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Les salariés de Boeing votent la grève à une écrasante majorité

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La grève entraînera la fermeture de deux grandes usines d'assemblage d'avions dans la région de Puget Sound, dans l'Etat de Washington (archives). (© KEYSTONE/AP/Stephen Brashear)

Les salariés de Boeing de la région de Seattle, aux Etats-Unis, ont voté à une très large majorité en faveur d'une grève dès vendredi, rejetant la nouvelle convention proposée par l'avionneur américain en difficulté, a annoncé leur syndicat.

Les travailleurs ont rejeté la convention à 94,6% et voté jeudi soir la grève à 96%, a précisé Jon Holden, président du syndicat des machinistes IAM-District 751. "Nous ferons grève à minuit", soit à 07H00 GMT vendredi, a-t-il ajouté.

"Nos membres se sont exprimés haut et fort ce soir", a affirmé M. Holden, dont le syndicat qui représente environ 33'000 travailleurs dans le nord-ouest du Pacifique, avait initialement soutenu l'accord. M. Holden avait auparavant déclaré ne pas pouvoir "garantir que nous obtiendrons davantage en faisant grève".

La grève entraînera la fermeture de deux grandes usines d'assemblage d'avions dans la région de Puget Sound - les deux tiers des votes étaient nécessaires pour lancer un arrêt de travail dès l'expiration jeudi à minuit de la convention actuelle, vieille de 16 ans.

Elle va paralyser la production du 737, du 777 et du 767 cargo, dont les livraisons cumulent déjà les retards. Une situation d'autant plus problématique que l'avionneur encaisse la plus grosse partie du paiement (environ 60%) à la remise des avions.

Selon les analystes de TD Cowen, une grève de 50 jours priverait Boeing de 3 à 3,5 milliards de dollars de liquidités et aurait un impact de 5,5 milliards sur le chiffre d'affaires.

Le vote de jeudi marque un rejet décisif d'un accord qui, selon les travailleurs, était bien moins généreux que ne l'affirmaient les dirigeants de Boeing.

Cette nouvelle convention, qui concerne les adhérents de l'IAM dans la région de Seattle (nord-ouest), prévoyait une hausse salariale de 25% sur quatre ans ainsi qu'un engagement d'investissements dans la région.

Et aussi la construction du prochain avion - annoncé pour 2035 - dans le berceau historique de l'avionneur qui devait assurer des emplois pour plusieurs décennies.

Dernière grève en 2008

Boeing espérait que ces concessions suffiraient à esquiver une grève, alors que sa situation financière est précaire depuis le crash de deux 737 MAX 8 en 2018 et en 2019, ayant coûté la vie à 346 personnes, et une multitude de problèmes de qualité de la production.

"Ce n'est un secret pour personne: notre activité traverse une période difficile, en partie à cause de nos propres erreurs du passé. (...) Une grève mettrait en péril notre reprise commune", avait prévenu mercredi soir Kelly Ortberg, qui a succédé le 8 août à Dave Calhoun au poste de directeur général de l'avionneur américain.

Il avait exhorté les employés à ne pas "sacrifier" les progrès futurs en raison de "frustrations liées au passé".

Mais les mécontents jugent la hausse salariale trop éloignée des demandes du syndicat (+40% initialement) et le volet sur les retraites insatisfaisant.

Une semaine après sa prise de fonction, M. Ortberg s'était engagé à "réinitialiser" la relation avec l'IAM. Mais à la lecture de l'accord, de nombreux syndiqués ont réagi négativement et plaidé pour un arrêt de travail.

"On nous a bradés", a lancé jeudi à l'AFP Kamie Bryan, employée chez Boeing depuis 18 ans, après avoir voté contre l'accord et pour la grève. "Nous ne devrions pas prendre ces quelques sous qu'ils nous donnent et être reconnaissants", a-t-elle relevé, insistant sur l'ampleur des "revenus du patron".

Les télévisions ont montré des rassemblements quotidiens d'ouvriers protestant dans les usines contre des mesures salariales qu'ils estiment inadéquates face à l'inflation.

Après des grèves dans les secteurs de l'automobile, du divertissement et d'autres secteurs d'activité, les syndicats engagent ainsi un nouveau bras de fer.

Le règlement de l'IAM prévoit que les grévistes reçoivent 250 dollars par semaine à partir de la troisième semaine d'arrêt de travail.

Boeing fait l'objet d'une supervision accrue depuis un incident en vol début janvier sur un 737 MAX 9 d'Alaska Airlines. Survenu après une série de problèmes de conformité et de contrôle qualité, il a ravivé les questions soulevées sur ces mêmes lacunes après les deux crashes.

La dernière grève chez l'avionneur américain remonte à 2008 et avait duré 57 jours.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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International

Kiev affirme avoir frappé un terminal pétrolier en Crimée

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Odessa et la Crimée, théâtres d'énormes enjeux (illustration). (© KEYSTONE/AP/PETROS GIANNAKOURIS)

L'armée ukrainienne a affirmé lundi avoir frappé pendant la nuit "le plus gros" terminal pétrolier de Crimée, péninsule ukrainienne annexée par Moscou en 2014. Les autorités russes ont fait état d'un important incendie.

Kiev a multiplié ses attaques sur des sites énergétiques russes ces derniers mois pour perturber la logistique des forces armées de Moscou qui contrôlent près de 20% du territoire ukrainien depuis son invasion de son voisin, lancée en février 2022.

"Les forces de la défense ont effectué cette nuit une frappe réussie sur un terminal pétrolier maritime de l'ennemi" qui desservait notamment l'armée russe à Féodossia, ville dans l'est de la Crimée, entraînant un incendie, a affirmé l'état-major de l'armée ukrainienne sur les réseaux sociaux.

L'attaque contre ce site, "le plus gros en Crimée selon le volume de produits pétroliers traités", a été effectuée à l'aide "de missiles", a ajouté l'armée.

Longue portée

L'Ukraine avait déjà utilisé des missiles à longue portée notamment pour frapper l'état-major de la flotte russe de la mer Noire à Sébastopol (est de la Crimée) en septembre 2023.

Cependant, ces derniers mois, les attaques ukrainiennes avaient été réalisées essentiellement à l'aide de drones de combat, Kiev déplorant le manque de missiles et mettant en cause les retards de livraisons occidentales.

Les autorités d'occupation russes en Crimée ont elles fait état d'un incendie sur un dépôt pétrolier à Féodossia, sans mentionner l'attaque ukrainienne et tout en assurant que l'incident n'avait pas fait de victimes.

Des vidéos en ligne montrent au moins deux grosses colonnes de fumée noire s'élever dans le ciel.

Les autorités d'occupation ont par ailleurs indiqué qu'"une partie" de la ville était privée d'électricité et que la circulation de trains de banlieue y était suspendue.

Depuis le début de son invasion de l'Ukraine, la Russie a effectué plusieurs campagnes de frappes contre le réseau énergétique ukrainien laissant des millions d'Ukrainiens sans électricité.

Dans la nuit de dimanche à lundi, l'armée russe a par ailleurs lancé une nouvelle attaque contre Kiev, capitale ukrainienne, d'abord avec des drones explosifs, ensuite, dans la matinée, avec deux missiles balistiques Kinjal, selon les autorités municipales.

Les projectiles ont été abattus par la défense aérienne, ont assuré les autorités, selon lesquelles des éclats de missiles sont tombés sur trois quartiers, notamment dans l'enceinte d'une école maternelle, près d'un immeuble résidentiel et devant un supermarché, sans faire de victimes.

Un incendie s'est déclaré sur un des sites mais a été rapidement éteint, selon la mairie.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Allemagne : baisse marquée des commandes industrielles en août

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Le gouvernement allemand prévoit désormais une contraction de l'économie pour cette année (archives). (© KEYSTONE/DPA/JENS BÜTTNER)

Les commandes industrielles en Allemagne ont chuté nettement plus que prévu en août, a rapporté l'Office Destatis lundi, marquant le début d'une semaine où le gouvernement devrait, selon la presse, prévoir une récession pour l'ensemble de l'année.

L'indicateur clef pour le secteur manufacturier, pilier de l'économie allemande, a reculé de 5,8% sur un mois, d'après des chiffres publiés lundi par l'institut des statistiques. C'est bien davantage que la baisse de 1,8% attendue par les analystes sondés par Facset, et cela met fin à l'embellie de courte durée observée en juin et juillet.

La baisse a été particulièrement marquée au niveau national (-10,9 %), mais les commandes à l'international ont également reculé (-2,2 %). En excluant les grosses commandes, souvent volatiles d'un mois à l'autre, le recul de l'indicateur est un peu moins prononcé, à -3,4 % par rapport à juillet.

"Avec la récente baisse, les espoirs d'une reprise durable des commandes semblent s'amenuiser", commente le ministère de l'Economie dans un communiqué séparé. Un rebond sur la seconde moitié de l'année semble exclu "compte tenu de la faiblesse persistante de la demande et de la dégradation continue du climat économique des entreprises", est-il ajouté.

En conséquence, le gouvernement allemand prévoit désormais une contraction de l'économie pour cette année, avec une baisse de 0,2 % du produit intérieur brut, selon le quotidien Süddeutsche Zeitung. Cela révisera la prévision actuelle, qui tablait sur une croissance annuelle de 0,3 %, après la contraction de 0,3 % du PIB en 2023.

Le ministre de l'Economie Robert Habeck doit dévoiler officiellement ses prévisions mercredi, devenant même selon le journal plus pessimiste que les principaux instituts de conjoncture, qui tablent eux sur une stagnation ou un recul de 0,1%.

"Les indicateurs avancés sont en baisse, les prévisions diminuent, et les mauvaises nouvelles s'enchaînent", ce qui fait que "tout donne l'impression d'une récession", commente Jens-Oliver Niklasch, économiste chez LBBW.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Le maire d'une grande ville mexicaine décapité

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L'assassinat du maire de Chilpancingo intervient cinq jours après l'investiture de la présidente mexicaine Claudia Sheinbaum (cliché symbolique/Keystone archives). (© KEYSTONE/EPA EFE/ALONSO CUPUL)

Le maire de Chilpancingo, la capitale de l'Etat du Guerrero dans le sud du Mexique, a été assassiné, a indiqué dimanche la gouverneure Evelyn Salgado. Il a été décapité et sa tête abandonnée sur le toit d'une voiture, selon une image postée sur les réseaux sociaux.

L'élu de 43 ans avait pris ses fonctions il y a six jours. "Je condamne de manière énergique l'homicide du président du conseil municipal de Chilpancingo, Alejandro Arcos Catalan, que le parquet général de l'Etat a confirmé", a indiqué la gouverneure Salgado sur le réseau social X.

"Sa perte endeuille toute la société du Guerrero et nous remplit d'indignation", a ajouté la gouverneure du mouvement pour la régénération nationale (MORENA, gauche) au pouvoir.

Plan de la nouvelle présidente

"Ils ont assassiné notre maire de Chilpancingo, Alejandro Arcos, et il y a trois jours à peine, le secrétaire de cette même mairie, Francisco Tapia. Cela faisait moins d'une semaine qu'ils étaient en poste", a déploré pour sa part le président du PRI (opposition), Alejandro Moreno.

Alejandro Arcos Catalán avait remporté la mairie de Chilpancingo (283'354 habitants en 2020 d'après les chiffres officiels) à l'élection du 2 juin dernier sous l'étiquette de l'alliance de l'opposition PRI-PRD-PAN.

Son assassinat intervient cinq jours après l'investiture de la présidente Claudia Sheinbaum, qui doit présenter mardi son plan national de sécurité.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Le camp Bolsonaro prend l'avantage aux municipales brésiliennes

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Les élections municipales brésiliennes sont considérées comme un test avant la présidentielle de 2026. (© KEYSTONE/EPA/ISAAC FONTANA)

Le camp de l'ex-président d'extrême droite Jair Bolsonaro a placé plusieurs candidats en position favorable à l'issue du premier tour des élections municipales brésiliennes dimanche. Le scrutin est important dans l'optique de la présidentielle de 2026.

Le parti libéral (PL), formation de M. Bolsonaro, a vu deux de ses représentants élus dès le premier tour maires de deux des 26 capitales d'Etats au Brésil, Rio Branco (nord) et Maceio (nord-est).

Et le PL, qui est déjà le parti qui compte le plus de députés et de sénateurs au Brésil, aura un représentant au second tour dans neuf des quinze capitales, contre quatre pour le parti de travailleurs (PT) de l'actuel président de gauche Luiz Inacio Lula da Silva.

À São Paulo, plus grande mégalopole d'Amérique latine, le maire sortant Ricardo Nunes, allié de Jair Bolsonaro, est arrivé en tête du premier tour, avec environ 29,48% des suffrages. Il affrontera le 27 octobre Guilherme Boulos, adoubé par Lula (29,07%).

Test avant la présidentielle de 2026

À Rio de Janeiro, le centriste Eduardo Paes, soutenu par Lula, a été réélu pour un quatrième mandat en l'emportant dès le premier tour, avec plus de 60% des voix.

Au niveau national, "le camp Bolsonaro est largement devant" la gauche, a dit à l'AFP André Rosa, professeur de sciences politiques de l'université UDF de Brasilia.

"Ces élections municipales sélections municipales sont importantes dans l'optique de la présidentielle de 2026, car il est utile de disposer de soutiens parmi les élus locaux, qui sont en contact direct avec les électeurs", estime Mayra Goulart, politologue de l'université fédérale de Rio de Janeiro (UFRJ).

Mais cette présidentielle de 2026 est encore lointaine et pleine d'incertitudes. Lula laisse planer le doute sur une éventuelle tentative de réélection et Jair Bolsonaro est inéligible jusqu'en 2030 pour des attaques sans preuve contre le système électoral, même s'il espère encore faire annuler cette condamnation.

Il y a deux ans, Lula l'avait emporté sur son rival d'extrême droite d'une courte tête, à l'issue du scrutin le plus polarisé de l'histoire récente du Brésil.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Attaque du 7 octobre: cérémonies en Israël et tirs palestiniens

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Le président israélien Isaac Herzog (au centre) a rencontré des familles de victimes lundi à Réïm, sur les lieux du massacre du festival de musique Nova. (© KEYSTONE/EPA/ABIR SULTAN)

Israël a lancé lundi les cérémonies marquant le premier anniversaire de l'attaque du Hamas, le 7 octobre 2023, journée la plus meurtrière de l'histoire du pays, qui a déclenché la guerre en cours à Gaza.

A Réïm, sur les lieux du massacre du festival de musique Nova, où plus de 370 personnes ont été tuées, une foule recueillie a donné le coup d'envoi de ces cérémonies par une minute de silence à 06H29 précises (05H29 en Suisse), moment du début de l'attaque sans précédent du mouvement islamiste palestinien sur le sud d'Israël.

Juste avant, les sons hypnotiques de la dernière musique entendue sur ce site, un an auparavant, ont résonné pendant quelques minutes devant une foule de familles endeuillées, beaucoup en larmes, certains arborant sur leurs vêtements les visages de leurs proches tués.

Alors que la musique était coupée brutalement, comme ce fut le cas le jour de l'attaque, un cri de détresse a brisé le silence.

Le président israélien Isaac Herzog, présent sur les lieux, a rencontré des familles de victimes. Le kadish, la prière des morts, a été lu par plusieurs pères ayant perdu leur fils au festival Nova.

La cérémonie s'est achevée après que le chanteur Israël Bar-On eut interprété la Hatikva ("L'Espoir" en hébreu), l'hymne national israélien.

"Ascension par l'unité"

Pendant que des proches des personnes tuées allumaient des bougies, l'écho des tirs d'artillerie et d'un hélicoptère en vol se faisait entendre depuis la bande de Gaza, très proche.

La cérémonie de Réïm est la première d'une série d'événements mémoriels devant avoir lieu tout au long de la journée alors que le pays est toujours en guerre à Gaza, et désormais aussi au Liban, où l'armée israélienne a lancé il y a une semaine une offensive terrestre contre le mouvement islamiste Hezbollah.

"Comme pour tout le monde en Israël, [nous vivons des moments] difficiles", a déclaré à l'AFP Israël Livman, oncle d'Eliakim Livman, l'une des victimes du festival Nova.

"Nous espérons que du fond de ce gouffre où nous sommes tombés, il n'y aura plus dorénavant qu'une ascension, et que de là, nous nous élèverons par l'unité [...] par la joie [...] et avec l'aide de Dieu", a-t-il ajouté.

Tirs de roquettes

Les Brigades Ezzedine al-Qassam, branche armée du Hamas, ont revendiqué des tirs de roquettes à partir de la bande de Gaza sur le sud d'Israël, peu de temps après le début de la cérémonie de Réïm.

"Nous avons visé [un kibboutz et une base militaire ainsi qu'un rassemblement de soldats israéliens près de la frontière avec l'Egypte] avec un certain nombre de roquettes", ont indiqué les Brigades al-Qassam dans un communiqué, après que l'armée israélienne eut annoncé avoir intercepté trois projectiles en provenance de la bande de Gaza et qu'un quatrième était "tombé sur une zone inhabitée"

Le 7 octobre 2023, des commandos du Hamas infiltrés depuis Gaza avaient pénétré dans le sud d'Israël, utilisant des explosifs et des bulldozers pour franchir la barrière entourant le territoire palestinien, tuant à l'aveugle dans des kibboutz, des bases militaires et sur le site du festival Nova.

Dans les heures suivantes, l'armée israélienne avait lancé une puissante offensive contre le territoire palestinien avec pour objectif d'y détruire le Hamas, au pouvoir depuis 2007.

L'attaque du Hamas qui a pris Israël totalement par surprise un jour de fête religieuse juive a fait 1205 morts, en majorité des civils, selon un décompte de l'AFP basé sur les chiffres officiels israéliens, incluant les otages morts en captivité.

Les représailles militaires sur la bande de Gaza ont fait au moins 41'825 morts, en majorité des civils, selon les données du ministère de la Santé du gouvernement du Hamas, jugées fiables par l'ONU.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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