Rejoignez-nous

Economie

Bourse suisse: vert de mise au lendemain des législatives en France

Publié

,

le

"Il existe un risque non négligeable que Marine Le Pen et Jordan Bardella remportent la majorité parlementaire d'ici la fin de semaine", relève une analyste. (© KEYSTONE/AP/Thomas Padilla)

La Bourse suisse a entamé la semaine sur une note positive au lendemain du 1er tour des législatives françaises. Le marché a été rassuré par le fait que le Rassemblement national paraît ne pas pouvoir obtenir une majorité absolue à l'issue du second tour, dimanche.

A New York, Wall Street gagnait du terrain en matinée, digérant les résultats du 1er tour en France et avant les données sur l'emploi américain en fin de semaine.

"Si le Rassemblement national obtient le poste de Premier ministre, pour lequel Jordan Bardella a été pressenti, il sera en mesure de définir une grande partie de l'agenda national", a analysé le spécialiste de l'investissement John Plassard de Mirabaud Banque dans un commentaire. Le résultat du premier tour laisse néanmoins supposer que le RN "pourrait ne pas avoir la majorité absolue à l'Assemblée nationale (...) après le 2e tour. C'est pour les marchés, le scénario du 'moins pire'", a-t-il souligné.

Mais pour l'analyste de Swissquote, Ipek Ozkardeskaya, "il existe un risque non négligeable que Marine Le Pen et Jordan Bardella remportent la majorité parlementaire d'ici la fin de semaine".

Ce premier tour électoral dans l'Hexagone va en tous cas continuer à agiter les marchés, a ajouté Frank Sohlleder, analyste d'Activtrades. Les impulsions politiques vont dicter l'évolution des marchés ces prochains jours, avec jeudi les législatives au Royaume-Uni. Les sondages laissent augurer une large victoire des travaillistes après 14 ans de règne conservateur.

En Allemagne, l'inflation est repartie à la baisse en juin après le sursaut de mai. Un repli qui vient conforter la Banque centrale européenne (BCE) qui a entamé son cycle de baisse des taux le mois dernier.

En Suisse, les chiffres d'affaires du commerce de détail ont reculé en mai après avoir nettement progressé le mois précédent. En tenant compte des variations saisonnières, ils ont fléchi en l'espace d'un an de 0,3% en termes nominaux. En termes réels, soit compte tenu de l'inflation, ils ont toutefois crû de 0,4%.

Le SMI a terminé en hausse de 0,47% à 12'049,61 points, avec un plus haut à 12'107,30 en ouverture et un plus bas à 12'022,16. Le SLI a gagné 0,41% à 1951,64 points et le SPI 0,44% à 15'989,43 points. Sur les 30 valeurs vedettes, 23 ont progressé et 7 reculé.

Sika (-0,8%) a fini lanterne rouge, derrière VAT Group (-0,7%) et Partners Group (-0,6%).

Le gestionnaire d'actifs zurichois a annoncé avoir pris une participation majoritaire dans FairJourney Biologics.

Le mastodonte bâlois des médicaments de substitution Sandoz (-0,3%) a obtenu de l'Agence américaine des médicaments (FDA) une homologation pour une version biosimilaire de l'ustékinumab, sous la marque Pyschiva.

Dans le camp des gagnants, UBS (+2,0%) a terminé sur la plus haute marche du podium, devant Julius Bär (+1,7%) et Swiss Life, SIG Group et Straumann (tous +1,3%).

Credit Suisse a officiellement cessé d'exister en Suisse: la banque a été radiée du Registre du commerce du canton de Zurich et n'existe plus en tant qu'entité juridique distincte. Tous les droits et obligations ont ainsi été transférés à UBS Switzerland.

Par ailleurs, la banque aux trois clés n'est plus la banque dépositaire des fonds de compensation de l'AVS/AI/APG, qui représente 40,6 milliards de francs. Elle a perdu ce mandat au profit d'une institution concurrente américaine, State Street.

Les poids lourds Nestlé (+0,2%), Roche (bon +0,2%, porteur +0,3%) et Novartis (+0,6%) pointent tous dans le vert.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

Cliquez pour commenter

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Economie

La BC de Bâle-Campagne liquide sa filiale Radicant

Publié

le

La BLKB a passé dans ses comptes un nouveau correctif de valeur de 105,5 millions de francs sur sa participation dans Radicant, désormais en liquidation. (archives) (© KEYSTONE/ALESSANDRO DELLA BELLA)

La Banque cantonale de Bâle-Campagne (BLKB) a décidé de rendre la licence bancaire de sa filiale à problèmes Radicant et d'engager sa liquidation. Le bénéfice annuel de l'établissement rhénan en sera lourdement affecté, mais les dividendes maintenus.

"Après un examen approfondi des différentes options de vente, aucune solution permettant la poursuite des activités de Radicant n'a pu être trouvée", précise le président de la BLKB à titre intérimaire, Thomas Bauer, mardi dans un communiqué. Le conseil de banque avait décidé fin septembre de céder sa participation dans la banque numérique.

"Les dépôts des clients restent toutefois entièrement protégés et des solutions de remplacement sont actuellement à l'étude", ajoute Marco Primavesi, président de Radicant. Les collaborateurs seront également "soutenus tout au long du processus".

Le résultat annuel de la maison mère devrait être amputé de 60 millions de francs cette année, par rapport à l'an passé, tandis qu'une performance stable est attendue au niveau opérationnel. La banque prévoit toutefois de maintenir sa rétribution pour les actionnaires et le canton.

Départs groupés

Début juillet, la BLKB avait annoncé passer dans ses comptes un nouveau correctif de valeur de 105,5 millions de francs sur sa participation dans Radicant, fusionnée avec Numarics et qui ne parvenait pas à atteindre le seuil de rentabilité.

Une expertise indépendante, commandée par la banque, avait conclu à des lacunes et des manquements, notamment dans le cadre de la fusion avec Numarics.

Ces difficultés avaient coûté leurs postes aux directeur général de la BLKB, John Häfelfinger, et au président du conseil de banque, Thomas Schneider, dont les départs avaient été annoncés début juillet. Dans la foulée, Marco Primavesi avait annoncé renoncer ses fonctions au sein de l'organe de surveillance de Radicant dès la fin de l'année en cours.

L'ancien président de la Finma Thomas Bauer avait été désigné président de la BLKB par intérim fin août sur décision du conseil d'Etat du demi-canton, afin d'assurer un minimum de gouvernance.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

Continuer la lecture

Culture

Au cimetière près de Jim Morrison: Paris lance un tirage au sort

Publié

le

Des milliers de visiteurs viennent chaque année sur la tombe de Jim Morrison au Père-Lachaise à Paris. Désormais, on pourra reposer pour l'Eternité à ses côtés, sur tirage au sort (Archives).. (© KEYSTONE/AP/MICHEL EULER)

La ville de Paris a lancé cette semaine un tirage au sort inédit qui offrira aux heureux gagnants un repos éternel dans des tombes patrimoniales à l'abandon, en échange de leur restauration.

Le patrimoine des cimetières parisiens compte 634'000 concessions, mais reposer près de Jim Morrison au Père-Lachaise ou de la célèbre écrivaine Simone de Beauvoir à Montparnasse restait jusqu'ici un voeu pieux, les cimetières historiques étant saturés depuis le début du XXe siècle.

Et pourtant, ces lieux regorgent de sépultures à l'abandon que leur valeur patrimoniale empêche de détruire.

Depuis lundi, la mairie propose trente monuments à la vente sur tirage au sort: 10 au Père-Lachaise, 10 à Montparnasse et 10 à Montmartre.

Signe de l'intérêt, "dès les 24 premières heures on a eu 1000 clics sur les dossiers de candidature", a indiqué à l'AFP Paul Simondon, adjoint à la maire de Paris Anne Hidalgo chargé des affaires funéraires.

Les candidats doivent "fournir des devis d'entreprises de marbrerie spécialisées pour montrer qu'ils connaissent le coût de la rénovation, afin qu'il n'y ait pas de surprise", a expliqué l'élu.

Réflexion pour étendre le dispositif

Si les conditions de restauration et d'achat ne sont pas remplies, "la vente du monument est annulée et l'acquéreur perd son investissement", prévient la Ville.

Ce mécanisme de restauration permet "pour la première fois aux familles d'anticiper l'achat d'une concession intramuros", fait valoir Paul Simondon.

Le dispositif a été selon l'adjoint "validé par les services de l'Etat, permettant de lier l'achat du monument, relevant du domaine privé, à l'obtention de la concession publique".

Ce premier tirage au sort constitue un test et la mairie réfléchit à étendre le dispositif, a ajouté Paul Simondon, soulignant l'"intérêt écologique" du réemploi des monuments funéraires.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

Culture

Le Louvre a négligé la sécurité au profit de l'attractivité

Publié

le

Les bijoux volés au Louvre restent à ce jour introuvables (archives). (© KEYSTONE/AP/Emma Da Silva)

Trois semaines après le retentissant vol de joyaux nationaux au Louvre, la Cour des comptes a vivement critiqué le grand musée jeudi dans un rapport. Elle a estimé qu'il avait "privilégié des opérations visibles et attractives" au détriment de la sécurité.

"Le vol de joyaux de la Couronne est, à n'en pas douter, un signal d'alarme assourdissant sur le rythme très insuffisant" de rénovation des équipements de sécurité du musée, a déclaré le premier président de la Cour des comptes, Pierre Moscovici.

Le 19 octobre, des malfaiteurs ont réussi à s'introduire, avec un camion-élévateur, dans la galerie d'Apollon, où ils ont dérobé en quelques minutes des joyaux royaux et impériaux d'une valeur de 88 millions d'euros (82 millions de francs), et d'une valeur patrimoniale inestimable.

Les bijoux restent à ce jour introuvables mais quatre personnes, dont trois soupçonnées d'avoir directement participé au casse, ont été mises en examen et écrouées.

Le rapport de la Cour des comptes, qui porte sur la gestion du musée entre 2018 et 2024, estime que sa direction "a privilégié les opérations visibles et attractives au détriment de l'entretien et de la rénovation des bâtiments et des installations techniques, notamment de sûreté et de sécurité".

Comme elle l'avait déjà fait dans un pré-rappport, la Cour pointe "un retard considérable dans le rythme des investissements" face à une "dégradation accélérée" du musée qui a accueilli neuf millions de visiteurs en 2024, dont 80% d'étrangers.

Elle pointe également "un retard persistant dans le déploiement d'équipements de sûreté pour la protection des oeuvres" que le musée n'est "pas parvenu" à combler sur la période prise en compte.

Ces investissements sont "pourtant indispensables pour assurer un fonctionnement pérenne de l'institution", soulignent les Sages.

"Défaut de hiérarchisation"

Pourtant, "malgré d'abondantes ressources, le musée, par défaut de hiérarchisation de ses nombreux projets, est confronté à un mur d'investissements qu'il n'est pas en mesure de financer", alertent-ils.

Entre 2018 et 2024, le Louvre "a mobilisé 26,7 millions d'euros pour la mise en oeuvre des travaux d'entretien et de mise aux normes et 59,5 millions d'euros pour la réalisation des travaux de restauration du palais au titre des monuments historiques" contre "105,4 millions d'euros engagés sur ses ressources propres pour l'acquisition d'oeuvres et 63,5 millions d'euros en faveur de la rénovation des aménagements muséographiques", précise le rapport.

Dans sa réponse à la Cour, publiée avec le rapport, la direction du Louvre dit accepter "la plupart des recommandations" formulées tout en estimant que son rapport "méconnaît" plusieurs de ses actions notamment sur la sécurité.

"La gestion du plus grand musée du monde et du plus visité ne peut faire l'objet d'un jugement équilibré que si ce dernier se fonde sur le temps long", estime le Louvre qui regrette également que le rapport détaille précisément le nombre de caméras de surveillance existantes dans ses salles.

Le Louvre estime aussi que la Cour outrepasse le cadre calendaire fixé en évoquant le projet des futurs grands travaux, présenté en janvier par l'Elysée.

1,15 milliard d'euros

La Cour a revu à la hausse son coût à 1,15 milliard d'euros, contre 700 à 800 millions d'euros estimés en janvier par l'entourage du président Emmanuel Macron.

Les recommandations formulées par les Sages font écho aux premières conclusions de l'enquête administrative confiée à l'Inspection générale des affaires culturelles (Igac) après le vol.

Dévoilées la semaine passée par la ministre de la Culture Rachida Dati, ces conclusions ont mis en évidence une "sous-estimation chronique, structurelle, du risque intrusion et vol" par le musée et "un sous-équipement des dispositifs de sécurité".

La ministre a en outre demandé à la présidente-directrice du Louvre, Laurence des Cars, qui dirige le musée depuis septembre 2021, de "revoir la gouvernance" de l'établissement et de créer "une nouvelle direction de la sûreté et de la sécurité au niveau de la présidence" du musée.

Un conseil d'administration du Louvre doit se réunir "en urgence" vendredi.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

Economie

Adecco CEO: pas de vague de licenciements à cause de l'IA

Publié

le

Le CEO d'Adecco Denis Machuel, photographié au siège social d'Adecco à Zurich (archives). (© KEYSTONE/CHRISTIAN BEUTLER)

Selon Denis Machuel, directeur général (CEO) d'Adecco, l'utilisation de l'intelligence artificielle (IA) n'a jusqu'à présent pas entraîné de vagues de licenciements importantes dans les entreprises.

"Nous ne voyons pas encore de révolution", a déclaré jeudi le directeur général du deuxième plus grand prestataire de services de ressources humaines lors d'une conférence téléphonique avec des journalistes.

Certes, certains clients ont procédé à des licenciements, mais ceux-ci n'ont pas été massifs, a précisé le CEO du groupe. "Nous constatons que certaines entreprises encouragent réellement l'utilisation de l'IA", a déclaré M. Machuel. Dans l'ensemble, toutefois, les effets sur l'emploi et la productivité sont difficiles à quantifier et restent limités jusqu'à présent.

Selon Adecco, l'automatisation et l'IA générative prennent de plus en plus en charge les tâches routinières telles que la saisie de données, la gestion de documents et la communication standard. Les activités qui exigeaient auparavant une précision humaine peuvent aujourd'hui être reproduites numériquement, selon l'entreprise. Les professions fortement exposées à l'IA, c'est-à-dire celles qui comportent une grande partie de tâches facilement automatisables, sont menacées. Adecco cite notamment les secrétaires, les comptables, les opérateurs de saisie de données et les employés des centres d'appels. En revanche, les rôles spécialisés gagnent en importance.

Le CEO s'exprimait en marge de la publication des résultats trimestriels. Le spécialiste du placement de personnel a publié une solide croissance organique au troisième partiel. Ajustée des jours ouvrables, elle atteint 3,0% en comparaison annuelle. Les recettes sont en hausse de 1% à 5,78 milliards d'euros, dans un contexte de marché difficile.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

Continuer la lecture

Economie

Zurich Insurance avance sur neuf mois

Publié

le

Dans l'assurance véhicules, les prix ont été relevés de 8% (archives). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

L'assureur Zurich Insurance a enregistré sur les neuf premiers mois de l'année une accélération de ses recettes de primes, poursuivant sur la lancée constatée au premier semestre.

Entre janvier et fin septembre, le groupe zurichois a inscrit des primes brutes en progression de 8% sur un an à 38,92 milliards de dollars dans l'unité dommages et accidents, son coeur de métier, a-t-il annoncé jeudi dans un communiqué.

Dans l'assurance vie, les primes nouvelles ont crû de 11% à 26,76 milliards et de 5% à 22,56 milliards auprès du partenaire américain Farmers.

Ces chiffres clés sont mitigés par rapport aux prévisions des analystes interrogés par l'agence AWP. L'assureur n'a pas dévoilé de détail sur sa rentabilité sur neuf mois.

Zurich Insurance était parvenu à accroître sa rentabilité sur les six premiers mois de l'année, malgré plusieurs catastrophes naturelles dont les importants incendies à Los Angeles en début d'année. Le résultat d'exploitation (BOP) avait progressé de 6% à 4,23 milliards de dollars et le bénéfice net attribuable aux actionnaires de 1% à 3,07 milliards.

Sur l'ensemble de l'année, le groupe devrait enregistrer dans ses activités non-vie une croissance d'environ 5% du chiffre d'affaires des activités d'assurance. L'assurance vie devrait quant à elle afficher un résultat d'exploitation stable. Quant aux activités de son partenaire américain Farmers, elles devraient croître de 5% à 9% en 2025.

Le groupe n'a pas publié de mise à jour de ses objectifs financiers. En novembre dernier, Zurich Insurance avait fixé de nouveaux objectifs pour 2025 à 2027. Sur cette période, le bénéfice par action devrait augmenter en moyenne de plus de 9% par an et le rendement des fonds propres sur le résultat d'exploitation doit atteindre au moins 23%.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

Continuer la lecture

Derniers titres

Publicité

L'info en continu

EconomieIl y a 27 minutes

La BC de Bâle-Campagne liquide sa filiale Radicant

La Banque cantonale de Bâle-Campagne (BLKB) a décidé de rendre la licence bancaire de sa filiale à problèmes Radicant et...

SuisseIl y a 34 minutes

Sunrise gagne des clients mobiles et réduit sa perte trimestrielle

L'opérateur Sunrise est parvenu à engranger de nouveaux clients mobiles sur trois mois et à...

GenèveIl y a 1 heure

Un lieu pour aider les parents à gérer les écrans

Un lieu dédié aux parents qui se posent des questions sur l’usage des écrans. CitÉcrans...

InternationalIl y a 1 heure

Philippines: le bilan du typhon Fung-wong monte à 18 morts

Des secouristes philippins équipés de pelleteuses et de tronçonneuses ont commencé mardi à nettoyer les...

InternationalIl y a 2 heures

Une attaque de drones russes fait un mort dans l'est de l'Ukraine

Une attaque de drones russes a tué une personne et provoqué des incendies lundi soir...

InternationalIl y a 3 heures

Saisie de plus de six tonnes d'ailerons de requin au Pérou

La police péruvienne a annoncé lundi la saisie de plus de six tonnes d'ailerons de...

SportIl y a 4 heures

Mondial 2026: la Suisse a toutes les cartes en main

L'équipe de Suisse s'est rassemblée lundi à Lausanne avec la Coupe du monde en ligne...

InternationalIl y a 4 heures

Le Sénat américain approuve la fin de la paralysie budgétaire

Le Sénat américain a voté lundi un texte visant à mettre fin à la paralysie...

CultureIl y a 4 heures

Netflix ouvre ses premiers parcs à thèmes aux Etats-Unis

Se prendre pour un pirate dans un jeu immersif inspiré du manga "One Piece" ou...

InternationalIl y a 7 heures

Les émissions de CO2 en Chine sont restées stables au 3e trimestre

Les émissions de CO2 en Chine sont restées stables au troisième trimestre par rapport à...