Nous avons de plus en plus conscience que le système scolaire n’est pas forcément fait pour tous les enfants, et pourtant, il est d’une importance capitale que chacune et chacun puisse recevoir une instruction, pour obtenir les bases nécessaires à la vie quotidienne.
Ainsi, de plus en plus de possibilités sont mises en place pour aider les parents et les enfants dans leur parcours scolaire. Une de ces solutions est l’Instruction En Famille (IEF), pratiquée par plus de 4'000 familles en Suisse.
Un accompagnement dans les démarches
Que ce soit lié à un mal-être à l’école, à du harcèlement, ou encore, à des besoins spécifiques par rapport à des capacités physiques ou psychiques, un parent peut vouloir sortir son enfant du système scolaire « traditionnel » et vouloir le scolariser à la maison.
Néanmoins, il n’est pas toujours facile de se lancer et de savoir comment s’y prendre, d'autant plus si c’est la première fois qu’on se retrouve confronté à cette situation. Pour cela, il est possible de se tourner vers des structures spécifiques, qui sauront apporter tous les conseils dont nous avons besoin et nous soutenir dans les démarches administratives nécessaires.
Découvrez l’Association des Familles IEF
Basée à Plan-les-Ouates, l’association à but non lucratif Association des Familles IEF a été créée, non seulement pour accompagner les familles qui s’engagent dans l’Instruction en Famille (IEF), mais également pour leur proposer des activités afin de réunir les enfants.
Pour sa première mission, l’Association des Familles IEF apporte son aide aux familles de Suisse romande et de France voisine dans la constitution de leur dossier, notamment, mais les accompagne également tout au long du cursus de l’enfant et même après. De plus, ayant une connaissance pointue du domaine et des professionnelles et professionnels en relation, elle aiguille chaque famille vers la bonne personne, en fonction de ses besoins.
En ce qui concerne le deuxième volet, l’Association des Familles IEF propose un grand nombre d’activités pour fédérer les enfants de 4 à 25 ans. Effectivement, les risques de l’Instruction En Famille (IEF) résident parfois dans la solitude et l’éloignement des enfants. Pour contrer cela, elle organise régulièrement des ateliers ludiques et pédagogiques, sur des thématiques très diverses, pour permettre à tous les enfants de partager un moment ensemble. Le programme détaillé est à retrouver sur le site internet de l’Association des Familles IEF. L’inscription se fait également par ce biais.
Soutenir l’Association des Familles IEF
Que vous souhaitiez bénéficier des services de l’Association des Familles IEF ou non, vous avez toujours la possibilité de devenir membre de l’association, pour soutenir ses actions. La cotisation annuelle est de CHF 50.-/an.
En tant que membre, vous pourrez notamment profiter de tarifs préférentiels sur les activités organisées et également de réductions chez les partenaires de l’Association des Familles IEF.
Pas loin d'une centaine de fonctionnaires des services public et parapublic vaudois se sont rassemblés lundi par un froid mordant devant le Département des finances à Lausanne. Ils ont exigé un rattrapage salarial de 5% pour répondre à l'augmentation rapide du coût de la vie et demandé au Conseil d'Etat d'ouvrir rapidement des négociations.
Bien que les syndicats aient pris acte de l'intention du Conseil d'Etat d'indexer les salaires en fonction de l'indice des prix à la consommation (IPC) d'octobre, à hauteur de 0,6%, les participants ont rappelé que le renchérissement réel du coût de la vie "dépasse très largement" l'offre gouvernementale. "L'IPC est déconnecté de la réalité", ont-ils clamé.
Cet indice "ignore des postes de dépenses cruciaux pour de nombreux ménages", ont indiqué des représentants de la Fédération des sociétés de fonctionnaires (FSF Vaud), de la Fédération syndicale SUD et du Syndicat des services publics (SSP Vaud).
"5% tout de suite et maintenant": la petite centaine de manifestants, selon un décompte de Keystone-ATS, a demandé au Conseil d'Etat d'intégrer l'impact complet de la hausse du coût de la vie de ces cinq dernières années dès le 1er janvier 2025. Un rattrapage salarial qui doit impliquer au minimum un retour à la valeur des salaires de 2019, exigent-ils.
Ras-le-bol au CHUV
Le personnel du CHUV s'était également rassemblé plus tôt dans la journée pour manifester son ras-le-bol à la direction ainsi qu'au Conseil d'Etat. Il a protesté contre les économies budgétaires qui touchent le terrain, les soins et tous les secteurs de l'hôpital, alors qu'en parallèle "la direction des ressources humaines se gavait de promotions, annuités et indemnités".
Le personnel a également demandé un rattrapage salarial, une revalorisation des indemnités et des heures de piquet, ainsi qu'une directive sur le temps de travail, selon un communiqué.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Une femme de 28 ans a été percutée dans sa voiture samedi soir par un autre véhicule sur la bande d'arrêt d'urgence de l'autoroute A1 entre Ecublens et Morges-Est (VD). Elle est décédée sur place, malgré l'intervention rapide des secours. Le conducteur de l'autre véhicule, un Suisse de 19 ans, n'a pas été blessé.
Selon les premiers éléments, la voiture de cette Suissesse domiciliée à Genève s’est immobilisée sur la bande d’arrêt d’urgence, qui était fermée à la circulation depuis près d'une heure.
Peu de temps après, le second véhicule, qui circulait sur la bande d'arrêt d'urgence, "n’a pas réussi à éviter la collision et a violemment percuté l’arrière de la première voiture, la projetant à plusieurs dizaines de mètres", écrit la police cantonale vaudoise lundi dans un communiqué.
L'accident a eu lieu vers 20h20. L'autoroute a été fermée jusqu'au dimanche à 03h00 du matin pour les besoins de l'enquête et l'évacuation des voitures.
Une motion pour protéger les mineurs des réseaux sociaux a été déposée par plusieurs élus de tous bords politiques. KEYSTONE-DPA (ALICIA WINDZIO)
Une motion pour protéger les mineurs des réseaux sociaux a été déposée la semaine dernière par plusieurs élus de tous bords politiques. Un jeune de 16 ans, accro à son téléphone a accepté de donner son témoignage. Il peut passer jusqu'à 45 heures par semaine sur son smartphone.
Faut-il une loi pour mieux protéger les jeunes des réseaux sociaux?
En tout cas, des députés de tous bords politiques veulent lancer le débat en Suisse. Le bureau de la Commission interparlementaire de contrôle de la Convention scolaire romande a décidé de déposer un texte en ce sens dans les sept parlements cantonaux de Suisse romande dont Vaud et Genève. Cette initiative arrive après que l'Australie ait récemment interdit les réseaux sociaux pour les moins de 16 ans.
Illustration avec Rafael, 16 ans. Ce jeune romand peut passer entre 7h et 9h le nez sur son écran chaque jour:
Rafael, 16 ans
Un adolescent qui passe jusqu'à 8h par jour sur son téléphone
Rafael, 16 ansUn adolescent qui passe jusqu'à 8h par jour sur son téléphone
Rafael, 16 ansUn adolescent qui passe jusqu'à 8h par jour sur son téléphone
Une consommation qui interpelle son entourage, en particulier ses amis:
Rafael, 16 ans
Un adolescent qui passe jusqu'à 8h par jour sur son téléphone
Rafael, 16 ansUn adolescent qui passe jusqu'à 8h par jour sur son téléphone
Rafael, 16 ansUn adolescent qui passe jusqu'à 8h par jour sur son téléphone
Pour Rafael, l'idée que les politiques s'intéressent à cette question de protéger les plus jeunes des réseaux sociaux est une bonne chose:
Rafael, 16 ans
Un adolescent qui passe jusqu'à 8h par jour sur son téléphone
Rafael, 16 ansUn adolescent qui passe jusqu'à 8h par jour sur son téléphone
Rafael, 16 ansUn adolescent qui passe jusqu'à 8h par jour sur son téléphone
Car ce sont les effets néfastes des réseaux sociaux qui sont visés par cette initiative. Selon certaines études, l’impact sur le moral des jeunes peut être dévastateur. Sans en arriver à ce point, Rafael en a bien conscience:
Rafael, 16 ans
Un adolescent qui passe jusqu'à 8h par jour sur son téléphone
Rafael, 16 ansUn adolescent qui passe jusqu'à 8h par jour sur son téléphone
Rafael, 16 ansUn adolescent qui passe jusqu'à 8h par jour sur son téléphone
Le budget de la commune de Renens présente un excédent de charges de 6,86 millions de francs, après prélèvement de 1,5 million dans un fonds de réserve. La marge d'autofinancement s'élevant à 148'500 francs, la Municipalité devra recourir à l'emprunt pour financer des investissements à hauteur de 48 millions.
Dans un contexte inflationniste, la Municipalité va poursuivre en 2025 une "politique budgétaire rigoureuse tout en garantissant le maintien et le développement des prestations proposées à la population", écrit-elle lundi dans un communiqué.
Concernant les charges monétaires des biens, services et marchandises, il a été tenu compte de la manifestation "Festimixx" et de nouvelles charges faisant suite à l’acceptation de divers préavis (entre autres, l’instauration d’un Conseil des jeunes et la nouvelle politique pour l’activité physique et sportive).
Pas directement sous le contrôle de la Municipalité, les charges liées à la Police de l’Ouest lausannois sont en hausse de près de 500'000 francs, tout comme les charges liées à la station d’épuration des eaux usées. Une bonne partie de ces augmentations est compensée par une diminution de charges liées au trafic régional et urbain de près de 700'000 francs.
Investissements pas freinés
Au vu de la faible marge d’autofinancement attendue en 2025, de nouveaux emprunts seront donc nécessaires pour financer les investissements à venir. La Municipalité n’entend pas pour autant les freiner.
Estimés à 47,7 millions (subventions et participations de tiers déduites), ces projets sont d'importance cantonale (bus à haut niveau de service) et communale (réfection et rénovation du stade du Censuy, de la salle de spectacles, du site scolaire Verdeaux-Pépinières-Saugiaz et du réseau d’évacuation et d’épuration des eaux).
Dans les années à venir, la nouvelle péréquation intercommunale vaudoise (NPIV) nécessitera par ailleurs un suivi rigoureux, avertit la Municipalité. En effet, elle est incontestablement défavorable pour les communes à faible capacité financière qui devront dorénavant participer aux factures cantonales en francs par habitant alors que seule une partie des revenus fiscaux sera compensée par la redistribution des ressources.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
La traditionnelle mise aux enchères des vins de Lausanne se déroulera pour la 222e fois samedi prochain à l'Hôtel de Ville. Le fruit des vendanges 2024 des cinq domaines communaux sera proposé à la vente en primeur en lots de 24 à 120 bouteilles. Ils seront disponibles dès le début du mois de mai 2025. La mise est ouverte au public.
Nouveau cette année, les volumes ont été augmentés vu le succès remporté l'an passé, indique la Ville dans un communiqué. Une nouvelle collerette exclusive identifiera l'ensemble des vins achetés en primeur le jour de l'enchère, ajoute-t-elle.
Tout achat permettra d'accéder au rang de Gardienne ou Gardien de la Mise pendant une année et de bénéficier d'événements viticoles exclusifs. L'événement est inscrit au patrimoine immatériel vaudois depuis 2014 et labellisé Lausanne à Table.
Fondée sur l'arrêté du 17 novembre 1803 du Petit Conseil du Canton de Vaud permettant à tous les citoyens de miser les produits des biens communaux, la mise aux enchères publiques des vins de Lausanne est le plus ancien événement de ce type en Europe. Témoins de cette tradition vivante, les premières étiquettes millésimées connues à ce jour datent de 1884.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats