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Six étrangers retrouvés morts dans une chambre d'hôtel de Bangkok

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Le personnel de nettoyage a découvert dans un hôtel à Bangkok les corps inanimés des six clients (image prétexte/archive). (© KEYSTONE/EPA/NARONG SANGNAK)

Les corps sans vie de six étrangers ont été découverts dans une chambre d'un hôtel de luxe du centre touristique de Bangkok, a indiqué mardi le Premier ministre thaïlandais Srettha Thavisin. La police soupçonne un empoisonnement.

"Il n'y avait aucun signe de lutte", a déclaré M. Srettha lors d'une conférence de presse à l'hôtel Grand Hyatt Erawan, dans le quartier chic de Pathum Wan, où les corps ont été découverts.

"Une autopsie doit être conduite pour voir s'ils ont ingéré quelque chose", a-t-il dit, balayant des rumeurs selon lesquelles les décès étaient liés à un vol impliquant une fusillade. Le Premier ministre a ajouté que les six personnes décédées étaient vietnamiennes, et que deux d'entre elles possédaient également la nationalité américaine.

Le personnel de nettoyage a découvert en fin d'après-midi au quatrième étage de l'hôtel les corps inanimés des clients qui devaient partir dans la journée, a indiqué aux journalistes Thiti Sangsawang, de la police métropolitaine. Le Premier ministre est arrivé sur place peu de temps après la découverte des corps, mentionnant la probabilité qu'un septième Vietnamien puisse être impliqué dans cette affaire.

Le chef de la police métropolitaine de Bangkok, Thiti Sangsawang, a déclaré que les clients n'avaient pas quitté l'hôtel mardi après-midi. "Nous devons découvrir les mobiles", a-t-il déclaré, ajoutant que ces décès n'étaient pas le résultat d'un suicide, mais d'un "meurtre".

"Substance toxique"

La cause de leur décès serait en lien avec "une substance toxique", a précisé auparavant une source policière qui a requis l'anonymat. Certaines des victimes étaient venues en Thaïlande pour la première fois, d'après cet officier.

A Washington, le porte-parole du département d'Etat, Matthew Miller, a exprimé ses "plus sincères condoléances aux familles pour leur perte", déclarant que la situation était "surveillée de près". Le Grand Hyatt Erawan Bangkok est un hôtel de luxe situé dans le quartier central de Ratchaprasong, prisé des visiteurs pour le temple Erawan et les centres commerciaux.

Un centre commercial de ce district a été le théâtre d'une fusillade en octobre, lorsqu'un adolescent de 14 ans a tué trois personnes. Le tourisme représente un secteur clé de l'économie thaïlandaise, et le gouvernement multiplie les initiatives pour attirer les visiteurs, dans un contexte de croissance atone depuis la pandémie. Les autorités essayent notamment d'améliorer l'image du royaume, parfois associé aux arnaques et à l'insécurité.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Chasse à l'homme aux Etats-Unis après le meurtre d'une élue

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Melissa Hortman et son mari ont été abattus dans leur maison à Champlin, dans le Minnesota. (© KEYSTONE/AP/Bruce Kluckhohn)

Des centaines de policiers américains recherchaient samedi le suspect du meurtre d'une élue locale du Minnesota, tuée chez elle. Il s'agit d'un "acte délibéré de violence politique", selon les mots de Tim Walz, gouverneur de cet Etat du nord des Etats-Unis.

Un autre élu local et sa femme, également visés dans la nuit, ont été gravement blessés. La mort de Melissa Hortman intervient dans un contexte déjà particulièrement tendu aux Etats-Unis, entre déploiement de soldats à Los Angeles pour réprimer les manifestations, parade militaire à Washington et rassemblements anti-Trump à travers le pays.

La police a identifié samedi après-midi Vance Boelter, "un homme blanc de 57 ans" comme le suspect principal, recherché par des "centaines" d'agents dans la banlieue nord de Minneapolis. Il doit être considéré comme "armé et dangereux", a affirmé le patron du bureau d'enquête du Minnesota, demandant aux habitants d'aider la police à le retrouver, tout en restant prudents.

"Il a été vu pour la dernière fois ce matin avec un chapeau de cow-boy clair", a-t-il ajouté, photographie à l'appui.

"Terrible" attaque

Le président américain Donald Trump a rapidement dénoncé une "terrible" attaque, sa ministre de la justice insistant sur le fait que "cette horrible violence politique ne sera pas tolérée".

Le suspect, qui avait fui à pied après un échange de tirs avec la police, a, selon les autorités, laissé dans sa voiture des tracts portant le nom des manifestations anti-Trump, "No Kings", ainsi qu'un manifeste comportant une liste de nombreux élus, dont Melissa Hortman et John Hoffman.

Ces deux démocrates ont été la cible de tirs à leur domicile respectif situés dans la banlieue nord de Minneapolis, au beau milieu de la nuit de vendredi à samedi, selon la police.

Vers deux heures du matin, le tireur a d'abord visé le sénateur local John Hoffman et sa femme, habitant la localité de Champlin. Tous deux, "touchés par de nombreux tirs", ont été opérés à l'hôpital et "nous sommes raisonnablement optimistes sur le fait qu'ils vont survivre à cette tentative d'assassinat", a déclaré le gouverneur démocrate Tim Walz.

Ensuite, vers 03h30, en allant vérifier, par précaution, le domicile de Melissa Hortman, à quelques kilomètres de là, la police est tombée sur l'assaillant, qui a "immédiatement tiré sur eux", a déclaré le patron du bureau d'enquête du Minnesota. "L'individu a réussi à s'échapper durant cet échange de tirs", laissant sa voiture sur place.

La sécurité a été renforcée pour des élus présents sur la liste du suspect, selon la police du congrès à Washington. Il est néanmoins trop tôt pour identifier le mobile du crime, a déclaré samedi après-midi l'enquêteur. Une manifestation anti-Trump prévue à proximité a été annulée par les organisateurs.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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L'ex-président français Sarkozy exclu de la Légion d'honneur

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Outre celle des écoutes, Nicolas Sarkozy est mis en cause dans plusieurs affaires judiciaires. Il a notamment comparu au début 2025 pour des soupçons de financement libyen de sa campagne présidentielle de 2007 (archives). (© KEYSTONE/AP/THIBAULT CAMUS)

L'ex-président français Nicolas Sarkozy s'est vu retirer la Légion d'honneur, la plus haute distinction française, à la suite de sa condamnation à un an de prison ferme pour corruption, selon un arrêté publié dimanche. Il est aussi exclu de l'ordre national du Mérite.

Il devient ainsi le deuxième chef de l'Etat français privé de cette distinction après le maréchal Pétain, à qui la Légion d'honneur avait été retirée après sa condamnation en août 1945 pour haute trahison et intelligence avec l'ennemi.

Cette décision était attendue depuis que la condamnation de Nicolas Sarkozy a été rendue définitive par le rejet d'un pourvoi par la cour de cassation en décembre.

Dans l'affaire des écoutes, l'ex-chef de l'Etat (2007-2012) a été reconnu coupable d'avoir, en 2014, tenté de corrompre un magistrat de la cour de cassation, Gilbert Azibert, dans l'espoir d'obtenir des informations confidentielles et avec l'aide de son avocat Me Thierry Herzog. Tous trois ont été condamnés, en première instance et en appel, à la même peine de trois ans de prison, dont un ferme.

D'autres affaires en cours

Avec le rejet de son ultime recours en France, Nicolas Sarkozy était sous le coup d'une exclusion de la Légion d'honneur qui est automatique quand un récipiendaire est définitivement condamné pour un crime ou écope d'une peine d'emprisonnement égale ou supérieure à un an ferme.

Dans ces cas, le retrait est "de droit", avait souligné en mars le Grand chancelier de la Légion d'honneur, le général François Lecointre, qui a signé l'arrêté privant Nicolas Sarkozy des deux titres dont il était grand-croix, grade le plus élevé.

En vertu de l'arrêté signé du 5 juin, les deux coprévenus de Nicolas Sarkozy, Gilbert Azibert et Thierry Herzog, sont, eux aussi, exclus de la Légion d'honneur et de l'ordre national du Mérite.

Outre celle des écoutes, Nicolas Sarkozy est mis en cause dans plusieurs affaires judiciaires. Il a notamment comparu au début 2025 pour des soupçons de financement libyen de sa campagne présidentielle de 2007. Le jugement dans ce dossier sera rendu fin septembre.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Iran: une frappe israélienne a visé le ministère de la défense

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Israël poursuivait ses bombardements sur Téhéran dans la nuit de samedi à dimanche. (© KEYSTONE/EPA/ABEDIN TAHERKENAREH)

L'agence de presse iranienne Tasnim a affirmé dimanche que le ministère iranien de la défense à Téhéran a été pris pour cible par des frappes d'Israël. Les deux pays poursuivent leurs échanges de frappes depuis vendredi.

"Suite à l'attaque de ce soir par l'aviation du régime sioniste sur Téhéran, le siège du ministère de la défense a été pris pour cible", a indiqué Tasnim, ajoutant qu'un des bâtiments avait été "légèrement endommagé". Le ministère iranien de la défense n'a pas commenté.

En Israël, une femme d'une vingtaine d'années a été tuée et 14 autres ont été blessées samedi soir près d'Haïfa à la suite des tirs de missiles depuis l'Iran, ont indiqué les secours.

A Tel-Aviv, un journaliste de l'AFP a rapporté que des personnes s'étaient réfugiées dans des abris antiaériens après le retentissement des sirènes d'alerte à travers le pays.

Les missiles tirés par l'Iran sont une riposte à l'attaque massive en cours lancée vendredi matin par Israël sur ses installations militaires et nucléaires.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Trump s'est montré ravi de sa parade militaire à Washington

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Près de 7000 soldats et quelque 150 véhicules militaires, survolés par une cinquantaine d'avions, doivent défiler à Washington pour l'anniversaire de Donald Trump. (© KEYSTONE/AP/Jacquelyn Martin)

Le président américain Donald Trump s'est montré ravi de la grande parade militaire dont il avait rêvé, samedi à Washington. La journée a été marquée par de vastes manifestations contre sa politique à travers le pays et le meurtre d'une élue dans le Minnesota.

Le milliardaire républicain, qui fêtait ses 79 ans, a assisté durant environ deux heures depuis une tribune au défilé qui a rassemblé près de 7000 soldats et quelque 150 véhicules militaires, survolés par des dizaines d'avions et d'hélicoptères. Il a souvent applaudi les militaires et s'est levé à plusieurs reprises pour faire le salut militaire au passage des troupes.

Mais malgré le défilé de véhicules blindés et de chars d'assaut, la foule faisait preuve d'un enthousiasme mesuré, ont constaté des journalistes de l'AFP. La Maison-Blanche a avancé le nombre de 250'000 spectateurs.

Dans un discours inhabituellement bref à l'issue du défilé, le commandant en chef a rendu hommage à ses soldats, "des héros et des légendes", rappelant les nombreuses batailles du passé. "Nous sommes actuellement le meilleur pays au monde et notre pays sera bientôt plus grand et plus fort que jamais", s'est félicité Donald Trump.

Feux d'artifice et concert

La soirée s'est terminée avec un petit concert et des feux d'artifice tirés au pied du Washington monument. Le budget annoncé pour cette parade se montait à 45 millions de dollars.

"Je suis là parce que je suis un fan du président et aussi parce que je soutiens l'armée", a déclaré Oscar Williamson, lycéen de 17 ans originaire de l'Etat de New York, sous sa casquette rouge "Make America Great Again".

"Je ne soutiens pas Trump. Je n'ai pas voté pour lui et je n'aime pas sa politique. J'ai toujours été démocrate, mais j'aime une bonne parade militaire. J'aime un bon spectacle aérien", a indiqué de son côté son père, Paul Hagenloch, professeur d'histoire à l'université de Syracuse.

Cette démonstration de force est inhabituelle aux Etats-Unis, où le dernier défilé militaire d'envergure remontait à 1991, après la guerre du golfe. Et si officiellement cette manifestation célébrait les 250 ans de l'armée de terre, le fait qu'elle se déroule le jour des 79 ans de Donald Trump était particulièrement significatif, alors que le républicain ne cesse de repousser les limites du pouvoir présidentiel.

Meurtres dans le Minnesota

La journée avait démarré sous de tristes auspices aux Etats-Unis, où Melissa Hortman, 55 ans, élue du Minnesota et son mari ont été tués à leur domicile samedi au petit matin. Il s'agit d'un "acte délibéré de violence politique", a dénoncé Tim Walz, gouverneur de cet Etat du nord.

Un autre élu démocrate et sa femme ont également été gravement blessés chez eux par des tirs. Le suspect, un homme blanc de 57 ans, considéré "armé et dangereux", reste activement recherché.

Le pays a également été le théâtre samedi de centaines de manifestations, baptisées "No Kings", pour protester contre l'"autoritarisme" de Donald Trump et "la militarisation de notre démocratie".

Des centaines de milliers d'opposants à Donald Trump sont descendus dans les rues, sans incident majeur.

Soldats hués à Los Angeles

Ainsi, à New York, des dizaines de milliers de personnes se sont rassemblées sur la 5e avenue malgré la pluie, dans une ambiance bon enfant.

"Il est essentiel pour nous de montrer que la démocratie est encore forte dans ce pays, que les gens le ressentent. Nous voulons aussi montrer à nos enfants que, lorsque nous penserons à cette période de l'histoire où la démocratie était menacée, nous avons choisi de participer", a déclaré à l'AFP Vikas Mehta, médecin de 45 ans venu manifester avec sa femme et leurs deux enfants.

A Los Angeles, après des rassemblements contre les arrestations brutales d'immigrés, les milliers de manifestants ont défilé sous le regard des militaires envoyés par Donald Trump pour tenter de juguler les violences. Les membres de la garde nationale, qui surveillent certains bâtiments, ont été hués par le cortège, mais n'ont pas répondu.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Israël-Iran: défense activée dans neuf provinces iraniennes

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Les bombardements entre Israël et l'Iran ont fait des dizaines de morts en deux jours. (© KEYSTONE/EPA/ABIR SULTAN)

L'Iran a activé sa défense antiaérienne samedi soir dans neuf provinces dont celle de Téhéran. Le premier ministre israélien Benyamin Netanyahou a averti vouloir frapper "tous les sites du régime", au deuxième jour d'une attaque contre la République islamique.

Le président iranien, Massoud Pezeshkian, a lui promis une riposte "plus forte" contre Israël si son armée poursuivait ses frappes meurtrières. L'armée israélienne a ensuite fait état de tirs de missiles en provenance d'Iran, appelant la population à se confiner aux abris. L'alerte a été abaissée peu après.

L'armée de l'air israélienne a frappé samedi plusieurs sites, ciblant notamment des systèmes de défense aérienne dans la région de Téhéran et des dizaines de lanceurs de missiles. Objectif: démanteler les capacités militaires et nucléaires de son ennemi juré.

Alors que l'armée israélienne avait indiqué plus tôt qu'elle disposait désormais d'une "liberté d'action aérienne dans tout l'ouest de l'Iran, jusqu'à Téhéran", des médias iraniens ont fait état en soirée de l'activation de la défense antiaérienne à Téhéran et dans sept provinces, dans l'ouest, le sud et le centre.

Un "coup" au programme nucléaire

"Nous allons frapper tous les sites et les cibles du régime", a déclaré M. Netanyahou, affirmant avoir le "soutien manifeste" du président américain Donald Trump. "Nous avons infligé un véritable coup à leur programme nucléaire", a-t-il ajouté.

Après un appel téléphonique avec Moscou, M. Trump a cependant dit être d'accord avec son homologue russe Vladimir Poutine sur le fait que "la guerre Israël-Iran doit s'arrêter".

Disant disposer de renseignements prouvant que Téhéran s'approchait du "point de non-retour" vers la bombe atomique, Israël a lancé son attaque vendredi, touchant plus de 200 sites militaires et nucléaires.

Le représentant iranien à l'ONU, Amir Saeid Iravani, avait fait état vendredi d'au moins 78 morts et plus de 320 blessés dont une "grande majorité de civils". Une frappe de drone contre une ambulance dans le nord-ouest du pays a fait samedi deux morts, selon le Croissant-Rouge iranien.

"Téhéran brûlera"

En riposte, l'Iran a tiré des missiles dès vendredi vers Israël, pour la plupart interceptés, selon l'armée israélienne. Mais des dégâts importants ont été recensés dans la région de Tel-Aviv (centre), où les secouristes ont fait état de trois morts et de dizaines de blessés.

Alors que les appels à la retenue se multiplient à l'international, le chef de la diplomatie iranienne, Abbas Araghchi, a accusé Israël de précipiter le Moyen-Orient dans un "dangereux cycle de violence".

Le ministre israélien de la défense, Israël Katz, a prévenu que "Téhéran brûlera" si l'Iran continuait à tirer des missiles vers Israël. Des médias iraniens ont fait état d'attaques dans plusieurs provinces dans le nord-ouest et l'ouest, dont certaines abritent des bases militaires.

Un chef de la police et cinq membres des gardiens de la révolution, l'armée idéologique de l'Iran, ont été tués, selon des médias locaux. Une agence iranienne a fait état d'une frappe contre une raffinerie stratégique dans le sud et l'armée israélienne a affirmé avoir frappé une installation souterraine de lancement de missiles à Khorramabad, dans l'ouest de l'Iran.

"Confiance en mon pays"

L'espace aérien de l'Iran est fermé jusqu'à nouvel ordre, a annoncé l'agence officielle IRNA. En Israël, l'aéroport international Ben Gourion, près de Tel-Aviv, est aussi fermé.

Selon l'agence de presse iranienne Mehr, l'Iran a averti qu'il attaquerait dans la région des cibles des pays qui aideraient Israël à repousser les attaques iraniennes.

Un responsable américain avait indiqué plus tôt que les Etats-Unis avaient aidé Israël à abattre des missiles iraniens. Le Royaume-Uni a envoyé des avions de chasse au Moyen-Orient.

L'Iran est soupçonné par les Occidentaux et par Israël, considéré par des experts comme la seule puissance nucléaire au Moyen-Orient, de vouloir se doter de l'arme atomique. Téhéran dément et défend son droit à développer un programme nucléaire civil.

Allié d'Israël, M. Trump avait appelé vendredi l'Iran à conclure un accord avec les Etats-Unis sur son programme nucléaire alors qu'un nouveau cycle de pourparlers indirects était prévu dimanche à Oman. Mais Mascate a annoncé samedi que ces discussions n'auraient pas lieu, l'Iran accusant Israël de les avoir sapées.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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