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Le National accepte d'inscrire le phénotypage dans la loi

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Les recherches sur les profils ADN d'un suspect pourront être approfondies grâce à la nouvelle loi débattue par le Conseil national (photo d'illustration). (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

Les policiers doivent pouvoir recourir aux avancées scientifiques de profilage lors de certaines enquêtes. Le National a accepté mardi, par 125 voix contre 54 et 12 abstentions, d'inscrire le phénotypage dans la loi sur les profils ADN. Verts et PS n'en ont pas voulu.

Actuellement, les enquêteurs peuvent comparer les relevés de la scène de crime avec celles des suspects, mais seul le sexe de l'auteur d'une trace peut être déterminé à travers l'ADN. Le phénotypage ouvre la voie à des informations supplémentaires: la couleur des yeux, des cheveux et de la peau, l'origine et l'âge.

La loi sur les profils ADN date de 2005. Depuis, la science a fait des progrès considérables, a expliqué Jacqueline de Quattro (PLR/VD) au nom de la commission. Ces avancées aideront à élucider des crimes graves et donneront une nouvelle direction à une enquête qui piétine.

Au moyen du phénotypage, la police arrivera à réduire le cercle des suspects et à enquêter de manière plus ciblée. La nouvelle législation répond à une motion déposée après le viol d'une jeune femme à Emmen (LU) en 2015. Le crime n'a jamais été élucidé malgré l'analyse de 400 échantillons ADN.

Réticences à gauche

La nécessité d'adapter la loi n'a pas été contestée. La gauche s'est néanmoins montrée réticente sur le contenu, prévenant au cours du débat qu'elle ne soutiendra pas le projet sans modification majeure. Ses craintes: une utilisation disproportionnée du phénotypage et le risque d'atteinte aux droits fondamentaux.

La nouvelle loi contient des garde-fous, a répondu Jacqueline de Quattro. Le phénotypage ne pourra être utilisé que pour élucider des crimes graves passibles d'au moins trois ans de privation de liberté. "Nous parlons de viols, de rapts ou d'assassinats".

La technique ne sera pas utilisée pour des délits comme les dommages à la propriété. Elle ne concernera que des affaires précises en cours et devra être ordonnée par le ministère public. Les résultats ne seront pas enregistrés dans la banque de données fondée sur les profils d'ADN.

Discriminations redoutées

Ces mesures sont insuffisantes aux yeux des Verts qui redoutent un profilage racial et des discriminations. D'autant plus que le procédé ne se base que sur des probabilités, a estimé Fabien Fivaz (Verts/NE). Ce projet étend le pouvoir des forces de l'ordre et restreint les droits et les libertés, à l'instar de la loi sur les mesures policières, a renchéri Marionna Schlatter (Verts/ZH).

Pour le PS aussi, des critères éthiques et précis sont nécessaires. Le phénotypage ne doit pas devenir la routine, mais n'être utilisé que dans des cas graves, a estimé Pierre-Alain Fridez (PS/JU). Il faut surtout éviter d'incriminer une personne faisant partie d'une communauté et jeter l'opprobre sur cette dernière.

Une proposition de Franziska Roth (PS/SO) pour supprimer l'origine biogéographique du catalogue des profils a été rejetée. Les cinq caractéristiques du phénotypage sont indissociables, a argumenté Jacqueline de Quattro. Elles sont plus objectives que la déclaration d'un témoin.

Accélérer les enquêtes

"Ce ne sont pas des communautés entières qui seront mises en cause", a précisé Maja Riniker (PLR/AG). Le procédé permettra de limiter le nombre de personnes concernées, a abondé Ida Glanzmann (Centre/LU). Les profils ADN font condamner les coupables et disculpent les innocents, a ajouté Andrea Geissbühler (UDC/BE).

Associer cette loi avec celle sur les mesures policières est un raccourci inutile, a pointé François Pointet (PVL/VD). On ne peut pas se priver d'outils qui rendent les enquêtes plus efficaces.

Le phénotypage n'est pas un instrument magique, a reconnu la ministre de la justice Karin Keller-Sutter. Il ne sera jamais le premier moyen auquel les enquêteurs recourront et arrivera en complément. Le procédé a fait ses preuves dans de nombreux pays comme les Pays-Bas.

Compétences

Contre l'avis de sa commission, le National a accordé au Conseil fédéral la compétence de définir, en fonction des avancées techniques, des caractéristiques morphologiques supplémentaires.

La recherche en parentèle sera par ailleurs formellement réglée dans la loi. Si la comparaison dans la banque de données n'aboutit pas, il sera possible d'étendre la recherche au cercle familial. Une décision du Tribunal pénal fédéral permet déjà cette pratique depuis 2015. La gauche aurait voulu la conditionner à une expertise indépendante.

Le National a encore ajouté une disposition pour que les échantillons prélevés lors d'enquêtes de grande envergure soient détruits après la clôture de l'enquête. Les délais d'effacement des données seront fixés dans les jugements. Le prélèvement d'échantillons ADN en cas de décès dû à un suicide devrait être autorisé.

L'objet passe au Conseil des Etats.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

International

Phnom Penh et Bangkok conviennent d'un cessez-le-feu immédiat

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Les combats entre le Cambodge et la Thaïlande ont fait moins 47 morts et près d'un million de déplacés en trois semaines (archives). (© KEYSTONE/AP)

La Thaïlande et le Cambodge sont convenus samedi d'un "cessez-le-feu immédiat" dans leur conflit frontalier, selon une déclaration conjointe obtenue du côté cambodgien. Les combats ont fait au moins 47 morts et près d'un million de déplacés en trois semaines.

"Les deux parties conviennent de permettre aux civils résidant dans les zones frontalières affectées de rentrer chez eux, dans les plus brefs délais, sans obstruction et en toute sécurité et dignité", indique une déclaration conjointe obtenue par l'AFP du côté cambodgien. Le texte annonce l'entrée en vigueur de cette trêve à 06h00, heure en Suisse.

Signé par les ministres de la défense des deux pays, le texte évoque par ailleurs le gel des positions militaires, le déminage des zones frontalières, une coopération policière pour lutter contre la cybercriminalité et la libération par Bangkok de 18 soldats cambodgiens après 72 heures de cessez-le-feu effectif.

Selon les derniers bilans officiels respectifs, potentiellement sous-évalués, 47 personnes ont été tuées au total au cours des dernières semaines: 26 du côté thaïlandais et 21 du côté cambodgien.

Conflit ancien

Les deux royaumes d'Asie du Sud-Est s'opposent de longue date sur le tracé de leur frontière de 800 kilomètres, décidé pendant la période coloniale française. Ils s'accusent mutuellement d'avoir déclenché cette nouvelle escalade meurtrière.

Un premier épisode d'affrontements en juillet avait déjà fait 43 morts en cinq jours avant qu'une trêve ne soit conclue, grâce notamment à l'intervention du président américain Donald Trump.

Un accord de cessez-le-feu avait été signé dans un deuxième temps, le 26 octobre à Kuala Lumpur, en présence du président américain, mais il avait été suspendu quelques semaines plus tard par la Thaïlande après que plusieurs de ses soldats ont été blessés dans l'explosion d'une mine à la frontière.

Donald Trump a de nouveau tenté de jouer les médiateurs, faisant état d'une trêve le 12 décembre après avoir parlé au téléphone avec les dirigeants des deux belligérants, mais le gouvernement thaïlandais avait démenti et les hostilités ont continué.

Question de fond pas abordée

Egalement poussés par la Chine à mettre fin au conflit, la Thaïlande et le Cambodge ont finalement accepté de discuter directement après une réunion de crise lundi des ministres des affaires étrangères de l'association des nations d'Asie du Sud-Est (ASEAN).

La question de la démarcation de la frontière et de la souveraineté sur plusieurs temples anciens, dont celui de Preah Vihear, classé à l'UNESCO, reste toutefois entière et interroge sur la pérennité du cessez-le-feu.

"Vous pouvez faire confiance à la Thaïlande. Nous respectons toujours nos accords et nos engagements. Que cette signature soit la dernière, afin que la paix soit rétablie et que notre peuple puisse rentrer chez lui", a déclaré vendredi le premier ministre thaïlandais Anutin Charnvirakul.

Des élections législatives doivent avoir lieu le 8 février en Thaïlande.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Un ex-chef de la police brésilienne, en fuite, arrêté au Paraguay

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L'ancien chef de police a été remis aux autorités brésiliennes (archives). (© KEYSTONE/EPA/Andre Coelho)

Un ex-chef de la police brésilienne, condamné pour tentative de coup d'Etat au profit de l'ancien président Jair Bolsonaro, a été arrêté vendredi au Paraguay, ont indiqué des sources policières. Il a été remis aux autorités brésiliennes.

Silvinei Vasques, ex-directeur de la police routière fédérale (PRF), a été condamné à 24 ans et six mois de prison pour avoir participé à la tentative de coup d'Etat perpétrée par le camp Bolsonaro après la présidentielle de 2022, remportée par l'actuel président de gauche, Luiz Inacio Lula da Silva.

Il purgeait sa peine à domicile dans l'Etat de Santa Catarina (sud) mais avait un droit de sortie durant la journée moyennant le port d'un bracelet électronique. Il avait disparu depuis mercredi soir, quand il avait quitté son domicile dans une voiture de location avec son chien.

Après avoir été arrêté vendredi matin, M. Vasques a été remis aux autorités brésiliennes, a confirmé un officier paraguayen. "L'expulsion a déjà été effectuée", a déclaré le sous-commissaire Favio Santa Cruz, opérant à la triple frontière entre le Brésil, l'Argentine et le Paraguay.

Faux papiers

Après sa tentative de fuite, le juge de la cour suprême Alexandre de Moraes a ordonné son placement en détention provisoire.

Selon la presse brésilienne, M. Vasques, 50 ans, a cassé son bracelet électronique et traversé en voiture la frontière avec le Paraguay. Son arrestation a eu lieu à l'aéroport international Silvio Pettirossi, près d'Asuncion, alors que l'ancien responsable tentait d'embarquer à bord d'un vol pour le Salvador avec de faux papiers d'identité, ont rapporté des médias brésiliens.

M. Bolsonaro, 70 ans, purge une peine de 27 ans de prison après avoir été déclaré coupable en septembre d'avoir conspiré avec d'anciens collaborateurs pour rester au pouvoir après avoir perdu les élections de 2022 face à Lula.

L'ancien président d'extrême droite (2019-2022) est actuellement hospitalisé à Brasilia, où il a été opéré pour une hernie inguinale. C'est sa première sortie depuis qu'il a été incarcéré à la fin novembre dans des locaux de la police dans la capitale.

Un autre condamné, l'ancien chef des renseignements Alexandre Ramagem, a également pris la fuite et se trouve actuellement aux Etats-Unis.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Super-G de Livigno: Odermatt pour un 51e succès

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Marco Odermatt sera forcément l'homme à battre dans le super-G de Livigno (© KEYSTONE/AP/Alessandro Trovati)

La Coupe du monde reprend ses droits samedi après la courte pause de Noël. Les messieurs en découdront à Livigno lors d'un super-G, alors que les dames seront en lice à Semmering pour un géant.

Privé de victoire dans ses trois dernières sorties (super-G puis deuxième descente de Val Gardena, géant d'Alta Badia), Marco Odermatt est évidemment l'homme à battre à Livigno. La station italienne, qui sera à l'honneur lors des JO 2026, accueille pour la première fois la Coupe du monde de ski alpin.

"Odi" vise un 51e succès sur le Cirque blanc pour la dernière course masculine de l'année. Le Nidwaldien a l'occasion de conforter sa 1re place au classement de la discipline, où son avance sur son premier poursuivant Vincent Kriechmayr n'est que de 16 unités, ainsi qu'au général où sa marge sur son dauphin Timon Haugan est de 445 points.

Marco Odermatt aura ensuite l'occasion de recharger pleinement ses batteries: sa course suivante est prévue le 10 janvier à Adelboden, en géant. La pause sera plus courte pour les slalomeurs, qui seront quant à eux en lice le 7 janvier à Madonna di Campiglio.

Rast vise le podium

Le programme des femmes est plus chargé dans les jours à venir. Elles disputeront samedi à Semmering leur cinquième géant de la saison, pour un nouvel épisode du duel Julia Scheib/Alice Robinson. L'Autrichienne et la Néo-Zélandaise ont chacune fêté deux succès cet hiver dans la discipline.

Les Suissesses espèrent avant tout briller dimanche à Semmering, en slalom. Mais la championne du monde de slalom Camille Rast monte également en puissance en géant: la Valaisanne reste sur deux 4es places dans la discipline au Mont-Tremblant, après avoir terminé 5e à Copper Mountain.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Süssli: la guerre en Ukraine n'a causé aucun électrochoc en Suisse

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Le chef de l'armée suisse Thomas Suessli va quitter ses fonctions à la fin de l'année (archives). (© KEYSTONE/CHRISTIAN BEUTLER)

Le monde politique suisse n'a toujours pas pris la mesure du danger près de quatre ans après l'attaque russe en Ukraine, estime le chef de l'armée suisse Thomas Süssli. "Je n'ai pas l'impression qu'un électrochoc s'est produit depuis lors dans le pays", lâche-t-il.

Dans une démocratie, c'est la politique qui détermine les moyens de l'armée, explique dans un entretien diffusé samedi par la Neue Zürcher Zeitung le chef de l'armée suisse, qui quitte ses fonctions à la fin de l'année. Cette situation, il dit l'accepter. Mais comme responsable de la troupe, il trouve difficile d'accepter le fait qu'en cas d'urgence, seul un tiers des soldats serait entièrement équipé.

"Je me souviens très bien du 24 février 2022, lorsque la Russie a attaqué l'Ukraine. Pour moi, c'était clair: il fallait faire preuve d'une honnêteté totale. La population et les politiciens ne devaient pas croire que l'armée était capable de se défendre alors qu'elle ne l'est pas", raconte-t-il. Mais, s'interroge-t-il, pourquoi aucune réaction ne s'est-elle encore produite en Suisse?

La neutralité ne protège pas

Le commandant de corps y voit trois raisons: la première est que la dernière guerre sur le sol suisse remonte à près de 180 ans, la guerre civile du Sonderbund de 1847. "Nous n'avons donc [...] pas de mémoire collective des guerres, contrairement à l'Estonie ou à la Pologne par exemple".

Deuxième raison citée, la guerre en Ukraine semble lointaine pour beaucoup. "En réalité, seuls deux pays nous séparent de l'Ukraine: la Hongrie et l'Autriche", prévient M. Süssli.

Et troisièmement, ajoute-t-il, il y a l'idée que la neutralité protège automatiquement. "Mais c'est historiquement faux. Il y a plusieurs pays neutres qui n'étaient pas armés et qui ont été entraînés dans une guerre. La neutralité n'a de valeur que si elle peut être défendue par les armes".

Si la Suisse ne veut investir 1% de son produit intérieur brut qu'à partir de 2032 ou 2035, il faudra attendre 2050 pour que le pays soit prêt à se défendre, met en garde le responsable militaire.

Des achats plus flexibles

Il voit cependant des progrès au sein de l'armée. "Nous avons par exemple mis en place un système d'innovation avec lequel les soldats de milice peuvent apporter leurs idées", explique M. Süssli. Ce système "nous permet d'apporter rapidement de nouvelles techniques à la troupe, quelles qu'elles soient".

Il relève également la nouvelle voie mise en place pour l'acquisition rapide de nouvelles armes malgré la lourdeur des processus d'achat d'armement. "Pour les drones, par exemple, nous n'achetons pas un modèle particulier pour faire des stocks", explique-t-il.

"Nous cherchons plutôt des fabricants intéressants sur le plan technologique, avec lesquels nous concluons des contrats-cadres. Nous pouvons ainsi faire appel plus tard à la technique la plus récente. Ou bien nous ne mettons plus au concours un produit clairement défini, mais nous décrivons le problème que nous voulons voir résolu. C'est alors que joue la concurrence des idées".

Guerre numérique

Le chef de l'armée suisse remarque un déplacement croissant de la guerre dans le cyberespace. Le service de renseignement suisse affirme par exemple "que plus de 80 ressortissants russes liés aux services secrets russes vivent ici", en Suisse, ajoute-t-il.

Face aux nouvelles menaces, "la Suisse ne peut pas se défendre toute seule", avertit le militaire. "C'est pourquoi nous devons pouvoir coopérer avec d'autres armées et être interopérables, c'est-à-dire fonctionner ensemble. Pour cela, il faut des années de préparation, ce qui a déjà commencé".

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Ukraine: de fortes explosions entendues à Kiev

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La population a été appelée à se réfugier dans des abris à Kiev (archives). (© KEYSTONE/EPA/SERGEY KOZLOV)

Plusieurs séries de fortes explosions ont retenti à Kiev dans la nuit de vendredi à samedi, a constaté une journaliste de l'AFP. Les autorités ont indiqué que l'Ukraine était menacée par des missiles russes.

Alors que le président ukrainien Volodymyr Zelensky doit se rendre en Floride pour rencontrer son homologue américain Donald Trump dimanche, l'ensemble du territoire ukrainien était concerné par des alertes aériennes peu après 02h00 locales (01h00 en Suisse), selon la carte des autorités.

L'armée de l'air ukrainienne a évoqué sur ses réseaux sociaux des mouvements de drones et missiles sur plusieurs régions ukrainiennes, dont la capitale. "Des explosions dans la capitale. La défense antiaérienne est en action. Restez dans les abris!", a écrit le maire Vitali Klitschko sur le réseau social Telegram.

Pourparlers

"Restez à l'abri s'il vous plaît! L'ennemi attaque la capitale", a déclaré de son côté le chef de l'administration militaire de Kiev, Tymour Tkatchenko.

Plus de quatre ans après le lancement de l'offensive à grande échelle de la Russie, les pourparlers en vue d'un règlement du conflit se sont accélérés ces dernières semaines, à la suite de la présentation d'un plan dévoilé par Donald Trump.

Alors que ce document était considéré initialement par les Ukrainiens et les Européens comme trop favorable à Moscou, M. Zelensky a présenté cette semaine une nouvelle mouture. Cette dernière prévoit un gel de l'actuelle ligne de front sans offrir de solution immédiate concernant les revendications territoriales de la Russie, qui occupe plus de 19% de l'Ukraine.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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