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Suisse

"Avatar 2" se hisse à la cinquième place du classement mondial

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"Avatar: la voie de l'eau" continue de grimper au box office mondial, où il vient de décrocher la 5e place. (© KEYSTONE/AP)

Avatar 2 continue de progresser au box-office. Le film du réalisateur James Cameron occupe pour l'heure la cinquième place du classement mondial des films au plus grand succès commercial. En Suisse, la barre des 800'000 spectateurs a été franchie le week-end dernier.

Selon ce classement, "Avatar 2" a rapporté 2,054 milliards de dollars dans le monde depuis sa sortie en salle à la mi-décembre, selon les journaux de l'industrie américaine. Dans le classement, le film a ainsi dépassé "Avengers : Infinity War", qui avait rapporté environ 2,052 milliards de dollars depuis 2018 et occupait jusqu'à présent la cinquième place.

La première place du classement mondial reste entre les mains de James Cameron, le réalisateur de trois des cinq films qui ont engrangé le plus de recettes au plan mondial: les deux Avatar et Titanic.

La première place est occupée par "Avatar - En route pour Pandora", sorti en 2009, qui a rapporté 2,92 milliards de dollars. En deuxième position, on trouve le blockbuster "Avengers : Endgame" (2019) avec des recettes d'environ 2,79 milliards de dollars, suivi de "Titanic" (1997) avec des recettes mondiales de 2,19 milliards de dollars.

"Star Wars" menacé

"Star Wars Episode VII : The Force Awakens" de 2015 occupe la quatrième place avec 2,07 milliards de dollars. Selon les prévisions du secteur, "Avatar 2" pourrait prochainement dépasser son rival "Star Wars".

En 2017, James Cameron avait commencé à travailler simultanément sur quatre suites d'"Avatar", les autres volets devant suivre à partir de 2024. "Avatar : La voie de l'eau", avec des stars comme Sam Worthington, Zoe Saldaña, Kate Winslet et Sigourney Weaver, est nominé pour quatre Oscars, dont ceux du "Meilleur film" et des effets visuels.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / dpa / ansa

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Suisse

Présence possible et intrigante de blindés Mowag en Ukraine

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Ein Mowag Eagle de l'armée suisse aurait été vu en Ukraine. (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Des photos publiées sur internet montrent la présence sur le front en Ukraine d'un ou deux véhicules blindés du constructeur suisse Mowag. Le Seco évalue si des infractions à la législation sur l'exportation du matériel de guerre ont été commises.

Un des véhicules en question a été identifié par l'ancien officier de l'armée suisse Jacques Baud comme un "Mowag Eagle I de fabrication suisse", indiquent jeudi La Liberté, Le Courrier, ArcInfo et Le Nouvelliste. M. Baud avait aussi été chef de projet pour l'acquisition de ce véhicule chez armasuisse dans les années 1990.

"L'image prise sur un site ukrainien et rapportée par les médias ne permet guère de tirer des enseignements accablants sur le type de véhicule et le lieu de sa présence", a indiqué le Secrétariat d'Etat à l'économie (Seco) à Keystone-ATS.

Une reconstruction claire de l'origine du modèle n'est possible qu'à l'aide du numéro de châssis, qui n'est pas disponible en l'occurrence, précise le Seco.

Soumis à autorisation

Les journaux romands ainsi que la NZZ avaient indiqué qu'un des véhicules en question, photographié par l'AFP, circulait au milieu des décombres d'Adviivka, près de Bakhmout, le 18 mars. L'autre image a été prise par un photographe de guerre espagnol devant le centre culturel de la ville de Chasiv Yar, près de Bakhmout également. Il n'est pas clair s'il s'agit ou non des même types de véhicule.

Ce type de blindés Mowag est soumis à une autorisation de réexportation de la Suisse, qui les interdit pour l'Ukraine. Il pourrait provenir d'une société allemande, qui avait racheté des Mowag Eagle I au Danemark en 2013.

L'entreprise allemande en question s'était engagée, tout comme le Danemark, à ne pas réexporter ces véhicules. Interpellées par le Seco et le DFAE, les autorités danoises ont confirmé ne pas avoir réexporté de blindés de reconnaissance Eagle sans l'accord de la Suisse. La Confédération reste en contact avec l'Allemagne, a précisé le Seco.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Economie

Les voitures électriques moins chères que les autres sur la durée

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Les voitures électriques sont les moins chères sur la durée. (© KEYSTONE/AP/Pavel Golovkin)

Sur la durée, les voitures électriques coûtent moins cher que celles à moteur thermique et que les hybrides. L'étude qui parvient à ce résultat, publiée par l'Office fédéral de l'énergie (Ofen), montre que le prix d'achat des électriques ne doit pas être dissuasif.

"Les voitures électriques ont un prix d'achat plus élevé que les voitures avec un moteur à combustion, mais elles sont moins coûteuses sur toute la durée de possession", indique jeudi l'Ofen au terme de l'évaluation confiée à son programme SuisseEnergie.

Le constat est valable pour toutes les classes de voitures: les petites, les moyennes comme celles de la classe supérieure ou les SUV.

Les calculs se fondent sur un "Total Cost of Ownership" (TCO), qui répertorie l'ensemble des frais à charge de l'automobiliste sur toute la durée de possession du véhicule. Les auteurs ont basé leurs calculs sur une durée de détention de huit ans, pour un véhicule acheté neuf et un kilométrage annuel de 15'000 km.

Les coûts énergétiques pris en compte sont de deux francs le litre de carburant (voitures thermiques) et 23 centimes le kWh pour l'électrique (moyennes 2022).

Jusqu'à 13'000 francs d'écart

Si les véhicules électriques restent les moins chers dans tous les cas, les coûts des voitures hybrides rechargables et ceux des modèles à moteur thermique sont dans l'ensemble comparables, montre l'étude.

Par exemple, dans le scénario de base considéré, les coûts totaux d'une petite voiture électrique, sur huit ans, se montent à 49'616 francs. Contre 52'385 francs pour une petite voiture tournant à l'essence.

Pour les classes moyennes (genre VW Golf 1.5), la différence atteint plus de 13'000 francs: 72'647 francs pour la voiture thermique et 59'638 pour l'électrique. Pour un modèle hybrique, il en coûte 72'098 francs.

Dans les classes supérieures (style BMW 530i), l'électrique occasionne une facture totale de 115'351 francs, tandis que la voiture avec moteur à combustion revient à 131'948 francs. Le modèle hybride est ici le plus cher: 135'697 francs.

Pour les SUV, l'électrique reste marginalement moins cher: 77'469 francs, contre 83'543 pour le modèle "classique" et 81'800 pour l'hybride rechargeable.

Moins cher à l'entretien

L'électrique fait la différence grâce notamment à des frais de maintenance moins élevés, de l'ordre de 20% dans le segment de la classe supérieure et des SUV et de 40% dans les catégories des petites voitures et de classe moyenne.

L'hybride peine à se démarquer car il affiche les coûts de maintenance les plus hauts, vu qu'ils font entrer en jeu deux technologies.

Les calculs sont basés sur les données d'Eurotax (données des constructeurs automobiles) pour le marché suisse et validés avec les informations du leader suisse du leasing (ARVAL), d'une enquête auprès des garagistes (UPSA), des données d'un fabricant de pneus (Continental) et celles de la flotte de véhicules de l'entreprise énergétique Axpo.

Outre l'acquisition, les frais ayant servi de base de calcul sont ceux pour l'énergie/essence, la maintenance, les pneus, l'impôt sur les véhicules à moteur, les primes d'assurance, le nettoyage, notamment.

La hiérarchie des coûts suivant le type de propulsion reste la même dans tous les cas de figure, sauf un: pour les petites voitures, les véhicules thermiques se révèlent un peu moins chers que les voitures électriques en cas d'une durée de possession de 6 ans (et non 8) et d'un kilométrage de 10'000 km au lieu de 15'000.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Sport

Des wildcards pour Tudor et Q36.5

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Tudor sera sur le Tour de Suisse (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Les organisateurs du Tour de Suisse ont attribué les deux wildcards pour la 86e boucle nationale aux deux équipes suisses Q36.5 et Tudor. Comme on pouvait s'y attendre.

Outre les deux formations helvétiques de deuxième niveau, les 18 équipes du World Tour seront au départ le 11 juin à Einsiedeln. S'y ajoutent - outre Q36.5 et Tudor - trois autres équipes Pro. L'équipe TotalEnergies, avec le Slovaque Peter Sagan, en fait partie. Le recordman d'étapes sur le Tour de Suisse dispute sa dernière saison en tant que cycliste professionnel.

L'équipe nationale ne sera pas au départ. Swiss Cycling a décidé de ne pas s'aligner en raison de la nouvelle limite d'âge qui n'autorise plus que les coureurs âgés de 25 ans au maximum à participer au sein des sélections nationales. En outre, il y aura certainement plusieurs Suisses, surtout chez Tudor, qui accorde beaucoup d'importance à la promotion des athlètes locaux et qui a huit coureurs d'élite suisses et sept coureurs de la relève sous contrat.

L'UCI ne décidera que plus tard au printemps si une équipe nationale pourra prendre le départ du Tour de Suisse féminin, qui aura lieu du 17 au 20 juin.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Economie

Plusieurs Vallotton vendus pour 946'000 francs à Bâle

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La "Nature morte à l'assiette bleue" (1922) de Félix Vallotton a été vendue mercredi à Bâle pour 216'500 francs. Il s'agit d'une huile sur toile (53,5 x 72,5 cm). (© Beurret & Bailly)

Quatorze ½uvres du peintre vaudois Félix Vallotton (1865-1925) ont été mises en vente mercredi chez Beurret & Bailly à Bâle. Albert Anker a également suscité un vif intérêt.

L'ensemble Félix Vallotton a attiré les amateurs, que ce soit en salle, en ligne ou en salle et a atteint le résultat global de 946'000 francs, a indiqué jeudi la maison Beurret & Bailly dans un communiqué. La "Nature morte à l'assiette bleue" a été achetée pour 216'500 francs par un collectionneur suisse, dépassant ainsi son estimation haute de 150'000 francs.

Quant à "Maisons au soleil, cailloux bleus", réalisés dans le Sud de la France où l'artiste a séjourné lors des dernières années de sa vie, elle a été acquise pour 185'500 francs. Certaines oeuvres ont toutefois été retirées de la vente car elles ont laissé les acheteurs indifférents.

Emballement pour un Anker

Les enchères se sont également emballées pour un dessin signé Albert Anker, représentant une jeune paysanne qui tient dans ses mains un pot rempli de fraises. Estimé entre 80'000 et 120'000 francs, ce portrait a été acheté pour 334'000 francs par un collectionneur suisse.

Le tableau "Leçon d'écriture III" a lui été vendu pour 394'000 francs. Des oeuvres d'Ernest Biéler ont de Gustave Buchet ont également trouvé preneurs.

La première vente de printemps de la maison Beurret & Bailly, consacrée à l'art suisse et à l'art international avant 1900 a atteint les 4,2 millions de francs.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Economie

La Finma se justifie au sujet des emprunts AT1 de Credit Suisse

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Le gendarme des marchés financiers en Suisse rappelle que l'éventualité d'un amortissement complet de la valeur de ces outils destinés au renforcement des fonds propres des grandes banques était inscrit noir sur blanc dans le prospectus afférent. (archive) (© KEYSTONE/ENNIO LEANZA)

Le régulateur Finma s'explique jeudi sur la décision controversée d'ordonner l'amortissement des emprunts AT1 de Credit Suisse, qui a valu à l'autorité de surveillance de vives critiques.

Les "conditions contractuelles" étaient réunies, assure le gendarme financier dans un communiqué.

L'amortissement des instruments de capital AT1 a visiblement valu des sollicitations répétées à la Finma, qui évoque les "nombreuses questions" posées sur le sujet depuis l'annonce dimanche du sauvetage de Credit Suisse et son rachat par UBS. Dans son communiqué, l'autorité invite les créanciers à adresser leurs doléances aux "émetteurs des instruments de capital", soit - dans ce cas précis - Credit Suisse.

Contractuellement, l'amortissement des emprunts AT1 de Credit Suisse est conditionné à "certains événements déclencheurs", comme une "aide publique exceptionnelle", souligne l'Autorité fédérale de surveillance des marchés financiers, qui souligne avoir respecté ce cadre.

Des prêts extraordinaires sous forme de liquidités couverts par une garantie du risque de défaillance fournie par la Confédération ont été accordés le 19 mars au numéro deux bancaire helvétique, rappelle le communiqué.

L'amortissement de ces 13 instruments, dont la valeur nominale avoisine 16 milliards de francs, équivaut pour les créanciers à perdre l'intégralité de leur mise. Les emprunts AT1 (Additional Tier 1) sont rémunérés à hauteur de leur risque élevé (jusqu'à 9,75% dans le cas présent). Ils sont conçus en larges tranches, ce qui en fait un instrument principalement détenu par des investisseurs institutionnels.

L'amortissement de ces emprunts AT1 a permis à Credit Suisse d'augmenter ses fonds propres de première catégorie, dans un contexte de crise de confiance et d'hémorragie des liquidités qui frappait le géant bancaire helvétique.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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