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L’avenir du Salève débattu lors d’un colloque ce samedi

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Un colloque scientifique sur le Salève. Il a lieu samedi à la Chartreuse de Pomier à Présilly, en France voisine.  Il s’agit de promouvoir les nouvelles connaissances acquises ces trente dernières années sur cette montagne mythique de la région genevoise. Sciences naturelles, histoire, géologie, différentes thématiques sont abordées durant cette journée. C’est l’occasion aussi de faire le point sur les mesures de conservation mises en place ces dernières années. Patrice Prunier, professeur à la Haute école de paysage , d’ingénierie et d’architecture de Genève.

Patrice Prunier Professeur à la haute Ecole de paysage, d'ingénierie et d'architecture de Genève

Un débat sur l’avenir du Salève est aussi prévu en fin d’après-midi. Différents enjeux y sont abordés. Par rapport au réchauffement climatique, notamment, mais aussi à la fréquentation de la montagne qui a évolué ces dernières années. Patrice Prunier.

Patrice Prunier Professeur à la haute Ecole de paysage, d'ingénierie et d'architecture de Genève

Ce Colloque sur le Salève c’est donc samedi dès 08h30 à la Chartreuse de Pomier à Présilly. Il reste encore de la place, pour plus d’informations, rendez-vous sur le site du syndicat mixte du Salève.

 

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International

Contrôleurs aériens en France: un syndicat lève le préavis de grève

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Le syndicat majoritaire des contrôleurs aériens a levé son préavis de grève prévue jeudi en France (image d'illustration). (© KEYSTONE/AP/ARMANDO FRANCA)

Le syndicat majoritaire chez les contrôleurs aériens français a annoncé mercredi la levée de son préavis de grève pour jeudi, un mouvement qui s'annonçait massivement suivi.

"Un accord a été trouvé, le SNCTA lève son préavis", a expliqué l'organisation dans un court message sur son site internet, à l'issue d'une conciliation de "dernière minute" dans la nuit de mardi à mercredi avec la Direction générale de l'aviation civile (DGAC). Contactée par l'AFP, l'administration n'a pas confirmé cette information dans l'immédiat.

Deux autres syndicats, l'Unsa Icna et l'Usac-CGT, avaient également appelé à la grève. Le SNCTA n'a pas communiqué de détails sur le protocole de sortie de crise. Il protestait contre les mesures d'accompagnement, notamment salariales, d'une refonte du contrôle aérien français.

La Direction générale de l'aviation civile (DGAC) avait demandé aux compagnies de renoncer à une majorité de leurs vols jeudi.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Des chevaux en cavale en plein centre de Londres

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Des images partagées sur les réseaux sociaux montrent deux animaux, l'un blanc et couvert de sang et l'autre noir, galoper sur une avenue de Londres. (© KEYSTONE/AP/Jordan Pettitt)

Des chevaux en liberté ont été vus galopant à vive allure à travers le centre de Londres mercredi, à la stupéfaction des passants et automobilistes, selon la police et des médias.

Des images partagées sur les réseaux sociaux montrent deux animaux, l'un blanc et couvert de sang et l'autre noir, galoper sur une avenue, dépassant un scooter et semblant un moment percuter un taxi après avoir grillé un feu rouge.

Ils portent selles, brides et mors. Selon le site du Telegraph, cinq chevaux en tout ont été vus en liberté.

La police de Londres a indiqué sur X (ex-Twitter) avoir été avertie vers 08h40 que des animaux se trouvaient en liberté et en avoir rattrapé et maitrisé deux sur une avenue du quartier de Limehouse, à l'est de la ville.

"Nous attendons un box de l'armée pour les récupérer et les transporter vers un vétérinaire", a-t-elle précisé. Plusieurs régiments militaires disposent d'écuries dans le centre de Londres.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp

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International

Détention préventive pour un vice-ministre accusé de corruption

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Timour Ivanov est inculpé pour "prise de pots-de-vin à grande échelle", un crime passible de 15 ans de prison. (© KEYSTONE/AP)

La justice russe a placé en détention provisoire un vice-ministre de la Défense, Timour Ivanov, arrêté pour corruption. Son train de vie avait été dénoncé en 2022 dans une enquête de l'organisation de l'opposant Alexeï Navalny.

Il s'agit d'un cas rare d'arrestation au plus haut niveau de l'armée russe, en plein conflit avec l'Ukraine.

Dans un communiqué publié mercredi, le service de presse des tribunaux moscovites a indiqué que Timour Ivanov est placé en détention préventive pour au moins deux mois, jusqu'au 23 juin, dans l'attente de son procès.

Il est apparu mercredi à l'audience en uniforme militaire, dans la cage en verre réservée aux détenus, selon des images publiées par la justice russe.

"Prise de pots-de-vin à grande échelle"

Selon une source sécuritaire anonyme citée par l'agence TASS, il sera en détention provisoire à Lefortovo, une prison de Moscou administrée par les services de sécurité russes (FSB). C'est là aussi qu'est détenu le journaliste américain Evan Gershkovich.

Timour Ivanov est inculpé pour "prise de pots-de-vin à grande échelle", un crime passible de 15 ans de prison. Un complice présumé, Sergueï Borodine, est visé par les mêmes accusations et a également été placé en détention provisoire.

M. Ivanov était en charge du bâtiment au sein du ministère de la Défense, notamment de travaux dans des installations militaires. Selon les enquêteurs, il aurait fait partie d'un schéma de corruption dans le cadre de "la réalisation de travaux contractuels et de sous-traitance pour les besoins du ministère de la Défense."

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp

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Economie

La fusion de CS et UBS en Suisse aura lieu avant fin septembre

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Sergio Ermotti, directeur général d'UBS, devant l'assemblée générale du groupe à Bâle ce mercredi. (archive) (© KEYSTONE/GEORGIOS KEFALAS)

L'intégration de l'entité helvétique de Credit Suisse dans la structure d'UBS en Suisse devrait se conclure avant la fin du 3e trimestre, estime Sergio Ermotti, directeur général du géant aux trois clés.

Des mesures de restructuration et d'optimisation importantes seront encore nécessaires avant que la grande banque puisse profiter des avantages de la fusion, a-t-il fait savoir. L'année 2024 se dessine comme décisive dans l'atteinte des objectifs d'UBS, déclare Sergio Ermotti, selon le texte de son discours à l'assemblée générale du groupe à Bâle. Mais l'intégration du Credit Suisse au groupe bancaire est "un marathon, non pas un sprint", a-t-il souligné.

Ainsi, si la fusion des deux banques suisses devrait avoir lieu "avant la fin du troisième trimestre", UBS devra "peut-être sacrifier une partie de la rentabilité et de la croissance déclarées à court terme", a-t-il averti. Toutefois, "nous sommes convaincus que cela renforcera la qualité et la stabilité de notre potentiel de revenus à long terme", a ajouté le patron de l'UBS.

Parmi les principales priorités pour le premier semestre de cette année, figurent la fusion et le transfert des activités américaines en une seule société holding intermédiaire, détaille Sergio Ermotti. "L'achèvement de ces fusions d'entités juridiques nous permettra de réaliser des avantages en termes de coûts, de capital et de financement", affirme-t-il. Elles constituent également une condition préalable à la première vague de migration des comptes.

A partir du deuxième semestre 2024, UBS pourra alors progressivement mettre hors service les anciennes plates-formes de Credit Suisse. "Ce processus se poursuivra jusqu'en 2025, avant que nous ne nous rapprochions de notre état cible en 2026", indique le CEO.

Dans son discours, Sergio Ermotti critique l'argument selon lequel l'UBS disposerait d'une garantie implicite de l'Etat, le qualifiant de "factuellement inexact". Le responsable fait référence au capital absorbant les pertes de l'UBS, qui s'élève au total à environ 200 milliards de dollars. "Les risques d'UBS sont supportés par les actionnaires, et par les détenteurs d'instruments AT1 et d'obligations TLAC absorbant les pertes, pas par les contribuables", selon lui.

En outre, les coûts de financement sont structurellement bien plus élevés pour la banque aux trois clés que pour les banques bénéficiant d'une garantie de l'Etat, a-t-il soutenu. De même, les notations que l'UBS obtient des agences de notation sont plus basses que celles des banques qui bénéficient d'une garantie implicite ou explicite de l'Etat.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Santé

Nestlé a détruit par précaution une partie de la production Perrier

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Nestlé Waters évoque une "déviation microbiologique ponctuelle" sans préciser la nature de la contamination. (archive) (© KEYSTONE/FABRICE COFFRINI)

Nestlé a détruit une partie de sa production d'eau en bouteille Perrier après avoir observé une dégradation de la qualité de l'eau dans l'un de ses puits du Gard, suspendu jusqu'à nouvel ordre, a annoncé mercredi la filiale Nestlé Waters à l'AFP.

"Plusieurs lots de bouteilles", soit l'équivalent de "plusieurs centaines de palettes" habituellement livrées en magasin, ont été détruits "par précaution", a indiqué Nestlé Waters.

L'entreprise évoque une "déviation microbiologique ponctuelle" apparue à la suite "des très fortes pluies liées à un évènement de type méditerranéen récent dans le Gard", la tempête Monica qui a frappé le sud-est de la France mi-mars.

Interrogée par l'AFP, la filiale du leader mondial de l'agroalimentaire ne précise pas la nature de la contamination mais assure que "toutes les bouteilles sur le marché peuvent être consommées en toute sécurité".

Nestlé Waters n'a pas non plus précisé le volume de bouteilles détruites. "Certaines références" de la marque Perrier seront disponibles "en moindre quantité", a-t-on simplement indiqué de même source.

Le puits dont l'exploitation a été suspendue se trouve à Vergèze, où est historiquement puisée l'eau de la marque Perrier, créée en 1903.

Il fait l'objet d'une "surveillance renforcée (...) à la demande des autorités". Son exploitation "reprendra le moment voulu sous le contrôle des autorités", selon Nestlé.

Le minéralier, aussi propriétaire en France des marques Vittel, Contrex et Hépar, est sous pression depuis fin janvier, quand il a admis avoir eu recours à des traitements interdits sur certaines de ses eaux pour maintenir leur qualité.

Il avait assuré début avril à l'AFP avoir "intensifié la surveillance" de ses forages français "sous le contrôle des autorités". Certains puits ont été suspendus dès l'an dernier dans les Vosges.

Le 11 avril, le Sénat a lancé une mission d'information parlementaire qui entend "faire la lumière sur les défaillances de l'État" en matière de contrôle des fabricants d'eaux en bouteille.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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