Rejoignez-nous

Actualité

L'abolition de l'impôt sur les chiens fait grincer des dents à Genève

Publié

,

le

Les opposants à la suppression de l’impôt sur les chiens ont livré leurs arguments ce lundi à Genève. Les chiens utilisent le domaine public de manière accrue et cette taxe est justifiée, selon eux.

Le peuple va voter sur l’impôt sur les chiens le 9 février à Genève. Il devra dire s’il veut  conserver ou non, cette taxe qui coûte en moyenne 100 francs aux propriétaires de chiens, partagée entre l’impôt cantonal et communal. L’abolition a été acceptée par une majorité du Grand Conseil mais elle a fait l’objet d’un référendum.  En tant qu’utilisateur du domaine public, le chien a un coût relève le député démocrate-chrétien au Grand Conseil François Lance.

François LanceDéputé PDC au Grand Conseil

Les référendaires regrettent que les communes genevoises n’aient pas été consultées avant son abolition. Le Conseiller administratif de Thônex, Pascal Uehlinger.

Pascal UehlingerConseiller administratif à Thônex

A Thônex, l'impôt rapporte entre 25 et 40'000 francs par an sur un budget de 41 millions de francs.

Les propriétaires de chien peuvent bénéficier d'une aide

Les partisans de l’abolition estiment que cet impôt est discriminatoire puisque le chien est le seul animal de compagnie à être taxé. Ils insistent sur le rôle social du chien, surtout pour les personnes âgées et les personnes démunies. Les opposants rappellent, de leur côté, que ces personnes peuvent se faire aider. François Lance

François LanceDéputé PDC au Grand Conseil

L’impôt sur les chiens rapporte 2,1 millions de francs à la collectivité.

 

Cliquez pour commenter

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Suisse

Pas de millionnaire au tirage du Swiss Loto

Publié

le

Pas de grand gagnant à la loterie samedi. (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Personne n'a trouvé la combinaison gagnante du Swiss Loto samedi soir. Pour empocher le gros lot, il fallait cocher les numéros 17, 19, 27, 36, 41 et 42. Le numéro chance était le 5, le rePLAY le 8 et le Joker le 453504.

Lors du prochain tirage mercredi, 3,7 millions de francs seront en jeu, indique la Loterie Romande.

https://jeux.loro.ch/games/swissloto/

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

International

Soudan: l'émissaire de Trump pour l'Afrique dénonce des atrocités

Publié

le

L'émissaire du président américain Donald Trump pour l'Afrique, Massad Boulos, estime que la guerre au Soudan a entraîné la "plus grande crise humanitaire au monde" (archives). (© KEYSTONE/AP/Amr Nabil)

L'émissaire du président américain Donald Trump pour l'Afrique, Massad Boulos, a déclaré samedi à l'AFP que la guerre au Soudan avait entraîné la "plus grande crise humanitaire au monde" et dénoncé des "atrocités inacceptables".

Depuis son déclenchement en avril 2023, le conflit entre l'armée soudanaise et les paramilitaires des Forces de soutien rapide (FSR) a fait des dizaines de milliers de morts et déplacé près de 12 millions de personnes.

Fin octobre, les FSR se sont emparées d'El-Facher au terme d'un siège de 18 mois, prenant ainsi le contrôle total de la vaste région du Darfour (ouest). La prise de cette ville a été accompagnée d'informations faisant état de multiples exactions contre des civils.

"Le conflit au Soudan, du point de vue humanitaire, est aujourd'hui la plus grande crise humanitaire au monde, et la plus grande catastrophe humanitaire mondiale", a déclaré M. Boulos à l'AFP lors d'un entretien à Doha.

"En particulier ce qui s'est passé à El-Facher ces deux ou trois dernières semaines. Nous avons tous vu ces vidéos, ces rapports. Ces atrocités sont absolument inacceptables. Cela doit cesser très rapidement."

Trêve de trois mois

M. Boulos a indiqué que les Etats-Unis et leurs partenaires médiateurs appelaient les deux camps à s'entendre sur une "trêve humanitaire de trois mois". "Nous les exhortons à accepter cette proposition et à la mettre en oeuvre immédiatement", a-t-il dit.

En septembre, les Etats-Unis, l'Arabie saoudite, les Emirats arabes unis et l'Egypte avaient conjointement appelé à une trêve humanitaire, suivie d'un cessez-le-feu permanent et d'une transition vers un pouvoir civil, tout en estimant qu'aucune des parties en guerre ne devrait participer à cette transition.

M. Boulos a déclaré que les Etats-Unis espéraient, avec leurs partenaires, "parvenir à une avancée dans les semaines à venir" sur ce plan plus large incluant une transition vers un gouvernement civil. "La priorité absolue reste pour l'instant l'aspect humanitaire et la trêve humanitaire", a-t-il précisé.

Le gouvernement soudanais, aligné sur l'armée, a indiqué vouloir poursuivre la guerre à l'issue d'une réunion consacrée à la proposition de cessez-le-feu. Les FSR ont affirmé accepter la trêve humanitaire, tout en poursuivant leur offensive.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

Genève

Manifestation pour la justice climatique et sociale à Genève

Publié

le

A Genève, les manifestants ont défilé sous la pluie pour demander le respect des Accords de Paris et une politique climatique suisse efficace. (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Environ 400 personnes ont participé samedi après-midi à Genève à une manifestation "pour la justice sociale et climatique". La marche a été organisée en écho avec le Sommet des peuples, qui se tient en parallèle à la COP officielle de Belém (Brésil).

Une quarantaine d'organisations et de partis ont appelé à cette manifestation genevoise, partie en début d'après-midi de la poste du Mont-Blanc. Quelque 500 personnes y ont répondu, selon la police, entre 300 et 400, d'après Keystone-ATS.

"Climat 30 ans et toujours rien", "Non aux multinationales", pouvait-on lire sur des pancartes. Le défilé s'est déroulé dans le calme, ont précisé les forces de l'ordre.

Parmi leurs revendications, les participants ont réclamé le respect des accords de Paris sur le climat, le désinvestissement des énergies fossiles, une politique climatique suisse efficace, un système alimentaire durable ou encore la défense de l'Amazonie.

Au sujet de la COP30 de Bélem, ils ont particulièrement dénoncé la présence du groupe agrochimique Syngenta et de l'Union suisse des arts et métiers (Usam) dans la délégation suisse. "Ces deux acteurs sont liés à des organisations dont les activités contredisent les droits humains et servent les intérêts des industries fossiles", ont-ils affirmé dans un communiqué.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

International

A Belem, militants et autochtones rassemblés pour le climat

Publié

le

Des milliers de militants et d'indigènes rassemblés samedi à Belem pour une grande marche. (© KEYSTONE/AP/Fernando Llano)

Des milliers de militants et d'indigènes se rassemblent samedi à Belem pour une grande marche afin de demander aux négociateurs de la COP30, réunis dans cette ville d'Amazonie brésilienne, d'écouter leurs revendications pour la défense du climat.

Un ballon géant à l'allure de globe terrestre: on le remarque d'emblée dans la manifestation, festive et en musique sous un soleil brûlant, partie d'un marché de cette cité qui accueille depuis lundi la conférence de l'ONU sur le climat.

"On est ici pour essayer de faire pression", dit à l'AFP Txai Surui, 28 ans, l'une des leaders indigènes les plus en vue du Brésil. Pour la jeune femme coiffée de plumes, il s'agit que les "promesses" déjà prises soient tenues et d'éviter tout "recul" dans cette toute première COP en Amazonie.

"Nous sommes venus ici pour défendre le climat. Aujourd'hui, nous vivons un massacre avec notre forêt qui est en train d'être détruite. Nous voulons faire entendre notre voix depuis l'Amazonie et exiger des résultats", explique Benedito Huni Kuin, 50 ans, du peuple indigène Huni Kuin, vivant dans l'ouest du Brésil. Certains ont déployé un grand drapeau brésilien jaune et vert sur lequel est écrit: "Amazonie protégée".

Plus loin, des funérailles symboliques sont organisées en l'honneur des énergies fossiles. Autour de trois cercueils frappés des mots "charbon", "pétrole" et "gaz", des manifestantes fardées et vêtues de noir jouent les veuves éplorées.

Première depuis 2021

La "marche mondiale pour le climat" traverse la dense ville de 1,4 million d'habitants sur environ 4,5 kilomètres. Elle doit s'arrêter à quelques pâtés de maisons du site de la COP30, protégé samedi par des dizaines de militaires et des barrières parfois surmontées de barbelés. Pour la première fois depuis la COP26 à Glasgow en 2021, la société civile mondiale peut s'exprimer samedi sans crainte d'arrestations arbitraires.

Les trois dernières conférences climatiques de l'ONU se sont déroulées dans des pays, Egypte, Emirats arabes unis et Azerbaïdjan, où aucune ONG ne jugeait sûr de manifester en dehors du site de la conférence, qui est protégé et régi par les Nations unies. Les négociations de Belem sont marquées par une absence de taille: celle des Etats-Unis de Donald Trump.

Mais au rassemblement samedi un manifestant monté sur des échasses s'est déguisé en Oncle Sam pour dénoncer "l'impérialisme". Le soutien à la cause palestinienne est aussi présent, avec des drapeaux palestiniens brandis parmi la foule.

"Chouette antidote"

Dans la foule, revient avec insistance une demande: que les communautés indigènes brésiliennes aient davantage voix au chapitre dans les discussions.

Mardi soir, des manifestants avaient forcé l'entrée du site de la COP et s'étaient heurtés aux forces de sécurité. Vendredi matin, d'autres protestataires également autochtones ont bloqué l'entrée principale et arraché des réunions au sommet avec des responsables brésiliens pour évoquer leurs revendications, notamment la démarcation de leurs terres.

Tyrone Scott, un Britannique de 34 ans, de l'ONG War on Want, regrette que "des voix aient été exclues du processus" de négociation, mais se réjouit: la manifestation de samedi est "un chouette antidote à la monotonie et à la stérilité de l'intérieur de la COP". Les tractations sont de fait laborieuses.

Au terme d'une semaine, la présidence brésilienne de la COP30, qui coorganise l'événement avec l'ONU, est censée dévoiler samedi après-midi le fruit de ses consultations pour concilier les demandes des pays sur une série de sujets.

Des sujets aussi lourds et épineux que les ambitions en termes de réduction des émissions de gaz à effet de serre, le financement climatique au profit des pays vulnérables ou les barrières commerciales.

Plusieurs participants estiment que chacun campe encore sur ses positions en attendant l'arrivée des ministres lundi, qui devront trouver un consensus de près de 200 pays d'ici la fin de la conférence le 21 novembre.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

Suisse

Protection de civils: l'ONG CIVIC mise sur la Genève internationale

Publié

le

CIVIC veut encore augmenter son dispositif dans la Genève internationale pour alerter sur la question de la protection des civils (archives). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Le Centre pour la protection des civils (CIVIC) a ouvert un bureau à Genève, à un moment où de nombreuses ONG font face à des difficultés. Il appelle les pays européens à établir des mécanismes pour leurs populations en cas de guerre sur le continent.

L'arrivée il y a quelques mois de cette ONG lancée il y a une vingtaine d'années n'est pas un hasard. Son directeur exécutif depuis un an Hichem Khadhraoui est un ancien du Comité international de la Croix-Rouge (CICR) et de l'Appel de Genève dont il dirigeait les opérations au début de la guerre en Ukraine.

"J'ai senti que les Etats allaient à nouveau prendre une place importante dans les conflits" après des décennies de guerres plutôt asymétriques, dit-il à Keystone-ATS. Or, alors que l'Appel de Genève dialogue avec des groupes armés non étatiques, CIVIC cherche à convaincre les armées et les autorités nationales de lancer des mécanismes pour identifier les pertes civiles liées à leurs opérations. Mais aussi à accompagner les civils eux-mêmes pour co-décider avec les Etats les dispositifs pour leur protection.

En quelques mois, M. Khadhraoui a fait passer le bureau genevois à sept personnes. "Nous sommes anticycliques et je considère que Genève est un lieu clé pour une organisation qui oeuvre à la diminution concrète des dommages pour les civils dans les conflits", dit-il. "J'encourage les autorités suisses à soutenir l'établissement des ONG à Genève", glisse-t-il.

Il se dit persuadé que les coupes importantes dans les organisations internationales donneront plus de place aux ONG "crédibles et expertes sur une thématique". Contrairement à de nombreuses organisations, CIVIC, qui n'a pas de financement public américain, a augmenté le nombre de ses collaborateurs de 40% en un an, tout comme son enveloppe budgétaire. Un tiers des fonds sont alimentés par le secteur privé et deux tiers par des Etats, dont la Suisse.

Présente en Afrique

Outre Genève, CIVIC est très décentralisée avec des bureaux aux Etats-Unis, en Ukraine, au Yémen, en Jordanie, à Bruxelles et dans une dizaine de pays africains.

L'ONG veut renforcer ses efforts en Europe, notamment parce qu'elle estime que la population n'est pas prête à affronter un conflit de premier plan. Elle souhaite répéter le centre d'excellence sur la protection des civils qu'elle a pensé pour l'armée américaine.

Succès avec Biden

"Nous essayons de pousser pour des cadres nationaux de protection des civils", dit M. Khadraoui. "L'objectif est que la protection des civils soit au centre de toutes les initiatives politiques et militaires", affirme le directeur exécutif. Il faut reconnaître le problème, compenser les pertes civiles et changer les règles.

L'ONG a obtenu des succès. Aux Etats-Unis, elle a mené la coalition qui avait convaincu le président Joe Biden de renoncer pour trois mois à transférer des armes à Israël. Des effets ont aussi été vus au Nigeria.

L'organisation a offert également des micro-financements à des femmes ukrainiennes pour améliorer les bunkers que leur proposaient les autorités et les rendre adaptés aux enfants. Celles-ci ont ensuite lancé leur propre réseau pour répéter ces efforts dans plusieurs régions. Au Yémen, des accès routiers ont pu être rétablis grâce à des jeunes soutenus par l'ONG et qui ont dialogué avec des acteurs du conflit.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Derniers titres

Publicité

L'info en continu

SuisseIl y a 52 minutes

Pas de millionnaire au tirage du Swiss Loto

Personne n'a trouvé la combinaison gagnante du Swiss Loto samedi soir. Pour empocher le gros lot, il fallait cocher les...

InternationalIl y a 56 minutes

Soudan: l'émissaire de Trump pour l'Afrique dénonce des atrocités

L'émissaire du président américain Donald Trump pour l'Afrique, Massad Boulos, a déclaré samedi à l'AFP...

GenèveIl y a 2 heures

Manifestation pour la justice climatique et sociale à Genève

Environ 400 personnes ont participé samedi après-midi à Genève à une manifestation "pour la justice...

InternationalIl y a 4 heures

A Belem, militants et autochtones rassemblés pour le climat

Des milliers de militants et d'indigènes se rassemblent samedi à Belem pour une grande marche...

Equipe de SuisseIl y a 5 heures

Une victoire suisse pour aller à la Coupe du Monde

L'Equipe de Suisse assurerait sa qualification en battant la Suède samedi soir (20h45) à Genève...

SuisseIl y a 8 heures

Protection de civils: l'ONG CIVIC mise sur la Genève internationale

Le Centre pour la protection des civils (CIVIC) a ouvert un bureau à Genève, à...

CultureIl y a 9 heures

Lausanne: 30 ans de migrations dans l'objectif d'un photographe

Le Forum de l'Hôtel de Ville, à Lausanne, donne un coup de projecteur sur la...

ConcoursIl y a 9 heures

GSHC - ZSC Lions: vos invitations avec Radio Lac

Radio Lac vous offre vos places pour assister au choc Genève-Servette Hockey Club - ZSC...

CultureIl y a 9 heures

Le ciné-bus Roadmovie fera un arrêt à Dardagny

Le ciné-bus de l'association Roadmovie s'arrêtera à Dardagny vendredi, pour présenter le documentaire "Everything is...

InternationalIl y a 10 heures

L'ex-champion du monde Joseph Parker dément s'être dopé

L'ex-champion du monde des lourds Joseph Parker a démenti samedi avoir eu recours à des...