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Philippe en meeting à Marseille pendant que LR élit son chef

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Bruno Retailleau figure parmi les favoris (archives). (© KEYSTONE/AP/Thibault Camus)

Edouard Philippe tient samedi à Marseille un troisième "meeting inter-régional". Parallèlement à cette réunion, son ancien parti, Les Républicains (LR), élit son président, entre un Bruno Retailleau jugé compatible et un Laurent Wauquiez nettement plus fermé.

L'ancien Premier ministre d'Emmanuel Macron (2017-2020), fondateur et président du parti Horizons (2021), convie ses soutiens - plus de 1700 inscrits - au Parc Chanot, à proximité du stade Vélodrome. Le meeting, prévu initialement dimanche, a été avancé voici plusieurs semaines.

Dimanche soir, seront annoncés les résultats du congrès LR, qui oppose ces derniers mois le ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau et le président du groupe à l'Assemblée, Laurent Wauquiez.

Edouard Philippe a d'ailleurs été invité dans les débats de cette campagne interne des LR, M. Wauquiez soupçonnant M. Retailleau d'envisager une alliance à son profit.

M. Wauquiez "veut la pureté de la droite, moi je souhaite rassembler, et les électeurs veulent que le pays passe avant le parti. Je n'ai rencontré personne sur le terrain me dire qu'il fallait qu'on se divise", a rétorqué Edouard Philippe dans le Parisien.

A deux ans du terme du second mandat d'Emmanuel Macron, Edouard Philippe domine les sondages dans le bloc central pour affronter le candidat du RN au deuxième tour de l'élection présidentielle.

"Justice" et "contrat social"

Le maire du Havre doit cependant composer, dans le camp macroniste, avec la potentielle candidature de Gabriel Attal et, sur sa droite, avec le retour au premier plan des Républicains, au gouvernement depuis le passage éphémère de Michel Barnier à Matignon.

Après avoir dévoilé sa méthode et son calendrier mi-mars à Lille, il doit aborder samedi les thèmes régaliens, et notamment celui de la justice. "Avec quelques propositions concrètes", précise à l'AFP M. Philippe, qui abordera la question de la formation des magistrats, des peines plancher et des peines ultra courtes et suggèrera "qu'on réfléchisse à la mission, voire à l'existence du juge d'application des peines".

"Imaginer transformer puissamment le pays sans l'idée de s'appuyer sur une plus grande justice est voué à l'échec", explique M. Philippe, qui va aborder "la question du contrat social, des injustices auxquelles les Français sont confrontés".

"Contrat social"

Le patron d'Horizons va aborder "l'injustice faite à la jeunesse: l'accès au logement, infiniment plus dur que les générations d'avant. Le système de financement de la protection sociale, qui repose essentiellement sur le travail et fait peser sur ses épaules un poids démentiel".

"Il faut traiter cette notion d'injustice, et la ré-instiller dans le contrat social", prône-t-il.

Avant le patron d'Horizons (15h45), devaient s'exprimer également le ministre de la Fonction publique Laurent Marcangeli, le maire de Nice et vice-président d'Horizons Christian Estrosi (ex-LR), le président de la région Renaud Muselier (Renaissance, ex-LR) et la présidente de la métropole d'Aix-Marseille Martine Vassal (LR).

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Crash du Boeing 787 d'Air India: deuxième boîte noire retrouvée

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La première boîte avait été retrouvée au lendemain du crash (archives) (© KEYSTONE/AP/Ajit Solanki)

La deuxième boîte noire du Boeing 787 d'Air India qui s'est écrasé jeudi à Ahmedabad, dans le nord-ouest de l'Inde, a été retrouvée dimanche, ont annoncé les autorités indiennes. La première avait été récupérée vendredi.

"La boîte noire (Cockpit voice recorder", qui enregistre les discussions dans le cockpit a été trouvée, a annoncé dans un communiqué Dr P. K. Mishra, le principal sécrétaire du Premier ministre indien Narendra Modi, dans un communiqué.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Au moins cinq morts au Vietnam liées au typhon Wutip

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Le typhon s'est manifesté tant en mer que sur terre. (© KEYSTONE/EPA/XINHUA / Yang Guanyu)

Les intempéries causées par le typhon Wutip, qui se sont abattues samedi sur le centre du Vietnam, ont fait au moins cinq morts et deux disparus, selon un premier bilan du gouvernement.

Le ministère vietnamien de l'Agriculture a déclaré samedi soir que trois personnes avaient été tuées dans la province de Quang Tri et que deux autres avaient été tuées, ainsi que deux portées disparues, dans la province de Quang Binh.

Plus de 70'000 hectares de terres cultivées ont été inondés, selon le ministère.

Le typhon Wutip a touché terre dans le sud de la Chine samedi avec des rafales de vent atteignant 128 km/h. Il a été rétrogradé en tempête tropicale, après être descendu le long du golfe du Tonkin.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp

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Chasse à l'homme aux Etats-Unis après le meurtre d'une élue

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Melissa Hortman et son mari ont été abattus dans leur maison à Champlin, dans le Minnesota. (© KEYSTONE/AP/Bruce Kluckhohn)

Des centaines de policiers américains recherchaient samedi le suspect du meurtre d'une élue locale du Minnesota, tuée chez elle. Il s'agit d'un "acte délibéré de violence politique", selon les mots de Tim Walz, gouverneur de cet Etat du nord des Etats-Unis.

Un autre élu local et sa femme, également visés dans la nuit, ont été gravement blessés. La mort de Melissa Hortman intervient dans un contexte déjà particulièrement tendu aux Etats-Unis, entre déploiement de soldats à Los Angeles pour réprimer les manifestations, parade militaire à Washington et rassemblements anti-Trump à travers le pays.

La police a identifié samedi après-midi Vance Boelter, "un homme blanc de 57 ans" comme le suspect principal, recherché par des "centaines" d'agents dans la banlieue nord de Minneapolis. Il doit être considéré comme "armé et dangereux", a affirmé le patron du bureau d'enquête du Minnesota, demandant aux habitants d'aider la police à le retrouver, tout en restant prudents.

"Il a été vu pour la dernière fois ce matin avec un chapeau de cow-boy clair", a-t-il ajouté, photographie à l'appui.

"Terrible" attaque

Le président américain Donald Trump a rapidement dénoncé une "terrible" attaque, sa ministre de la justice insistant sur le fait que "cette horrible violence politique ne sera pas tolérée".

Le suspect, qui avait fui à pied après un échange de tirs avec la police, a, selon les autorités, laissé dans sa voiture des tracts portant le nom des manifestations anti-Trump, "No Kings", ainsi qu'un manifeste comportant une liste de nombreux élus, dont Melissa Hortman et John Hoffman.

Ces deux démocrates ont été la cible de tirs à leur domicile respectif situés dans la banlieue nord de Minneapolis, au beau milieu de la nuit de vendredi à samedi, selon la police.

Vers deux heures du matin, le tireur a d'abord visé le sénateur local John Hoffman et sa femme, habitant la localité de Champlin. Tous deux, "touchés par de nombreux tirs", ont été opérés à l'hôpital et "nous sommes raisonnablement optimistes sur le fait qu'ils vont survivre à cette tentative d'assassinat", a déclaré le gouverneur démocrate Tim Walz.

Ensuite, vers 03h30, en allant vérifier, par précaution, le domicile de Melissa Hortman, à quelques kilomètres de là, la police est tombée sur l'assaillant, qui a "immédiatement tiré sur eux", a déclaré le patron du bureau d'enquête du Minnesota. "L'individu a réussi à s'échapper durant cet échange de tirs", laissant sa voiture sur place.

La sécurité a été renforcée pour des élus présents sur la liste du suspect, selon la police du congrès à Washington. Il est néanmoins trop tôt pour identifier le mobile du crime, a déclaré samedi après-midi l'enquêteur. Une manifestation anti-Trump prévue à proximité a été annulée par les organisateurs.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

L'ex-président français Sarkozy exclu de la Légion d'honneur

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Outre celle des écoutes, Nicolas Sarkozy est mis en cause dans plusieurs affaires judiciaires. Il a notamment comparu au début 2025 pour des soupçons de financement libyen de sa campagne présidentielle de 2007 (archives). (© KEYSTONE/AP/THIBAULT CAMUS)

L'ex-président français Nicolas Sarkozy s'est vu retirer la Légion d'honneur, la plus haute distinction française, à la suite de sa condamnation à un an de prison ferme pour corruption, selon un arrêté publié dimanche. Il est aussi exclu de l'ordre national du Mérite.

Il devient ainsi le deuxième chef de l'Etat français privé de cette distinction après le maréchal Pétain, à qui la Légion d'honneur avait été retirée après sa condamnation en août 1945 pour haute trahison et intelligence avec l'ennemi.

Cette décision était attendue depuis que la condamnation de Nicolas Sarkozy a été rendue définitive par le rejet d'un pourvoi par la cour de cassation en décembre.

Nicolas Sarkozy a "pris acte" dimanche de son exclusion de la Légion d'honneur et rappelle que la Cour européenne des droits de l'homme (CEDH) doit encore se prononcer sur son recours dans l'affaire des écoutes, a indiqué son avocat Patrice Spinosi dans une déclaration transmise à l'AFP.

Cour européenne des droits de l'homme

"Nicolas Sarkozy prend acte de la décision prise par le Grand Chancelier. Il n'a jamais fait de cette question une affaire personnelle", a affirmé Patrice Spinosi, soulignant que si l'ancien chef de l'Etat "a fait valoir des arguments juridiques, c'était au nom de la fonction même de président de la République".

"La condamnation de la France (par la CEDH) impliquera la révision de la condamnation pénale prononcée à l'encontre (de Nicolas Sarkozy) en même temps que l'exclusion de l'ordre de la Légion d'Honneur, l'une n'étant que la conséquence de l'autre", a assuré Patrice Spinosi.

Dans l'affaire des écoutes, l'ex-chef de l'Etat (2007-2012) a été reconnu coupable d'avoir, en 2014, tenté de corrompre un magistrat de la cour de cassation, Gilbert Azibert, dans l'espoir d'obtenir des informations confidentielles et avec l'aide de son avocat Me Thierry Herzog. Tous trois ont été condamnés, en première instance et en appel, à la même peine de trois ans de prison, dont un ferme.

D'autres affaires en cours

Avec le rejet de son ultime recours en France, Nicolas Sarkozy était sous le coup d'une exclusion de la Légion d'honneur qui est automatique quand un récipiendaire est définitivement condamné pour un crime ou écope d'une peine d'emprisonnement égale ou supérieure à un an ferme.

Dans ces cas, le retrait est "de droit", avait souligné en mars le Grand chancelier de la Légion d'honneur, le général François Lecointre, qui a signé l'arrêté privant Nicolas Sarkozy des deux titres dont il était grand-croix, grade le plus élevé.

En vertu de l'arrêté signé du 5 juin, les deux coprévenus de Nicolas Sarkozy, Gilbert Azibert et Thierry Herzog, sont, eux aussi, exclus de la Légion d'honneur et de l'ordre national du Mérite.

Outre celle des écoutes, Nicolas Sarkozy est mis en cause dans plusieurs affaires judiciaires. Il a notamment comparu au début 2025 pour des soupçons de financement libyen de sa campagne présidentielle de 2007. Le jugement dans ce dossier sera rendu fin septembre.

Lien avec Pétain indigne

Davantage que le retrait de sa décoration, c'est le lien avec le maréchal Pétain qui est commenté dans les milieux politiques. "Ce lien avec le maréchal Pétain est indigne", s'est emportée la porte-parole du gouvernement Sophie Primas (LR), prenant "acte" elle aussi de cette décision "automatique qui fait partie du code de la Légion d'Honneur".

"Le président Sarkozy a été là pour la France à des moments extrêmement compliqués", a-t-elle déclaré, se disant "un peu réservée non pas sur la règle, mais sur ce qu'elle entraîne comme comparaison".

"C'est une règle, mais c'est aussi une honte", a déploré sur franceinfo le nouveau secrétaire général de LR, Othman Nasrou, proche de Bruno Retailleau, apportant son "soutien et son respect" à l'ex-président.

A gauche, le député écologiste Benjamin Lucas s'est félicité de la décision, appelant sur X à ce que "la République prive de ses privilèges et de son influence institutionnelle celui qui a déshonoré sa fonction et trahi le serment sacré qui lie le peuple à ses élus, celui de la probité".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Israël poursuit ses bombardements en Iran, qui riposte

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Le ministère iranien du Pétrole a indiqué que deux dépôts de carburant ont été frappés à Téhéran, dont celui de Shahran où un incendie s'est déclaré. (© KEYSTONE/EPA/ABEDIN TAHERKENAREH)

Israël a bombardé dimanche des sites militaires et des dépôts de carburant en Iran, où le gouvernement a annoncé que les mosquées, les stations de métro et les écoles serviraient d'abris à la population, au 3e jour d'un conflit inédit entre les deux pays ennemis.

En Israël, les salves de missiles tirés par l'Iran samedi soir et dimanche avant l'aube ont fait 10 morts et plus de 200 blessés selon les secours et la police, et provoqué dégâts et destructions. "L'Iran paiera un prix très lourd", a dit le premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu.

En Iran, au moins 128 personnes dont des femmes et des enfants ont été tuées et environ 900 blessées vendredi et samedi dans les frappes israéliennes, a indiqué le quotidien Etemad, citant le ministère de la Santé.

Samedi, M. Netanyahu a annoncé vouloir frapper "tous les sites et les cibles du régime" en Iran, après que son armée a lancé vendredi une attaque sans précédent contre ce pays avec l'objectif affiché de l'empêcher d'obtenir l'arme nucléaire.

Allié d'Israël, le président américain Donald Trump a prévenu l'Iran que son armée répliquerait avec "toute sa force" s'il attaquait les Etats-Unis, réaffirmant que son pays "n'avait rien à voir" avec les attaques israéliennes.

Mais le chef de la diplomatie iranienne Abbas Araghchi a affirmé que l'Iran disposait de "preuves solides sur un soutien des forces et bases américaines dans la région aux attaques" d'Israël.

L'armée israélienne a indiqué avoir frappé 80 objectifs à Téhéran lors de raids nocturnes ayant mobilisé "une cinquantaine d'avions de combat".

Parmi les cibles, des sites liés au nucléaire et deux dépôts de carburant. Un épais nuage de fumée s'élève encore d'un des dépôts.

Dimanche après-midi, de nouvelles explosions ont été entendues à Téhéran. Selon des médias iraniens, les systèmes de défense aérienne ont été activés.

Le siège de la police à Téhéran, situé dans le centre-ville de la capitale iranienne, a été touché par un drone israèlien, a indiqué l'agence de presse Isna, citant un communiqué de la police. L'attaque a causé des "dégâts mineurs" et blessé "plusieurs" membres des forces de l'ordre, a-t-elle ajouté.

Trafic à la sortie de Téhéran

Dans la capitale, cafés, magasins et boutiques ont ouvert et la circulation a repris. De longues files d'attente se sont formées aux stations-service, ont constaté des journalistes de l'AFP.

Mais le chef de la police routière, Ahmad Karami, a signalé à l'agence de presse IRNA un "trafic intense aux points de sortie de la capitale" et "l'augmentation" du nombre de véhicules quittant Téhéran "par rapport aux jours normaux".

Le gouvernement a annoncé que les mosquées, les stations de métro et les écoles serviraient d'abris dès dimanche soir à la population, sans préciser si cette annonce concernait Téhéran seulement.

L'armée israélienne a appelé les Iraniens à évacuer les zones "à proximité d'installations militaires" après avoir ciblé notamment "le ministère de la Défense" et ce qu'Israël présente comme "le siège du projet nucléaire (militaire) iranien (l'Organisation d'innovation et de recherche défensives), ainsi que des sites où le régime cachait les archives nucléaires" à Téhéran.

Le président iranien Massoud Pezeshkian a demandé de son côté dimanche à l'Irak d'interdire à Israël d'utiliser son espace aérien et son territoire pour ses attaques contre l'Iran.

Sortie des abris en Israël

A plus de 1500 km de là, les sirènes d'alerte ont retenti dans la nuit dans plusieurs villes d'Israël, après les salves de missiles iraniens qui ont provoqué dégâts et destructions à Bat Yam, au sud de Tel-Aviv, et à Tamra (nord).

Dimanche en milieu d'après-midi, Israël a abaissé son niveau d'alerte. La population pouvait sortir des abris près d'une heure après avoir été avertie de s'y rendre, a annoncé l'armée.

Depuis le début du conflit, 13 personnes ont péri et 380 ont été blessées en Israël, selon les autorités.

"L'Iran paiera un prix très lourd pour le meurtre prémédité de civils, femmes et enfants", a déclaré M. Netanyahu à l'occasion d'une visite à Bat Yam.

Une grande partie des missiles et des drones iraniens a été interceptée selon l'armée israélienne. Les Etats-Unis ont aidé Israël à les abattre, avait indiqué vendredi un responsable américain.

"Collecte de renseignements"

Affirmant que l'Iran s'approchait du "point de non-retour" vers la bombe atomique, Israël a lancé vendredi sa campagne aérienne massive contre la République islamique en ciblant des centaines de sites militaires et nucléaires iraniens.

Il a aussi tué les plus hauts gradés d'Iran dont le chef des Gardiens de la Révolution, Hossein Salami, le chef d'état-major, Mohammad Bagheri, et neuf scientifiques du programme nucléaire.

L'Iran est soupçonné par les Occidentaux et par Israël, considéré par des experts comme la seule puissance nucléaire au Moyen-Orient, de vouloir se doter de l'arme atomique. Téhéran dément et défend son droit à développer un programme nucléaire civil.

"Si l'agression cesse, notre riposte cessera", a déclaré M. Araghchi.

Il a accusé Israël de chercher à "faire dérailler" les négociations sur le nucléaire avec les Etats-Unis. Des discussions indirectes irano-américaines, prévues dimanche à Oman, n'auront pas lieu.

Lors des frappes en Iran, Israël a ciblé notamment le centre pilote d'enrichissement d'uranium de Natanz (centre), dont la partie en surface a été détruite selon l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA). Il a dit aussi avoir "démantelé" une usine de conversion d'uranium à Ispahan (centre).

Après avoir visé des systèmes de défense aériens et des dizaines de lanceurs de missiles, Israël a assuré samedi disposer désormais d'une "liberté d'action aérienne dans tout l'ouest de l'Iran, jusqu'à Téhéran".

"Cela fait plus de 15 ans qu'Israël suit le programme nucléaire" iranien, relève Michael Horowitz, géopoliticien israélien. Les frappes constituent "l'aboutissement d'années de collecte de renseignements et de pénétration de la République islamique".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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