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Musk accuse un juge de censure: ouverture d'une enquête au Brésil

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Elon Musk avait accusé de "censure" un juge de la cour suprême brésilienne (archives). (© KEYSTONE/dpa/Sebastian Gollnow)

Un juge de la cour suprême du Brésil a ordonné dimanche l'ouverture d'une enquête contre Elon Musk, propriétaire de la plateforme X (ex-Twitter), qui l'a accusé de "censure". L'entrepreneur a aussi réclamé sa démission dans des attaques répétées depuis samedi.

Dans un arrêt judiciaire consulté par l'AFP, le magistrat Alexandre de Moraes a évoqué une supposée "instrumentalisation criminelle de X" de la part du milliardaire.

Il a également enjoint "le réseau social X de s'abstenir de désobéir à tout ordre judiciaire, y compris en réactivant un compte dont le blocage a été ordonné par la cour suprême", sous peine d'une amende de 100'000 réaux (environ 17'800 francs) par profil réactivé.

Ce juge a ordonné lui-même ces dernières années le blocage de comptes sur X, certains étant soupçonnés de propager de la désinformation. "Les réseaux sociaux ne sont pas des terres sans loi", a-t-il martelé, en lettres majuscules, dans son arrêt judiciaire.

Bête noire de Bolsonaro

Samedi soir, M. Musk avait commencé une série d'attaques sur X contre ce magistrat, indiquant notamment qu'il allait contester ses décisions judiciaires en "levant toutes les restrictions", sans donner plus de précisions.

"Nous allons probablement perdre tous nos revenus au Brésil et devoir fermer nos bureaux là-bas. Mais les principes sont plus importants que le profit", avait-il insisté.

Dimanche, il était revenu à la charge, affirmant que le juge Alexandre de Moraes devrait "démissionner ou être destitué" pour avoir "trahi de façon effrontée et réitérée la constitution et le peuple du Brésil".

Figure clivante, Alexandre de Moraes est un des onze membres de la cour suprême brésilienne. Il préside également le tribunal supérieur électoral (TSE). Fer de lance de la lutte contre la désinformation au Brésil, il a ordonné le blocage de comptes de personnalités influentes sur les réseaux sociaux, la plupart d'entre elles étant des sympathisants de l'ex-président d'extrême droite Jair Bolsonaro (2019-2022).

Ce dernier a été déclaré inéligible en juin 2023 par le TSE pour avoir disséminé de fausses informations sur le système électoral brésilien. Il est également ciblé par une enquête pour "tentative de coup d'Etat" après sa défaite électorale face au président de gauche Luiz Inacio Lula da Silva en octobre 2022.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Un mort et plusieurs blessés par balles en Seine-Saint-Denis

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Une personne a été tuée et plusieurs ont été grièvement blessées lors d'une fusillade dans la nuit de vendredi à samedi à Sevran en Seine-Saint-Denis, une commune pauvre de banlieue parisienne (photo prétexte). (© Keystone/EPA/NARONG SANGNAK)

Une personne a été tuée et plusieurs ont été grièvement blessées lors d'une fusillade dans la nuit de vendredi à samedi à Sevran en Seine-Saint-Denis, a appris l'AFP du parquet de Bobigny, confirmant une information d'Actu 17.

Les faits se sont produits vendredi vers 23h45, dans le quartier des Beaudottes de cette commune pauvre de banlieue parisienne.

A l'arrivée des forces de l'ordre sur les lieux, quatre personnes blessées se trouvaient à terre, selon les informations d'une source policière.

Malgré l'intervention des secours, une personne a été déclarée décédée sur les lieux quelques minutes après la fusillade. Les trois autres, aux pronostics vitaux engagés, ont été évacuées vers différents hôpitaux de la région parisienne. Dans la nuit, trois autres blessés par balles ont été hospitalisés au centre hospitalier d'Aulnay-sous-Bois, ville voisine de Sevran, a ajouté cette même source.

Selon les premières informations, deux individus seraient arrivés sur un parking à bord d'une voiture Peugeot 5008. Le passager serait sorti du véhicule puis aurait tiré à plusieurs reprises avant de prendre la fuite, a indiqué la source policière.

Aucune interpellation n'avait eu lieu samedi en début de matinée.

Une enquête a été ouverte pour homicide volontaire en bande organisée et tentatives d'homicides volontaires en bande organisée et confiée à la brigade criminelle de la police judiciaire parisienne, a indiqué le parquet à l'AFP.

Stéphane Blanchet, le maire de la ville, a précisé que les faits ont eu lieu sur un parking à proximité d'un centre culturel. "On ne va pas se voiler la face: c'est forcément un règlement de comptes lié au trafic de stupéfiants".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Le Hamas en Egypte pour discuter de l'offre de trêve à Gaza

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Une délégation du Hamas est en Egypte pour poursuivre les discussions sur une trêve dans la bande de Gaza, où l'aide arrive au compte-gouttes. (© KEYSTONE/AP/Hatem Ali)

Une délégation du mouvement islamiste palestinien Hamas se trouve samedi en Egypte pour discuter d'une proposition d'accord de trêve dans la bande de Gaza avec Israël, qui menace de lancer une opération terrestre à Rafah malgré les mises en garde internationales.

Sur le terrain, des frappes israéliennes meurtrières ont été menées à travers le territoire palestinien notamment sur cette ville surpeuplée du sud, selon des sources hospitalières et des témoins.

Après quasiment sept mois d'une guerre dévastatrice, l'offre de trêve sur la table comprend une pause de 40 jours de l'offensive israélienne à Gaza et la libération de prisonniers palestiniens contre celle d'otages enlevés lors de l'attaque sans précédent du Hamas le 7 octobre dans le sud d'Israël, qui a déclenché la guerre.

La délégation du mouvement islamiste, menée par Khalil al-Hayya, numéro deux de la branche politique à Gaza, est arrivée en Egypte, a déclaré un responsable du Hamas, ajoutant qu'un premier round de négociations devait débuter en début d'après-midi avec "la présence des délégations du Qatar, de l'Egypte et des Etats-Unis", les pays médiateurs.

Plus tôt, le site Axios, avait fait état de la présence au Caire du chef de la CIA, William Burns.

Citant une "source de haut rang", Al-Qahera News, un média égyptien proche des renseignements, a indiqué que les médiateurs égyptiens étaient "parvenus à une formule consensuelle sur la plupart des points de désaccord".

Le responsable du Hamas a affirmé que plusieurs points devaient encore être réglés.

Au pouvoir dans la bande de Gaza depuis 2007, le mouvement palestinien avait indiqué vendredi aller au Caire "dans un esprit positif" pour poursuivre les discussions sur l'offre de trêve avec Israël et "parvenir à un accord".

"Vaincre notre ennemi"

Les pays médiateurs attendent depuis près d'une semaine la réponse du Hamas à cette nouvelle offre de trêve.

Vendredi, le Hamas s'est dit "déterminé" à obtenir "un arrêt total de l'agression" israélienne, "le retrait" des forces israéliennes de Gaza et "un arrangement sérieux pour l'échange" d'otages israéliens contre des prisonniers palestiniens.

Israël refuse de son côté un cessez-le-feu définitif, insistant pour mener une offensive terrestre sur Rafah qui constitue selon lui le dernier grand bastion du mouvement islamiste où s'entassent plus d'un million de Palestiniens, en majorité des déplacés par la guerre.

"Nous ferons ce qui est nécessaire pour gagner et vaincre notre ennemi, y compris à Rafah", a répété cette semaine le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu en réaffirmant son intention de lancer cette offensive "avec ou sans accord" de trêve.

Pour Hossam Badran, membre du bureau politique du Hamas, les déclarations de M. Netanyahu sur un assaut à Rafah "visent clairement à faire échouer toute possibilité d'accord" de trêve.

"Au-delà de l'acceptable"

Les Etats-Unis, grand allié d'Israël, ont manifesté à plusieurs reprises leur opposition à cette attaque.

Selon M. Blinken, Israël n'a présenté aucun plan pour protéger les civils de Rafah et de ce fait, les Etats-Unis ne peuvent soutenir une telle opération "car les dommages qu'elle causerait seraient au-delà de ce qui est acceptable".

"Une opération militaire à grande échelle à Rafah pourrait conduire à un bain de sang", a prévenu lui aussi vendredi Tedros Adhanom Ghebreyesus le chef de l'Organisation mondiale de la santé (OMS).

Rafah, située à la frontière fermée de l'Egypte, est le principal point de passage terrestre de l'aide humanitaire pour le territoire palestinien assiégé par Israël.

Une offensive serait "un coup dur pour les opérations humanitaires dans l'ensemble de la bande de Gaza", a averti le Bureau des Affaires humanitaires de l'ONU.

L'aide internationale, strictement contrôlée par Israël, arrive au compte-gouttes dans la bande de Gaza et reste très insuffisante pour répondre aux besoins des quelque 2,4 millions de Gazaouis.

La guerre Israël-Hamas a débuté le 7 octobre par une attaque de commandos du mouvement islamiste dans le sud israélien qui a entraîné la mort de plus de 1170 personnes, essentiellement des civils, selon un bilan de l'AFP établi à partir de données officielles israéliennes.

Durant l'attaque, plus de 250 personnes ont été enlevées et 128 restent captives à Gaza, dont 35 sont mortes, selon l'armée.

Frappes meurtrières

En représailles, Israël a juré de détruire le Hamas qu'il considère comme une organisation terroriste de même que les Etats-Unis et l'Union européenne. Et son armée a lancé une offensive de grande envergure à Gaza qui a fait jusqu'à présent 34'654 morts, majoritairement des civils, selon le ministère de la Santé du Hamas.

Un correspondant de l'AFP a fait état samedi de bombardements et de combats intenses dans la ville de Gaza (nord).

Trois corps et trois personnes blessées ont été retirés des décombres d'une maison bombardée dans un quartier nord, selon la Défense civile de Gaza.

Des frappes israéliennes ont aussi eu lieu dans le centre de la bande de Gaza et à Rafah où l'hôpital Abou Youssef al-Najjar a dit avoir reçu un corps et plusieurs blessés après un bombardement sur une maison.

Selon l'armée israélienne, des avions ont frappé des "cibles terroristes" dans le secteur de Khan Younès (sud) après qu'un engin lancé vers un kibboutz dans le sud d'Israël est tombé près de la "barrière de sécurité".

A la faveur de la guerre, des groupes armés palestiniens, dont l'un se revendiquant du Hamas, ont dérobé en avril 66 millions d'euros dans les coffres de plusieurs agences bancaires de Gaza, selon le quotidien Le Monde.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Starliner de Boeing va enfin transporter ses premiers astronautes

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Le Starliner de Boeing va bientôt décoller. (© KEYSTONE/AP/Reed Saxon)

Tout est enfin prêt: le vaisseau Starliner de Boeing doit décoller lundi et transporter pour la première fois des astronautes de la Nasa jusqu'à la Station spatiale internationale -- avec plusieurs années de retard sur SpaceX.

Cet ultime vol test de Starliner, avant le début de ses opérations régulières, est crucial pour le géant de l'industrie aérospatiale, qui joue entre autres sa réputation.

Commandé il y a dix ans par la Nasa, le développement du vaisseau a été marqué par les mauvaises surprises et reports successifs, une série noire à laquelle Boeing espère bien mettre un terme.

Les astronautes américains Butch Wilmore et Suni Williams doivent décoller lundi à 22H34 de Cap Canaveral en Floride (04H34 Heure suisse mardi) à bord de la capsule Starliner, qui sera propulsée en orbite par une fusée Atlas V du groupe ULA.

Ces deux vétérans de l'espace, tous deux venus de l'US Navy, se sont chacun déjà rendus deux fois dans la Station spatiale internationale (ISS), à bord d'une navette spatiale puis d'un vaisseau russe Soyouz. "Ce sera comme revenir à la maison", a anticipé Suni Williams.

Mais concernant la capsule les y menant, "tout est nouveau, tout est unique", a souligné Butch Wilmore. "Je ne crois pas qu'aucun de nous ait jamais osé rêver être associé au premier vol d'un tout nouveau vaisseau", s'est-il réjoui.

Pour la Nasa aussi, l'enjeu est grand: avoir un deuxième véhicule en plus de celui de SpaceX pour transporter les astronautes américains "est très important", a souligné Dana Weigel, en charge du programme de l'ISS.

Cette capacité permettra de pouvoir mieux répondre à "différents scénarios d'urgence", par exemple en cas de problème sur l'un des vaisseaux, a-t-elle expliqué.

Série de revers

Starliner doit s'amarrer à l'ISS vers 07H00 Heure suisse mercredi et y rester un peu plus d'une semaine. Des tests seront réalisés pour vérifier son fonctionnement, puis les deux astronautes repartiront avec lui vers la Terre. La réussite de cette mission viendrait clore sur une bonne note un programme de développement qui s'est révélé semé d'embûches.

En 2019, lors d'un premier test sans équipage, la capsule n'avait pas pu être placée sur la bonne trajectoire et était revenue sans atteindre l'ISS.

Puis, en 2021, alors que la fusée se trouvait déjà sur le pas de tir pour retenter le vol, un problème de valves bloquées sur la capsule avait encore entraîné un report. Le vaisseau vide avait finalement réussi à atteindre l'ISS en mai 2022.

Désormais, le premier vol avec équipage doit permettre de certifier la capsule, pour qu'elle commence ensuite ses vols réguliers vers l'ISS.

Boeing avait espéré pouvoir réaliser ce premier vol habité dès 2022, mais des problèmes découverts tardivement, notamment sur les parachutes freinant la capsule lors de son retour dans l'atmosphère terrestre, avaient encore repoussé l'échéance.

"Il y a eu un certain nombre de choses qui ont été des surprises, que nous avons dû surmonter", a déclaré lors d'une conférence de presse Mark Nappi, responsable chez Boeing. Mais "cela a rendu nos équipes très fortes, et fières de la façon dont elles ont vaincu chaque problème", a-t-il assuré.

"Il est assez classique que le développement d'un véhicule spatial pour humains prenne dix ans", a-t-il défendu.

"Embarrassant"

"Nous aurons certainement des imprévus durant cette mission, des choses que nous nous attendons à apprendre, car c'est une mission test", a prévenu Jim Free, administrateur associé à la Nasa. Il a rappelé qu'il s'agissait seulement du sixième vaisseau américain à être inauguré par des astronautes.

La capsule Dragon de SpaceX avait déjà rejoint ce club très privé en 2020, dans le sillage des programmes Mercury, Gemini, Apollo et des navettes spatiales.

Une fois Starliner opérationnel, la Nasa souhaite alterner entre les vols de SpaceX et de Boeing pour acheminer ses astronautes jusqu'à l'ISS.

En 2014, l'agence spatiale avait passé un contrat de 4,2 milliards avec Boeing et de 2,6 milliards avec SpaceX pour le développement de ces vaisseaux.

"Tout le monde pensait que Boeing allait y arriver en premier", a rappelé pour l'AFP Erik Seedhouse, professeur associé à l'université d'aéronautique Embry-Riddle. "Que SpaceX réussisse bien avant Starliner était très embarrassant pour Boeing."

Alors que l'ISS doit être mise à la retraite en 2030, Starliner comme Dragon pourraient par la suite servir à acheminer des humains vers de futures stations spatiales privées, que plusieurs entreprises prévoient déjà de construire.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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La voiture de Bruno Le Maire heurte un cycliste ayant grillé un feu

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A gauche, le ministre français de l'Economie Bruno Le Maire. (© KEYSTONE/EPA/LUDOVIC MARIN / POOL)

La voiture du ministre de l'Economie Bruno Le Maire a percuté vendredi soir à Paris un cycliste qui avait grillé un feu rouge, a appris l'AFP auprès de deux sources, l'une policière et l'autre dans l'entourage du ministre.

Bruno Le Maire conduisait son véhicule personnel après avoir quitté le ministère quand "il a percuté à une intersection dans le 6e arrondissement, peu après 19h30, un cycliste qui avait franchi le feu au rouge", a expliqué la source dans l'entourage du ministre.

Le cycliste, touché à l'arcade sourcilière et souffrant d'un possible traumatisme à la tête, a été évacué par les sapeurs-pompiers vers l'hôpital Cochin, a indiqué la source policière, selon laquelle l'accident a eu lieu rue Bonaparte vers 19h40.

Bruno Le Maire n'a pas été blessé dans l'accident, a-t-on précisé dans son entourage. "Comme tout citoyen dans un tel cas, il a répondu aux questions des policiers et a passé sur place un test d'alcoolémie. Il a aussi passé un test de dépistage de drogues. Et les deux tests étaient négatifs", a indiqué cette source à l'AFP.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Les internautes américains en quête d'un zèbre en cavale

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L'animal,nommé Z, s'est échappé lors de son transport vers un zoo (archives). (© KEYSTONE/AP/Tropoer Rick Johnson)

A l'aéroport, à un match de baseball, avec l'abominable homme des neiges... Les internautes cherchent à coups de memes où pourrait bien se trouver un zèbre actuellement en cavale dans l'Ouest des Etats-Unis.

L'histoire de cet animal à rayures, nommé Z et qui s'est échappé lors de son transport vers un zoo, a rapidement fait le tour des réseaux sociaux.

Ce drôle de zèbre épris de liberté s'est échappé dimanche, lorsque sa propriétaire Kristine Keltgen s'est arrêtée sur une autoroute de l'Etat de Washington pour réajuster le tapis de sa remorque.

Lorsqu'elle a ouvert la porte, les quatre femelles zèbres qu'elle transportait ont pris la tangente. "La première chose à laquelle j'ai pensé a été de les éloigner de la route", a raconté Mme Keltgen, selon plusieurs médias américains. "Puis je me suis dit que j'avais besoin d'aide."

Heureusement, un professionnel du rodéo et deux dresseurs de chevaux ont aperçu la scène et se sont arrêtés. L'équipe a réussi à récupérer trois femelles, mais Z a sauté par-dessus une barrière et s'est évanouie dans la nature.

Depuis, la fugitive a été aperçue par de nombreux témoins et par des systèmes de vidéosurveillance, selon les autorités locales. Mais sa cavale dure toujours.

Les habitants sont priés de ne pas s'approcher de Z et de ne pas essayer de le capturer eux-mêmes. La chasse est menée par des services spécialistes de la faune du comté de King. Vendredi, un sentier de randonnée a été fermé dans la région. "Il semble que ce soit une zone fréquentée par le zèbre", ont expliqué les autorités sur les réseaux sociaux.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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