays lors des élections fédérales. Pour cela, nos tableaux et suivi en direct.

Le Parlement, composé du Conseil national et du Conseil des États qui décident des lois, des budgets et de la direction du pays sera renouvelé. Votre vote façonne notre système politique, les politiques publiques et l'avenir de la Suisse.

Quelles sont vos priorités?

Comment pourrait être la future répartition?

Pour tout connaitre de la route qui mène aux fédérales, suivez notre direct.

 

Avec Keystone-ATS 

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Élections fédérales

Déjà 5908 candidats au Conseil national

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Environ 5900 candidats briguent un siège au Conseil national dans 20 cantons (archives). (© KEYSTONE/PETER SCHNEIDER)

Toutes les candidatures ne sont pas encore connues au Conseil national. Mais il apparaît déjà que le nombre d'hommes et de femmes souhaitant siéger à la Chambre du peuple sera plus élevé qu'en 2019, selon un décompte de Keystone-ATS, qui recense 5908 candidats.

Il y a quatre ans, les cantons avaient annoncé - après clôture et révision des listes - 4660 candidatures au Conseil national. Plusieurs grands cantons ont annoncé un nombre record de candidats pour les prochaines élections.

Le canton de Zurich aura le droit à un siège supplémentaire à partir de la prochaine législature, soit 36. Au total, 1341 personnes vont se présenter à ces élections. Dans le canton de Berne, il y a 776 candidatures pour 24 sièges et dans le canton de Vaud, 384 candidats pour 19 sièges.

Le nombre de listes déposées jusqu'à présent a également augmenté. Dans les 20 cantons élisant leurs représentants au National au système proportionnel, 618 listes ont déjà été déposées jusqu'à lundi soir. Il y en avait 511 en 2019 et seulement 422 en 2015.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Élections fédérales

Le PVL ambitionne d'attirer 10% des électeurs aux fédérales

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Lors de l'assemblée des délégués à Rüschlikon (ZH) samedi, le président des Vert'libéraux Jürg Grossen a demandé à chaque membre du parti de s'engager (Photo d'archives). (© KEYSTONE/CHRISTIAN BEUTLER)

Les Vert'libéraux visent la barre des 10% des voix lors des élections fédérales en octobre. Les délégués du PVL, réunis en assemblée de parti samedi à Rüschlikon (ZH), ambitionnent notamment un retour au Conseil des Etats.

"Nous voyons les chances là où d'autres attisent les peurs", a déclaré le président du parti Jürg Grossen, selon le discours écrit.

Le PVL a appelé de ses voeux des solutions courageuses en matière de protection du climat et dans les relations avec l'Union européenne. Dans ce dossier, il plaide pour un accord-cadre institutionnel ou une adhésion à l'EEE.

Les grands partis manquent de volonté de changement et de courage pour trouver des solutions. La gauche veut réaliser le tournant énergétique par le renoncement et les interdictions. La droite mise sur les technologies dépassées que sont l'énergie nucléaire et les moteurs à combustion. Efficience, énergies renouvelables, stockage de l'énergie et accord avec l'Europe: telle est la recette du PVL pour réaliser le tournant énergétique.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Élections fédérales

La droite genevoise resserre les rangs pour les élections fédérales

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Tous les regards sont tournés vers le Palais fédéral où se tiendra mercredi l'élection de deux membres du Conseil fédéral. (KEYSTONE/Peter Klaunzer) (Tous les regards sont tournés vers le Palais fédéral où se tiendra mercredi l'élection de deux membres du Conseil fédéral. (©Keystone/PETER KLAUNZER))

A Genève, Le Centre, le MCG, le PLR et l'UDC annoncent lundi s'être mis d'accord sur le principe de proposer un "ticket commun" au deuxième tour de l'élection du Conseil des Etats, l'automne prochain. La droite espère ainsi augmenter ses chances d'être à nouveau représentée à la Chambre des cantons.

La gauche genevoise a fait du Conseil des Etats une forteresse. Elle occupe depuis 16 ans les deux sièges du canton. La députation actuelle est formée par l'écologiste Lisa Mazzone et le socialiste Carlo Sommaruga. Le duo rose-vert ne compte pas laisser sa place et brigue un nouveau mandat.

Pour la droite genevoise, il est temps de briser ce monopole. "Les enjeux pour Genève étant nombreux, il est primordial que les intérêts du canton soient mieux défendus à Berne qu'ils ne le sont avec la représentation actuelle", écrivent les présidents des quatre partis dans un communiqué.

Le Centre, le MCG, le PLR et l'UDC avaient déjà scellé une alliance semblable lors du deuxième tour de l'élection du Conseil d'Etat genevois, en avril, présentant cinq candidats pour sept sièges à repourvoir.

Pour l'élection au Conseil national, un apparentement entre les quatre formations a été conclu. "Ainsi, tout en conservant leurs spécificités et leurs différences", Le Centre, le MCG, le PLR et l'UDC "font en sorte que les suffrages restants ne soient pas perdus et servent prioritairement à renforcer leurs formations".

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Élections fédérales

Le PLR veut faire mieux que le PS aux élections fédérales

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De gauche à droite: la conseillère fédérale Karin Keller-Sutter, le conseiller d'Etat Damian Müller et le président du parti Thierry Burkart, lors de l'assemblée des délégués du PLR Suisse samedi à Kreuzlingen. (© KEYSTONE/GIAN EHRENZELLER)

Le PLR veut gagner des sièges au Conseil national et au Conseil des Etats lors des élections fédérales d'octobre. Le parti a présenté son programme de campagne aux quelque 400 libéraux-radicaux réunis à Kreuzlingen (TG) samedi.

Avec une campagne engagée et une image rafraîchie, le PLR veut dépasser le PS lors des élections et redevenir le deuxième parti du pays.

Le programme pour les Fédérales 2023 est axé sur une économie innovante, la sécurité, dont fait également partie celle de l'approvisionnement, et une prévoyance vieillesse solide.

Le président du parti Thierry Burkart et les délégués n'ont pas oublié de rendre hommage à Elisabeth Kopp, décédée le 7 avril dernier. Thierry Burkart a avoué que le parti devait faire amende honorable pour ne pas avoir soutenu la défunte conseillère fédérale. "Nous devons être conscients de cette faute", a-t-il déclaré.

La neutralité : pas une fin en soi

Thierry Burkart est revenu sur le sauvetage de Credit Suisse, nécessaire, selon lui. La conseillère fédérale Karin Keller-Sutter a décrit la situation et les multiples pressions faites sur le Conseil fédéral.

Un travail d'information et une meilleure réglementation sont désormais nécessaires, a repris Thierry Burkart. Ce dernier a plaidé aussi pour que la branche helvétique de CS devienne indépendante.

Le PLR a enchaîné avec la neutralité et la responsabilité que cela implique pour la Suisse. Celle-ci n'est pas une fin en soi et personne ne comprendrait qu'on empêche d'autres pays de livrer des armes, a-t-il estimé.

Sur la question de l'énergie, son approvisionnement nécessite toutes les technologies, y compris le nucléaire, selon le président du PLR.

Oui à la loi sur la protection du climat

Devant les délégués, il a plaidé pour un oui à la loi sur la protection du climat, le 18 juin. Il faut aussi être prêt à faire des compromis, dans l'intérêt du pays. Même si cela signifie "avaler des couleuvres de temps en temps".

Le conseiller national bernois Christian Wasserfallen s'est lui prononcé contre le "compromis très clairement de centre-gauche". A ses yeux, il n'est pas nécessaire de subventionner le marché saturé des pompes à chaleur.

Malgré ces critiques et quelques autres, les délégués ont décidé de préconiser le oui par 234 voix contre 51 et cinq abstentions. Le oui à l'impôt minimum sur les bénéfices des grandes entreprises, qui sera également voté le 18 juin, avait déjà été décidé lors de l'assemblée des délégués de janvier. La Conférence des présidents de partis (CPP) a opté pour le soutien à la loi Covid-19 vendredi soir à l'unanimité.

La vice-présidente du parti Johanna Gapany a encore présenté aux délégués la Vision Suisse 2050, dans laquelle le PLR propose des solutions pour une politique environnementale basée sur l'évolution technologique et sur l'innovation plutôt que sur l'interventionnisme étatique.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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