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Indonésie: un léopard sème la panique dans un hôtel: il est capturé

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Un léopard a provoqué la panique dans un complexe hôtelier de la province de Java, en Indonésie, où il errait. Il a pu être capturé, sans dommage (Photo d'illustration). (© KEYSTONE/AP/VADIM GHIRDA)

Un léopard, soupçonné de s'être échappé d'un zoo, a été capturé lundi en Indonésie après avoir erré dans un complexe hôtelier d'une zone touristique, provoquant la panique parmi les clients, a indiqué un responsable de la protection animalière.

Le félin a été aperçu pour la première fois lundi matin devant une chambre située au deuxième étage d'un hôtel de Bandung, grande ville de la province de Java, située à une centaine de kilomètres à l'est de Jakarta.

La direction de l'hôtel a alors appelé les pompiers, qui ont ensuite informé l'agence locale de conservation de la faune.

"Nous avons utilisé un tranquillisant et vers 10h00, le léopard a été évacué et sorti de l'hôtel", a déclaré à l'AFP le directeur de l'agence de conservation de Java occidental, Agus Arianto.

Fin août, un léopard aurait été aperçu en train de s'échapper d'un zoo situé à seulement cinq kilomètres de l'hôtel. Il faudra cependant du temps pour vérifier si le léopard capturé dans l'hôtel est bien le félin qui s'était échappé du zoo, a ajouté M. Agus.

"Actuellement, le léopard reprend lentement conscience. Il a commencé à grogner", a-t-il déclaré, en ajoutant que l'animal serait ensuite transporté dans un centre de conservation pour observation.

En 2021, deux tigres du Bengale s'étaient échappés de leur enclos par un trou apparu après plusieurs jours de pluies torrentielles, dans le zoo de la ville de Singkawang, dans la partie indonésienne de l'île de Bornéo.

Un gardien du zoo âgé de 47 ans et plusieurs animaux avaient été retrouvés morts près de la cage des félins. L'un des tigres avait été abattu tandis qu'un autre avait été capturé vivant.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

BMW accusé aux Pays-Bas d'avoir falsifié ses données d'émission

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Le constructeur automobile allemand est accusé d'avoir falsifié les données d'émissions de quelque 100'000 véhicules vendus aux Pays-Bas. (archive) (© KEYSTONE/EPA/ANNA SZILAGYI)

L'association néerlandaise des consommateurs a annoncé lundi qu'elle intentait un recours collectif contre BMW, accusant le constructeur automobile de luxe d'avoir falsifié les données d'émissions de quelque 100'000 véhicules vendus aux Pays-Bas.

L'organisation Consumentenbond cite des études qui, selon elle, montrent qu'un logiciel a été installé dans les véhicules BMW afin de montrer des émissions réduites d'azote lors des tests.

"Cependant, dans des conditions de conduite normales, ces véhicules présentent des émissions alarmantes", a affirmé l'association, qui a lancé cette action en justice avec une autre organisation, Car Claim.

"Il est honteux que BMW ait trompé à la fois les organismes de contrôle et les consommateurs", a déclaré Sandra Molenaar, directrice de Consumentenbond, dans un communiqué.

"L'entreprise doit assumer ses responsabilités. Nous voulons que BMW indemnise les consommateurs qu'elle a trompés", a-t-elle poursuivi.

L'affaire concerne toutes les voitures diesel BMW et Mini vendues sur le marché néerlandais entre le 1er janvier 2009 et le 1er septembre 2019.

Andrew Mason, porte-parole de BMW a déclaré à l'AFP que le constructeur avait pris connaissance de ces accusations par les médias, mais qu'"aucune plainte n'avait encore été déposée".

"Nous ne connaissons donc pas les allégations spécifiques que (...) Car Claim a avancées dans sa plainte", a-t-il précisé.

Car Claim a exhorté BMW à rappeler toutes les voitures concernées et à les rééquiper, tout en indemnisant les conducteurs actuels et anciens de ces véhicules.

"Bien que nous ayons engagé une procédure judiciaire, nous continuons à exhorter BMW à engager des discussions afin de parvenir ensemble à une solution équitable," a déclaré Guido van Woerkom, président de Car Claim, dans un communiqué publié par Consumentenbond.

Ce potentiel procès est un nouveau chapitre dans le long scandale des émissions polluantes, aussi appelé "dieselgate", qui touche plusieurs géants de l'industrie automobile.

Il a éclaté en septembre 2015, lorsque le constructeur automobile allemand Volkswagen a admis avoir équipé des millions de véhicules avec un logiciel faisant apparaître les moteurs comme moins polluants lors des tests réglementaires que dans des conditions réelles.

Le dieselgate a provoqué une onde de choc dans le secteur, impliquant plusieurs autres grands constructeurs automobiles et entraînant des poursuites judiciaires dans plusieurs pays, dont la France, la Corée du Sud et les Etats-Unis.

En février 2019, le parquet allemand avait indiqué que BMW devrait s'acquitter d'une amende de 8,5 millions d'euros en Allemagne pour des infractions aux normes antipollution mais que le constructeur échappait à des poursuites pour fraude faute de preuves.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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International

Diageo débauche son nouveau patron chez Haleon

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Le prochain patron réalisera un grand écart entre la santé grand public et le monde des alcools. (archive) (© KEYSTONE/EPA/ANDY RAIN)

Diageo, propriétaire de la bière brune Guinness et de la vodka Smirnoff, a annoncé lundi la nomination d'un nouveau directeur général, au moment il cherche à redresser des performances en partie affectées par les droits de douane de Donald Trump.

Dave Lewis, actuellement président du groupe de santé grand public Haleon, deviendra directeur général en janvier, succédant à Debra Crew après sa démission en juillet.

Si aucune raison n'a été fournie à propos du départ de Debra Crew après deux ans à la tête de l'entreprise, Diageo évoluait dans un environnement commercial tendu avant d'annoncer, en mai, qu'il subirait un impact financier en raison de l'offensive tarifaire de Donald Trump.

"Le marché fait face à certains vents contraires, mais il existe aussi d'importantes opportunités", a estimé dans un communiqué M. Lewis, 60 ans, aussi ex-directeur général du géant britannique de la distribution Tesco.

L'action du groupe Diageo, qui possède également le whisky Johnnie Walker, la liqueur Baileys et la tequila Don Julio, a bondi de 7% dans les premiers échanges, prenant la tête de l'indice vedette londonien FTSE 100, en hausse de 0,7 % dans son ensemble.

Dave Lewis "apporte une solide expérience dans les marques grand public, acquise à la tête de Tesco et au cours de plusieurs décennies chez Unilever, même s'il n'a pas d'expérience directe dans le secteur des spiritueux", souligne Matt Britzman, analyste chez Hargreaves Lansdown.

"Les investisseurs apprécieront sans doute sa forte culture marketing, mais tout éventuel virage stratégique majeur prendra du temps, ce qui maintiendra à court terme l'attention sur la gestion de conditions commerciales difficiles", ajoute-t-il.

Le groupe a publié la semaine dernière un avertissement sur ses résultats, évoquant un affaiblissement de la demande des consommateurs en Chine et aux États-Unis, ce qui a pesé sur son cours, déjà en nette baisse cette année.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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International

Donald Trump gracie Rudy Giuliani et 76 autres personnes

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Rudy Giulani (à gauche) avait joué le rôle de fer de lance de la campagne menée par Donald Trump pour obtenir l'invalidation des résultats de l'élection de novembre 2020 qu'il avait perdue face au démocrate Joe Biden (archives). (© KEYSTONE/AP/CAROLYN KASTER)

Donald Trump a gracié 77 personnes impliquées dans la tentative d'inverser les résultats du scrutin présidentiel de 2020. Parmi elles figure son ancien avocat Rudy Giuliani, selon le haut fonctionnaire chargé d'orchestrer les grâces présidentielles, Ed Martin.

"Cette proclamation met fin à une grave injustice nationale perpétrée contre le peuple américain après l'élection présidentielle de 2020 et poursuit le processus de réconciliation nationale", affirme un texte daté de vendredi et mis en ligne sur X dans la nuit de dimanche à lundi par Ed Martin.

Rudy Giulani, ancien maire de New York, avait joué le rôle de fer de lance de la campagne menée par Donald Trump, alors président républicain sortant, pour obtenir l'invalidation des résultats de l'élection de novembre 2020 qu'il avait perdue face au démocrate Joe Biden.

Parmi les bénéficiaires de la grâce présidentielle figurent aussi aussi Mark Meadows, ancien chef de cabinet de la Maison Blanche en 2020, et John Eastman, un juriste ayant proposé des stratégies pour empêcher la certification des résultats de l'élection présidentielle perdue par Donald Trump face à Joe Biden.

Parmi les personnes graciées se trouvent également Boris Epshteyn, conseiller de longue date de Donald Trump, et Sidney Powell, une avocate conservatrice qui avait lancé des procédures contre les résultats électoraux dans des Etats-clés.

En plus de son cercle proche, le président a gracié des dizaines de militants républicains impliqués dans la tentative d'inverser le résultat de l'élection présidentielle de 2020. Il s'agit d'une grâce "complète, totale et inconditionnelle", souligne le texte, qui précise cependant que "la grâce ne s'applique pas au président des Etats-Unis".

Ces grâces sont en grande partie symboliques, aucune des personnes identifiées n'étant accusée de crimes fédéraux, seuls concernés par la grâce présidentielle. Les personnes concernées demeurent susceptibles d'être jugées par les juridictions locales devant lesquelles elles sont poursuivies.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Nicolas Sarkozy va sortir de prison, après 20 jours de détention

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Nicolas Sarkozy a comparu en visioconférence depuis la prison de la Santé (archives). (© KEYSTONE/EPA/TERESA SUAREZ)

La fin d'un "cauchemar": la cour d'appel de Paris a ordonné lundi la remise en liberté de l'ex-président Nicolas Sarkozy. Il était incarcéré depuis vingt jours après sa condamnation dans l'affaire du financement libyen de sa campagne présidentielle.

Lors de l'examen de sa requête dans la matinée, le parquet général avait requis la sortie de prison sous contrôle judiciaire de l'ex-chef de l'Etat, qui comparaissait en visioconférence depuis la prison de la Santé. La cour lui a imposé une "interdiction de contact" élargie, notamment avec le garde des Sceaux Gérald Darmanin, et de sortie du territoire national.

Nicolas Sarkozy devrait sortir de prison dans la journée, et attendra libre son procès en appel, qui devrait commencer en mars.

La prison, "c'est dur, c'est très dur"

La cour d'appel de Paris a examiné sa demande de mise en liberté lors d'une audience publique d'une cinquantaine de minutes.

La prison, "c'est dur, c'est très dur, ça l'est certainement pour tout détenu, je dirais même que c'est éreintant", a témoigné Nicolas Sarkozy, qui a suivi le visage fermé les débats en visioconférence, offrant par écran interposé la première image de l'histoire d'un ancien président de la République en prison.

"Je veux rendre hommage au personnel pénitentiaire qui a été d'une humanité exceptionnelle et qui a rendu ce cauchemar, parce que c'est un cauchemar, supportable", a-t-il poursuivi, vêtu d'une veste bleu foncé, pull et chemise.

"Je me bats pour que la vérité triomphe", a encore dit l'ancien président, 70 ans, qui a fait appel de sa condamnation à cinq ans de prison pour association de malfaiteurs prononcée le 25 septembre.

Sous les yeux de son épouse Carla Bruni et de deux de ses fils, Pierre et Jean, l'avocat général, Damien Brunet, a demandé que "soit fait droit à la demande de Nicolas Sarkozy" de le libérer sous contrôle judiciaire avec interdiction d'entrer en contact avec témoins et co-prévenus.

"Il est constant que M. Sarkozy présente des garanties de représentation indéniables, tant ses attaches familiales sur le territoire et ses intérêts patrimoniaux sont connus de votre cour", a-t-il observé. "Ces garanties de représentation en justice sont rarement réunies à un tel niveau devant votre cour".

Nicolas Sarkozy a été incarcéré un peu moins d'un mois après sa condamnation. Cette détention inédite pour un ex-président de la République a suscité de vifs débats. Il s'agit aussi d'une première dans l'Union européenne, où aucun ancien chef d'Etat n'a connu l'emprisonnement.

A l'instar de Xavier Bertrand, président LR des Hauts-de-France, plusieurs responsables de droite ont dit souhaiter que leur ancien champion sorte de prison.

"Unique moyen"

Le tribunal correctionnel de Paris l'a reconnu coupable d'avoir sciemment laissé ses collaborateurs démarcher la Libye de Mouammar Kadhafi pour solliciter un financement occulte de sa campagne présidentielle victorieuse de 2007.

Plus que la condamnation, c'est le mandat de dépôt l'envoyant en prison, non susceptible de recours, qui avait suscité la stupeur. Pour les juges, il est justifié par la "gravité exceptionnelle" des faits. Pour Nicolas Sarkozy, il a été motivé par "la haine".

Pour décider de sa libération, les magistrats de la cour d'appel ne se sont cependant pas appuyés sur les mêmes critères que ceux du mandat de dépôt. L'appel de Nicolas Sarkozy replace son incarcération dans les critères de la détention provisoire, qui diffèrent de ceux de l'exécution de peine.

Le maintien en détention n'était possible que s'il était l'"unique moyen" de protéger des preuves, d'empêcher pressions ou concertations, de prévenir fuite ou récidive, ou de le protéger.

La détention, "une menace" pour Sarkozy

Jean-Michel Darrois, un des avocats de l'ex-président, a assuré la cour que devait être "exclue" de son esprit l'idée qu'il pouvait y "avoir réitération de l'infraction" et qu'il pouvait "y avoir pression sur les témoins".

"C'est la détention qui constitue une menace pour Nicolas Sarkozy, pas le contraire", a souligné de son côté Me Christophe Ingrain, un autre de ses avocats, observant qu'il avait été pour des raisons de sécurité "placé à l'isolement" et qu'il avait bénéficié de la protection de deux agents en détention.

Parmi les condamnés qui ont été écroués après le jugement du 25 septembre, la cour d'appel a déjà mis en liberté sous contrôle judiciaire l'ex-banquier Wahib Nacer, 81 ans, mais a maintenu en détention l'intermédiaire Alexandre Djouhri en raison du risque de fuite et de pressions sur des protagonistes de l'affaire.

Dans leur cas, le parquet général avait requis le maintien en détention.

Les dates précises du procès en appel, qui n'ont pas encore été officiellement annoncées, devraient être communiquées aux avocats jeudi, ont indiqué à l'AFP des sources proches du dossier.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Accord provisoire au Sénat américain pour mettre fin au shutdown

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Selon le sénateur démocrate Tim Kaine, la proposition "protégera les fonctionnaires fédéraux contre les licenciements abusifs, réintégrera ceux qui ont été licenciés à tort pendant le 'shutdown', et garantira que les fonctionnaires fédéraux recevront leur salaire rétroactivement" (archives). (© KEYSTONE/AP/J. Scott Applewhite)

Le Sénat américain a franchi dimanche une étape décisive en vue de mettre fin à la paralysie budgétaire qui bloque une partie des services publics depuis une durée record de 40 jours. Le camp démocrate est toutefois divisé sur cet accord.

La chambre haute, contrôlée par les Républicains, a adopté cette motion par 60 voix contre 40 grâce à l'appoint de sept sénateurs démocrates et d'un élu indépendant. Il s'agit d'une première étape avant un vote final qui ne nécessitera que 50 voix pour être validé.

Si les élus de la Chambre des représentants (également dominée par les Républicains) donnent eux aussi leur feu vert, la proposition sera enfin soumise à Donald Trump pour signature. Cette procédure pourrait prendre plusieurs jours.

Démocrates divisés

Cette avancée fait espérer un prochain retour à la normale, alors que le trafic aérien et le versement des aides sociales sont perturbés, et que des centaines de milliers de fonctionnaires sont au chômage technique ou travaillent sans être payés depuis le 1er octobre.

Mais ce compromis divise le camp démocrate. Le chef de la minorité démocrate au Sénat, Charles Schumer, ainsi que le chef de la minorité démocrate à la Chambre des représentants, Hakeem Jeffries, se sont prononcés contre l'accord.

"On dirait qu'on s'approche de la fin du 'shutdown'" (la paralysie budgétaire, ndlr), a estimé devant la presse le président Donald Trump, de retour à la Maison Blanche après avoir passé le week-end dans sa résidence floridienne de Mar-a-Lago.

Licenciements annulés

L'accord conclu au Sénat doit notamment permettre de renflouer le programme d'aide alimentaire qui soutient 42 millions d'Américains, et qui est suspendu en raison du blocage du budget. Il implique aussi l'annulation du licenciement de milliers de fonctionnaires fédéraux par Donald Trump le mois dernier, et la tenue d'un vote sur l'extension des aides pour les soins de santé, qui doivent expirer à la fin de l'année.

La proposition "protégera les fonctionnaires fédéraux contre les licenciements abusifs, réintégrera ceux qui ont été licenciés à tort pendant le 'shutdown', et garantira que les fonctionnaires fédéraux recevront leur salaire rétroactivement", a affirmé le sénateur démocrate Tim Kaine qui a voté en faveur du compromis. La Virginie, l'Etat de Tim Kaine, compte 300'000 employés fédéraux.

Chuck Schumer qui a voté contre le compromis a dénoncé les attaques républicaines contre le système de santé et soutenu que le combat "doit continuer". le compromis trouvé constitue "une terrible erreur", a estimé la sénatrice Elizabeth Warren. Le gouverneur démocrate de Californie, Gavin Newsom, a résumé son opinion en un mot sur X : "Pathétique".

Le chef de la majorité républicaine au Sénat, John Thune s'est au contraire félicité de l'accord. "Après 40 longs jours, j'espère que nous pourrons enfin mettre fin au 'shutdown'", a-t-il dit.

Inquiétudes pour Thanksgiving

Du fait de l'effet de la paralysie budgétaire sur le contrôle aérien, plus de 3000 vols aux Etats-Unis ont été annulés et 10'000 retardés dimanche, selon le site FlightAware.

Le ministre des Transports Sean Duffy a averti dimanche qu'une prolongation du blocage budgétaire allait aggraver la situation, la fête de Thanksgiving à la fin du mois approchant. "Le trafic aérien va se réduire à peau de chagrin alors que tout le monde veut voyager pour voir sa famille", a-t-il alerté sur Fox News.

"Vous allez voir moins de contrôleurs aériens venir au travail, ce qui signifie qu'il n'y aura qu'une poignée de vols qui vont décoller et atterrir", a-t-il ajouté. Un retour à la normale du trafic aérien pourrait prendre des jours après la fin de la paralysie, le temps que le financement fédéral, qui comprend les salaires, relance la machine.

M. Trump a invoqué la paralysie budgétaire, due à des désaccords entre républicains et démocrates au Congrès, comme une des causes de la série de défaites électorales essuyées par son camp le 4 novembre.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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