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Suisse

Donner les mêmes chances aux enfants placés dans toute la Suisse

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La Fondation Palatin exige "des concepts et des normes qui garantissent que les enfants placés (...) aient les mêmes chances de grandir en sécurité et d'être encouragés le mieux possible dans leur développement" (image d'illustration). (© KEYSTONE/GIAN EHRENZELLER)

Le placement d'enfants en famille d'accueil exige des normes plus uniformes en Suisse, estime une étude publiée mardi à Berne. L'actuel "patchwork cantonal" a des conséquences importantes pour les enfants placés, leurs parents et les familles d'accueil.

L'étude relève que le système actuel est de qualité. Le placement d'enfants "fait l'objet de processus systématiques et d'un souci de bien accompagner les acteurs concernés", indique la Fondation Palatin dans un communiqué.

Les résultats montrent toutefois que les cantons ont développé des systèmes "des plus divers". Actuellement, "le canton dans lequel un enfant grandit est déterminant pour ses expériences (de vie) en tant qu'enfant placé", soulignent les auteurs de l'étude.

Pour cette raison, des concepts et des normes sont nécessaires en particulier pour l'évaluation des conditions d'accueil, l'autorisation et la surveillance. Pour la fondation Palatin, les conclusions de l'étude doivent maintenant être intégrées dans une éventuelle révision de l'ordonnance sur le placement d'enfants.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Accident d'un avion militaire lors d'un atterrissage à Emmen (LU)

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L'avion accidenté est un PC-21 du constructeur suisse Pilatus (archives). (© Schweizer Armee)

Un avion militaire de type PC-21 a eu un accident mardi lors d'une manoeuvre d'atterrissage sur la base aérienne d'Emmen (LU). Le pilote et l'élève-pilote qui se trouvaient à bord ont pu s'éjecter, a indiqué l'armée suisse.

L'avion accidenté est un avion-école de type PC-21, du constructeur suisse Pilatus. Cet appareil biplace est en service dans l'armée depuis 2008. Au total, huit avions de ce type ont été acquis.

L'appareil est utilisé pour l'instruction de base et avancée des pilotes de jets, ainsi que pour l'instruction au combat aérien, au vol sans visibilité et à la voltige aérienne.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Politique

Abattage d'arbres: la nouvelle loi vaudoise est jugée trop stricte

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Le Grand Conseil vaudois demande de revoir la loi pour simplifier l'abattage et l'élagage des arbres, sauf si ceux-ci sont jugés remarquables (photo d'illustration). (© KEYSTONE/MICHAEL BUHOLZER)

Entrée en vigueur depuis moins d'une année, la nouvelle loi vaudoise sur la protection du patrimoine naturel et paysager (LPrPNP) doit être révisée. Le Grand Conseil en a fait mardi la demande au Conseil d'Etat, estimant qu'elle est trop contraignante pour l'abattage et l'élagage de certains arbres.

Même si son règlement d'application n'est pas encore connu, cette nouvelle loi a amené "certaines surprises aux propriétaires et aux communes", a remarqué Charles Monod (PLR), auteur de la motion visant à rectifier la loi. Il a pris l'exemple de demandes d'abattage d'arbres malades ou secs qui nécessitent, selon la nouvelle loi, une mise à l'enquête publique. Jusqu'ici, une autorisation de la municipalité suffisait.

Si la protection du patrimoine arboré peut être "saluée", une application "trop stricte" entraîne "une bureaucratie inutile", a souligné le député. Selon lui, certaines communes devront même engager du personnel pour répondre à ces demandes. Il a demandé au Conseil d'Etat de réviser la LPrPNP, afin de préciser que la mise à l'enquête publique est uniquement obligatoire lorsqu'il s'agit d'abattre ou élaguer des arbres dits "remarquables". Les autres demandes doivent rester de la compétence des municipalités.

Plusieurs députés ont abondé dans le même sens, certains affirmant que le Parlement n'avait "pas vu passer le puck" au moment de voter la loi et qu'il fallait désormais "rectifier le tir". Il ne s'agit pas "d'affaiblir" la loi mais de parvenir à "une sobriété administrative", a résumé Sébastien Humbert (Vert'libéraux).

Du côté des Vert-e-s, Rebecca Joly a reconnu qu'une publication "systématique" dans la Feuille d'avis officiel (FAO) était exagérée dans certaines situations, car "coûteuse et chronophage". Elle a toutefois prévenu que l'arrêt "complet de toute enquête publique" allait "trop loin" car un "contrôle" doit rester possible pour le grand public et les organisations environnementales.

Fausses informations

Le ministre de l'environnement Vassilis Venizelos a aussi dit comprendre "la surcharge administrative" liée à une publication dans la FAO, qui ne devrait être maintenue que pour les arbres remarquables. Pour le reste, il a estimé possible de revenir à l'ancienne loi avec un affichage au pilier public et sur le site internet de la commune.

Le conseiller d'Etat a aussi indiqué que le règlement d'application de la nouvelle loi était "à bout touchant". En attendant, il a tenu à démentir certaines "rumeurs" et fausses informations. Comme par exemple le fait qu'un arbre "à deux doigts de s'écrouler et représentant un danger imminent" ne pourrait pas être abattu sans mise à l'enquête.

Il a promis que les communes allaient être informées, en attendant que cette loi soit rectifiée et que son règlement d'application soit connu.

Dans un vote à mains levées, le Grand Conseil a accepté la motion de Charles Monod demandant la révision de LPrPNP.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Les entreprises font face à des perspectives mitigées pour 2024

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Les carnets de commandes du second oeuvre connaissent des taux de remplissage record. Cette branche du secteur de la construction est toutefois fortement impactée par la pénurie de main d'oeuvre (photo d'illustration). (© KEYSTONE/LAURENT MERLET)

Les entreprises vaudoises résistent comme elles peuvent au ralentissement de la conjoncture mondiale. De fortes disparités marquent les branches des différents secteurs, notamment en fonction des marchés dont elles dépendent.

"Après le rebond extraordinaire de 2021, qui a suivi la récession due à la pandémie, la conjoncture a de nouveau ralenti en 2022 sur l'ensemble du globe en raison de la guerre en Ukraine et des tensions sur le marché de l'énergie. Une situation incertaine a marqué 2023 et devrait perdurer en 2024", a expliqué mardi Jean-Pascal Baechler, conseiller économique à la Banque cantonale vaudoise (BCV) aux médias lors de la présentation des derniers indicateurs conjoncturels publiés par la Chambre vaudoise du commerce et de l'industrie (CVCI).

Dans ce contexte, la croissance dans le canton de Vaud s'inscrit en baisse de un point, à 1,4% pour cette année et devrait se maintenir à 1,3% en 2024. Une tendance similaire s'observe en Suisse. "Il faut comprendre que le dossier de l'inflation est soudain devenu prioritaire pour les banques centrales et a fait passer la croissance au second plan", a fait remarquer Claudio Bologna, chef de projet chez Statistique Vaud. La Suisse est toutefois parvenue à éviter une stagnation, voire une récession, comme en Allemagne, a-t-il relevé.

Baisse des exportations

Sans surprise, les exportations vaudoises ont reculé de 5,3% sur les 10 premiers mois de l'année. Leur niveau reste cependant supérieur à celui de 2019. Les différentes branches connaissent des fortunes diverses: en baisse pour la chimie et le matériel médical, en hausse pour l'horlogerie.

"Cela s'explique notamment par les marchés dont dépendent les branches", poursuit Claudio Bologna. "Les industries dépendantes de la zone euro sont impactées en raison de la cherté du franc. En revanche, l'horlogerie et la joaillerie, qui ont l'Asie comme principal marché ressentent moins ce paramètre."

Fortes disparités

Les secteurs connaissent également de fortes variations. Dans la construction, les carnets de commande du second oeuvre atteignent des valeurs record, avec 11 mois de réserves de travail. Ceux du gros oeuvres sont plus clairsemés avec des réserves de trois mois. "Les démarches administratives qui deviennent toujours plus longues et complexes ont tendance à décourager les investisseurs", analyse Nicolas Tripet de la Fédération vaudoise des entrepreneurs.

Le second oeuvre ressent fortement le manque de main d'oeuvre. Ainsi, l'enquête conjoncturelle de la CVCI révèle que 64% des répondants des travaux de finition, d'installation électrique et de plomberie jugent le manque de personnel comme un obstacle à la bonne marche des affaires.

Dans le secteur de l'industrie, de grandes disparités sont également observées. Ainsi, la durée assurée de production pour la branche machines et de l'équipement est de 14 mois, et les professionnels sont 98% à juger les affaires satisfaisantes ou bonnes. En revanche la branche industrie et travail des métaux souffre de la faiblesse de la demande. Quelque 53% des professionnels jugent les affaires mauvaises.

Restaurateurs mécontents

Du côté de l'hôtellerie-restauration, les hôteliers ont le sourire tandis que les restaurateurs tirent la langue. Bien que 51% des répondants hôteliers ont enregistré un chiffre d'affaires en baisse pour l'été 2023 par à 2022, ils ont de quoi se réjouir. L'été 2022 avait en effet constitué un record avec une augmentation de 6% du total des nuitées.

En revanche, malgré la météo favorable de l'été 2023, les restaurateurs vaudois sont 42% à mentionner un chiffre d'affaires en baisse et 40% à juger la situation des affaires mauvaises. Ils invoquent la demande insuffisante, la pénurie de personnel et la hausse des coûts, en particulier de l'énergie.

Commerçants inquiets

Le secteur des services s'est globalement maintenu en 2023, mais a souffert du manque de main d'oeuvre, en particulier dans la branche des services informatiques. Cette dernière a connu un pic historique au premier trimestre 2023. "La digitalisation, la cybersécurité et l'avènement de l'intelligence artificielle constituent des tendances particulièrement porteuses", a fait remarquer Karine Bardetscher Chamoso de l'Ordre vaudois d'Experts Suisse.

Quant au secteur du commerce de détail, en constante mutation, il se trouve dans une situation "relativement mauvaise", a déclaré Patrick Zurn de la CVCI. Les inquiétudes portent actuellement sur "le franc fort et le tourisme d'achat qui en résulte". Les commerçants étaient 30% à juger la marche des affaires mauvaise en octobre, mais s'attendaient toutefois à une embellie avec les fêtes de fin d'année.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Santé

Novartis relève ses ambitions d'ici 2027

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En tout, 103 projets sont actuellement menés, avec jusqu'à 15 dépôts de demandes d'homologations majeures attendus entre 2024 et 2027. (KEYSTONE/Urs Flueeler) (© KEYSTONE/URS FLUEELER)

Novartis se montre plus gourmand en matière de croissance du chiffre d'affaires à moyen terme. Après s'être séparé de sa filiale Sandoz, le groupe pharmaceutique se concentre sur ses produits existants et sa pépinière de recherche et développement (R&D).

Novartis ambitionne désormais une croissance annualisée (CAGR) des ventes de 5% sur la période courant jusqu'en 2027, contre 4% jusqu'à présent, a-t-il indiqué mardi, en amont de sa journée des investisseurs à Londres. Il vise aussi une marge opérationnelle de base supérieure à 40%. La progression des recettes doit se maintenir autour de 5% sur le long terme également.

La multinationale explique continuer à faire des "progrès significatifs dans l'amélioration de la performance de la recherche et développement (R&D)", en concentrant le portefeuille en développement "sur les actifs à forte valeur", après avoir introduit sa filiale génériques et biosimilaires Sandoz à la Bourse suisse début octobre.

Selon Vas Narasimhan, directeur général de la firme des bords du Rhin, "Novartis a désormais achevé sa transformation en une société pharmaceutique innovante et 'pure-player', avec de fortes augmentations de marge de base et de flux de trésorerie disponible, tout en continuant à réaliser une solide performance opérationnelle".

Le groupe souligne dans le communiqué se concentrer sur quatre domaines thérapeutiques (cardiovasculaire, rénal et métabolique; immunologie; neuroscience; oncologie) ainsi que les plateformes technologiques (chimie, biothérapeutique, xRNA, radioligand, thérapie génique et cellulaire) dans quatre zones prioritaires que sont les Etats-Unis, la Chine, l'Allemagne et le Japon.

Plus de 100 projets en cours

En tout, 103 projets sont actuellement menés, avec jusqu'à 15 dépôts de demandes d'homologations majeures attendus entre 2024 et 2027.

En 2022, les recettes ont reculé de 2% à 50,55 milliards de dollars (à peine moins en francs). A taux de changes constants (tcc), le géant pharmaceutique revendiquait une croissance de 3%.

JPMorgan s'attend à une certaine prudence de la part des investisseurs. Si les nouvelles perspectives sont encourageantes, des obstacles se trouvent sur le chemin du groupe. Car Novartis va perdre d'ici 2027 et au-delà des droits de brevets exclusifs pour certains de ses produits les plus générateurs de revenus.

Laurent Flamme de la Banque cantonale de Zurich (ZKB) juge qu'il aurait été plus opportun de repousser la période de prévision, car à partir de 2028 et en particulier 2029, il faut s'attendre à des signes de freinage. L'expert attend des détails sur des dépôts des demandes d'homologation pour Kisqali et Pluvicto, escomptés respectivement en 2023 et 2024, car le marché n'apprécierait pas s'ils devaient être retardés.

L'action Novartis faisait partie des rares gagnantes de l'indice phare de la Bourse suisse vers 11h25, grappillant 0,15% à 86,10 francs, dans un SMI en recul de 0,7%.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Festivals

Une affiche kaléidoscope pour le Paléo 2024

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CREDIT: Paleo Festival Nyon
Kaléidoscopes, rotations et répétitions d'images constituent l'affiche 2024 du Paléo Festival. Ce visuel coloré évoque tous les moments de la vie du festival nyonnais, du lever au camping jusqu'aux concerts du soir.

Les organisateurs ont dévoilé mardi l'affiche du prochain festival. L'oeuvre est signée Princess de La Cruz et Tae-Yun Aum, qui ont remporté un workshop de la HEAD-Genève. Elle retranscrit l'énergie, l'humour, la diversité et la vie du festival, explique un communiqué.

Les artistes ont utilisé des visuels dans lesquels chaque festivalier peut se reconnaître, à travers des objets ou des routines qui font Paléo. Instruments de musique, nourriture, chapeaux, sacs de couchage, micros, enceintes et tentes de camping se retrouvent seuls ou assemblés avec d'autres éléments pour créer des effets kaléidoscopiques ou de répétitions.

Le prochain festival se tiendra du 23 au 28 juillet 2024. La billetterie ouvre le 5 décembre pour la vente de Noël d'abonnements, de packs et de bons Flex.

 

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