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Revue de presse de ce dimanche 18 novembre 2018

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L'Uranaise Heidi Z'graggen (PDC) fait sa campagne dans la course au Conseil fédéral dans la presse dominicale pour mieux se faire connaître. (©KEYSTONE/PETER KLAUNZER)

La double élection au Conseil fédéral du 5 décembre, mais aussi les notes de frais des fonctionnaires fédéraux et l'affaire Maudet font les titres de la presse dominicale suisse:

Le Matin Dimanche/NZZ am Sonntag/SonntagsZeitung/Zentralschweiz am Sonntag/Ostschweiz am Sonntag/SonntagsBlick: La conseillère d'Etat uranaise, Heidi Z'graggen, désignée candidate officielle du PDC pour succéder à Doris Leuthard au Conseil fédéral aux côtés de la conseillère nationale Viola Amherd (VS), a lancé son offensive médiatique dans la presse dominicale. Beaucoup moins connue au Parlement fédéral que sa rivale haut-valaisanne, elle a donné des interviews à la NZZ am Sonntag, la SonntagsZeitung, le SonntagsBlick, Zentralschweiz am Sonntag et Ostschweiz am Sonntag. Se présentant comme une femme d'affaires, Mme Z'graggen accorde en même temps beaucoup d'importance à la protection de la nature et du paysage. Elle se montre critique sur le projet d'accord-cadre entre la Suisse et l'Union européenne et rejette le pacte de l'ONU sur les migrations.

Au plan sociétal, elle se dit favorable "au mariage pour tous". "Je ne suis pas attachée à la conception classique gauche-droite, mais à la solution", explique l'enseignante et politologue de formation, âgée de 52 ans. La ministre uranaise est considérée comme une politicienne plutôt à droite de l'échiquier politique, contrairement à Mme Amherd, plutôt marquée à gauche. Cent vingt-quatre voix sont nécessaires pour être élu. L'UDC et le PLR disposent de 120 voix à l'Assemblée nationale.

Pour Le Matin Dimanche, la course au Conseil fédéral fait bâiller d'ennui, même si quatre candidats sont officiellement en lice après les départs annoncés de Mme Leuthard et du PLR Johann Schneider-Ammann. Le conseiller national Yves Nidegger (UDC/GE) explique dans le journal que ce manque de frisson incombe aux partis. "Au PLR, c'est l'absence de concurrence pour (la présidente du Conseil des Etats, ndlr) Karin Keller-Sutter qui crée l'ennui et, du côté du PDC, c'est l'absence de candidats".

Dick Marty allume Pierre Maudet

SonntagsBlick: Les notes de frais des fonctionnaires fédéraux ont atteint 121,7 millions de francs l'an dernier, selon une enquête du journal. Il s'agit de frais de voyage, de repas, d'hébergement et de représentation. En tenant compte des 34'800 postes à plein temps que comptait l'administration fédérale en 2016, les dépenses se montent à presque 3500 francs par fonctionnaire. Les plus dépensiers se trouvent au Département fédéral de la défense (DDPS), avec une facture de 45,18 millions de francs. Suivent le Département fédéral des affaires étrangères (DFAE), avec 29,6 millions de francs, et le Département fédéral des finances (DFF), avec 18,6 millions. Les diplomates du DFAE et les représentants du Département fédéral de l'économie figurent parmi les employés fédéraux qui ont réalisé le plus de voyages, de missions économiques ou participé à des conférences internationales ou encore à des négociations.

Le Matin Dimanche: Le mensonge "effronté" du conseiller d'Etat genevois Pierre Maudet sur son voyage controversé à Abou Dhabi n'est pas pardonnable, relève l'ancien conseiller aux Etats Dick Marty (PLR/TI) dans Le Matin Dimanche. "S'il avait tout de suite (...) avoué qu'il avait commis une immense bêtise en assistant à ce grand prix de Formule 1 aux frais de quelqu'un qui a des intérêts dans le canton, ses électeurs, considérant ses qualités, lui auraient pardonné sa faute", explique l'ancien procureur du Tessin. Pierre Maudet est poursuivi pour acceptation d'un avantage. La même charge pèse à l'encontre de Patrick Baud-Lavigne, l'ancien bras droit du magistrat PLR, qui a également pris part au voyage aux Emirats arabes unis en 2015. Le directeur du service de police du commerce est pour sa part accusé d'abus d'autorité. Cette mise en prévention concerne la procédure qui a permis l'ouverture de L'Escobar, un bar lié aux promoteurs suspectés d'avoir organisé le voyage controversé du magistrat.

NZZ am Sonntag: L'ancienne procureure générale de la Confédération et du Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie (TPIY) Carla Del Ponte s'en prend vertement aux Nations unies dans la NZZ am Sonntag. "L'ONU est une grande déception pour moi", déclare la Tessinoise de 71 ans. Au cours de son travail d'enquêtrice spéciale en Syrie, elle a constaté que l'organisation, "un salon de bavardage", parlait beaucoup. "Il y a aussi beaucoup de fonctionnaires, beaucoup trop. Seuls quelques-uns travaillent vraiment", lance-t-elle, appelant à réformer l'ONU. Elle dresse un tableau tout aussi sombre de la justice internationale. "Nous sommes tombés très bas. Les droits de l'homme ne s'appliquent plus", remarque-t-elle. Elle estime cependant qu'il faut continuer à la soutenir. "Nous devons croire qu'un tribunal international indépendant peut rendre justice", dit-elle. Mme Del Ponte était la procureure en chef de l'ONU au TPIY et au TPI pour le Rwanda. Plus récemment, en 2012, elle s'est rendue en Syrie en tant qu'enquêtrice spéciale de l'ONU. En 2017, elle a démissionné de son poste pour protester contre l'inaction du Conseil de sécurité.

Taux d'intérêt négatifs

Le Matin Dimanche: Les taux d'intérêt négatifs vont perdurer en Suisse, avertit dans le journal dominical Andréa Maechler, la vice-président de la Banque nationale suisse (BNS). La banque centrale suisse "ne chôme pas" actuellement, poursuit Mme Maechler, qui note que le franc suisse a retrouvé ces derniers mois son rôle de valeur-refuge. La BNS "se bat contre le renchérissement du franc nourri par les incertitudes liées à la situation italienne et l'accord trouvé entre Bruxelles et la Grande-Bretagne sur le Brexit, qui semble fragile". La vice-présidente de la BNS pointe également du doigt les tensions commerciales entre la Chine et les Etats-Unis. "Dans le contexte actuel, le taux d'intérêt négatif reste indispensable pour la Suisse", ajoute-t-elle.

NZZ am Sonntag: Le secteur bancaire n'est plus le plus attractif en Suisse en matière de salaires, rapporte la NZZ am Sonntag, qui se réfère à des données inédites de l'enquête de la Confédération sur la structure des salaires en 2016. Il est désormais dépassé par le secteur pharmaceutique. En 2016, les cadres supérieurs des banques recevaient un salaire brut moyen de 220'000 francs par an, soit 40'000 francs de moins qu'il y a dix ans. Dans le secteur pharmaceutique, la rémunération atteignait 280'000 francs. Au niveau des top managers des banques, le salaire moyen est passé de 660'000 à 530'000 francs, soit un montant inférieur d'un cinquième à celui versé par les entreprises pharmaceutiques et les assurances. "Ce sont surtout les rémunérations variables et les bonus qui ont clairement diminué dans les banques", explique dans le journal le conseiller national Hans-Peter Portmann (PLR/ZH), vice-président de l'association zurichoise des banques. Pour les cadres moyens, l'Etat verse même dans certains cas des salaires plus élevés, remarque-t-il, soulignant qu'il s'agit d'une évolution saine.

Source ATS

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Economie

Le National soutient le développement du réseau routier

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Le National est d'accord de débloquer des crédits pour développer le réseau routier suisse (archives). (© KEYSTONE/MICHAEL BUHOLZER)

Le développement du réseau routier suisse doit aller de l'avant. Le National est entré en matière mardi sur les montants demandés par le Conseil fédéral pour les projets d'extension de l'étape d'aménagement 2023 et pour l'entretien des routes de 2024 à 2027.

Quelque 4 milliards de francs sont demandés pour cinq projets alémaniques. Le tronçon Wankdorf-Schönbühl (BE) doit être élargi à huit voies, contre six actuellement. Le tronçon de Schönbühl-Kirchberg (BE) doit lui passer de quatre à six voies. Les tunnels du Rosenberg (SG), du Rhin (BS/BL) et de Fäsenstaub (SH) doivent quant à eux être dédoublés.

Ces travaux doivent être réalisés d'ici 2030. L'économie et la population ont besoin de transports qui fonctionnent, autant dans les villes que dans les agglomérations ou à la campagne, a relevé le ministre des transports Albert Rösti.

La gauche et le PVL ne l'ont pas suivi. Ces derniers voulaient renvoyer le projet au gouvernement, demandant la prise en compte des objectifs de la Confédération en matière de politique environnementale, climatique et énergétique, ou au moins d'utiliser en premier lieu de manière plus efficace les capacités existantes.

Les routes nationales nécessitent par ailleurs un entretien constant et coûteux. Quelque 8,8 milliards sont demandés à cet effet pour la période 2024-2027. Ce crédit n'était pas disputé.

Le débat se poursuit.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

Les stimuli liés à l'alcool et le tabac n'ont pas disparu

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Les jeunes continuent d'être exposés, dans leur vie, à une banalisation de la consommation d'alcool et de tabac (image d'illustration). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Les jeunes âgés de 16 à 18 ans sont encore trop exposés, dans la vie de tous les jours, aux stimuli en lien avec l'alcool, les produits du tabac et les produits avec de la nicotine. Ce constat émane d'une étude menée par Addiction Suisse à la demande de la direction genevoise de la santé.

Selon cette étude, sur l'itinéraire allant de la maison à l'école, au lieu de formation ou aux activités extrascolaires, un jeune est confronté, en moyenne, à 15 stimuli liés à l'alcool ou au tabac par kilomètre. Dans l'espace numérique, les stimuli s'élèvent quotidiennement à une dizaine.

Ces résultats sont inquiétants, indique le département genevois de la sécurité, de la population et de la santé (DSPS), dans un communiqué publié mardi. Ils sont la preuve que les jeunes évoluent dans un environnement "qui banalise" l'alcool et le tabac et incite à consommer ces produits.

L'interdiction de la publicité pour l'alcool et le tabac sous forme d'affichage dans l'espace public ainsi que dans les cinémas ne couvre pas tout. Certaines formes de L'interdiction de la publicité pour l'alcool et le tabac sous forme d'affichage dans l'espace public ainsi que dans les cinémas ne couvre pas tout.

Certaines formes de visibilité échappent à la règlementation, comme des noms de marque sur des objets, par exemple des parasols ou des cendriers.

La prévention doit également tenir compte du développement d'Internet et des réseaux sociaux, qui permet une publicité ciblée. Les industries peuvent aussi sponsoriser des influenceurs et des influenceuses pour promouvoir leur marque et toucher ainsi également les moins de 18 ans, souligne le DSPS.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Economie

Aimé Pouly veut rajeunir son image

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Aimé Pouly exploite trente boulangeries, exclusivement en Suisse romande. L'enseigne genevoise n'envisage pas de franchir la Sarine pour le moment (archives). (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Le groupe de boulangeries Aimé Pouly a donné mardi le coup d'envoi de son opération de rajeunissement avec l'inauguration de son enseigne historique du quartier des Eaux-Vives à Genève. L'entreprise qui fait partie de la holding Swiss Food Group entend se concentrer sur l'activité de son réseau déjà en place et la Suisse romande.

"Notre priorité est de développer l'activité de nos boulangeries avec espace de restauration déjà existantes grâce aux travaux de rénovation", a expliqué à AWP Nicolas Boucault, directeur général de Swiss Food Group et d'Aimé Pouly, principale société de la holding.

Pour le seul site des Eaux-Vives, ouvert à la fin des années 1970 et dirigé alors par Madame Aimé Pouly, épouse du fondateur, le groupe vise une hausse du chiffre d'affaires de 20%.

"Il s'agit d'un ballon d'essai, nous procédons à des travaux plus légers dans notre boulangerie de Champel et nous comparerons les résultats en termes de fréquentation", a indiqué M. Boucault, qui reconnaît que l'enseigne souffrait d'une image quelque peu vétuste.

Aimé Pouly exploite trente boulangeries, exclusivement en Suisse romande. "Nous n'envisageons pas de franchir la Sarine pour le moment, car d'une part les habitudes culturelles y sont différentes, mais nous ferions également concurrence aux artisans qui distribuent notre produit Pain Paillasse", a expliqué le directeur général.

Prix relevés de 5%

Inflation oblige, le groupe a dû relever ses prix de 5%. "Tous les coûts ont augmenté, la farine, le beurre, l'électricité et les salaires", a énuméré M. Boucault, qui souligne cependant que les marges sont restées identiques. Quant au chiffre d'affaires, c'est un secret bien gardé. "En proportions, nous réalisons 95% du chiffre d'affaires du groupe et 90% de celui d'Aimé Pouly en Suisse", a-t-il précisé.

Pain Paillasse constitue un autre pilier de l'activité de Swiss Food Group, avec une centaine de points de vente en Suisse romande et environ 400 pour la Suisse alémanique et le Tessin. "Le principe est toujours le même, nous fournissons à l'artisan boulanger le mélange de farine et la méthode de fabrication", rappelle M. Boucault.

En Suisse, le mélange de farines est fourni par Groupe Minoteries, partenaire historique d'Aimé Pouly et historiquement investisseur de l'entreprise. Celui-ci s'est retiré financièrement mais reste un partenaire important, souligne le directeur général.

Le produit Pain Paillasse, emblématique du groupe, est désormais distribué dans 24 pays, dont plusieurs hors d'Europe: Etats-Unis, Egypte, Chili, Liban et Ouzbékistan. "Les Etats-Unis représentent environ 5% du chiffre d'affaires de Pain Paillasse, nous distribuons principalement dans la grande distribution haut de gamme", a expliqué M. Boucault, qui souligne que le potentiel y est considérable.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Genève

Une femme agressée au couteau mardi matin au Petit-Lancy

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L'agression a eu lieu sur la Place des Ormeaux au Petit-Lancy. (Capture d'écran Google Maps)

Une femme a été blessée au couteau mardi matin au Petit-Lancy. Selon les premiers éléments de l'enquête, l'auteur présumé des faits, le mari de la victime, aurait asséné à son épouse au moins un coup de couteau avant de se retrancher dans leur appartement, communique le Ministère public.

Ce mardi 30 mai 2023, en milieu de matinée, sur la place des Ormeaux, au Petit-Lancy, des passants ont porté secours à une femme blessée, qui sortait de son domicile avec son enfant, tous deux couverts de sang. Retranché dans son appartement, l'auteur présumé des faits, âgé de 36 ans, a été maitrisé après deux heures de négociation infructueuse qui ont conduit les policiers à faire usage de grenades assourdissantes, précise le communiqué ajoutant qu'aucun coup de feu n'a été tiré.

La victime a été emmenée aux HUG pour y recevoir des soins. L'enfant n'a pas été blessé. L'enquête est menée par la brigade criminelle de la police judiciaire sous la direction du procureur Walther Cimino.

Aucun autre commentaire ne sera fait par le Ministère public

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Politique

Esclandre au Grand Conseil vaudois: séance arrêtée

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La séance de mardi au Grand Conseil a été arrêtée après des attaques d'une députée de la gauche radicale contre un collègue de droite (photo d'illustration). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Les débats ont dérapé mardi devant le Grand Conseil vaudois. Une députée de la gauche radicale a accusé un collègue de droite de harcèlement sexuel. La séance a dû être arrêtée prématurément.

Les discussions, déjà tendues, portaient sur les anciens zadistes du Mormont. C'est alors qu'Elodie Lopez (Ensemble à Gauche - POP) a pris la parole pour critiquer son adversaire de droite, l'accusant de n'être lui-même pas exemplaire. Elle a évoqué des comportements inadéquats, avec des insinuations de "harcèlement sexuel".

Le principal intéressé a immédiatement réagi, parlant de "scandale", "diffamation" et "atteinte" à sa dignité. Il a exigé des excuses, sans quoi il porterait plainte pénale.

Tout aussi outrés, plusieurs de ses collègues de droite ont dénoncé une "attaque infondée" et exigé, eux aussi, des excuses de la part d'une députée qui a "dépassé la ligne rouge".

Elodie Lopez a ensuite repris la parole pour tenter d'expliquer sa position sur l'irréprochabilité des élus. Elle ne s'est toutefois pas excusée, sans pour autant réitérer ses accusations.

Séance suspendue puis arrêtée

L'incident a semé le trouble au sein du parlement et la séance a été suspendue. Les présidents de groupe et les membres du Bureau du Grand Conseil se sont entretenus durant près d'une heure.

A leur retour, la présidente du Grand Conseil Séverine Evéquoz a expliqué que rien ne pouvait être entrepris "pour l'heure" dans le cadre du Grand Conseil. Elle a invité les deux protagonistes de l'affaire à "dialoguer".

Le député pris à partie a rétorqué qu'il ne pouvait pas se satisfaire de cette situation, répétant qu'il exigeait des excuses immédiates. Dans la foulée, la plupart des députés de droite ont quitté la salle. Séverine Evéquoz n'a alors eu d'autre choix que de lever la séance.

Accusation "grave"

"C'est une accusation faite en public qui est grave et que l'on ne peut pas accepter de la sorte. Il aurait fallu l'étayer et apporter des preuves. Et il y a surtout d'autres voies pour le faire", a réagi à chaud le chef de groupe PLR Nicolas Suter, interrogé par Keystone-ATS.

"Si les propos d'Elodie Lopez ont dépassé sa pensée, si c'est un dérapage verbal, alors elle aurait dû publiquement rétracter ses propos et s'excuser", a-t-il ajouté.

Le fait que la majeure partie de la députation PLR et UDC quitte l'hémicycle en signe de protestation n'a pas été concerté entre les chefs de groupe pendant l'interruption de séances, selon lui. "C'est plus un mouvement de foule et de solidarité de la part de la droite", a-t-il indiqué. "C'est triste et ce n'est pas une bonne image que nous donnons aujourd'hui du Grand Conseil", a-t-il reconnu.

Nouvelle affaire

La semaine dernière déjà, la gauche radicale et la droite s'étaient accrochées au sujet de Mathide Marendaz, qui s'était affichée sur les réseaux sociaux avec le slogan anti-policier ACAB ("All cops are bastards", soit "tous les flics sont des bâtards" - ou "des salauds").

La députée, elle aussi issue du groupe Ensemble à gauche - POP, s'était ensuite excusée. Une plainte a toutefois été déposée à son encontre par l'Association professionnelle des gendarmes vaudois (APGV).

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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