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Suisse Romande

A Moudon, Eugène Burnand entre dessins et caricatures

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Un des tableaux les plus célèbres du peintre vaudois Eugène Burnand, "Taureau dans les Alpes, 1884", exposé dans la collection permanente du Musee cantonal des Beaux-Arts de Lausanne, MCBA (archives). (© Keystone/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Sous le titre "De qui se moque-t-on? Burnand caricaturé", le Musée Eugène Burnand à Moudon (VD) expose des caricatures récentes d'½uvres du peintre vaudois (1850-1921). Il met dans le même temps à l'honneur les dessins de l'artiste. A découvrir jusqu'au 27 novembre.

L'institution moudonnoise consacre plusieurs parois à des caricatures réalisées l'an dernier à son instigation et avec la collaboration de l'hebdomadaire satirique Vigousse. Cette opération s'inscrivait dans la célébration en 2021 des 100 ans de la disparition de l'artiste, expliquent lundi les responsables du musée dans un communiqué.

Montrées brièvement à la Maison du Dessin de Presse à Morges, les caricatures détournent diverses ½uvres d'Eugène Burnand. De "La Fuite de Charles le Téméraire" aux "Labours dans le Jorat", en passant par une affiche de la Croix Bleue et l'incontournable "Taureau dans les Alpes", elles sont revisitées sur le mode comique et reliées à des événements ou à des phénomènes actuels.

Dans la maison du Grand-Air abritant le musée, les dessins sont le plus souvent placés à côté des originaux qui les ont inspirés ou de copies. L'idée est de montrer quelle métamorphose les caricaturistes ont opérée pour déclencher le rire ou le sourire.

Portraits dessinés

Si le peintre vaudois ne pratiquait guère la caricature, il affectionnait en revanche le dessin, en en réalisant un nombre important. Ceux exposés jusqu'au 27 novembre sont ainsi une excellente occasion pour les voir, étant bien moins connus que ses peintures et ne figurant pas dans l'exposition permanente. Il s'agit pour l'essentiel de portraits.

Né à Moudon, Eugène Burnand était célèbre en son temps. Il a partagé sa vie entre le village vaudois et Paris. Figure de l'art naturaliste au tournant du XIXe siècle, depuis quelque peu oublié, il est connu pour ses paysages campagnards et ses scènes religieuses.

Créé en 1960, le Musée Eugène Burnand a été restauré en 1990. Il est géré par une Fondation. Une association des Amis du Musée existe aussi. L'artiste a été à l'honneur tout au long de l'année passée dans sa ville natale pour les 100 ans de sa naissance, revenant ainsi à la lumière.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Politique

Vaud: récidive pour un quart des établissements revisités en 2024

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La loi prévoit l'affichage bien en évidence de l'avis de la protection de la jeunesse rappellant que la vente de tabac aux personnes mineures est interdite et passible de sanctions. Dans 69% des points de vente visités en 2024, l'avis était bien visible, soit deux fois plus qu'en 2023 (archives). (© Keystone/CHRISTIAN BEUTLER)

A la suite de nouveaux achats-tests de tabac réalisés dans le canton de Vaud par des jeunes de 14 à 17 ans, un quart de la centaine d'établissements déjà en infraction en 2023 a récidivé une année après. Une interdiction de vente de tabac pendant un mois a été infligée aux points de vente concernés.

Lancée en mai 2023, la campagne vaudoise d'achats-tests de tabac et d'alcool doit se poursuivre jusqu'en 2026, rappelle mercredi le Canton dans un communiqué. Le personnel est responsable de s'assurer que les clients ont l'âge légal pour acheter du tabac. En cas de doute, il est tenu de demander une pièce d’identité. Dans le canton, 1600 établissements disposent d'une autorisation de vente de tabac.

L'an dernier, environ 400 points de vente avaient été testés, selon la technique du client mystère. Dans 30% des cas, les mineurs avaient pu se procurer du tabac, alors que la loi l'interdit. Analysés par Addiction Suisse, les résultats indiquaient que près de la moitié des ventes (41%) avait eu lieu par le biais de distributeurs automatiques. La loi exige que les exploitants surveillent aussi ces machines.

Punition plus sévère possible

Cette année, ce sont les points de vente qui étaient en infraction en 2023 qui ont fait l'objet d'achats-tests. Sur les 98 points de vente visités, 74,5% ont respecté l'interdiction de vente. Et dans 25,5% des cas, les jeunes ont à nouveau pu se procurer du tabac.

Les établissements récidivistes ont été dénoncés aux préfectures qui peuvent prononcer une interdiction temporaire de vente pour une durée de dix jours à six mois, indique le Canton. Les points de vente en infraction, après avoir disposé d'un droit d'être entendu, se sont vus interdire temporairement la vente de produits du tabac et autres produits assimilables pour une durée d'un mois.

En 2024, le taux de vente par le biais des appareils automatiques semble s'être réduit, pour atteindre une proportion équivalente à celui de la remise en mains propres, observe-t-on. A ce titre, la loi a été mise à jour à la suite des premiers achats-tests. Depuis le 1er juillet 2025, tous les appareils de vente de tabac devront disposer d'un système de lecteur de pièce d'identité.

Meilleur affichage

La loi prévoit l'affichage bien en évidence de l'avis de la protection de la jeunesse qui rappelle que la vente de tabac aux personnes de moins de 18 ans est interdite et passible de sanctions. Dans 69% des points de vente visités en 2024, l'avis était bien visible, soit deux fois plus qu'en 2023. Le rappel du cadre légal a ainsi permis d'améliorer le respect d’une disposition peu connue, souligne le Canton.

"Sur la base de ces résultats, des améliorations doivent encore être apportées par les points de vente pour réduire l'accessibilité des produits du tabac aux jeunes. Mais il est rassurant de voir que près de 74,5% d'entre eux ont rectifié le tir pour se mettre en conformité avec les dispositions légales", commentent les Départements de la santé et de l'économie.

"Les efforts entrepris par le milieu de la restauration ont notamment permis de réduire l'écart constaté lors de la première vague de tests entre la vente directe et celle effectuée par le biais d'appareils automatiques situés dans les établissements publics. Cette évolution positive qui dénote une prise de conscience des acteurs de la branche est saluée par le Canton", ajoute-t-on.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Politique

Cann-L à Lausanne: bilan positif des autorités après un an

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Le projet lausannois Cann-L compte 1200 participants après un an (archives). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Lancé il y a un an, le projet-pilote de vente régulée de cannabis Cann-L compte désormais 1200 participants à Lausanne. Selon un bilan des autorités, les premiers résultats sont positifs et encourageants en terme de réduction des risques.

"Après une année, nous touchons 1200 personnes qui consomment désormais des produits contrôlés et qui bénéficient de conseils sur leur consommation. Au mois de novembre, plus de 10 kg de cannabis ont été vendus, soit déjà près de 15% du volume consommé à Lausanne", se réjouit Emilie Moeschler, municipale en charge des sports et de la cohésion sociale, citée mercredi dans un communiqué de la Ville de Lausanne.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Politique

La droite fait passer une baisse d'impôt de 7% d'ici 2027

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La conseillère d'Etat Christelle Luisier a défendu mardi, au nom du gouvernement, l'amendement UDC sur une baisse plus importante de l'impôt cantonal sur le revenu à l'horizon 2027 (archives). (© Keystone/CYRIL ZINGARO)

Petit coup de théâtre mardi au Grand Conseil vaudois: la droite a réussi à faire passer une baisse d'impôt cantonal sur le revenu de 7% au lieu des 5% prévus d'ici 2027. Un amendement de l'UDC, appuyé par le PLR et même soutenu par le Conseil d'Etat, a été accepté à neuf voix près lors du deuxième débat. Un troisième débat sera nécessaire.

Une courte majorité de députés s'est donc écartée de la feuille de route initiale du gouvernement, soit son "Plan pouvoir d'achat" présenté en septembre et accepté mardi dernier en premier débat. Ce paquet - visant à contrer l'initiative des milieux économiques qui réclament une baisse d'impôts de 12% - prévoyait de porter le montant cumulé de la réduction de l'impôt à 5% d'ici la fin de la législature, en procédant à des baisses échelonnées dans le temps.

Après la baisse de 3,5% entrée en vigueur cette année, des réductions annuelles de 0,5% étaient prévues jusqu'au terme de la législature en 2027, soit 5% au total. La diminution supplémentaire de 0,5% pour 2025, soit 4% au total, représente un coût de 15 millions de francs, mais sans impact pour les communes.

Les baisses pour 2026 et 2027 auraient été appliquées sous réserve de la situation financière de l'Etat, donc pas ancrées en tant que telles dans le projet de loi. Alors que le coût de l'initiative dite des "12%" est évalué à plus de 500 millions de francs par année pour les caisses de l'Etat, le plan gouvernemental, lui, coûterait 270 millions pour les trois prochaines années.

Alliance UDC-PLR

Dans l'hémicycle, seule l'UDC soutient l'initiative 12% et c'est assez logiquement que son chef de groupe Cédric Weissert avait déposé la semaine dernière un amendement réclamant une baisse immédiate de 9% de l'impôt cantonal sur le revenu, puis de 0,5% les deux années suivantes pour atteindre un total de 10%. Il avait été nettement balayé, également par une grande partie du PLR.

L'UDC est revenu à la charge mardi en deuxième débat, mais avec une solution intermédiaire, discutée en coulisses avec le PLR. Il s'agit de fixer une baisse de 1% en 2026 et de 2% en 2027 pour arriver à une diminution totale de 7% à la fin de la législature actuelle, a expliqué le même Cédric Weissert. Et cette fois-ci, il a été aussitôt soutenu par la voix du chef du groupe PLR Nicolas Suter.

Gauche radicale et Vert-e-s outrés

C'est à gauche, et surtout du côté d'Ensemble à Gauche & POP (EP) et des Vert-e-s, que les réactions ont été, au contraire, les plus outrées face à cet amendement "surprise". "Une surenchère" par rapport à l'initiative dite des 12%, ont dit certains, qui "ne profitera qu'aux plus aisés", ont dit d'autres. "Un danger" pour les prestations publiques, ont insisté plusieurs élus de gauche.

Alors que les conseillères d'Etat Christelle Luisier et Valérie Dittli ont dit soutenir ce "compromis (...) démocratique, fruit d'un dialogue positif", le député de la gauche radicale Hadrien Buclin a vivement réagi. "Les seuls acteurs avec qui vous avez discuté, ce sont les organisations patronales. C'est un compromis entre la droite et la droite. C'est un virage très à droite de la politique fiscale", a-t-il critiqué.

"Il s'agit d'une forme de plaisanterie, un manque de rigueur politique de la part du Conseil d'Etat. Avec un tel amendement, on fait le lit de l'initiative des 12%", a enchaîné l'écologiste Didier Lohri.

Plusieurs abstentions socialistes

Au vote, la droite a pratiquement voté en bloc avec 68 oui, contre 59 non (PS, Vert-e-s, EP et une grande partie des Vert'libéraux), ainsi que quatorze abstentions, dont de nombreuses dans le camp socialiste, dont le silence et l'absentéisme avait été raillé par la gauche radicale lors des discussions. Un troisième débat sera nécessaire, sans doute mardi prochain.

Pour rappel, les élus avaient aussi écarté en premier débat un amendement du PLR qui demandait à ancrer dans le projet de loi les baisses supplémentaires pour 2026 et 2027, soit les deux fois 0,5%. Ils avaient préféré garder la cautèle prévue par le Conseil d'Etat, indiquant l'introduction du taux de 5% final si tant est que l'évolution des finances publiques le permette.

Mardi, la cautèle a clairement sauté et avec des baisses plus importantes.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Politique

Le contre-projet "politique du sport" transmis au Grand Conseil

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Le Conseil d'Etat a transmis son contre-projet à l'initiative populaire "Pour une politique sportive vaudoise ambitieuse" lancée par les députés PLR Sergei Aschawanden (en photo) et PS Sébastien Cala (archives). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Le Conseil d'Etat vaudois a transmis mardi au Grand Conseil son contre-projet à l’initiative populaire "Pour une politique sportive vaudoise ambitieuse!". Le texte propose "une approche équilibrée visant à renforcer le sport dans tout le canton".

Issu du premier Concept cantonal du sport et de l'activité physique, le document a été ajusté en fonction des retours de la consultation publique ouverte de fin juin à fin août dernier, écrit le gouvernement vaudois mardi dans un communiqué. Ni l'esprit du projet ni les moyens financiers n'ont été modifiés, souligne-t-il.

Concrètement, le projet du gouvernement vise à soutenir les politiques sportives transversales comme la santé, l'inclusion ou l'intégrité, le sport populaire et associatif, l'éducation physique, sport scolaire et parascolaire, le sport international, l'économie et la recherche, le sport d’élite et la promotion de la relève. Sans oublier les infrastructures sportives et espaces pour le mouvement.

National et régional

Parmi les changements apportés, le contre-projet intègre désormais le soutien à l'organisation de championnats suisses sur sol vaudois, alors qu'il était initialement focalisé sur les manifestations internationales. La mesure vise à renforcer l'attractivité du canton comme hôte d'événements sportifs nationaux.

Par ailleurs, il prévoyait un soutien exclusivement pour les centres nationaux de performance (CNP). Sa version finale inclut également les centres régionaux de performance.

Enfin, les plafonds et les taux de subventionnement ont été adaptés pour répondre de manière plus ciblée aux besoins des collectivités locales et du tissu associatif vaudois. Les deux crédits-cadres, d'un montant total de 150 millions de francs sur six ans, subventionneront ainsi jusqu'à 35% de la construction d'infrastructures sportives à vocation régionale.

Votation d'ici septembre 2025

Les 36 mesures proposées dans le cadre du contre-projet représentent une augmentation des charges de fonctionnement au bénéfice du sport, de l'activité physique et du mouvement de près de 36 millions par année, précise le communiqué. Viennent s'y ajouter celles liées aux investissements sous forme des deux crédits-cadres de 150 millions.

Ces montants combinés aux engagements financiers de l'Etat (budget actuel et subventions), portent le financement total annuel du sport vaudois à plus de 72 millions. Sous réserve de son approbation par le Grand Conseil, le contre-projet du Conseil d'Etat pourrait être soumis à votation populaire d'ici septembre 2025.

L'initiative populaire "Pour une politique sportive vaudoise ambitieuse!", portée par les députés Sergei Aschwanden (PLR) et Sébastien Cala (PS), avait abouti en août en 2022. Elle avait récolté 24'000 signatures, deux fois plus que le minimum requis. Elle réclame que le canton consacre au minimum 100 millions par an au sport sous toutes ses formes.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Politique

Archives de la Veille des femmes déposées aux archives cantonales

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La médecin lausannoise Yvette Barbier (à gauche) et la photographe Hélène Tobler (à droite) de l'association de "La Veille des femmes", en mars 2004, dans la caravane près du Palais fédéral à Berne (archives). (© Keystone/JUERG MUELLER)

Les Archives cantonales vaudoises accueillent officiellement les archives de la Veille des femmes, manifestation de femmes campant sous les fenêtres des parlementaires à Berne durant 278 jours en 2004. Elles sont aussi mises en ligne à cette occasion et les documents sont consultables en salle de lecture des Archives cantonales.

Les Archives vaudoises sont "reconnaissantes que cette donation enrichisse l'histoire des femmes de Suisse et forment le voeu qu'à travers elles, 'ce mouvement, même s'il est terminé en tant que tel, continue son chemin souterrainement' ou du moins, autrement", écrivent-elles dans un communiqué publié mardi.

Il y a 21 ans, le 10 décembre 2003, la conseillère fédérale Ruth Metzler, élue au Conseil fédéral en 1999, se faisait exclure du Conseil fédéral au profit de Christoph Blocher. Quelques mois avant, les élections fédérales avaient porté 54 femmes et 182 hommes aux Chambres fédérales. Loin, trop loin de la parité pour les femmes.

Celles-ci sont en colère, indignées que les parlementaires aient choisi de ne réélire au Conseil fédéral qu'une seule femme, Micheline Calmy-Rey. Le 13 décembre 2003, elles sont des milliers à manifester à Berne. L'élan de cette journée retombe peu à peu, mais les associations féministes préparent la suite. Elles se retrouvent à Berne pour la Journée internationale des femmes, le 8 mars 2004.

Photographies et livre d'or

Dans l'intervalle, Yvette Barbier, médecin lausannoise, a eu une idée: estimant qu'une nouvelle journée de manifestation ne suffit pas, elle propose de "camper sous les fenêtres des parlementaires pendant des mois, pour signifier que rien n'est résolu".

Avec l'aide de sa belle-s½ur Marie Perny, du cirque Stellina qui met gratuitement une caravane à disposition, de la Bernoise Brigitte Kürsteiner et de la jeune Zurichoise Sibylle Grosjean, une veille s'organise. Elle commence le 8 mars 2004 et dure jusqu'au 10 décembre 2004, soit 278 jours durant lesquels se succèdent des femmes de tout le pays, de tous les bords politiques, de toutes les générations, rappellent les Archives cantonales.

Tout ceci a été documenté. L'association de "La Veille des femmes" est officiellement créée le 17 février 2004. La photographe Hélène Tobler est présente sur toute la durée de la veille et réalise un "manifeste photographique pour la cause des femmes". Les veilleuses, elles, écrivent jour après jour dans le livre d'or de la veille, partageant leurs réflexions, leurs expériences et leurs espoirs.

C'est toute cette riche documentation qui repose désormais à Lausanne aux Archives cantonales vaudoises.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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