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L'ETM fait sa rentrée,comme toutes les écoles de musique genevoises

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Ce lundi 31 août, c’est la rentrée des écoles de musique à Genève. Elle intervient traditionnellement une semaine après la rentrée des classes. Judith Monfrini s’est intéressée à l’école des musiques actuelles.

L’Ecole des musiques actuelles, l’ETM ouvre ses portes au public demain, samedi 29 août, aux Acacias et elle fait sa rentrée ce lundi. Par musique actuelle, on entend toutes les musiques qui ne sont pas du classique, de la pop, de la variété, du rock ou encore du jazz. L’école donne des cours individuels de guitare, de piano et de batterie notamment. Mais aussi des ateliers de groupe.

Plus petite école de musique subventionnée du canton, elle compte 450 élèves alors que les conservatoires de musique classique genevois en comptent près de 10'000. Cette année, l’ETM ouvre une dépendance à Soral parce que s’agrandir c’est important. Stefano Saccon. Il est le directeur de l’ETM

Stefano SacconDirecteur de l'Ecole des musiques actuelles (ETM)

Le directeur rappelle que, non seulement les musiques actuelles plaisent davantage aux jeunes, mais elles sont basées sur le rythme. Une notion qui rime avec la connaissance de soi. Stefano Saccon

Stefano SacconDirecteur de l'Ecole des musiques actuelles (ETM)

Nouveau pôle mis en place récemment par l’école, la musique assistée par ordinateur, la MAO. La musique électronique connait un grand succès auprès des élèves et l’ETM propose des cours assez poussés dans ce domaine. Stefano Saccon

Stefano SacconDirecteur de l'Ecole des musiques actuelles (ETM)

La particularité des professeurs de l’école des musiques actuelles : ce sont tous des musiciens professionnels qui se produisent sur scène. Un élément essentiel pour Stefano Saccon, lui-même saxophoniste de jazz .

Stefano SacconDirecteur de l'Ecole des musiques actuelles (ETM)

Les portes ouvertes ont lieu ce samedi 29 août, de 10 h à 18 heures.

Plus d’info sur le site ETM.ch

 

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Mobilité

Une nouvelle CCT pour Edelweiss Air cette année encore

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Le personnel de cabine d'Edelweiss travaille depuis le début juillet sans CCT valable (archives). (© KEYSTONE/ENNIO LEANZA)

La nouvelle convention collective de travail (CCT) négociée pour le personnel de cabine de la compagnie aérienne suisse Edelweiss devrait être signée cette année encore, selon le syndicat des pilotes. L'objectif est qu'elle entre en vigueur à l'automne 2024.

La nouvelle CCT s'appliquera rétroactivement au 1er juillet 2024, a déclaré le patron d'Edelweiss, Bernd Bauer, dans un entretien diffusé lundi par le journal Blick.

Le syndicat des pilotes Aeropers et la compagnie aérienne poursuivent le même intérêt, soit la satisfaction des équipages, ajoute M. Bauer. "Mais cela doit être compatible avec les intérêts économiques de l'entreprise". Les détails de la CCT sont encore en cours de règlement, note-t-il. "L'objectif est d'apposer des signatures sur les documents avant la fin de l'année".

Le personnel de cabine d'Edelweiss travaille depuis le début juillet sans CCT valable, après qu'Aeropers a interrompu les négociations à la mi-avril et que l'ancienne CCT a expiré. La compagnie aérienne et Aeropers se sont mis d'accord sur les points essentiels d'une nouvelle CCT à la fin juillet.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

L'Equateur teste une centrale flottante face à la crise énergétique

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Le navire-centrale de Karpowership peut produire 100 mégawatts d'électricité (archives). (© KEYSTONE/EPA/NABIL MOUNZER)

L'Equateur a commencé dimanche à tester une centrale électrique flottante, pouvant produire 100 mégawatts d'électricité, a indiqué Rafael Quintero, le vice-ministre de l'électricité et des énergies renouvelables. Le pays connaît une grave crise énergétique.

"Après cette période de test, qui ne devrait pas durer plus de deux jours, nous aurons deux autres jours de fonctionnement expérimental au cours desquels 100 mégawatts devraient être distribués de manière régulière et entrer ensuite en fonctionnement commercial", a-t-il déclaré.

Le secteur de l'électricité est en état d'urgence depuis le mois d'août en Equateur en raison d'une sécheresse prolongée, de réservoirs hydroélectriques à leur minimum et de la vétusté de ses infrastructures.

Le navire-centrale, de la société turque Karpowership, un fournisseur d'électricité d'urgence également présent dans plusieurs pays d'Afrique de l'Ouest, est arrivé en Equateur en août et est ancré dans le fleuve Guayas à Guayaquil (sud-ouest).

Pannes électriques de 13 heures

"Nous allons faire fonctionner près de 1200 mégawatts dans les prochains mois" pour couvrir le déficit énergétique du pays, a ajouté le ministre depuis Guayaquil.

En avril, l'Equateur a connu des pannes d'électricité pouvant durer jusqu'à 13 heures, les réservoirs de plusieurs centrales hydroélectriques étant au plus bas. A la mi-juin, le pays a connu une panne généralisée causée par la défaillance d'une ligne de transmission.

Samedi, une "erreur humaine", selon M. Quintero, a provoqué une panne d'électricité d'environ quatre heures dans plus d'une dizaine de provinces.

Le vice-ministre a également appelé les industries et les entreprises disposant de centrales électriques à éviter d'utiliser l'électricité produite par le système national.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Raid israélien ciblant des sites en Syrie dont un site de recherche

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L'attaque israélienne a pris pour cible des sites militaires de l'armée syrienne à Masyaf, où des groupes pro-iraniens et des experts en développement d'armes sont présents, selon l'OSDH (archives). (© KEYSTONE/AP/ARIEL SCHALIT)

Au moins sept personnes, dont trois civils syriens, ont été tuées dimanche soir, dans des frappes israéliennes visant des sites militaires dans le centre de la Syrie, a indiqué une ONG. Parmi les cibles visées figure un centre de recherche scientifique.

Depuis le début de la guerre civile en Syrie en 2011, Israël y a mené des centaines de frappes visant l'armée du président syrien Bachar al-Assad et les groupes pro-iraniens qui y sont implantés et le soutiennent.

"Le nombre de morts dans les frappes israéliennes contre la région de Masyaf s'élève à sept, à savoir, trois civils, dont un homme et son fils qui étaient en voiture, et quatre soldats non identifiés", a indiqué l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH), une ONG basée au Royaume-Uni, mais qui dispose d'un vaste réseau de sources dans le pays en guerre.

Intensification des raids

L'attaque, qui a blessé 15 autres personnes, a également détruit des bâtiments et centres militaires dans la zone abritant des centres de recherche scientifique vers Masyaf, "où des groupes pro-iraniens et des experts en développement d'armes sont présents", a ajouté l'ONG, qui a précisé que 13 "violentes explosions" avaient retenti. Fervent allié du président Bachar al-Assad, Téhéran dispose de "conseillers militaires" en Syrie.

Peu auparavant, le directeur de l'hôpital gouvernemental de Masyaf, Fayçal Haidar, avait fait état de cinq morts et 19 blessés, dans des propos rapportés par l'agence officielle syrienne Sana.

Les raids israéliens en Syrie se sont intensifiés après l'attaque de grande ampleur du Hamas palestinien contre Israël le 7 octobre qui a déclenché la guerre dans la bande de Gaza. Les autorités israéliennes commentent rarement ces frappes, mais ont déclaré à plusieurs reprises qu'elles ne permettraient pas à l'Iran, son ennemi juré, d'étendre sa présence en Syrie.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Le fleuve Vistule ne mesure plus que 25 cm de haut à Varsovie

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La Pologne a subi plusieurs épisodes de sécheresse ces dernières années, impactant notamment fortement le débit de la Vistule (archives). (© KEYSTONE/EPA PAP/ANDRZEJ LANGE)

La Vistule, principal fleuve polonais, est tombée dimanche à un niveau record de 25 cm d'eau à Varsovie, a indiqué l'institut météorologique national IMGW. Le pays connaît une importante sécheresse.

Le niveau minimal de ce fleuve à Varsovie était précédemment de 26 cm enregistrés en août 2015, selon la même source. "C'est pire qu'en 2015 et l'eau continue de baisser", s'est alarmé l'institut dans un message sur le réseau social X (ex-Twitter).

L'institut IMGW a expliqué la semaine dernière que le dérèglement climatique était en cause, avec moins de neige en hiver, moins de pluie et des températures plus élevées en été. Plus des deux tiers des cours d'eau polonais sont actuellement à des niveaux très faibles, selon la même source.

La Vistule traverse le pays du sud au nord sur plus de 1000 km, via Cracovie et Varsovie notamment, et se jette dans la mer Baltique près de Gdansk.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Sport

"Il faut l'accepter et repartir de l'avant"

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Une soirée bien difficile pour Murat Yakin et l'équipe de Suisse. (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

"L'arbitrage n'était pas de notre côté cette semaine. Il faut l'accepter et repartir de l'avant !" Murat Yakin la joue sobre. Le coach national ne veut pas faire un roman de l'arbitrage.

"Ce soir, le premier but de l'Espagne n'est peut-être pas valable. Qui peut dire que le ballon a complètement franchi la ligne ? Ensuite, on nous prive de l'égalisation pour une main, explique le sélectionneur. Je veux bien. Mais il y a aussi une main dans la surface espagnole qui aurait dû être sanctionnée d'un penalty pour nous offrir une chance de revenir à 2-2..."

Murat Yakin reconnaît toutefois que son équipe aurait dû défendtre d'une manière bien plus intelligente en fin de match. "Surtout à onze contre dix, fulmine-t-il. Nous avons aussi eu de la peine à tenir le rythme qui était le nôtre en première mi-temps durant tout le match. Il y a des joueurs qui ont dû prendre la place des absents et qui n'étaient peut-être pas armés pour jouer avec une telle intensité. L'absence de Xhaka a, par ailleurs, pesé. Avec la qualité de ses passes et sa faculté de trouver les bonnes solutions, il aurait pu nous apporter énormément ce soir. Et il ne faut pas oublier que Dan Ndoye était également absent. On a vu tout ce qu'il a pu apporter lors du dernier Euro."

"Je ne sais pas pourquoi nous n’avons pas été en mesure d’enchaîner après la pause, se désole également le capitaine d’un soir Manuel Akanji. Nous aurions dû exploiter notre supériorité numérique, notamment sur les côtés. En première période, nous avions su trouver Breel (Embolo). Ruben (Vargas) a fait mal dans les un-contre-un et Zeki (Amdouni) a su jouer entre les lignes."

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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