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Le navire de croisière bloqué à Belfast depuis quatre mois repart

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L'Odyssey doit visiter les sept continents et prévoit plus de 425 escales dans 147 destinations. (© KEYSTONE/AP/Liam McBurney)

Les passagers d'un navire de croisière de luxe bloqué à Belfast depuis quatre mois ont fait leurs adieux lundi soir à l'Irlande du nord, leur bateau ayant repris la mer pour son tour du monde. L'Odyssey a levé l'encre à 23h40 sous les applaudissements des passagers.

"Nous allons nous amuser comme des fous ce soir. Nous allons faire la fête comme s'il n'y avait pas de lendemain", avait auparavant déclaré Joe Martino, un acteur de Chicago qui a passé les quatre derniers mois à attendre à Belfast, alors qu'un énième problème menaçait le départ du paquebot. En cause? un document administratif manquant au dossier.

Mais lorsque Mike Petersen, directeur de la société américaine Villa Vie Residences, propriétaire du navire, a annoncé aux passagers que tout était en ordre, ces derniers ont sauté de joie. "Cela fait quatre mois et deux jours que je suis à Belfast, mais après tout, qui compte?", a réagi Holly Hennessy, une passagère.

Voyage à 120'000 dollars

L'Odyssey devait quitter le port le 30 mai pour un tour du monde de trois ans et demi "en suivant le soleil". Mais sa certification et des réparations ont pris plus de temps que prévu.

Certains passagers, qui sont pour la plupart Américains, ont profité de ces quatre mois d'attente pour explorer l'Irlande du Nord, l'Europe et quelques-uns ont même embarqué sur d'autres croisières.

"La ville flottante", comme se présente la croisière, peut accueillir environ 600 passagers. Elle doit visiter les sept continents et prévoit plus de 425 escales dans 147 destinations. Les séjours dans les ports dureront de deux à sept jours.

Le prix de départ de la croisière: 119'999 dollars (101'580 francs) à l'achat, sans compter les frais mensuels.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Retour sur terre des astronautes de la station spatiale Tiangong

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Les trois astronautes de la station spatiale chinoise Tiangong sont revenus sur terre avec le module de retour (archives). (© KEYSTONE/AP Beijing Aerospace Control Center)

Un équipage chinois de trois astronautes est revenu sur terre lundi après un séjour de plus de six mois à bord de la station spatiale Tiangong, a annoncé l'agence Chine Nouvelle. Ils sont "en bonne santé".

Ye Guangfu, Li Cong et Li Guangsu ont atterri avec leur capsule de retour sur le site de Dongfeng, en Mongolie-Intérieure, a précisé l'agence.

Les trois hommes étaient arrivés dans la station Tiangong à la fin avril et y ont été rejoints le 30 octobre par trois nouveaux astronautes, deux hommes et une femme, avec lesquels ils ont effectué une passation des pouvoirs de cinq jours avant d'entamer leur voyage de retour.

Une base sur la Lune

La station spatiale Tiangong, dont l'équipage est composé d'équipes de trois astronautes qui se relaient tous les trois à six mois, est le joyau du programme spatial chinois.

Son module central a été lancé en 2021. Il devrait être utilisé pendant une dizaine d'années.

Pékin affirme être en bonne voie pour envoyer d'ici à 2030 une mission habitée sur la Lune, où elle compte construire une base.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Victoire de la présidente proeuropéenne Maia Sandu en Moldavie

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La présidente sortante pro-européenne de Moldavie Maia Sandu a revendiqué dimanche soir la victoire, à l'issue d'une élection présidentielle marquée par des soupçons d'ingérences russes. (© KEYSTONE/AP/Vadim Ghirda)

Deux semaines après la victoire sur le fil du "oui" au référendum sur l'UE, la Moldavie a confirmé dimanche sa trajectoire européenne en reconduisant sa présidente Maia Sandu. L'élection présidentielle a cependant été tendue sur fond de soupçons d'ingérences russes.

"Aujourd'hui, chers Moldaves, vous avez donné une leçon de démocratie digne de figurer dans les livres d'histoire", a-t-elle lancé à son quartier général de campagne, dans une ambiance survoltée.

La candidate de 52 ans a recueilli 54,9% des voix, contre 45% pour Alexandr Stoianoglo, ex-procureur de 57 ans soutenu par les socialistes prorusses, selon les résultats quasi définitifs publiés par la commission électorale.

S'il a mené dans un premier temps, la tendance s'est inversée au fur et à mesure du comptage des voix. Celui que ses adversaires traitent "d'homme de Moscou" ne s'est pas exprimé dans la nuit, mais avait appelé un peu plus tôt "au calme".

Félicitations européennes

Comme lors des récentes législatives en Géorgie, autre ex-république soviétique, la Russie a été accusée d'ingérence dans le processus électoral, des allégations catégoriquement rejetées par le Kremlin.

Mais le dénouement a cette fois été favorable au camp pro-UE. Bruxelles a réagi très vite, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, se disant "heureuse de continuer à travailler" avec Maia Sandu pour un "avenir européen".

Le président français Emmanuel Macron s'est lui réjoui que la "démocratie" ait "triomphé de toutes les interférences et de toutes les manoeuvres".

Première femme à occuper, en 2020, les plus hautes fonctions dans cet Etat situé entre l'OTAN et la sphère d'influence russe, Mme Sandu a tourné le dos au président russe Vladimir Poutine après l'invasion russe de l'Ukraine voisine et opéré un net virage vers l'ouest. Elle était arrivée largement en tête du premier tour le 20 octobre, mais son rival a pu compter sur le soutien de plusieurs petits candidats pour resserrer l'écart.

Il s'est même imposé sur le seul territoire de la Moldavie, mais la mobilisation de l'importante diaspora "a fait basculer l'élection", a commenté pour l'AFP le politologue français Florent Parmentier, spécialiste de la région.

Diaspora décisive

"Maia Sandu doit sa survie à la diaspora, un résultat qui révèle une dépendance vis-à-vis de l'extérieur" pour cette cheffe d'Etat qui a sillonné les capitales européennes ces derniers mois, ajoute-t-il.

Dans son discours de victoire, elle a salué un pays qui s'est "uni" face à "une attaque sans précédent" de "forces hostiles et criminelles". Avant de conclure par des mots en russe en signe d'ouverture envers ceux qui ne l'ont pas choisie.

Tout au long de la journée, les autorités ont fait état "de tentatives de déstabilisation". La police a dit enquêter sur la mise en place présumée par la Russie de "transports organisés" vers le Bélarus, l'Azerbaïdjan et la Turquie pour permettre aux électeurs résidant sur son sol d'aller voter dans les consulats ou ambassades moldaves de ces pays. Des cyberattaques et de fausses alertes à la bombe ont également été signalées.

"Que l'Europe soit notre maison"

En votant avec sa femme et ses deux filles, Alexandr Stoianoglo avait nié "avoir des liens avec le Kremlin" et toute implication "dans des fraudes électorales". Il a défendu "une Moldavie qui ne demande pas l'aumône, mais développe des relations harmonieuses avec à la fois l'est et l'ouest".

Dans ce pays pauvre extrêmement polarisé, les électeurs interrogés par l'AFP offrent un tableau contrasté. "Nous sommes un petit pays avec un grand coeur et nous voulons que l'Europe soit notre maison", résume Natalia Grajdeanu, organisatrice de mariages de 45 ans, venue d'Irlande pour voter.

Mais d'autres, comme Grigore Gritcan, retraité originaire de la région séparatiste de Transdniestrie, sont réticents. Il plaide pour "plus de liberté et une vraie paix", alors qu'actuellement "les gens n'ont rien à manger et pas de travail".

La Moldavie a subi de plein fouet les conséquences de la guerre en Ukraine, de l'afflux de réfugiés à l'explosion des coûts de l'énergie. "C'est la première cible de la guerre hybride menée par la Russie", estime Andrei Curararu, du groupe de réflexion WatchDog.

"Malgré tout, la Moldavie a démontré à deux reprises que sa volonté d'intégrer l'UE était plus forte que la pression de Moscou", a-t-il ajouté, soulignant que "pour garder ce cap, le pays aura besoin d'aide". Avec en ligne de mire, des législatives cruciales à l'été 2025.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Un bébé survit à un accident de la route qui fait au moins 10 morts

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Les accidents de la route sont une importante cause de mortalité en Equateur (archives). (© KEYSTONE/EPA EFE/STR)

Un bébé d'un an a survécu à un spectaculaire accident de la route dimanche dans le sud de l'Equateur, a rapporté l'agence d'Etat des situations d'urgence, ECU 911. L'accident a fait au moins dix morts.

Vers 05h00 heure locale (11h00 suisses), un minibus a quitté la route et est tombé au fond d'un ravin, près de Bella Union, dans le canton de Santiago, a indiqué ECU 911 dans un message aux médias.

"Dix personnes" sont mortes et "un mineur blessé, âgé d'environ un an, a été transporté à l'hôpital" dans la municipalité voisine de Méndez, a précisé l'agence, ajoutant que "plusieurs personnes" étaient encore "coincées" dans le véhicule.

Des images diffusées par les médias locaux montrent ce véhicule, renversé, au fond d'un gouffre rocheux, et plusieurs sauveteurs travaillant à ses abords et dedans. La presse rapporte qu'une fillette de six ans a également survécu à l'accident, mais avec de graves blessures.

Les accidents de la route sont une importante cause de mortalité en Equateur.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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La Moldavie aux urnes, entre rêve européen et influence russe

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La présidente moldave sortante Maia Sandu au bureau de vote dimanche, à Chisinau. La participation s'élevait à la mi-journée à 29%, en hausse par rapport au premier tour. (© KEYSTONE/AP/Vadim Ghirda)

Deux semaines après la victoire sur le fil du "oui" au référendum sur l'UE, les Moldaves ont commencé à voter dimanche pour choisir leur président et confirmer ou non leur destin européen, dans un scrutin menacé par le risque d'ingérences russes.

La cheffe d'Etat sortante Maia Sandu, fervente pro-occidentale de 52 ans qui a tourné le dos à Moscou après l'invasion de l'Ukraine voisine, affronte Alexandr Stoianoglo, ancien procureur soutenu par les socialistes prorusses.

Sans se risquer cette fois à des pronostics chiffrés, les analystes prédisent tous une bataille serrée avec, comme lors des législatives en Géorgie, autre ex-république soviétique, des craintes d'interférence russe malgré les démentis fermes du Kremlin.

Mme Sandu est arrivée largement en tête le 20 octobre avec 42,5% des voix mais son rival de 57 ans, qui en a recueilli près de 26%, peut compter sur le soutien de plusieurs petits candidats.

La participation s'élevait à la mi-journée à 29%, en hausse par rapport au premier tour. Les bureaux de vote ferment à 21H00, les premiers résultats partiels étant attendus une heure plus tard dans le pays de 2,6 millions d'habitants.

"Contre les escrocs"

Dans l'entre-deux tours, le camp présidentiel a intensifié sa campagne sur les réseaux sociaux et dans les villages pour tenter de contrer les achats de vote massifs qui ont, selon les autorités, entaché les résultats du référendum, beaucoup plus disputé que prévu (50,35% pour le "oui").

La police a également signalé l'organisation de vols et de bus pour transporter des électeurs moldaves entre la Russie et le Bélarus, l'Azerbaïdjan et la Turquie.

Après avoir glissé son bulletin dans l'urne, Maia Sandu a appelé à se mobiliser "contre les escrocs", plaçant sa "confiance" dans ses concitoyens "qui ont toujours fait avancer le pays et l'ont protégé du mal".

En face, Alexandr Stoianoglo, discours lisse où les mots russes se mêlent souvent à la langue officielle roumaine, a promis d'être "le président de tous", niant "avoir des relations avec le Kremlin" et toute implication "dans des fraudes électorales".

Venu voter avec sa femme et ses deux filles, il a défendu "une Moldavie qui ne demande pas l'aumône mais développe des relations harmonieuses avec à la fois l'Est et l'Ouest".

"Au prix fort"

Ce pays pauvre, sous perfusion européenne, est extrêmement polarisé, entre d'un côté une diaspora et une capitale majoritairement favorables à une intégration dans l'UE, et de l'autre, les zones rurales et deux régions, la province séparatiste de Transdniestrie et la Gagaouzie autonome, tournées vers la Russie.

A Chisinau, une retraitée de 56 ans s'exprimant sous couvert d'anonymat, Acsenia, regrette que "des relents soviétiques continuent à imprégner jusqu'à l'os" cet ex-Etat de l'URSS.

Natalia Grajdeanu, organisatrice de mariages de 45 ans, a fait le voyage d'Irlande où elle vit. "Nous sommes un petit pays avec un grand coeur et nous voulons que l'Europe soit notre maison", a-t-elle dit à l'AFP.

Mais d'autres, comme Zinovia Zaharovna, 75 ans, refusent de se fondre dans l'UE, insistant sur la nécessité de rester "indépendants", et évoquent leur souci de maintenir la "paix".

"Beaucoup craignent d'être entraînés dans la guerre", explique à l'AFP Andrei Curararu, du groupe de réflexion WatchDog. Ils vont donc préférer "un candidat en bons termes avec Moscou, y voyant la garantie de ne pas être attaqués".

Scrutin suivi de près

Le scrutin est suivi de près de Bruxelles à Washington, où on s'inquiète de la tentative de la Russie de perturber le processus électoral.

En amont du vote, la police a signalé d'importantes opérations de désinformation via l'envoi de faux courriels et de menaces de mort, "une attaque virulente" visant selon le Premier ministre Dorin Recean à "semer la panique et la peur".

La Moldavie "paie au prix fort" sa décision de couper les ponts avec Moscou, souligne l'expert de WatchDog. "La pression est sans précédent et l'argent déboursé pour mener ces activités de déstabilisation colossal", dit-il, évoquant un investissement total de plus de 100 millions de dollars.

Avec un objectif: faire revenir le pays "dans l'orbite de la Russie".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Des bombardiers américains au Moyen-Orient pour défendre Israël

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Les bombardiers stratégiques B-52 déployés au Moyen-Orient viennent de la base Minot dans le Dakota du Nord (archives). (© KEYSTONE/AP U.S. Air Force/STAFF SGT. COREY HOOK)

Des avions américains B-52 sont arrivés au Moyen-Orient, ont indiqué samedi les forces armées des Etats-Unis. Ce déploiement intervient au lendemain de l'annonce par le Pentagone de l'envoi de renforts dans la région pour "défendre Israël" et mettre en garde l'Iran.

"Des bombardiers stratégiques B-52 de la base Minot de l'armée de l'air américaine [dans le Dakota du Nord] sont sous la responsabilité du CENTCOM", le commandement central des forces armées des Etats-Unis au Moyen-Orient, selon un bref message sur les réseaux sociaux.

Le Pentagone avait annoncé vendredi soir de prochains déploiements militaires dans la région, à l'horizon des "prochains mois" en vue de la "défense d'Israël" et en guise d'avertissement à Téhéran, ennemi juré de l'Etat hébreu et bête noire de Washington.

"Si l'Iran, ses partenaires ou ses groupes affiliés profitent de ce moment pour prendre pour cible le personnel ou les intérêts américains dans la région, les Etats-Unis prendront toutes les mesures nécessaires pour [se] défendre", avait averti le ministère de la défense.

Avertissement de Téhéran

Sont prévus des moyens de défense contre les missiles balistiques, des avions de combat, des bombardiers B-52 et d'autres types d'avions militaires.

Israël, dont les Etats-Unis sont les alliés indéfectibles, est en guerre contre le Hamas palestinien à Gaza depuis le 7 octobre 2023 et affronte le Hezbollah libanais à sa frontière nord, deux groupes soutenus par l'Iran.

Pour la première fois, Iran et Israël, ennemis jurés, ont ouvertement échangé des tirs directs, l'aviation israélienne ayant lancé un raid sur des cibles militaires en Iran le 26 octobre, en représailles à une salve de quelque 200 missiles lancés par Téhéran sur Israël le 1er octobre.

Le guide suprême d'Iran, Ali Khamenei, a juré samedi de riposter de manière "cinglante" à toute attaque des Etats-Unis et d'Israël.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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