La première Table ronde vaudoise sur le logement a réuni lundi à Lausanne de nombreux acteurs du domaine. La rencontre a permis l'ouverture d'un dialogue durable. Des premières pistes de réflexion ont été dégagées en vue de l'élaboration d'un plan d'action de l'Etat visant à sortir le canton de la situation de pénurie d'ici la fin de la décennie.
Vaud connaît depuis plusieurs années une situation tendue sur le front du logement, avec un taux de vacance inférieur à 1,5% (1,14% en moyenne sur la période 2021-2023), rappelle le canton mardi dans un communiqué. Pour la conseillère d'Etat Christelle Luisier Brodard, inverser la situation passe par des solutions nourries d'un dialogue constructif entre les acteurs institutionnels, associatifs et économiques.
Echanges "très riches"
La première table ronde du logement a ainsi réuni à l'initiative du Département des institutions, du territoire et du sport (DITS) faîtières de communes, entrepreneurs, urbanistes, architectes, développeurs, maîtres d'ouvrage ou encore propriétaires et locataires. Ces" échanges très riches" entre l'Etat et les participants vont s'intensifier au cours des mois prochains.
L'objectif, annoncé par la cheffe du DITS, est l'établissement d'un plan d'action "logement". Son déploiement devra permettre au canton de sortir de la situation de pénurie à l'horizon 2028-2030.
"Le principe que nous lançons s'inscrit dans la continuité du plan d'action fédéral lancé en février et qui distingue les niveaux de compétences fédérale, intercantonale et cantonale. A l'échelle vaudoise, nous partageons tous une responsabilité vis-à-vis de la population de notre canton qui doit pouvoir se loger convenablement, selon ses aspirations et ses ressources", souligne la ministre, citée dans le communiqué.
Oppositions dans les communes
Revenant sur les causes du manque de logements, le canton cite le contexte de forte croissance démographique, une production d'appartements insuffisante et qui ralentit, une disponibilité foncière déficiente ou encore la raréfaction des matériaux et de la main-d'½uvre dans la construction.
Un autre phénomène récent freine également le rythme de création de logements: l'opposition de plus en plus marquée aux projets de nouveaux quartiers portés par les communes et qui nécessitent plusieurs années de procédure. Nombre de projets ont ainsi été refusés dans les urnes vaudoises ces dernières années, cela alors même que le cadre légal fédéral (LAT) exige une densification vers l'intérieur du milieu bâti.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Francioli
12 juin 2018 à 22 h 44 min
Dans certains domaines il est curieux de voir la loi s'adapter à nos besoins et suivre l'évolution des usages, par exemple dans les domaines éthiques récemment.
Après la marche et le vélo, le 2 roues motorisé est le plus fantastique et efficace moyen de se déplacer dans des rues sur-fréquentées.
Non la solution unique n'existe pas, même si j'aime les transports publique, il y a une certaine incohérence à envoyer des véhicules avec des gabarits tout à fait inquiétant dans l'espace urbain si exigu, sans site propre.
Cela se traduit par de la place perdue sur les voies de communications non partagées, par un grand nombre d'accidents ailleurs (env 2700/an tout compris), des chutes de vélos dans les rails et des piétons en danger, les trams freinent parfois très mal et partent en luge avec un poids de 50 tonnes et plus (équivalent à un char militaire genre Léopard)
Il faut vivre et se déplacer ensemble avec un maximum d'harmonie et de sécurité, il y a des gens qui ne reprendront jamais une voiture en ville et inversement, d'autres qui ne lâcheront jamais le bus ou le vélo, d'autres la moto, ou la marche, ou est le mal ? (sans compter ceux qui font un savant mélange)
Il n'y a pas de mal à se déplacer en 2 roues motorisé, mais il est vrai qu'on serait en droit d'attendre des motos moins polluante, même si on ne consomme pas vraiment plus qu'un passagers dans un bus ( 15 millions de litres de diesel par ans c'est pas rien ) et bien moins qu'une voiture pour l'instant, d'autant plus qu'en deux roues on laisse moins de temps tourner le moteur à cause des trajets plus court.
En passant, je plaide pour des pistes cyclables au sol plat, lisses et non ondulé, qui ne soient pas des parcours à touristes et encore libre de poussettes et autres chevaux et obstacles en tous genres. qui ne s'interrompes pas touts les 50 mètres, qui ne passent pas au milieu d'arrêt de bus, monte sur les trottoirs et sont aussi à contresens dans des sens unique.
Merci de faire passer le message
Salutations