Le metteur en scène belge Marc Hollogne embarque le Béjart Ballet Lausanne (BBL) dans "Nivagation", un spectacle chorégraphié par Gil Roman. A découvrir en première mondiale du 16 au 22 décembre au Théâtre de Beaulieu à Lausanne.
Deux ballets de Maurice Béjart garnissent également l'affiche: "Concerto en ré" et "Adage pour deux".
Six ans après avoir fait interagir Maurice Béjart avec les danseurs de sa compagnie dans "Dixit", l’artiste et cinéaste belge Marc Hollogne a écrit un nouveau spectacle mêlant réel et virtuel pour la compagnie, "Nivagation". Une oeuvre tenant "autant de la divagation que de la navigation", promet le BBL.
Dans ce voyage initiatique chorégraphié par le directeur artistique du BBL Gil Roman, "un grand écran projette un film", résume Marc Hollogne. "Nous sommes au cinéma. S’y déploie le quotidien d’un ouvrier, usé, brisé. Un incident le projette dans son passé. Un passé douloureux. L’écran se lève. L’ouvrier s’évade. Nous sommes au théâtre. Des danseurs apparaissent. Ils poursuivent le récit. L’art de la danse et celui de l’image jouent à se compléter."
Tendresse et virtuosité
En première partie, le BBL proposera "Concerto en ré" pour la première fois depuis 2002. Sur la partition d’Igor Stravinsky, Maurice Béjart réglait un ballet sans anecdote ni message sinon "les rapports harmonieux du temps et de l’espace", écrivait-il alors.
"Des formes jamais figées s’enroulent et se déroulent autour de mélodies et de constructions rythmiques subtiles, et, au milieu de ce 'jeu', un instrument qui est à la fois tendresse et virtuosité, brillance technique et sensualité ; la femme: une danseuse."
Cerise sur le gâteau, enfin, avec "Adage pour deux": un pas de deux emprunté à Malraux ou la Métamorphose des dieux, créé en 1986 au Cirque Royal à Bruxelles. La musique est signée Ludwig van Beethoven.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Francioli
12 juin 2018 à 22 h 44 min
Dans certains domaines il est curieux de voir la loi s'adapter à nos besoins et suivre l'évolution des usages, par exemple dans les domaines éthiques récemment.
Après la marche et le vélo, le 2 roues motorisé est le plus fantastique et efficace moyen de se déplacer dans des rues sur-fréquentées.
Non la solution unique n'existe pas, même si j'aime les transports publique, il y a une certaine incohérence à envoyer des véhicules avec des gabarits tout à fait inquiétant dans l'espace urbain si exigu, sans site propre.
Cela se traduit par de la place perdue sur les voies de communications non partagées, par un grand nombre d'accidents ailleurs (env 2700/an tout compris), des chutes de vélos dans les rails et des piétons en danger, les trams freinent parfois très mal et partent en luge avec un poids de 50 tonnes et plus (équivalent à un char militaire genre Léopard)
Il faut vivre et se déplacer ensemble avec un maximum d'harmonie et de sécurité, il y a des gens qui ne reprendront jamais une voiture en ville et inversement, d'autres qui ne lâcheront jamais le bus ou le vélo, d'autres la moto, ou la marche, ou est le mal ? (sans compter ceux qui font un savant mélange)
Il n'y a pas de mal à se déplacer en 2 roues motorisé, mais il est vrai qu'on serait en droit d'attendre des motos moins polluante, même si on ne consomme pas vraiment plus qu'un passagers dans un bus ( 15 millions de litres de diesel par ans c'est pas rien ) et bien moins qu'une voiture pour l'instant, d'autant plus qu'en deux roues on laisse moins de temps tourner le moteur à cause des trajets plus court.
En passant, je plaide pour des pistes cyclables au sol plat, lisses et non ondulé, qui ne soient pas des parcours à touristes et encore libre de poussettes et autres chevaux et obstacles en tous genres. qui ne s'interrompes pas touts les 50 mètres, qui ne passent pas au milieu d'arrêt de bus, monte sur les trottoirs et sont aussi à contresens dans des sens unique.
Merci de faire passer le message
Salutations