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La piscine des Vernets va élargir ses horaires au public

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La Ville de Genève élargit les horaires de ses piscines dès le mois de septembre. Une décision qui devrait ravir les nageurs toujours plus nombreux.

Plus de 102 heures de lignes d’eau supplémentaires pour les adeptes de la nage. C’est ce qu’annonce aujourd’hui le service des sports de la Ville de Genève. Dès le mois de septembre, la piscine des Vernets va élargir son offre au public le lundi soir jusqu’à 22 heures en créant 4 lignes d’eau supplémentaires et le vendredi soir de 20 à 22 heures avec 8 lignes d’eau supplémentaires. Ces ouvertures devraient permettre d’accueillir entre 600 à 800 nageurs de plus dans le bassin olympique des Vernets. Un accueil rendu possible grâce au déplacement d’une partie des entraînements des clubs de natation à la piscine de Lancy. Le Conseiller administratif chargé des sports en Ville de Genève, Sami Kanaan.

Sami KanaanConseiller administratif chargé des sports - Ville de Genève

Avec près d’un tiers de sa population qui nage, le canton est sous-doté selon les normes fédérales. Le Conseiller administratif chargé des sports en Ville de Genève, Sami Kanaan.

Sami KanaanConseiller administratif chargé des sports - Ville de Genève

Un projet de bassin de 25 mètres va voir le jour aux Eaux-vives et un autre de 50 à Meyrin à l’horizon 2022. L'idée d'un magic pass des piscines est lancée par certains utilisateurs. Le président de l'Association des usagers des bains et des piscines de Genève. Gérard Jolimay.

Gérard JolimayPrésident de l'Association des usagers des bains et des piscines de Genève

 

 

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Hockey

Troisième défaite de rang pour Lausanne

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Lausanne’ et Antoine Keller ont eu fort à faire avec DiDomenico et Ambri (© KEYSTONE/TI-PRESS/Alessandro Crinari)

Lausanne a subi sa troisième défaite consécutive en National League. A Ambri, les Vaudois se sont inclinés 4-3 tab et cèdent la troisième place à Berne qui a battu Rapperswil.

Un point c'est mieux que rien se diront certains supporters des Lions. En espérant un retour prochain de Rochette, Glauser et Oksanen, les Vaudois ont disputé une meilleure partie que jeudi face à Davos, même s'ils ont encaissé trop de buts.

Les hommes de Geoff Ward ont réalisé un bon premier tiers en prenant deux buts d'avance par Kuokkanen et Jäger quelques centièmes avant la sirène. Ce but aurait pu faire mal aux Léventins, mais ces derniers ont réduit le score après 35 secondes dans le tiers médian, puis Dominik Kubalik s'est signalé en inscrivant un doublé avec le deuxième juste avant la pause là aussi.

Il a fallu un très beau jeu de Frick et Riat pour que le numéro 9 des Lions égalise à la 51e d'un tir habilement placé. Les Lausannois ont ensuite donné le sentiment d'être plus proche du 4-3 que les Tessinois, mais plus rien n'a été marqué durant cette période, ni même au cours de la prolongation, là aussi dominée par les Lausannois, mais de manière assez stérile, hormis une occasion pour Suomela.

Les tirs au but ont donc décidé de l'octroi du deuxième point de cette partie et à ce jeu ce sont les Léventins qui se sont montrés les plus efficaces en en réussisant trois contre seulement deux pour les Vaudois.

Dans le deuxième match de la journée, Berne a poursuivi sa très bonne période en signant sa quatrième victoire de suite. Devant près de 17'000 spectateurs à domicile, les Ours ont pris le meilleur sur Rapperswil 4-2.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Les Roumains nombreux aux urnes, l'extrême droite pleine d'espoir

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Plusieurs électeurs ont confié leurs craintes que la Roumanie se détourne du chemin européen, comme Dorina Burcea, 41 ans: "Comme personne qui a vécu un peu sous le communisme et qui a pu ensuite profiter de toute l'ouverture de l'UE, je ne peux pas imaginer une autre option que l'UE et l'Otan". (© KEYSTONE/AP/Andreea Alexandru)

Les Roumains se pressaient aux urnes dimanche pour élire leur Parlement. Avec à la clé une possible percée de l'extrême droite et des interrogations sur le positionnement stratégique de cet État voisin de l'Ukraine, membre de l'UE et de l'Otan.

En quelques jours, le pays d'Europe orientale a vu se succéder les rebondissements, de l'arrivée en tête surprise du candidat d'extrême droite Calin Georgescu au premier tour de la présidentielle aux accusations des autorités quant à l'intégrité des élections.

Elles ont mis en cause l'influence russe dans le contexte régional actuel et le rôle de la plateforme TikTok. Au point que la Cour constitutionnelle a ordonné un nouveau comptage, toujours en cours.

En cette journée de fête nationale en Roumanie, les bureaux de vote seront ouverts jusqu'à 21h00 (20h00 heure suisse). Et les sondages sortie des urnes publiés peu après.

"Pas d'autre option que l'UE et l'Otan"

Plusieurs électeurs ont confié leurs craintes que la Roumanie se détourne du chemin européen, comme Dorina Burcea, 41 ans.

"En tant que personne qui a vécu un peu sous le communisme et qui s'en souvient encore, et qui a pu ensuite profiter de toute l'ouverture de l'UE, je ne peux pas imaginer une autre option que l'Union européenne et l'Otan", a-t-elle dit à l'AFP.

Le taux de participation s'élève vers 17h30 à plus de 44%, soit une mobilisation supérieure à celle des précédentes législatives.

Hémicycle fragmenté en vue

Après trois décennies d'une vie politique structurée par deux grands partis, les analystes prédisent un hémicycle fragmenté et des négociations difficiles pour former un gouvernement.

L'extrême droite, disséminée entre plusieurs formations qui ont en commun de s'opposer au soutien à Kiev au nom de la "paix" et de défendre des "valeurs chrétiennes", est créditée de plus de 30% d'intentions de vote.

Difficultés économiques et guerre

Depuis la chute du communisme en 1989, le pays n'a jamais connu pareille percée, mais la colère d'une grande partie des 19 millions d'habitants couve devant les difficultés économiques et la guerre de l'autre côté de la frontière.

George Sorin, économiste de 45 ans, a fait son choix: il votera pour un parti nationaliste. Le Parlement actuel "n'a fait que servir les intérêts de l'Ukraine", oubliant "ceux de la Roumanie", dit-il, critiquant aussi "la servilité" vis-à-vis de Bruxelles.

Ce bord politique est représenté par AUR (Alliance pour l'unité des Roumains), dont le candidat George Simion a recueilli près de 14% à la présidentielle, mais aussi par SOS Romania, dirigé par la tempétueuse candidate favorable au Kremlin Diana Sosoaca, ou encore le tout nouveau Parti de la jeunesse (POT).

Choisir "entre la stabilité et le chaos"

Dans le camp pro-européen adverse, les centristes d'USR espèrent tirer leur épingle du jeu après la qualification de leur cheffe de file Elena Lasconi au second tour de la présidentielle.

Grands perdants dimanche dernier, les sociaux-démocrates et les libéraux, au pouvoir dans une coalition, ont appelé à choisir "entre la stabilité et le chaos", selon le message lancé par le Premier ministre sortant Marcel Ciolacu.

Rester "un pays de liberté"

Dans le même sens, le président Klaus Iohannis a qualifié ces élections de "cruciales pour la direction de la Roumanie dans les années à venir".

Rester "un pays de liberté", "une nation européenne moderne" ou "sombrer dans un isolement néfaste et renouer avec un passé sombre", voilà "le choix existentiel auquel nous sommes confrontés", a-t-il averti.

2e tour de la présidentielle le 8 décembre

Le scrutin se déroule dans un climat fébrile après la décision de la justice de recompter les bulletins du premier tour de la présidentielle. S'il n'est pas annulé, le second tour aura lieu le 8 décembre.

En votant dès l'ouverture à Focsani, à près de trois heures de route de la capitale, M. Simion a dénoncé la tentative désespérée des partis traditionnels de "s'accrocher au pouvoir". "Ils n'écoutent pas la voix des Roumains et veulent rejouer le match pour obtenir les résultats qu'ils veulent".

Pour Septimius Parvu, coordinateur du groupe de réflexion Expert Forum (EFOR), nul doute que cette décision "mine la confiance" dans les institutions et est de nature à "alimenter" le vote d'extrême droite.

Les États-Unis se sont même immiscés dans le débat, espérant qu'aucune décision de l'entre-deux tours ne vienne "mettre en péril la crédibilité du processus électoral" et "ternir" la "solide réputation de la Roumanie comme partenaire démocratique fiable", selon une déclaration de son ambassadrice à Bucarest, Kathleen Kavalec.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Zelensky veut armes et garanties de l'Otan avant des négociations

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Le président ukrainien a évoqué la nécessité d'un "pas en avant avec l'Otan". "L'invitation de l'Ukraine à adhérer à l'Otan est nécessaire à notre survie", a-t-il plaidé, alors que Moscou affirme avoir lancé son invasion pour empêcher notamment un rapprochement entre Kiev et l'Alliance atlantique. (© KEYSTONE/EPA/SERGEY DOLZHENKO)

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a assuré dimanche que son pays a besoin de plus d'armes et des garanties de sécurité de l'Otan. Cela avant d'éventuelles négociations avec la Russie pour mettre un terme à l'invasion de l'Ukraine lancée en 2022.

M. Zelensky s'exprimait après une rencontre avec la nouvelle cheffe de la diplomatie européenne, Kaja Kallas, et le nouveau président du Conseil européen, Antonio Costa, tous deux en visite symbolique de soutien à Kiev au premier jour de leur mandat.

Ce voyage intervient alors que les tensions sont au plus haut entre Moscou et les Occidentaux après des frappes par l'Ukraine de missiles américains et britanniques sur le sol russe et le tir par la Russie d'un missile hypersonique expérimental et des menaces nucléaires.

"Pas en avant avec l'Otan" nécessaire

Alors que les appels à entamer des négociations avec Moscou se font plus pressants, y compris chez les alliés de Kiev, M. Zelensky a assuré que son pays avait besoin "d'armes, y compris un bon nombre ou un nombre suffisant d'armes à longue distance, de différents types".

Il a aussi évoqué la nécessité d'un "pas en avant avec l'Otan". "L'invitation de l'Ukraine à adhérer à l'Otan est nécessaire à notre survie", a-t-il plaidé. Cela alors que Moscou affirme avoir lancé son invasion pour empêcher notamment un rapprochement entre Kiev et l'Alliance atlantique.

"Ce n'est que lorsque nous aurons tous ces éléments et que nous serons forts que nous devrons établir (...) l'ordre du jour de la réunion avec les assassins", a déclaré M. Zelensky.

"Message clair" de l'UE

Quelques heures auparavant, le président du Conseil européen Antonio Costa avait affirmé que sa visite à Kiev était "un message clair". "Nous sommes aux côtés de l'Ukraine et nous continuons à lui apporter tout notre soutien", a-t-il déclaré aux journalistes, dont l'AFP.

La nouvelle équipe dirigeante de l'Union européenne tient à afficher un soutien ferme à l'Ukraine au moment où ses forces reculent sur le front et alors que l'arrivée prochaine de Donald Trump à la Maison Blanche fait craindre un arrêt de l'aide américaine à Kiev.

Moscou revendique la capture de 2 villages

Signe de ces difficultés, l'armée russe a revendiqué dimanche la capture de deux nouveaux villages dans l'est de l'Ukraine, Illinka et Petrivka, dans une région où ses avancées se sont accélérées à un niveau qui n'avait plus été vu depuis les toutes premières semaines de la guerre.

L'Ukraine a aussi été visée ces dernières semaines par plusieurs vagues de frappes visant ses infrastructures énergétiques, qui ont provoqué des coupures massives de courant à l'approche de l'hiver.

"Aussi un coût très élevé pour la Russie"

"La situation en Ukraine est très, très grave, mais il est clair qu'elle a également un coût très élevé pour la Russie", a assuré Kaja Kallas, ancienne Première ministre de l'Estonie, réputée pour être partisane d'une ligne dure face à Moscou.

Vendredi, M. Zelensky avait appelé l'Otan à offrir sa protection aux régions d'Ukraine encore contrôlées par Kiev et a laissé entendre qu'il serait alors prêt à renoncer dans l'immédiat à récupérer les territoires occupés par la Russie.

Vladimir Poutine réclame de son côté que l'Ukraine cède quatre régions du sud et de l'est que la Russie occupe partiellement, en plus de la Crimée annexée en 2014, et renonce à intégrer l'Otan.

"Ne rien exclure"

Mme Kallas a affirmé de son côté que "la garantie de sécurité la plus forte est l'adhésion à l'Otan". Les diplomates occidentaux estiment cependant qu'il y a peu de chances que l'Alliance accorde prochainement à l'Ukraine le statut de membre, compte tenu de l'opposition d'un grand nombre de pays qui craignent d'être entraînés dans une guerre directe avec la Russie.

Selon Mme Kallas, l'UE ne devrait de son côté "rien exclure" en ce qui concerne l'envoi de troupes européennes sur le sol ukrainien pour aider à faire respecter un éventuel cessez-le-feu, autre mesure qui implique un risque de conflit direct avec Moscou.

"Nous devrions entretenir une ambiguïté stratégique à ce sujet", a-t-elle plaidé. M. Zelensky a lui estimé que "la moitié des alliés cesseraient leur soutien" si Kiev faisait une telle demande.

Placer Kiev dans une position "forte"

L'UE continuera à chercher à placer Kiev dans une position "forte" en cas de négociations avec Moscou, a expliqué Mme Kallas. Elle a toutefois admis qu'il devenait "de plus en plus difficile" pour les 27 Etats membres de s'entendre sur de nouveaux moyens d'accroître leur soutien à l'Ukraine.

Sur le terrain, les frappes russes se poursuivaient dimanche. A Kherson, dans le sud de l'Ukraine, trois personnes ont été tuées et 11 blessées dans l'explosion d'un mini-bus, selon les autorités locales.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Retour à Madagascar de lémuriens et tortues en danger d'extinction

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Seize de ces petits primates apeurés, au visage triangulaire et au regard saisissant, typiques de Madagascar, sont arrivés dimanche à Antananarivo, ont constaté des correspondants de l'AFP. Il s'agit de lemur catta, l'espèce la plus emblématique avec leurs longues queues annelées noir et blanc. (© KEYSTONE/APA/DANIEL ZUPANC)

Plusieurs dizaines de lémuriens et plus de 900 tortues endémiques de Madagascar, qui avaient été trafiqués puis saisis en Thaïlande, vont être rapatriés cette semaine dans l'île-Etat de l'océan Indien, a confirmé dimanche son ministre de l'Environnement.

Seize de ces petits primates apeurés, au visage triangulaire et au regard saisissant, typiques de Madagascar qui possède l'une des plus riches biodiversités au monde, comptant de nombreuses espèces endémiques, sont déjà arrivés dimanche dans des cages sur le tarmac de la capitale Antananarivo, ont constaté des correspondants de l'AFP.

Il s'agit de lemur catta, l'espèce la plus emblématique avec leurs longues queues annelées noir et blanc.

Quarantaine

Cette semaine, 31 lemurs fauves, aux yeux jaune ou orange, arriveront aussi sur l'île, pris en charge par des vétérinaires et mis en quarantaine avant d'être réintroduits "dans leurs habitats naturels", précise le communiqué du ministère.

Ainsi que 914 tortues, de type radiées et araignées, saisies en mai par les autorités thaïlandaises, dans ce que les deux pays ont qualifié de plus grande opération jamais réalisée contre le trafic d'espèces sauvages.

"Efforts considérables"

Ce rapatriement "marque l'aboutissement des efforts considérables" menés par Madagascar pour "faire revenir ces espèces endémiques, classées en danger et en danger critique d'extinction", se félicite le gouvernement, qui se dit déterminé à lutter "contre la politique illicite des ressources naturelles".

Les quatre espèces concernées sont considérées comme menacées, notamment par la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction (CITES).

Thaïlande, plaque tournante du trafic

Bien que de nombreuses populations de flore et de faune soient relativement intactes à Madagascar, beaucoup d'espèces - dont plus de 100 espèces de lémuriens - sont menacées d'extinction, selon la liste rouge de l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN).

La Thaïlande est une plaque tournante notoire pour le trafic d'espèces sauvages, généralement à destination de marchés importants comme le Vietnam ou la Chine.

L'Asie du Sud-Est joue un rôle central dans le commerce illégal d'espèces endémiques de Madagascar, a noté un rapport de l'ONG TRAFFIC de mars 2023, indiquant que les reptiles, amphibiens, et certaines plantes étaient aussi concernés.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Suisse

Bison terrassé par la Langue bleue à la Cellule d'élevage de Suchy

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Bisons de la cellule de conservation dans la forêt de Suchy (illustration datant de 2020). (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

La maladie de la Langue bleue (BT) fait des ravages parmi les bisons de Suisse romande également. L'Association des bisons d’Europe de la forêt de Suchy (ABEFS) annonce dimanche le décès d'une femelle née en 2017, qui était arrivée à Suchy (VD) il y a cinq ans.

L'ABEFS "a le regret de vous annoncer que notre femelle Pola IV, surnommée la Teigne du fait d’un caractère affirmé, est morte au matin du 29 novembre. Elle était née en 2017 dans le centre d’élevage de Pszczyna en Pologne", indique un communiqué.

Depuis fin octobre, plusieurs animaux de la Cellule d’élevage de Suchy faisant partie du réseau des centres européens de conservation du bison ont contracté la maladie de la Langue bleue. Celle-ci est due à un virus véhiculé par une très petite mouche de la famille des cératopogonidés, précise l'ABEFS.

Selon l’Office fédéral des affaires vétérinaires, la maladie est aujourd’hui largement répandue sur le Plateau suisse et touche beaucoup d’élevages bovins.

A Suchy, c’est d’abord un mâle qui a présenté les signes de la maladie dès le 20 octobre. Il a été traité avec des anti-inflammatoires. Puis deux autres bêtes ont été touchées, dont Pola IV, qui, contrairement aux autres, ne s'en est pas remise.

Chez les bovins, les symptômes de la Langue bleue sont une salivation abondante, suivie d’un blocage des muscles de la mâchoire puis des pattes, ce qui entraîne une paralysie qui les empêche de s’abreuver, de se nourrir et de se déplacer. Le tout est accompagné d'une perte rapide de poids.

Pola IV a aussi subi d'autres complications, comme une inflammation des pieds, un décollement de la corne des onglons et une importante insuffisance rénale.

Espèce fragilisée

A l’échelle internationale, plusieurs cas de mortalité sont signalés depuis cet automne dans des Centres d’élevage similaires à celui de la forêt de Suchy, notamment dans les Carpathes en Roumanie, où déjà trois bisons sont morts

Ces "malheureux événements rappellent la fragilité de ces bisons d’Europe qui sont tous issus des douze individus réunis en 1922 et qui ont servi à la renaissance de l’espèce", relève l'ABEFS. "L’espèce - qui compte environ 10'000 individus en Europe de l'Est surtout - continue de souffrir d'un appauvrissement génétique, avec les faiblesses qui vont avec."

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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