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Mazan: les parties civiles pour une "prise de conscience" sociétale

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"Tous ont choisi de démissionner de la pensée pour faire prévaloir leur pulsion", a estimé l'avocat de Gisèle Pelicot à propos des accusé, demandant que la cour prenne des décisions "claires" et "fermes". (© KEYSTONE/EPA/GUILLAUME HORCAJUELO)

Le procès des viols de Mazan doit mener à une "prise de conscience" de la société, a plaidé mercredi devant la cour de Vaucluse un avocat de Gisèle Pelicot. Celle-ci a été droguée et violée pendant dix ans par son mari et des dizaines d'inconnus recrutés sur internet.

"Par ce geste presque politique de renoncer au huis clos", le 2 septembre, à l'ouverture de ce procès hors norme, Mme Pelicot a "invité toute la société à se poser des questions, à prendre conscience, à changer les mentalités, pour un avenir qui romprait enfin avec une violence qu'on voudrait d'un autre âge", a insisté Me Antoine Camus.

"Comment, en France, en 2024, une femme peut encore subir ce qu'a subi Gisèle Pelicot pendant au moins 10 ans ? Comment peut-on trouver en France 50, mais en réalité 70 individus (plusieurs n'ont jamais été identifiés et ne sont pas jugés), des hommes", pour venir agresser sexuellement ce corps, a poursuivi l'avocat.

Et Me Camus, évoquant les vidéos des faits, de rappeler que Mme Pelicot était à ce point inerte "qu'on la croirait morte", "au point qu'il faille rouler (son corps) sur lui-même pour le mouvoir".

Rendre "justice et vérité"

Pendant une heure, sans effet de manche, il a demandé à ce que "justice et vérité" soient rendues en condamnant Dominique Pelicot, le "chef d'orchestre" de cette décennie de viols, à leur domicile conjugal de Mazan, mais également ses 50 coaccusés qui, "tous, avaient leur libre arbitre".

"Chacun à son niveau a contribué à cette monstruosité et a permis que se poursuive le calvaire d'une femme", a-t-il affirmé, "c'est la banalité du mal d'Hannah Arendt".

"Pas de profil de violeur"

"Il serait temps d'intégrer que les violeurs ne sont pas forcément sériels, qu'on peut violer une fois dans sa vie. Il n'existe pas de profil de violeur. Il faut distinguer le prédateur sexuel, qui va chasser sa proie, et le violeur qui va choisir une opportunité".

Me Camus a notamment balayé la possibilité d'une quelconque altération du discernement des accusés, en réponse à la dizaine d'avocats de la défense qui, mercredi matin même, ont déposé cette demande subsidiaire à la cour concernant 33 des 50 coaccusés.

Décisions "claires" et "fermes" exigées

"Tous ont choisi de démissionner de la pensée pour faire prévaloir leur pulsion", a-t-il estimé, demandant que la cour prenne des décisions "claires" et "fermes", notamment sur la question entourant l'intentionnalité du viol, argument mis en avant par la quasi totalité des coaccusés qui reconnaissent la matérialité des faits mais pas "l'intention de violer".

"Gisèle Pelicot aurait toutes les raisons du monde d'être aujourd'hui dans la haine, d'opposer les hommes et les femmes et de fustiger la sexualité masculine en général", a conclu l'avocat. Mais son "choix de porter sa voix par deux hommes ne procède pas d'un hasard, c'est une décision mûrement réfléchie. Gisèle Pelicot a choisi de transformer cette boue en matière noble et de dépasser la noirceur de son histoire pour s'y trouver un sens : elle compte sur la cour pour l'y aider".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp

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L'armée israélienne dit avoir intercepté un missile tiré du Yémen

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L'armée israélienne dit avoir intercepté un missile tiré du Yémen (archives). (© KEYSTONE/AP/Baz Ratner)

L'armée israélienne a annoncé jeudi avoir intercepté un missile lancé du Yémen. Lundi, elle avait mené une série d'attaques contre les infrastructures des rebelles houthis dans ce pays.

"A la suite du déclenchement il y a peu de temps des sirènes d'alerte dans plusieurs régions d'Israël, un missile lancé du Yémen a été intercepté", a indiqué l'armée sur le réseau social X.

L'armée israélienne avait bombardé tôt lundi le port de Hodeida et d'autres zones sous contrôle des insurgés yéménites soutenus par l'Iran, qui avaient riposté par des tirs de missiles eux aussi interceptés.

Depuis la fin 2023, les Houthis lancent régulièrement des missiles vers Israël, la plupart interceptés avant leur entrée dans l'espace aérien israélien. Ils ont aussi attaqué des navires considérés comme liés à l'Etat hébreu, affirmant agir par solidarité avec les Palestiniens dans la bande de Gaza où l'armée israélienne est en guerre contre le Hamas.

Les rebelles yéménites ont revendiqué mercredi une attaque contre un navire marchand en mer Rouge, la deuxième en 24 heures contre un bateau dans cette voie maritime essentielle pour le commerce mondial.

Mardi, les Etats-Unis, alliés d'Israël, ont accusé les Houthis de "porter atteinte à la liberté de navigation en mer Rouge", malgré un accord de cessez-le-feu en mai avec Washington qui a mis fin à des semaines de bombardements américains des cibles rebelles au Yémen.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Trump annonce des taxes de 50% sur le cuivre dès le 1er août

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Donald Trump invoque la sécurité nationale des Etats-Unis pour justifier les droits de douane sur le cuivre. (© KEYSTONE/EPA/AARON SCHWARTZ / POOL)

Le président américain Donald Trump a annoncé mercredi des droits de douane de 50% sur les importations de cuivre à partir du 1er août. Ce métal était jusqu'à présent exempté des taxes douanières plancher de 10% imposées en avril.

"J'annonce une surtaxe de 50% sur le cuivre, qui entrera en vigueur le 1er août 2025, après avoir reçu une évaluation approfondie en matière de sécurité nationale", a déclaré mercredi le président américain sur son réseau social Truth Social, sans doute en référence à une enquête du département du commerce.

"Le cuivre est le deuxième matériau le plus utilisé par le ministère de la défense", a-t-il tempêté, évoquant les besoins du pays pour construire des semi-conducteurs, avions, navires, munitions, centres de données et systèmes de défense anti-missiles, entre autres.

Au nom du rééquilibrage des relations commerciales au profit des Etats-Unis, Donald Trump a imposé en avril une surtaxe plancher de 10% sur les importations, y compris si elles ne peuvent être produites sur place, mais avec des exemptions, notamment pour l'or, le cuivre, le pétrole et les médicaments.

Brésil visé

Il est revenu mardi sur ces exceptions, envisageant par exemple une surtaxe de 200% sur les produits pharmaceutiques et de 50% sur le cuivre, une menace qui a fait s'envoler le cours du métal de près de 10% à New York mardi, dépassant son sommet historique.

Si les droits de douane sur le cuivre entrent en vigueur, les prix des biens fabriqués avec ce métal (réfrigérateurs, voitures) pourraient grimper, comme pour les autres produits surtaxés à l'importation.

Mercredi, le président américain a aussi annoncé une surtaxe de 50% sur les produits brésiliens, jusqu'ici épargnés, car les Etats-Unis dégagent un excédent commercial dans leurs échanges avec le géant sud-américain.

Dans un courrier adressé au président brésilien Lula, M. Trump affirme que ces droits de douane seront imposés en réponse aux poursuites lancées contre l'ex-président brésilien Jair Bolsonaro, jugé dans son pays pour tentative de coup d'Etat.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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La capitale ukrainienne Kiev visée par une attaque russe

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Les bombardements russes contre les infrastructures civiles, notamment à Kiev, se sont intensifiés ces dernières semaines. (© KEYSTONE/EPA/STATE EMERGENCY SERVICE HANDOUT)

Des frappes de drones russes sur la capitale ukrainienne Kiev dans la nuit de mercredi à jeudi ont fait au moins huit blessés, selon les autorités locales. Elles ont mis en garde contre l'approche d'autres missiles.

Le maire de la capitale Vitali Klitschko a indiqué sur le réseau social Telegram que les frappes avaient fait cinq blessés, dont quatre ont été hospitalisés. L'administration militaire de Kiev, qui a mis en garde contre une menace de missile balistique sur la ville, a plus tard fait état de huit personnes blessées.

Au moins six districts ont été visés. Les frappes ou les débris de drones interceptés ont notamment touché des immeubles résidentiels, des véhicules, des entrepôts et des immeubles de bureaux, selon le chef de l'administration militaire Timour Tkatchenko, qui a appelé les habitants à rester dans les abris.

"L'attaque ennemie se poursuit, les forces de défense abattent les cibles ennemies", a-t-il ajouté sur Telegram. L'armée de l'air ukrainienne a pour sa part annoncé qu'un "groupe de missiles" était "en approche de Kiev depuis l'est".

Intensification des attaques

Des journalistes de l'AFP à Kiev ont entendu de puissantes déflagrations sur la ville pendant la nuit et ont vu les explosions de projectiles interceptés par la défense antiaérienne.

Plusieurs dizaines d'habitants ont trouvé refuge dans une station de métro du centre-ville où des matelas et du matériel de camping étaient à leur disposition en attendant la fin de l'attaque.

L'Ukraine a affirmé mercredi que la Russie avait lancé la nuit précédente sa plus grande attaque aérienne depuis le début de l'invasion en février 2022, avec 728 drones et 13 missiles dont la quasi-majorité a été interceptée, selon Kiev, dans un contexte d'intensification des frappes russes et d'impasse diplomatique.

Réunions à Londres et Kuala Lumpur

A Londres, le premier ministre britannique Keir Starmer et le président français Emmanuel Macron doivent participer jeudi à une réunion en visioconférence sur l'Ukraine, avec notamment le président ukrainien Volodymyr Zelensky, la première ministre italienne Giorgia Meloni ou le chancelier allemand Friedrich Merz.

Selon l'Elysée, des représentants américains devraient également y assister. Le président américain Donald Trump a durci le ton contre la Russie ces derniers jours, menaçant de nouvelles sanctions tout en promettant du matériel militaire supplémentaire aux Ukrainiens.

Le secrétaire d'Etat américain Marco Rubio doit pour sa part rencontrer jeudi son homologue russe Sergueï Lavrov en marge de la réunion des chefs de diplomatie des pays d'Asie du Sud-Est (Asean) à Kuala Lumpur.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Trump félicite le président libérien pour son niveau d'anglais

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Donald Trump a reçu plusieurs présidents africains à la Maison-Blanche, dont le président libérien Joseph Boakai. (© KEYSTONE/AP/Evan Vucci)

Le président américain Donald Trump a complimenté mercredi à la Maison-Blanche le président du Liberia, Joseph Boakai, pour son niveau d'anglais, qui est la langue officielle de ce pays d'Afrique de l'Ouest.

"Merci, et dans un si bon anglais, si beau", a déclaré le président américain alors qu'il recevait cinq présidents africains à la Maison-Blanche pour évoquer des questions commerciales, notamment d'exploitation de minerais.

"Où avez-vous appris à le parler de manière aussi belle? Où avez-vous étudié? Au Liberia?", a pressé Donald Trump. Joseph Boakai a d'abord eu un petit rire gêné avant de simplement répondre "oui monsieur" à la dernière question.

Etudes au Kansas

"Eh bien, c'est très intéressant. C'est un bel anglais. J'ai des gens autour de cette table qui sont loin de le parler aussi bien que vous", a conclu le président américain.

Le Liberia est la plus ancienne république d'Afrique subsaharienne, fondée en 1822 sous l'impulsion des Etats-Unis pour des esclaves noirs affranchis. L'anglais est sa langue officielle et la plus largement utilisée à travers le pays.

Président depuis 2024, Joseph Boakai a étudié à l'université du Liberia, dans la capitale Monrovia, ainsi qu'à l'université d'Etat du Kansas, dans le centre des Etats-Unis.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Trump menace de punir le Brésil avec une surtaxe de 50%

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Dans ses lettres, Donald Trump assure que toute riposte sera sanctionnée par une surtaxe additionnelle de même ampleur. (© KEYSTONE/EPA/WILL OLIVER / POOL)

Le Brésil est devenu mercredi la cible inattendue de l'offensive douanière du président américain Donald Trump, au nom de la défense par Washington de l'ex-président brésilien Jair Bolsonaro, jugé pour tentative de coup d'Etat. Sept nouvelles lettres ont été envoyées.

Le géant d'Amérique du Sud est venu s'ajouter à la vingtaine de pays destinataires depuis lundi d'un courrier annonçant la surtaxe qui s'appliquera à compter du 1er août sur leurs produits entrant aux Etats-Unis.

Six nouvelles lettres ont été dévoilées mercredi en fin de matinée, à destination de l'Algérie, du sultanat du Brunei, d'Irak, de Libye, de Moldavie et des Philippines, auxquelles s'est ensuite ajoutée une septième missive, pour le Sri Lanka.

Mais la surprise est venue en fin de journée de l'annonce d'une surtaxe de 50% sur les produits brésiliens, jusqu'ici épargnés, alors que les Etats-Unis dégagent un excédent commercial dans leurs échanges avec le pays sud-américain.

"Une honte internationale"

Dans un courrier adressé à son homologue brésilien Lula, le président américain affirme que ces droits de douane seront imposés en réponse aux poursuites lancées contre Jair Bolsonaro.

"La manière dont le Brésil a traité l'ancien président Bolsonaro [...] est une honte internationale", écrit M. Trump dans son courrier, estimant que les poursuites contre l'ex-dirigeant brésilien d'extrême droite sont "une chasse aux sorcières [qui] doit cesser immédiatement".

Outre ce cas particulier, la majorité des pays ayant reçu un courrier voient la surtaxe qui leur sera appliquée évoluer positivement ou négativement par rapport à l'annonce initiale de l'exécutif américain, au début avril.

Dans le détail, les produits algériens devraient être taxés à 30% (inchangé), tout comme ceux provenant de Libye (-1 point de pourcentage), d'Irak (-9 points) et du Sri Lanka (-14 points), ceux provenant de Moldavie et du Brunei le seront à 25% (respectivement -6 points et +1 point). Quant aux produits philippins, la surtaxe sera de 20% (+3 points).

Lundi, quatorze capitales, principalement d'Asie, avaient reçu une lettre, avec une surtaxe allant de 25% (Japon, Corée du Sud, Tunisie notamment) à 40% (Laos et Birmanie) en passant par 36% (Cambodge et Thaïlande).

Mercredi ou jeudi pour l'UE

Donald Trump avait affirmé mardi qu'il comptait envoyer d'autres lettres dans les prochains jours, notamment vers l'Union européenne (UE), qui devrait selon lui "probablement" recevoir son courrier mercredi ou jeudi.

Mercredi, un porte-parole de la Commission européenne a assuré que l'UE comptait parvenir à un accord avec les États-Unis "dans les prochains jours".

Cela ne devrait cependant concerner que le cadre général des échanges commerciaux entre les deux rives de l'Atlantique nord, qui laisserait de côté les principaux points d'achoppement entre Bruxelles et Washington.

L'objectif de l'UE est d'éviter toute surtaxe (au-delà du plancher de 10% mis en place par Washington en avril), avec des exemptions pour des secteurs clés tels que l'aéronautique, les cosmétiques et les boissons alcoolisées.

1er août

Initialement, les nouvelles surtaxes devaient commencer à être collectées le 9 juillet, après un précédent report, mais M. Trump a signé en début de semaine un décret pour repousser la date au 1er août.

Dans ses lettres, M. Trump assure que toute riposte sera sanctionnée par une surtaxe additionnelle de même ampleur.

Le président américain avait annoncé au début avril des droits de douane punitifs allant jusqu'à 50% sur les produits des pays ayant un excédent commercial avec les Etats-Unis.

Devant l'émoi international et la panique des marchés financiers, Donald Trump avait mis ces surtaxes sur pause pour 90 jours, afin de permettre des négociations avec les partenaires commerciaux, la Maison-Blanche assurant que plusieurs dizaines d'accords seraient signés dans l'intervalle.

Pour l'heure, seuls deux accords ont été annoncés, avec le Royaume-Uni et le Vietnam, alors qu'un compromis de désescalade a été paraphé avec la Chine, après un mois de guerre commerciale.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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