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International

Le Starliner de Boeing va décoller avec ses premiers astronautes

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Le Starliner de Boeing doit décoller lundi soir de Cap Canaveral, en Floride. (archive) (© KEYSTONE/AP/Terry Renna)

Après des années de déboires et de reports, le vaisseau Starliner de Boeing doit pour la première fois décoller lundi avec des astronautes à bord, direction la Station spatiale internationale.

Boeing joue gros sur cette ultime mission test, qui doit lui permettre de démontrer que son vaisseau est sûr avant de commencer les missions régulières vers la Station spatiale (ISS), avec déjà quatre ans de retard sur SpaceX.

Les astronautes américains Butch Wilmore et Suni Williams doivent décoller lundi à 22H34 de Cap Canaveral en Floride (mardi 02H34 GMT) à bord de la capsule Starliner, qui sera propulsée en orbite par une fusée Atlas V du groupe ULA.

La météo s'annonce très favorable.

Ces vétérans de l'espace, tous deux venus de l'US Navy, se sont chacun déjà rendus deux fois dans l'ISS, à bord d'une navette spatiale puis d'un vaisseau russe Soyouz.

Mais cette fois, "tout est nouveau, tout est unique, le vaisseau lui-même, la façon dont il vole", a souligné Butch Wilmore. "Je ne crois pas qu'aucun de nous ait jamais osé rêver être associé au premier vol d'un tout nouveau vaisseau", s'est-il réjoui.

Pour la Nasa, qui a commandé ce véhicule il y a dix ans, l'enjeu aussi est grand: avoir un deuxième véhicule en plus de celui de SpaceX pour transporter les astronautes américains "est très important", a souligné Dana Weigel, chargée du programme de l'ISS.

Cette capacité permettra de pouvoir mieux répondre à "différents scénarios" d'urgence, par exemple en cas de problème sur l'un des vaisseaux, a-t-elle expliqué.

Pilotage manuel

Une fois dans l'espace, les astronautes piloteront temporairement le vaisseau manuellement, afin de valider le fonctionnement de ce mode.

Starliner doit ensuite s'amarrer à l'ISS mercredi vers 05H00 GMT et y rester un peu plus d'une semaine. De nouveaux tests seront réalisés, puis les deux astronautes repartiront avec lui vers la Terre.

La réussite de cette mission viendrait clore sur une bonne note le programme de développement du vaisseau, une saga marquée par les mauvaises surprises.

En 2019, lors d'un premier test sans équipage, la capsule n'avait pas pu être placée sur la bonne trajectoire et était revenue sans atteindre l'ISS.

Puis en 2021, alors que la fusée se trouvait sur le pas de tir pour retenter le vol, un problème de valves bloquées sur la capsule avait encore entraîné un report.

Le vaisseau vide avait finalement réussi à atteindre l'ISS en mai 2022.

Désormais, le premier vol avec équipage doit permettre de certifier la capsule, pour qu'elle commence ensuite son rôle de "taxi" vers l'ISS.

Boeing avait espéré pouvoir réaliser ce premier vol habité dès 2022, mais des problèmes découverts tardivement, notamment sur les parachutes freinant la capsule lors de son retour dans l'atmosphère terrestre, avaient de nouveau engendré des retards.

"Il y a eu un certain nombre de choses qui ont été des surprises, que nous avons dû surmonter", a déclaré lors d'une conférence de presse Mark Nappi, responsable chez Boeing. Mais "cela a rendu nos équipes très fortes, et fières de la façon dont elles ont vaincu chaque problème".

"Il est assez classique que le développement d'un véhicule spatial pour humains prenne dix ans", a-t-il ajouté.

"Embarrassant"

Les astronautes, tout comme Boeing et la Nasa, s'attendent à ce que de nouveaux imprévus ponctuent cette mission, qui a pour but de déceler s'il reste un grain de sable.

"Dans l'histoire des vols spatiaux américains, ce sera seulement la sixième fois que des astronautes de la Nasa voleront dans un nouveau vaisseau", a souligné Jim Free, administrateur associé à la Nasa.

La capsule Dragon de SpaceX avait déjà rejoint cette liste en 2020, dans le sillage des programmes Mercury, Gemini, Apollo et des navettes spatiales.

Une fois Starliner opérationnel, la Nasa souhaite alterner entre les vols de SpaceX et Boeing pour acheminer ses astronautes jusqu'à l'ISS.

En 2014, l'agence spatiale avait passé un contrat de 4,2 milliards avec Boeing et de 2,6 milliards avec SpaceX pour le développement de ces vaisseaux.

"Tout le monde pensait que Boeing allait y arriver en premier", a rappelé à l'AFP Erik Seedhouse, professeur associé à l'université d'aéronautique Embry-Riddle. "Que SpaceX réussisse bien avant Starliner était très embarrassant pour Boeing."

Alors que l'ISS doit être mise à la retraite en 2030, Starliner comme Dragon pourraient ensuite servir à acheminer des humains vers de futures stations spatiales privées, que plusieurs entreprises prévoient déjà de construire.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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International

Le climat des affaires stagne en Allemagne

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Selon les analystes, l'Allemagne aurait passé le creux économique. (archive) (© KEYSTONE/AP/MICHAEL PROBST)

Le moral des entrepreneurs en Allemagne stagne en mai, après trois hausses consécutives, illustrant la laborieuse reprise de l'activité dans la première économie européenne.

Cet indicateur très suivi de la conjoncture économique, basé sur un questionnaire mensuel adressé à 9000 chefs d'entreprise, est resté inchangé à 89,3 points en mai, a annoncé lundi l'institut économique allemand IFO.

"L'économie allemande sort de la crise étape par étape", estime l'IFO dans son communiqué.

Bien qu'il ait stagné, le climat des affaires reste à un niveau nettement supérieur à celui du début d'année, quand les entreprises s'inquiétaient du recul des commandes.

"Dans l'ensemble, le creux économique est susceptible d'avoir été largement passé", commente Fritzi Köhler-Geib, économiste à la banque KFW.

Dans le détail, les entreprises sont moins satisfaites de leur situation commerciale actuelle, mais les attentes se sont améliorées. Celles-ci ont dépassé la barre des 90 points pour la première fois en un an.

Les secteurs de la fabrication, du commerce et de la construction se redressent, bien que le secteur des services ait été légèrement touché.

"La situation économique mondiale s'est stabilisée, les pressions inflationnistes s'atténuent progressivement et la Banque centrale européenne s'apprête à réduire les taux d'intérêt pour la première fois", souligne Elmar Völker, analyste chez LBBW.

Ces chiffres confortent l'optimisme de la banque fédérale allemande, qui a annoncé mercredi dernier ses prévisions de "légère" croissance du PIB allemand au deuxième trimestre, après le rebond plus fort qu'attendu de 0,2% enregistré lors du premier trimestre.

Toutefois, pas de "forte reprise" en vue après le creux de cet hiver, nuance Carsten Brzeski, économiste à la banque ING, pour qui les perspectives de croissance restent "modérées".

En cause, la hausse des prix du pétrole due aux conflits en cours au Moyen-Orient, qui pourrait peser sur l'industrie et les exportations, ainsi que le poids des faillites et des restructurations sur le marché du travail, selon lui.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Culture

Pierre Palmade renvoyé en procès pour blessures involontaires

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Pierre Palmade (au centre) encours 14 ans de prison pour l'accident qui avait fait trois blessés graves en février 2023 (archives). (© KEYSTONE/AP/FRANCOIS MORI)

L'humoriste français Pierre Palmade sera jugé pour blessures involontaires pour le grave accident qu'il a provoqué l'an dernier sous l'emprise de stupéfiants près de Paris, a annoncé le procureur de Melun lundi. Il encourt 14 ans de prison et 200'000 euros d'amende.

La juge d'instruction a renvoyé l'artiste pour blessures involontaires ayant entraîné des incapacités totales de travail supérieure et inférieure à trois mois, a écrit le procureur, Jean-Michel Bourlès, dans un communiqué.

Elle n'a toutefois pas suivi les réquisitions du parquet en faveur d'un procès pour homicide et blessures involontaires pour l'humoriste de 56 ans.

Le 10 février 2023, sur une route du sud de la Seine-et-Marne, Pierre Palmade a pris le volant après trois jours de "bringue" sans dormir et de consommation frénétique de drogues.

Famille percutée

Sur une route départementale, il a percuté un véhicule dans lequel se trouvaient trois membres d'une même famille: un homme de 38 ans, son fils de six ans et sa belle-soeur de 27 ans, grièvement blessés.

La collision a également provoqué la perte in utero d'un foetus de six mois, de sexe féminin. Pesant 1,09 kg, le bébé était "indiscutablement viable" avant l'accident, selon une expertise médicale diligentée par la justice.

Si la qualification d'"homicide involontaire" avait été retenue, la procédure aurait fait l'objet d'un épineux débat juridique.

Selon une jurisprudence constante de la Cour de cassation, qui s'est prononcée sur de semblables cas d'accidents de la route, un enfant qui n'est pas né n'existe pas en tant que personne.

Un foetus n'a donc pas d'existence légale et sa mort ne peut donc constituer un homicide involontaire pour l'automobiliste mis en cause.

À rebours de cette jurisprudence criminelle, le parquet de Melun souhaitait un "débat" devant le tribunal sur un éventuel chef d'"homicide involontaire".

Pierre Palmade se trouve en situation de récidive après une condamnation en 2019 pour usage de stupéfiants. "En raison de cet état de récidive légale, Pierre Palmade encourt une peine de 14 ans d'emprisonnement et 200'000 euros d'amende", a déclaré le procureur de Melun.

Contactée par l'AFP, son avocate Me Céline Lasek n'a pas souhaité faire de déclaration.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp

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International

Totalénergies et Petrobras étendent 2 champs pétroliers au Brésil

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Les deux champs exploités par Totalénergies et Petrobras ont une capacité de production de 150'000 et 180'000 barils par jour. (archive) (© KEYSTONE/EPA/MARCELO SAYAO)

Les géants pétroliers Totalénergies et Pétrobras ont décidé de lancer l'extension de deux champs pétroliers au Brésil, a indiqué lundi le groupe français, en "forte croissance" dans ce pays d'Amérique latine, a annoncé Totalénergies dans un communiqué.

"Totalénergies, avec l'opérateur Petrobras et leurs partenaires" ont "pris la Décision Finale d'Investissement (FID) pour les secondes phases des développements" de deux champs, Atapu et Sépia, au large de São Paulo et de Rio de Janeiro.

Les deux champs sont exploités par Totalénergies et Petrobras depuis 2020 et 2021 respectivement, avec une capacité de production de 150'000 et 180'000 barils par jour.

La capacité de production sera de 225'000 barils par jour par champ pour la seconde phase du développement, dont le démarrage effectif est prévu "à partir de 2029".

"La décision de lancer Sépia-2 et Atapu-2 marque une nouvelle étape de notre forte croissance au Brésil", selon Nicolas Terras, directeur exploration-production du groupe.

"Le Brésil représentera bientôt plus de 200'000 bep/j de production nette" et "à leur plateau, Sépia-2 et Atapu-2 (...) contribueront à maintenir la production de Totalénergies dans ce pays clé au-dessus de 200'000" barils par jour, a-t-il ajouté, cité dans le communiqué.

Totalénergies détient respectivement 15% et 16,9% dans les champs d'Atapu et de Sépia, tous les deux opérés par Pétrobras (qui détient 65,7% et 55,3%).

Shell détient 16,7% d'Atapu, tandis que Petronas et QatarEnergy détiennent chacun 12,7% de Sépia.

Vendredi, le PDG de Totalénergies avait redit devant les actionnaires qu'il était "nécessaire" de mettre en production "de nouveaux champs" pétroliers.

En mai 2021, l'Agence internationale de l'énergie avait prévenu qu'"aucun nouveau projet de champs gaziers et pétroliers n'est nécessaire au-delà de ceux qui ont déjà été approuvés en vue de leur développement".

La semaine passée, Totalénergies a annoncé le lancement d'un nouveau projet pétrolier situé au large des côtes angolaises, dont la production devrait débuter en 2028 avec l'objectif d'atteindre "un plateau de 70'000 barils de pétrole par jour".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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International

Glissement de terrain: plus de 2000 personnes ensevelies

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Les habitants recherchent des victimes du glissement de terrain dans le village de Yambali. (© KEYSTONE/AP/Kafuri Yaro)

Un vaste glissement de terrain survenu en Papouasie-Nouvelle-Guinée a enseveli plus de 2000 personnes, ont indiqué lundi les autorités du pays du Pacifique à l'ONU. Le nouveau bilan annoncé est bien plus lourd qu'estimé initialement.

"Le glissement de terrain a enterré vivantes plus de 2000 personnes et a causé d'importantes destructions", a déclaré le centre national de gestion des catastrophes du pays au bureau de l'ONU dans la capitale Port Moresby, selon une copie d'une lettre obtenue par l'AFP.

Un village à flanc de colline de la province d'Enga, au centre de l'archipel, a été presque totalement anéanti lorsqu'un pan du mont Mungalo s'est effondré vendredi vers 0300 du matin (17h00 GMT jeudi), ensevelissant des dizaines de maisons et surprenant les habitants dans leur sommeil.

Le nombre estimé des victimes avait déjà été relevé à 670 ce week-end, lorsque les secouristes se sont aperçus que le village frappé par le glissement de terrain comptait plus d'habitants qu'attendu.

Le glissement de terrain a causé "d'importantes destructions de bâtiments, de jardins vivriers et a eu un impact majeur sur l'économie du pays", indique le centre de gestion des catastrophes.

Situation instable

"La situation reste instable car le glissement de terrain continue à se déplacer lentement, ce qui représente un danger permanent pour les équipes de secours et les survivants", avertissent les autorités dans leur courrier.

L'ampleur de la catastrophe a nécessité "des actions immédiates et concertées de la part de tous les acteurs", y compris l'armée et les intervenants nationaux et régionaux.

L'agence a appelé à l'aide la communauté internationale, demandant aux Nations unies d'informer les partenaires d'aide au développement de Papouasie-Nouvelle-Guinée "et d'autres amis internationaux" de la situation.

Serhan Aktoprak, responsable de l'agence de l'ONU pour les migrations basé à Port Moresby, avait indiqué précédemment que les sauveteurs se livraient à "une course contre la montre" pour retrouver des survivants.

Les secours travaillent dans des conditions dangereuses, notamment en raison "des pierres (qui) continuent de tomber et de faire bouger le sol", a précisé M. Aktorprak.

"Pour ne rien arranger, des eaux souterraines s'écoulent sous les débris, transformant la surface du sol en toboggan", a-t-il ajouté, précisant qu'environ 250 maisons situées à proximité ont été évacuées par mesure de précaution.

"Cela pourrait déclencher un nouveau glissement" de terrain, a averti le responsable de l'ONU, et représente un "grave risque" pour les sauveteurs et les habitants.

Violences tribales

Des engins lourds et des pelleteuses devaient arriver dans la zone sinistrée mais leur arrivée a été retardée par des violences tribales qui ont éclaté le long de la seule voie d'accès, a fait savoir M. Aktoprak.

"De nombreuses maisons brûlent et d'autres dégagent de la fumée. Des femmes et des enfants ont été déplacés, et tous les jeunes et les hommes de la région sont armés de couteaux de brousse", a-t-il indiqué, citant un rapport d'un convoi d'aide tentant d'atteindre le site de la catastrophe.

Ces violences ne sont toutefois pas "liées au glissement de terrain", a-t-il précisé.

"Les gens sont très tristes. Personne n'a pu s'échapper. Il est très difficile de recueillir des informations. Nous ne savons pas qui est mort parce que les registres sont ensevelis", a déploré l'instituteur d'un village voisin, Jacob Sowai auprès de l'AFP.

Les habitants des villages voisins aident à déterrer les corps en utilisant des bêches et des outils agricoles.

Une entreprise minière voisine, New Porgera Limited, a accepté de fournir des excavateurs mécaniques pour aider les sauveteurs et dégager les routes.

Fortes pluies

Pour les habitants des environs, ce glissement a dû être déclenché par les fortes pluies qui se sont abattues sur la région ces dernières semaines.

Selon la Banque mondiale, la Papouasie-Nouvelle-Guinée a l'un des climats les plus humides du monde, et de violentes précipitations frappent régulièrement ses régions humides, dans les hauts plateaux.

D'après les scientifiques, la variation des régimes pluviométriques en raison du changement climatique augmente le risque de glissements de terrain dans le pays.

En mars, au moins 23 personnes avaient perdu la vie dans un glissement de terrain dans une province voisine.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Economie

Evergrande: la filiale NEV électrisée par des rumeurs de rachats

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Le marché de la voiture électrique est particulièrement lucratif en Chine. (archive) (© KEYSTONE/AP/NG HAN GUAN)

La valorisation de l'action de NEV, la filiale de véhicules électriques du géant chinois de l'immobilier Evergrande, a doublé lundi à la Bourse de Hong Kong, à la suite d'informations sur son possible rachat.

Evergrande, dont l'endettement est astronomique, est un symbole de la crise immobilière qui sévit depuis des années en Chine.

Au début de l'année, un tribunal de Hong Kong a ordonné la liquidation du promoteur chinois qui a échoué à présenter un plan de restructuration convaincant.

La crise que traverse le groupe a eu des conséquences sur les filiales d'Evergrande qui ont vu le cours de leurs actions s'effondrer.

Lundi, le cours d'Evergrande NEV a brièvement bondi de 113% à la reprise des échanges qui avaient été suspendus le 17 mai.

Selon Bloomberg News, il s'agit de la plus forte hausse enregistrée en une seule journée depuis près de 10 ans.

Toutefois, les actions de cette branche d'Evergrande ne valent encore qu'une fraction de ce qu'elles valaient à leur apogée en 2021, avant la crise du groupe immobilier.

Cette hausse fait suite à l'annonce, dimanche, selon laquelle des liquidateurs sont en pourparlers avec des acheteurs potentiels qui pourraient acheter près de 60% des actions de la filiale.

Dans le cadre de cet accord, l'acheteur pourrait prendre une participation initiale de 29% et disposer d'une option pour acheter 29,5% supplémentaires ultérieurement.

La semaine dernière, les autorités chinoises ont ordonné à Evergrande NEV de rembourser 1,9 milliard de yuans (241 millions de dollars) de subventions et de mesures incitatives, ce qui, selon la filiale, "pourrait avoir un impact négatif important sur la situation financière".

En janvier, le patron d'Evergrande NEV Liu Yongzhuo a été placé en détention "pour suspicion de délits illégaux".

En Chine, le marché de la voiture électrique est particulièrement lucratif et de nombreux constructeurs locaux innovants y ont vu le jour ces dernières années.

Le groupe Evergrande avait à ce titre d'importantes ambitions pour sa filiale automobile.

Son fondateur, Xu Jiayin, souhaitait ainsi transformer son groupe d'ici 10 ans en champion de l'électrique et faire de ce secteur son nouveau coeur de métier, avaient rapporté les médias locaux.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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