Les caves ouvertes vaudoises reviennent samedi et dimanche prochains pour une 14e édition. Près de 250 vigneronnes et vignerons ouvriront leurs domaines à travers tout le canton.
L'événement est l'occasion de plonger au coeur des terroirs vaudois de Bonvillars, Chablais, Côtes de l'Orbe, la Côte, Lavaux ou Vully et de découvrir leurs nouveaux millésimes, indique l'Office des vins vaudois qui orchestre la manifestation.
Sur La Côte, plus de 100 vignerons participent. Vufflens-le-Château en accueillera notamment une dizaine sur la place du village avec plus de 70 vins à déguster. Le petit train des vignes reliant Morges à Vufflens ainsi que des navettes spécialement affrétées permettront aux visiteurs de se déplacer.
Dans le Chablais, les sept caves indépendantes d'Ollon ouvriront leurs portes au public. Douze producteurs se regrouperont dans le quartier historique du cloître à Aigle, où ils côtoieront boulangers et brasseurs locaux. Produits du terroir, groupes de musique, fanfare, sonneurs de cloche et cor des alpes seront également de la partie.
A Lavaux, un groupe de 70 bénévoles, les "Lavaux Angels", assumera pour la troisième année l'accueil des visiteurs aux gares de Cully, Chexbres et Grandvaux, afin de soulager les vignerons des tâches logistiques. Ils les orienteront dans les différents villages en fonction de l'affluence.
Les billets comprenant un verre de dégustation sont disponibles en ligne au prix de 40 francs, transports publics compris grâce aux cartes journalières Mobilis qui permettent de voyager dans tout le canton. Les sésames comprennent également un bon de réduction de 20 francs sur l'achat de six bouteilles en cave.
L'an dernier, la manifestation avait attiré plus de 80'000 visiteurs.
www.mescavesouvertes.ch
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Mireille LUISET
26 janvier 2018 à 2 h 40 min
Pour avoir siégé en commission des natu, le point important que j'y ai trouvé fut un contact humain direct - de simple dossier froid et administratif, le/la candidat(e) redevenait un être vivant, il/elle pouvait s'exprimer avec ses mots, ses gestes, mieux qu'en quelques lignes. Cette commission donnait un visage humain à une situation souvent stressante pour les personnes concernées - en commission, il était possible de défendre un dossier peu parlant, ou relever des problèmes (candidats injoignables, n'habitant pas ou plus en Suisse, adresses bidon etc...) Et j'avoue avoir développé des liens d'amitié par la suite avec des personnes rencontrées dans le cadre de ces démarches 😉