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"L'Amazonie des mers" menacée par les concessions pétrolières

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Le "Triangle du corail", "l'une des régions marines les plus riches en biodiversité du monde", est à cheval sur sept pays: l'Indonésie, la Malaisie, la Papouasie-Nouvelle-Guinée, Singapour, les Philippines, le Timor oriental et les Iles Salomon. (© KEYSTONE/EPA/DENNIS M. SABANGAN)

Le développement des concessions pétrolières et gazières dans le "Triangle du corail" de l'océan Pacifique, surnommé "l'Amazonie des mers", multiplie le trafic maritime. Il fait aussi courir des risques de "marées noires", a dénoncé samedi un collectif d'ONG.

Cette espace maritime de 10 millions de kilomètres carrés contient plus de 600 aires marines protégées (AMP), chevauchées sur 16% de leur surface par des blocs pétroliers et gaziers en grande majorité en phase d'exploration, alerte Earth Insight.

Selon Florencia Librizzi, directrice de programme du collectif, "l'expansion des combustibles fossiles dans le Triangle du corail est dangereux" et "menace l'un des écosystèmes marins les plus riches en biodiversité au monde".

"Protéger ce réseau naturel vital des griffes de l'exploitation des combustibles fossiles est le seul moyen d'assurer un avenir vivable à la région", estime-t-elle.

Les conclusions du rapport "Triangle du corail en péril: menaces et impacts des combustibles fossiles", compilé à partir d'images satellites et d'analyses de données régionales, mettent en garde "contre l'expansion de l'exploitation de combustibles fossiles qui augmentera le trafic des pétroliers, et donc le risque de marées noires aux conséquences désastreuses pour les populations locales et la vie marine".

A cheval sur 7 pays

Le "Triangle du corail", "l'une des régions marines les plus riches en biodiversité du monde" est à cheval sur sept pays: l'Indonésie, la Malaisie, la Papouasie-Nouvelle-Guinée, Singapour, les Philippines, le Timor oriental et les Iles Salomon.

Sa partie ouest est déjà l'une des routes maritimes les plus fréquentées au monde.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp

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Kiev propose à la Russie de nouveaux pourparlers

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Volodymyr Zelensky dit vouloir négocier avec Moscou. (© KEYSTONE/EPA/FABIO CIMAGLIA)

L'Ukraine a proposé à la Russie de tenir de nouveaux pourparlers la semaine prochaine, a annoncé samedi le président Volodymyr Zelensky, quelques jours après avoir obtenu de Donald Trump la reprise des livraisons d'armes américaines.

Deux rencontres successives à Istanbul entre délégations russe et ukrainienne, organisées sous la pression du président américain, n'ont guère apporté d'avancées sur un cessez-le-feu, ne débouchant que sur des échanges de prisonniers et de corps de soldats tués.

M. Zelensky a indiqué dans son message quotidien aux Ukrainiens que le secrétaire du Conseil de sécurité Roustem Oumerov avait "proposé une nouvelle rencontre avec la partie russe la semaine prochaine".

"Il faut relancer les négociations", a-t-il ajouté.

Le président ukrainien s'est aussi à nouveau dit prêt à négocier directement avec son homologue russe Vladimir Poutine.

"Une rencontre au plus haut niveau est nécessaire pour véritablement assurer la paix", a-t-il dit.

Lors des dernières négociations en juin, la Russie avait à nouveau présenté des exigences maximales, incluant la cession par l'Ukraine de quatre régions en plus de la Crimée annexée en 2014, et le renoncement à toute aide militaire occidentale.

L'Ukraine avait rejeté ce qu'elle avait qualifié d'"ultimatums", et avait mis en doute la disposition de Moscou à négocier un cessez-le-feu.

Le Kremlin a cependant affirmé cette semaine être prêt à poursuivre des négociations avec l'Ukraine, après que le président américain Donald Trump lui a donné 50 jours pour négocier la paix, menaçant de sanctions et annonçant le même jour reprendre des livraisons d'armes à Kiev financées par les pays de l'Otan.

L'UE a de son côté renforcé vendredi ses sanctions contre Moscou, en ciblant la manne pétrolière russe par un abaissement sous les 50 dollars du plafond imposé au pétrole russe, principale source de financement du Kremlin.

Nouvelles frappes russes

La Russie n'a fait qu'intensifier ces derniers mois ses frappes et bombardements sur les villes ukrainiennes, y compris Kiev, et son offensive terrestre dans l'est du pays, où ses troupes avancent lentement mais régulièrement.

Samedi encore, ses frappes de missiles et de drones ont fait trois morts en Ukraine.

La localité de Vassylkivska, dans la région ukrainienne de Dnipropetrovsk (centre-est), a été touchée par un tir de missile qui a causé la mort d'au moins deux personnes, a annoncé sur Telegram le gouverneur Serguiï Lyssak.

Un établissement médical, une école et une "institution culturelle" ont été détruits par cette attaque, qui a également endommagé des maisons, a-t-il ajouté.

Plus tôt, la ville portuaire d'Odessa et sa banlieue, situées dans le sud de l'Ukraine, ont été la cible dans la nuit de vendredi à samedi d'une attaque de drones.

Selon la police nationale, une personne a été tuée et six autres blessées lors de ces bombardements qui ont endommagé des "commerces", des "habitations" et causé des incendies qui ont été ultérieurement éteints par les pompiers.

L'armée de l'air ukrainienne a affirmé que la Russie avait lancé sur l'Ukraine, pendant la nuit, 344 drones ou drones leurres, ainsi que 35 missiles, en affirmant avoir abattu 208 de ces cibles.

Dans son rapport quotidien, le ministère russe de la Défense a, lui, assuré avoir frappé en Ukraine pendant la nuit des sites du "complexe militaro-industriel" avec des drones et des missiles.

L'armée a également affirmé avoir abattu 83 drones ukrainiens en Russie pendant la nuit, dont 16 au-dessus de la région de Moscou.

Parallèlement, les chemins de fer russes ont affirmé que la circulation entre les localités de Likhaïa et Zamtchalovo, situées près de la frontière ukrainienne, dans la région russe de Rostov (sud-ouest), avait été interrompue en raison d'attaques de drones.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Graves émeutes à Limoges, dix policiers blessés

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La police a été prise à partie par des émeutiers à Limoges en France (illustration). (© KEYSTONE/EPA MAXPPP/JEROME FOUQUET)

Une centaine de personnes encagoulées et armées ont attaqué au mortier des véhicules en circulation à Limoges, dans le centre de la France, lors d'affrontements nocturnes avec les forces de l'ordre qui ont fait dix blessés parmi les policiers.

Les faits se sont produits vers 01h00 du matin samedi près d'un quartier populaire de Limoges où "une centaine de personnes" ont bloqué une route nationale et s'en sont pris aux véhicules, "principalement par des tirs de mortiers", selon la préfecture de Haute-Vienne.

"Il y a eu entre 100 et 150 individus encagoulés, armés de cocktails Molotov, mortiers, cailloux, barres de fer et battes de baseball", a détaillé Laurent Nadeau, secrétaire départemental du syndicat de police Alliance.

Les forces de l'ordre ont utilisé des lanceurs de balles de défense (LBD) et des gaz lacrymogènes et les échauffourées ont cessé vers 04h00 du matin.

Guérilla

"C'est une guérilla urbaine", a dénoncé le maire de la ville, Émile Roger Lombertie. "Ça fait 4-5 ans que ça explose dans ce quartier. Pour moi, il y a danger", a-t-il ajouté, décrivant un "quartier de grande pauvreté avec des jeunes issus de l'immigration" devenu selon lui "une zone de non-droit".

Neuf des dix policiers blessés souffrent d'acouphènes et le dixième d'une blessure à une main, selon le parquet de Limoges. Une enquête a été ouverte pour participation à un attroupement armé et violences sur les policiers, a déclaré à l'AFP Émilie Abrantes, procureure de la République à Limoges.

Cette nuit d'échauffourées fait suite à d'autres heurts survenus dans la même zone le soir du 14 juillet, jour de la fête nationale en France.

Le ministère de l'Intérieur a annoncé le déploiement dans cette ville d'une compagnie de policiers spécialisée dans le maintien de l'ordre.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Rassemblement géant du principal parti islamiste à Dacca

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Des milliers de partisans du Jamaat-e-Islami, le principal parti islamiste du Bangladesh, sont descendus dans les rues du Dacca samedi. (© KEYSTONE/EPA/MONIRUL ALAM)

Le principal parti islamiste du Bangladesh a réuni des dizaines de milliers de partisans samedi dans la capitale Dacca. Cette démonstration de force consacre son grand retour sur le devant de la scène politique à quelques mois des élections.

Interdit pendant le règne de l'ex-Première ministre Sheikh Hasina (2009-2024), le Jamaat-e-Islami est ressorti de l'ombre depuis la chute de son gouvernement en août dernier après des semaines d'émeutes réprimées dans le sang.

Avec les autres mouvements islamistes, il avait été la cible favorite de la répression de la "bégum de fer", qui a fait exécuter plusieurs de leurs dirigeants et emprisonner nombre de leurs partisans.

Le mois dernier, la Cour suprême a autorisé le Jamaat-e-Islami à participer aux prochaines élections générales, annoncées par le gouvernement provisoire en avril 2026. Le rassemblement de ce samedi à Dacca est le plus important organisé par le parti islamiste depuis de très nombreuses années.

"Nous avons beaucoup souffert ces quinze dernières années. Nous avons été emprisonnés et privés de nos droits politiques. C'est un peu notre libération", s'est réjoui auprès de l'AFP un partisan, Mohammad Abdul Mannan, 29 ans. "Nous sommes ici en masse pour soutenir nos demandes, dont la représentation proportionnelle au Parlement", a-t-il ajouté au milieu de la foule.

"Etablir un Etat islamique"

Le parti avait été empêché de participer aux élections en 2013 par les juges de la Haute cour qui avaient estimé que sa charte était contraire à la Constitution laïque du Bangladesh.

"Il était de mon devoir de musulman de venir. Le Jamaat-e-Islami a promis d'établir un Etat islamique et c'est pour ça que je suis là", a renchéri un autre, Md Shafiqul Islam, 58 ans.

Le parti islamiste avait soutenu le Pakistan pendant la guerre qui a abouti à la séparation du Bangladesh et à son indépendance en 1971. Ce rôle suscite encore la colère de nombreux Bangladais. "Le Jamaat est blamé à tort. Il n'a rien fait d'autre que de défendre l'intégrité de la nation", a estimé sous couvert de l'anonymat un participant au rassemblement de samedi.

Principal adversaire de Mme Hasina, le Parti nationaliste du Bangladesh (BNP) fait figure de grand favori du prochain scrutin.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Une voiture fonce sur la foule à Los Angeles, au moins 30 blessés

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Une voiture a foncé dans la foule sur un boulevard fréquenté de LA, une trentaine de blessés. (© KEYSTONE/AP/Damian Dovarganes)

Une voiture a foncé "pour des raisons inconnues" sur un groupe de personnes rassemblées devant une boîte de nuit de Los Angeles tôt samedi matin, faisant au moins 30 blessés. Son conducteur, agressé par la foule et touché par balle, a été placé en garde à vue.

Le conducteur, "transporté à l'hôpital" et "opéré" après avoir été "blessé par balle" dans la confusion qui a suivi le moment où il a heurté la foule, a été placé en garde à vue par la police de Los Angeles et pourrait être poursuivi pour "tentative de meurtre", a indiqué à la mi-journée l'une de ses responsables, Lillian Carranza, à la chaîne américaine CBS.

"Il se trouve dans un état sable", a-t-elle précisé.

La police de la ville californienne avait communiqué plus tôt un bilan de sept personnes se trouvant dans un "état critique" et six dans un "état grave". Au total, vingt-trois personnes ont été transportées à l'hôpital, selon la même source.

Dans le détail, ces trente blessés recensés sont 18 femmes et 12 hommes vingtenaires et trentenaires, selon les autorités locales.

Plus de 120 pompiers se sont rendus sur les lieux, à East Hollywood.

"Vers 2h00 du matin, les agents de police ont répondu à un appel faisant état d'une agression avec une arme dans le secteur de Vermont Avenue et de Santa Monica Boulevard", a détaillé la police locale dans un communiqué.

"L'enquête préliminaire indique qu'un véhicule a foncé dans la foule pour des raisons encore inconnues", a-t-elle poursuivi, en précisant que le conducteur du véhicule a été extrait de sa voiture par la foule et "agressé" au cours d'affrontements.

Tireur recherché

Le suspect qui a tiré sur le conducteur a pris la fuite à pied et est activement recherché par la police, qui a détaillé ses caractéristiques physiques dans une publication sur le réseau social X.

Un groupe de personnes faisait la queue pour entrer dans la boîte de nuit, à proximité d'un camion vendant des tacos et du service voiturier, quand la voiture leur a foncé dessus, a expliqué le chef des pompiers de Los Angeles, Adam VanGerpen, à la chaîne de télévision ABC News.

"Le guichet pour le service voiturier et le camion de tacos ont été renversés, et un grand nombre de personnes ont été touchées par le véhicule", a-t-il détaillé.

"C'est une tragédie déchirante (...) Le coeur des habitants de Los Angeles est avec toutes les victimes touchées ce matin - une enquête approfondie sur ce qui s'est passé est en cours", a déclaré la maire de la deuxième plus grande ville des Etats-Unis, Karen Bass, dans un communiqué.

A l'aube samedi, une voiture au pare-chocs arraché et à la portière en pièces était emportée par les autorités locales devant le Vermont Hollywood, une salle de concert et boîte de nuit huppée, et le sol était jonché de débris, a constaté un photographe de l'AFP.

Le lieu accueillait un événement de musique reggae et hip-hop de 22h00 à 2h00 du matin, selon son site internet.

La zone où l'incident s'est produit est proche d'endroits très fréquentés comme le Sunset Boulevard et le Walk of Fame, le trottoir orné d'étoiles célébrant des personnalités du spectacle.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Nombreux Palestiniens tués par des tirs israéliens (source Gaza)

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Les quelque deux millions de Palestiniens assiégés par Israël à Gaza sont au bord de la famine après plus de 21 mois de conflit (archives). (© KEYSTONE/AP/Jehad Alshrafi)

La Défense civile locale a affirmé que 39 Palestiniens avaient été tués samedi par des tirs israéliens près de centres d'aide humanitaire dans la bande de Gaza, affamée et ravagée par la guerre entre Israël et le Hamas.

Les quelque deux millions de Palestiniens assiégés par Israël à Gaza sont au bord de la famine après plus de 21 mois de conflit, déclenché par une attaque sans précédent du mouvement islamiste palestinien sur le sol israélien le 7 octobre 2023.

Le porte-parole de la Défense civile, Mahmoud Bassal, a déclaré à l'AFP que "39 personnes qui attendaient de l'aide humanitaire" avaient été tuées par l'armée israélienne.

Plus tôt, il avait fait état de 32 morts et plus de 100 blessées près d'un centre au sud de Khan Younès (sud) et près d'un autre au nord de Rafah, attribuant les attaques à des "tirs israéliens".

Selon la même source, les tirs ont eu lieu à proximité de centres de distribution d'aide humanitaire gérés par la Fondation humanitaire de Gaza (GHF), soutenue par les Etats-Unis et Israël. La GHF a indiqué que les informations faisant état de morts près de ses sites étaient "fausses".

Un témoin a raconté à l'AFP s'être rendu avant l'aube avec cinq membres de sa famille pour chercher de la nourriture dans l'un de ces centres, lorsque des soldats israéliens ont commencé à tirer, selon lui.

"Que des balles"

"Nous n'avons rien pu avoir", a affirmé Abdelaziz Abed, 37 ans. "Chaque jour, je m'y rends et tout ce que nous ne recevons que des balles".

Trois autres témoins ont également accusé les soldats d'avoir ouvert le feu.

Interrogée par l'AFP, l'armée israélienne a indiqué avoir identifié dans le secteur de Rafah des "suspects" qui se sont approchés de soldats.

Ils n'ont pas obtempéré aux appels de quitter les lieux et les soldats ont ouvert le feu en guise d'avertissement, a précisé l'armée, ajoutant avoir reçu des informations sur des victimes.

"Nous examinons l'incident" qui s'est déroulé la nuit à environ un kilomètre du centre d'aide fermé à ce moment-là, selon l'armée.

"Nous avons averti à plusieurs reprises les personnes en quête d'aide de ne pas se rendre sur nos sites pendant la nuit et tôt le matin", a déclaré la GHF sur X, faisant état de "fausses" informations sur des morts près de ses sites.

Cette organisation avait commencé ses opérations fin mai, après un blocus humanitaire total de plus de deux mois imposé par Israël en dépit des avertissements de l'ONU sur un risque imminent de famine à Gaza.

L'ONU et des ONG humanitaires refusent de travailler avec cette organisation au financement opaque en raison de préoccupations concernant ses procédés et sa neutralité.

Après plusieurs semaines marquées par des scènes de chaos et des informations quasi quotidiennes faisant état de Palestiniens tués en attendant de l'aide, la GHF a reconnu la mort mercredi de 20 personnes dans une bousculade sur l'un de ses sites.

En début de semaine, l'ONU a indiqué avoir recensé 875 personnes tuées en tentant de se procurer de la nourriture depuis fin mai, dont 674 "à proximité des sites de la GHF".

"Ouvrez les passages"

Ailleurs dans le centre de la bande de Gaza, la Défense civile a fait état de 12 morts dans une frappe contre une maison à Nusseirat.

Compte tenu des restrictions imposées aux médias par Israël, qui assiège Gaza, et des difficultés d'accès sur le terrain, l'AFP n'est pas en mesure de vérifier de manière indépendante les bilans et affirmations des différentes parties.

L'agence de l'ONU pour les réfugiés palestiniens (Unrwa) a assuré samedi disposer de stocks alimentaires suffisants pour toute la bande de Gaza pendant plus de trois mois. "Ouvrez les passages, mettez fin au blocus, et laissez l'Unrwa accomplir sa mission", a-t-elle écrit sur X.

Lors d'une conversation téléphonique avec le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu vendredi, le pape Léon XIV a exprimé "sa préoccupation face à la situation humanitaire dramatique" à Gaza et appelé à "redynamiser les négociations" en vue d'un cessez-le-feu.

Les négociations indirectes entre le Hamas et Israël en vue d'une trêve sont dans l'impasse, la branche armée du Hamas accusant vendredi Israël de les bloquer.

L'attaque du 7-Octobre a entraîné du côté israélien la mort de 1.219 personnes, en majorité des civils, selon un décompte de l'AFP réalisé à partir de données officielles.

Sur les 251 personnes également enlevées ce jour-là, 49 sont toujours otages à Gaza, dont 27 ont été déclarées mortes par l'armée israélienne.

Israël a juré de détruire le Hamas et a lancé en représailles une offensive destructrice dans laquelle au moins 58.765 personnes, majoritairement des civils, ont été tuées, selon des données du ministère de la Santé à Gaza, jugées fiables par l'ONU.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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