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Suisse Romande

La police de Lausanne accueillera les victimes dans un lieu neutre

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Albane Bruigom, cheffe de l'Unité spécialisée pour les victimes de violence de la police de Lausanne, présente le local d'audition du nouvel espace ouvert lundi. Les pièces se veulent conviviales afin que les personnes concernées se sentent en confiance. (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Plantes vertes, canapés, photos aux murs: la police de Lausanne a ouvert un espace pour accueillir avec "bienveillance" les victimes de violence. Les effectifs d'agents spécialement formés aux problématiques des violences domestiques et interpersonnelles sont étoffés.

"Nous sortons du stéréotype du local d'audition type", a déclaré lundi lors de la visite des lieux Albane Bruigom, cheffe de l'Unité spécialisée pour les victimes de violence, créée l'an dernier. La police ne souhaite pas rendre l'emplacement public, par souci de discrétion. L'objectif est que les victimes se sentent suffisamment "à l'aise" pour s'exprimer et éventuellement, déposer plainte, ce qui sera possible directement sur place.

"Bon nombre de victimes ne se présentent pas dans les postes de police" traditionnels, a expliqué le commandant de la police municipale Olivier Botteron. Seuls 10% le font, dit-il. "Il s'agit d'une épreuve en plus. Ce n'est pas toujours adapté. L'environnement est souvent froid, la discrétion pas forcément de mise. D'autres personnes attendent leur tour pour porter plainte. D'où l'importance de ces locaux neutres, qui favorisent le dialogue et la confiance."

L'accueil des victimes se fera sur rendez-vous, après un premier contact avec la police. Il peut s'agir de personnes violentées dans le cadre familial ou agressées dans la rue en raison de leur genre, de leur orientation sexuelle ou de leur appartenance ethnique ou religieuse. L'espace n'est pas réservé aux femmes, mais ouvert à tous. "Toutes les classes sociales et tous les âges sont concernés", a rappelé le municipal de la Sécurité Pierre-Antoine Hildbrand.

Ne rien louper

Une "grille d'évaluation" a été développée pour "standardiser les procédures" et s'assurer de ne pas passer à côté d'éléments que les victimes peineraient peut-être à évoquer d'elles-mêmes, a détaillé Olivier Botteron. Des questions types ont été élaborées. Exemples: "Craignez-vous que vos enfants puissent être enlevés?" "Subissez-vous des tentatives de contrôle de ce que vous faites?" "Disposez-vous librement de votre argent et de vos papiers?"

Seize policiers supplémentaires rejoindront dans le courant de l'année l'Unité pour les victimes de violence, qui en comptait jusqu'ici une dizaine. Ils sont principalement issus de police secours. Ils suivront une formation spécifique. "Pousser à spécialiser ces policiers dans ces champs de compétence, c'est aussi un respect à l'endroit de la victime, qui attend une véritable prise en charge et de la bienveillance", a souligné Olivier Botteron.

Campagne de prévention

Une campagne de prévention sera lancée durant le deuxième semestre de cette année. Le but sera de faire connaître l'existence de ce nouveau lieu et de dire "stop à toute forme de violence, que ce soit dans l'espace public ou dans le contexte intrafamilial", mais aussi "stop au harcèlement de rue", a précisé le commandant.

Le coût de ces différentes mesures n'a pas été communiqué. Elles seront financées via le budget ordinaire de la police.

En 2021, 820 cas de violences domestiques ont été enregistrés à Lausanne, selon les autorités. Ce chiffre est assez stable sur les trois dernières années: il était de 803 en 2019 et de 832 en 2020. Les victimes peuvent s'adresser à différentes structures d'aide existant dans la capitale vaudoise, à l'image du centre LAVI ou de Malley Prairie. L'Unité spécialisée de la police collabore avec ces dernières.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Mobilité

Ouest lausannois: oui aux crédits pour la deuxième étape du tramway

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Le Grand Conseil vaudois a donné son aval à un crédit de près de 200 millions pour le prolongement de la ligne du tramway lausannois jusqu'à Villars-Ste-Croix (archives). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

La deuxième étape du tramway t1 entre la gare de Renens et Villars-Ste-Croix est sur les rails. Le Grand Conseil vaudois a donné mardi à l'unanimité son aval à plusieurs crédits pour le prolongement de la ligne. Montant total accordé: 198 millions de francs.

Les groupes politiques ont salué un projet qui s'inscrit dans la suite de la première étape du tramway t1 entre la place de l'Europe à Lausanne et la gare de Renens et dont les travaux devraient s'achever en 2026. Au total 13 millions de passagers y sont attendus dès la première année, a relevé le PLR Pierre-Alain Favrod.

Il s'agit de la mesure la plus importante du Projet d'agglomération Lausanne-Morges (PALM) 2012, de la pièce maîtresse de la mobilité de l'Ouest lausannois, a déclaré le socialiste Vincent Jacques (PS). Une subvention de 73 millions est attendue de la Confédération. Question mobilité, 270 personnes seront accueillies dans les rames, soit le double de capacité d'un bus articulé, s'est-il réjoui.

Communes derrière le projet

Sa collègue de parti la députée Patricia Spack Isenrich, syndique de Bussigny, s'est dite ravie que le plénum arrive à ce vote au vu de la densification en cours dans l'Ouest lausannois et de la saturation des routes. Elle a salué une stratégie de mobilité multimodale proposant une réelle alternative. Elle s'exprimait également au nom des cinq communes concernées qui ont une grande attente envers ce tramway et qui ont accepté les crédits y relatifs.

Egalement favorable au prolongement du tram, le Vert'libéral Aurélien Demaurex a cependant pointé le manque de parkings d'échange au bout de la ligne. "Ils sont importants, il faut que les personnes venant de la campagne puissent déposer leur voiture", a-t-il relevé.

Les Verts soutiennent bien évidemment un projet d'extension en faveur du report modal, a souligné Oleg Gafner. Il a espéré que les bouchons des bus se résorbent, que ce petit tronçon en zone mixte en cohabitation avec les voitures fonctionnera et que les rames arriveront dans les temps.

Pour le PLR Michael Wyssa, il est impératif de minimiser les désagréments pour la population et de laisser tous les modes de transport circuler. Il a adressé une demande en ce sens au Conseil d'Etat.

Retard pour les rames

Les articles du projet de décret n'ont suscité aucune remarque ou opposition. Lors du deuxième débat et du vote final, le projet a été accepté à l'unanimité des 107 députés présents.

La conseillère d'Etat en charge de la mobilité Nuria Gorrite s'est réjouie de cette belle unanimité en faveur du développement et de la transformation urbaine de l'Ouest lausannois. Selon elle, ce deuxième tronçon de 3,1 km qui desservira un environnement plus industriel et économique se déroulera plus rapidement que le premier, grâce aux expériences acquises et à un nombre d'opposition moins important.

Rappelant le fait que l’entreprise Stadler Bussnang a remporté l’appel d'offres pour produire les véhicules, la ministre a observé que la livraison des premières rames sera retardée à cause des tragiques inondations qui ont dévasté en octobre 2024 la région de Valence. Mais elles devraient arriver début 2026 afin d'être testées et homologuées par l'Office fédéral des transports, a-t-elle indiqué.

Divers prêts

Dans le détail, le Grand Conseil a donné son aval à un prêt conditionnellement remboursable de près de 148 millions (un mécanisme qui permet, du point de vue de celui qui finance l'infrastructure, de ne pas être soumis à la TVA), un prêt sans intérêts de près de 15 millions et une garantie d’emprunt de plus de 35 millions pour le financement de la participation de l'Etat ainsi que le préfinancement partiel de la part fédérale.

La construction est pilotée par les Transports publics lausannois (tl). Le montant total du projet se chiffre à 290,5 millions de francs, dont 260 millions pour le volet infrastructures et 30,5 millions pour celui du transport (acquisition de cinq rames). La part cantonale se monte à 62% de cette deuxième phase.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Sport

La Ville de Morges adopte une nouvelle politique sportive

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La Ville de Morges a révisé et renforcé sa politique sportive à l'horizon 2040 (archives). (© Keystone/LAURENT GILLIERON)

La Ville de Morges a présenté mardi sa nouvelle politique sportive. Elle intègre désormais l'activité physique au sens large, tout en étant plus inclusive, transversale et durable. La Ville ambitionne de créer un environnement dynamique en facilitant l'accès à la pratique pour tous, en développant des partenariats stratégiques et en dynamisant ses infrastructures.

"A travers sa nouvelle politique de l’activité physique et du sport, la Ville de Morges s’engage à promouvoir le bien-être, la santé et l’épanouissement de la population dans son ensemble. Dans une société où la sédentarité est devenue un enjeu de santé publique, cette démarche vise à faire de Morges une ville propice au mouvement", écrit la Ville mardi dans un communiqué.

Son plan directeur Horizon 2040 s'articule autour de six objectifs stratégiques: accessibilité à la pratique, encouragement du mouvement dans l'espace public, développement et rénovation des infrastructures sportives, soutien au milieu associatif, développement de partenariats et rayonnement de la ville de Morges.

De ce plan directeur découle un plan d'actions pour 2025-2030, avec des mesures concrètes, telles que l'intention de construire une piscine couverte sur le site de Prairie-Nord, l'ajout de nouvelles salles omnisport dans les complexes scolaires, l'animation d'infrastructures en libre accès ou encore la révision des règlements de subventionnement.

Création d'un nouveau poste

En parallèle de la révision de sa politique sportive, et afin de renforcer le lien entre activité physique et santé, la Ville de Morges a conclu un partenariat avec l'Ensemble Hospitalier de la Côte (EHC), indique-t-elle aussi. "Cette collaboration vise à dépasser le simple parcours de soins pour mettre en place un véritable parcours de santé, intégrant la promotion de l'activité physique comme un levier essentiel de bien-être et de prévention".

"Première au niveau communal, ce partenariat permettra de développer des actions conjointes pour sensibiliser la population aux bienfaits du mouvement, structurer une offre adaptée aux besoins de toute la population et favoriser l'émergence de projets innovants", ajoute-t-elle.

Afin de mettre en oeuvre les actions définies et atteindre les objectifs fixés, la Municipalité a décidé de soumettre au Conseil communal la création d'un poste de chargé de projet Activités physiques et sport populaire.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Environnement

Régulation du loup: PLR et UDC exigent un signal fort

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L'attaque il y a deux semaines à Valeyres-sous-Rances, au-dessus d'Orbe, a rebondi mardi au Grand Conseil vaudois (archives). (© Keystone/CYRIL ZINGARO)

Après les récentes attaques du loup contre des brebis dans le Nord vaudois, le sujet a sans surprise rebondi mardi au Grand Conseil vaudois. PLR et UDC sont passés à l'offensive avec une résolution et une interpellation demandant au Conseil d'Etat d'agir au plus vite.

Les deux partis politiques réagissaient à la double attaque contre un troupeau à Valeyres-sous-Rances, au-dessus d'Orbe, ces deux dernières semaines, tuant au moins douze brebis au total. C'est le député UDC José Durussel qui s'est fait le porte-voix de la résolution.

Le texte, non contraignant, demande au Conseil d'Etat de soutenir des démarches au niveau fédéral et appelle le canton à utiliser immédiatement toute la marge de manoeuvre offerte par la législation fédérale actuelle en matière de régulation réactive, de protection des troupeaux et de soutien aux éleveurs.

Au niveau fédéral, une motion portée par le conseiller aux Etats Pascal Broulis (PLR/VD) et le conseiller national Sylvain Freymond (UDC/VD) sera prochainement déposée. Elle demande au Conseil fédéral de modifier l'ordonnance sur la chasse (OChP) afin de permettre la régulation des loups problématiques, y compris ceux issus d'une meute, et d'étendre les possibilités de régulation réactive.

Situation "inacceptable"

Il est "inacceptable" pour les éleveurs d'attendre jusqu'au 1er juin avant tout nouveau tir de régulation, a affirmé M. Durussel. A droite, plusieurs députés ont surenchéri, exigeant des mesures plus rapides lors d'événements dramatiques. Les mesures actuelles sont insuffisantes, selon l'UDC Philippe Jobin. La droite veut aussi un signal fort et solidaire envers les paysans touchés. "Du soutien et de l'action", a résumé la PLR Florence Gross.

A gauche, on estime que le gouvernement a pris ses responsabilités et a déjà beaucoup investi dans les tirs de régulation. Il faut des solutions nuancées à ce problème complexe, ont rappelé certains élus. "Tuer n'est pas résoudre, c'est déplacer le problème", a lancé la Verte Martine Gerber. "Il faut arrêter de traiter un problème cancéreux avec de l'homéopathie", a rétorqué l'élu PLR Pierre-François Mottier.

"Je partage et comprends" la colère

De son côté, le ministre en charge du dossier du loup, Vassilis Venizelos, a rappelé que tout tir de régulation du loup dans le canton de Vaud était exclu avant le 1er juin. "Le droit fédéral interdit les régulations lors de la période de reproduction. Il n'y a aucune marge de manoeuvre dans ce cadre strict", a-t-il martelé, soulignant que les récentes attaques étaient le fait d'au moins un loup faisant partie d'une meute de trois loups.

"Je partage et je comprends la colère et l'émotion suscitée par ces attaques. C'est un choc émotionnel important ainsi qu'une perte économique importante (...) Mais l'Etat n'est pas resté les bras croisés, l'Etat n'a pas fermé les yeux", a affirmé le ministre vert. Des gardes-faune ont été mobilisés et, a-t-il ajouté, quelque 70 chasseurs oeuvrent en tant qu'auxiliaires des gardes-faune dans les actions d'effarouchement et de régulation.

Au final, la résolution a été acceptée par 77 députés, contre 52 non et sept abstentions.

A noter que le député PLR Olivier Petermann a déposé, toujours au nom des deux partis de droite, une interpellation demandant au gouvernement de s'expliquer notamment au sujet des délais de traitement des tests ADN pratiqués pour déterminer les auteurs d'une attaque. Le texte souhaite aussi savoir quelles solutions le Canton peut proposer aux éleveurs concernés par les attaques survenues entre la mi-avril et le 1er juin.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse Romande

Elisabeth Baume-Schneider visite un centre médical à Crissier (VD)

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La conseillère fédérale Elisabeth Baume-Schneider (au centre) a visité mardi le centre médical "Nord-Sud" de Crissier (VD), appartenant à l'Ensemble hospitalier de la Côte (EHC). (© Keystone/LAURENT GILLIERON)

La conseillère fédérale Elisabeth Baume-Schneider a visité mardi le centre médical "Nord-Sud" de Crissier (VD). Le site, qui appartient à l'Ensemble hospitalier de la Côte (EHC), a présenté son organisation en réseau de soins intégrés et ses projets novateurs.

L'offre de l'EHC fait partie des 20 projets innovants retenus par l'Office fédéral de la santé publique (OFSP) dans le cadre de l'Agenda soins de base. Lancé l'automne dernier par la ministre de la santé, cet agenda vise notamment à trouver des pistes face à la pénurie de soignants et à établir une liste de "bonnes pratiques", indique l'EHC dans son communiqué.

Outre l'OFSP, l'hôpital vaudois souligne qu'il a été sélectionné pour participer à une étude européenne impliquant les Pays-Bas, l'Espagne, l'Irlande et la Suisse. Ce projet soutient des initiatives visant à "rapprocher les soins des patients tout en améliorant leur qualité et en réduisant les coûts", explique-t-il.

Modèle de capitation

En recevant Elisabeth Baume-Schneider, l'EHC a aussi souhaité mettre en lumière le modèle de "capitation". Dans ce système, les médecins ne sont pas rémunérés en fonction du nombre d'interventions effectuées, mais reçoivent un forfait annuel par patient pris en charge. L'EHC espère ainsi encourager la prévention et limiter les coûts de la santé.

Parmi ses autres projets "novateurs", l'EHC a rappelé qu'il avait conclu un accord avec l'assureur CSS pour renforcer la coordination des soins. Cette initiative, pionnière en Suisse, intègre notamment un accompagnement personnalisé des patients complexes et un dossier du patient numérique unique.

Pôle de santé

L'EHC dispose d'un hôpital de soins aigus à Morges et de 25 centres médicaux, mais aussi de trois permanences médicales, trois EMS ou encore d'un centre de réadaptation. Il emploie quelque 2050 personnes.

Le site "Nord-Sud" de Crissier a été créé en 1996 et repris en 2022 par l'EHC. Il se veut un pôle de santé pluridisciplinaire, réunissant notamment une permanence de soins, des centres de radiologie et d'oncologie ainsi qu'un pôle regroupant plusieurs spécialités médicales.

"Les avantages de la mise en réseau de la médecine hospitalière et de la médecine de ville sont au bénéfice de la population croissante de cette région", indique l'hôpital dans son communiqué.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse Romande

Un partisan irakien de l'EI reste détenu en vue de son expulsion

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A la suite de la décision du Tribunal fédéral, un islamiste irakien reste provisoirement en détention en vue de son expulsion. (archives) (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Un Irakien condamné pour soutien à l'Etat islamique reste détenu en vue de son expulsion. Le Tribunal fédéral confirme la mesure provisionnelle déposée par le Secrétariat d'Etat aux migrations afin d'éviter sa libération.

Il appartient maintenant au Tribunal fédéral d'examiner sur le fond la légalité d'une prolongation de la détention en vue de l'expulsion. La justice schaffhousoise avait estimé qu'il n'était pas admissible de poursuivre cette mesure privative de liberté qui durait depuis 6 mois déjà. L'Irakien aurait dû être libéré le 22 avril au plus tard.

Avec cette décision superprovisionnelle publiée mardi, la 2e Cour de droit public autorise le maintien de l'intéressé derrière les barreaux, conformément à la demande du Secrétariat d'Etat aux migrations (SEM). Ce dernier doit maintenant prendre position sur un courrier envoyé par l'islamiste au Tribunal fédéral. L'homme évoque une décision de reconsidération du SEM en vue de son admission provisoire.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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