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Hausse modérée des primes maladie

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Les coûts de la santé sont une des principales préoccupations des habitants, a dit Alain Berset lundi à Berne. De plus en plus de familles peinent à payer. (©KEYSTONE/PETER KLAUNZER)

L'année prochaine, la prime moyenne de l'assurance obligatoire des soins augmentera de 1,2% en Suisse. Plusieurs acteurs saluent cette hausse modérée, mais tout le monde est conscient que des améliorations du système restent indispensables.

La comparaison avec les années précédentes est cependant difficile, car l'Office fédéral de la santé publique (OFSP) a changé sa méthode de calcul. Si l'on prend l'ancien modèle de la prime standard - au lieu de la prime moyenne - comme point de comparaison, la hausse pour 2019 est de 2,7%, a indiqué Pascal Strupler, directeur de l'OFSP, lundi devant la presse.

La hausse pour 2019 est inférieure à la moyenne des 20 dernières années, a relevé pour sa part le conseiller fédéral Alain Berset. Depuis 2008, la prime moyenne a augmenté de 3,5% par an et de 3,9% par an depuis l’entrée en vigueur de l’assurance obligatoire des soins en 1996.

Le Valais grimace avec la hausse la plus forte (3,6%) tandis que les cantons d'Uri et d'Appenzell Rhodes-Intérieures sourient avec une baisse de - 1,5%.

Dans 6 cantons (AI, AR, FR, GL, UR, ZG), les adaptations de la prime moyenne seront inférieures à 0,5%, alors que dans 4 autres (JU, NE, TI, VS), elles dépasseront les 2%. Dans les 16 cantons restants (AG, BE, BL, BS, GE, GR, LU, NW, OW, SG, SH, SO, SZ, TG, VD, ZH), la hausse se situera entre 0,5 et 2%.

Primes 2017 plus élevées que les coûts

La hausse relativement modérée des primes maladie 2019 s'explique notamment par le fait qu'en 2017 les primes ont été plus élevées que les coûts, a poursuivi le ministre de la santé. Les assureurs disposaient ainsi de réserves.

Autre raison avancée par le conseiller fédéral: les réserves des caisses maladie qui étaient insuffisantes ont été reconstituées. Il n'y a donc plus le même besoin de rattrapage qu'il y a une année.

Le président de la Confédération a aussi justifié le nouveau modèle de calcul, qui se base sur la prime moyenne et tient également compte des jeunes et des enfants. Il est plus pertinent que l'ancien - valable uniquement pour les adultes avec une franchise de 300 francs et la couverture accidents -, car seuls 19% de la population optent encore pour ce modèle de prime.

Moins cher pour les jeunes

Les jeunes de 19 à 25 ans peuvent respirer. La prime moyenne diminue l'an prochain, car le Parlement a décidé d’alléger la charge pour cette catégorie d’âge. En moyenne, les quelque 650'000 jeunes concernés bénéficient d'un allégement d'environ 50 francs.

Les coûts de la santé sont une des principales préoccupations des habitants, a dit Alain Berset. De plus en plus de familles peinent à payer. Maîtriser les coûts de la santé reste donc un des objectifs prioritaires du Conseil fédéral, a souligné le ministre.

Mais à ce stade, rien ne laisse présager d'une décrue. En raison de l’évolution démographique et des progrès médicaux et techniques, les coûts de la santé et donc les primes maladie vont continuer d’augmenter.

Hausse modérée saluée

La Fédération des médecins suisses (FMH) se félicite de cette hausse moins forte qu'attendue, car elle est ainsi plus proche de l'évolution réelle des coûts de l'assurance de base. La FMH préconise toutefois le financement uniforme des prestations ambulatoires et stationnaires ou une prise en charge hospitalière supracantonale.

Thomas Heiniger, le président de la Conférence des directeurs cantonaux de la santé, veut aussi favoriser l'ambulatoire. Plusieurs cantons ont ainsi introduit une liste d'interventions qui ne doivent plus être réalisées que de manière ambulatoire.

L'association curafutura, qui regroupe quatre caisses maladie, attribue cette hausse modeste à l'intervention du Conseil fédéral dans le tarif médical ambulatoire (Tarmed). Selon elle, toutes les parties concernées doivent tirer à la même corde.

L'Union syndicale suisse (USS) met le doigt sur le fait que ces hausses à répétition continuent de creuser les inégalités sociales. D'autant plus que les subsides pour les primes ont diminué dans de nombreux cantons.

Primes encore trop élevées

Selon le conseiller d'Etat vaudois Pierre-Yves Maillard, les mesures mises en place par le Conseil fédéral pour freiner les coûts de la santé commencent à avoir un effet, mais malheureusement elles ne sont que partiellement prises en compte. Résultat: les primes maladie 2019 restent trop élevées, car les coûts de la santé se sont stabilisés en 2017 et ont reculé au premier semestre 2018.

Son homologue genevois Mauro Poggia a de nouveau soulevé le problème des réserves trop importantes accumulées par les caisses maladie. "On appauvrit les gens, alors que l'on est assis sur un tas d'or", a noté le magistrat.

De son côté, Comparis, le comparateur en ligne, met encore en garde. Par le passé, chaque augmentation de prime inférieure à la moyenne a conduit les années suivantes à une hausse massue.

Source ATS

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International

Accord significatif entre la Norvège et la Suisse sur le CO2

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Le navire de transport de CO2 Northern Pathfinder de Northern Lights est amarré à Oslo. (© KEYSTONE/EPA/STIAN LYSBERG SOLUM)

La Suisse et la Norvège ont signé un accord bilatéral renforçant leur coopération en matière de captage et stockage du carbone (CSC) et de retrait du CO2 de l'atmosphère. C'est une "avancée significative" dans la mise en oeuvre de l’Accord de Paris, annonce le DETEC.

L'accord a été paraphé mardi lors de la visite en Norvège du chef du Département fédéral de l'environnement, des transports, de l'énergie et de la communication (DETEC) Albert Rösti, à l'occasion du lancement par Oslo du projet Longship.

Ce dernier, du nom anglais des bateaux vikings, consiste à capter du CO2 sur une cimenterie et plus tard une usine d'incinération, à le transporter par bateau vers un terminal de la côte ouest puis à l'injecter et le séquestrer sous les fonds marins.

A ce jour, la technologie du CSC est jugée importante pour enrayer le réchauffement climatique mais elle peine à trouver un modèle économique viable.

"Opportunité pour l'économie"

Le projet a bénéficié d'un important soutien financier de l'État norvégien qui va prendre à sa charge 22 milliards de couronnes (près de 2 milliards d'euros) sur un coût total estimé à 34 milliards pour la mise en place des installations et leur exploitation sur les dix premières années.

Lors d'une conférence de presse, le ministre norvégien de l'Énergie, Terje Aasland, a salué "une avancée majeure" pour le CSC en Europe.

Du point de vue suisse, l'accord établit un cadre juridique pour le transport transfrontalier et le stockage permanent du dioxyde de carbone (CO2), notamment, précise le DETEC.

"Le stockage de CO2 sera important pour la Suisse sur la voie de la neutralité carbone. Cette technologie complète nos instruments actuels de décarbonation. Je me réjouis donc de cet accord avec la Norvège. Il renforce l’innovation et constitue une opportunité pour l’économie", a déclaré Albert Rösti.

A peine un an après la signature de la déclaration d’intention, des entreprises privées norvégiennes et suisses ont lancé des activités-pilotes. Plus d’une douzaine d’entreprises et de parties prenantes ont annoncé mardi des accords commerciaux portant sur le transfert de retraits de CO2 dans les deux sens entre les deux pays – une première mondiale dans le cadre de l’article 6 de l’Accord de Paris.

Les "transferts de retraits" font référence à l'idée de remplacer les retraits d'espèces, qui génèrent des émissions de CO2, par des transferts électroniques ou d'autres méthodes de paiement sans espèces.

Ces activités-pilotes sont symboliques en volume, mais visent à déterminer de quelle manière le retrait du CO2 et son stockage transfrontalier peuvent être intégrés dans la politique climatique internationale, lit-on plus loin dans le communiqué. Il s'agit d'"une étape pionnière".

Buts communs

La Norvège et la Suisse ont toutes deux des objectifs climatiques ambitieux et considèrent ces techniques de captage et d'élimination comme des outils essentiels pour atteindre les émissions nettes nulles.

Côté captage, et au-delà de l'accord avec la Suisse, des installations seront officiellement inaugurées mercredi sur une cimenterie de l'allemand Heidelberg Materials à Brevik, dans le sud-est du pays.

Elles doivent permettre d'empêcher 400'000 tonnes de CO2 de s'échapper dans l'atmosphère chaque année.

A compter de 2029, l'usine d'incinération des déchets Hafslund Celsio près d'Oslo devrait elle aussi capter 350'000 tonnes de CO2 annuellement.

Liquéfié, le dioxyde de carbone sera acheminé par bateau vers le terminal d'Øygarden, près de Bergen, où il sera injecté dans un tuyau pour être entreposé, à 110 kilomètres au large, dans un aquifère salin à 2600 mètres sous les fonds marins.

Technologie coûteuse et complexe

La solution du CCS est soutenue notamment par le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (Giec), notamment pour réduire l'empreinte d'industries difficiles à décarboner telles que les cimenteries, responsables à elles seules de 7% des émissions mondiales de CO2.

Mais cette technologie reste complexe et coûteuse.

Sans aide financière, il est aujourd'hui plus rentable pour les industriels d'acheter des "permis de polluer" sur le marché européen des quotas d'émissions (ETS) que de payer pour capter, transporter et stocker leur CO2.

"Deux choses doivent se produire: il faut une hausse progressive du prix de l'ETS afin de refléter correctement le coût réel de l'utilisation du carbone (...) et notre industrie doit vraiment s'employer à faire baisser les coûts technologiques grâce à l'innovation", a indiqué Tim Heijn, le directeur de Northern Lights, une coentreprise formée par Equinor, Shell et TotalEnergies.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Mobilité

TGV Lausanne-Paris: les députés inquiets de la baisse des liaisons

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Dès l'an prochain, il n'y aura plus que trois directs chaque jour entre Lausanne et Paris (archives). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Le Grand Conseil vaudois tient aux six liaisons quotidiennes TGV directes entre Lausanne et Paris. Il a soutenu mardi à l'unanimité une résolution demandant au Conseil d'Etat d'entreprendre "toutes les démarches utiles" pour s'opposer ou compenser la suppression des trois liaisons via Genève.

Selon l'horaire 2026 des CFF, et en raison de travaux entre Genève et La Plaine, l'actuel Paris-Genève-Lausanne ne terminera plus sa course dans la capitale vaudoise, mais aura Genève comme terminus. Alors que Paris est aujourd'hui accessible sans changement six fois par jour depuis Lausanne, il ne restera que trois liaisons directes l'an prochain via Vallorbe.

"Une telle baisse de l'offre pour notre chef-lieu cantonal est problématique. Cela risque d'instaurer un report modal du train vers d'autres modes de transports tels que la voiture ou l'avion", a relevé l'auteur de la résolution, le PLR Alexandre Berthoud.

Rencontre de prévue

Tous les députés qui ont pris la parole ont soutenu le texte, que cela soit pour préserver les objectifs climatiques du canton ou pour éviter que l'économie ou le tourisme ne souffrent que cette réduction de l'offre de TGV. La mise en place de nouvelles liaisons via Vallorbe a été avancée pour compenser celles qui s'arrêteront à Genève dès l'an prochain.

Conseillère d'Etat en charge des transports, Nuria Gorrite a estimé que cette résolution constituait "un signal fort et bienvenu" alors que l'offre de trains vers d'autres pays constitue "le parent pauvre" du système ferroviaire suisse. Elle a aussi rappelé que ces liaisons internationales dépendaient de l'axe Genève-Lausanne, lequel est déjà saturé.

La ministre a indiqué qu'une rencontre était prochainement prévue avec des représentants de Lyria et des CFF. Elle a aussi invité la députation vaudoise à agir à Berne pour obtenir davantage de moyens pour le trafic ferroviaire international.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse Romande

Finance vaudoise: résolution de l'UDC écartée

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Le Grand Conseil vaudois a écarté mardi une résolution demandant le gel des charges dans le budget 2026 de l'Etat (photo d'illustration). (© KEYSTONE/CYRIL ZINGARO)

L'UDC n'est pas parvenue mardi au Grand Conseil à faire passer une résolution demandant de "geler" la croissance des charges de l'Etat de Vaud. Les abstentions de nombreux PLR expliquent l'échec de ce texte, avant tout symbolique puisqu'il ne s'agissait que d'un souhait adressé au Conseil d'Etat.

Initiée par Fabrice Moscheni, la résolution demandait précisément que les charges de l'Etat de Vaud dans le budget 2026 soient inférieures ou égales à celles du budget 2025. Rappelant la situation précaire des finances vaudoises, l'élu UDC a jugé que le canton dépensait "beaucoup trop" et qu'il fallait mettre un terme à cette "croissance mirobolante des charges", lesquelles augmentent plus rapidement que la population.

Il a pris l'exemple du Conseil d'Etat fribourgeois, qui a annoncé ce printemps un vaste programme d'économies.

Plusieurs autres députés de droite ont abondé dans le même sens, critiquant notamment une politique sociale "trop généreuse", notamment en matière de subsides à l'assurance maladie. Toutefois, l'inapplicabilité de cette résolution, qui serait "impossible" à mettre en oeuvre déjà pour le budget 2026, a entraîné plusieurs abstentions dans les rangs PLR et des Vert'libéraux.

A gauche en revanche, les députés ont voté en bloc contre cette résolution. Ils ont notamment critiqué la volonté de l'UDC d'exiger des "coupes massives", mais sans dire précisément où il fallait tailler. Plusieurs élus de gauche ont aussi souligné que, selon eux, les problèmes financiers de l'Etat ne venaient pas des charges, mais des revenus, et plus précisément des baisses d'impôts accordées ces dernières années.

Au vote, la résolution a été refusée par 58 voix, contre 48 avis favorables et 31 abstentions.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

La compagnie vietnamienne Vietjet Air commande 100 avions Airbus

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La flotte de Vietjet Air comprend actuellement 115 appareils, tous des Airbus (archives). (© KEYSTONE/AP/RICHARD VOGEL)

Le Bourget (awp/afp) - Le constructeur aéronautique européen Airbus a annoncé mardi une commande de 100 avions A321neo, d'une valeur théorique de près de 13 milliards de dollars, par la compagnie vietnamienne Vietjet Air.

Le protocole d'accord, qui prévoit la commande potentielle de 50 appareils supplémentaires, a été signé au deuxième jour du salon aérospatial international du Bourget.

Le montant est calculé d'après les prix catalogue de 2018, concept qu'Airbus a abandonné depuis en arguant que les prix de vente réels dépendaient des spécificités de chaque contrat, de la version et de la configuration de l'appareil et qu'ils demeurent confidentiels.

Cette commande vient s'ajouter à l'annonce, en mai, d'une commande de 20 avions gros porteurs Airbus A330-900, en marge d'une visite du président français Emmanuel Macron à Hanoï.

"Cet accord représente une étape majeure dans notre partenariat avec Airbus", a indiqué la directrice générale de Vietjet Air, Nguyen Thi Phuong Thao, lors d'un point presse, mardi, rappelant que la région connaissait la plus forte croissance en terme de transport aérien.

La flotte de Vietjet Air comprend actuellement 115 appareils, tous des Airbus.

Cette nouvelle commande vient s'ajouter au tableau de bord de l'avionneur, qui a annoncé lundi plusieurs nouvelles commandes, dont une commande ferme de 25 gros-porteurs A350-1000 par la compagnie saoudienne Riyadh Air, d'une valeur théorique de 9 milliards de dollars.

De son côté, son concurrent historique Boeing a annoncé lundi qu'il allait se concentrer sur "le soutien à ses clients" plutôt que sur des annonces de commandes durant le salon, quelques jours après le crash mortel d'un Boeing 787 Air India.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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International

USA: les ventes au détail reculent plus qu'attendu en mai, de 0,9%

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Les vendeurs de voitures et pièces détachées ont connu la plus forte baisse (-3,5% de ventes sur un mois), suivis par le secteur de matériaux de construction et d'entretien des jardins (-2,7%) (archives). (© KEYSTONE/AP/NAM Y. HUH)

Les ventes au détail ont décliné plus fortement qu'attendu aux Etats-Unis le mois dernier, selon des données officielles publiées mardi. Des secteurs de premier plan comme l'automobile, le bâtiment et la restauration, ont flanché.

Selon les données publiées par le ministère du Commerce, les ventes au détail ont reculé de 0,9% sur un mois en mai, pour atteindre 715,4 milliards de dollars. Les analystes s'attendaient à un repli moins marqué, de -0,6%, selon le consensus publié par MarketWatch.

L'économie américaine, d'ordinaire tirée par la consommation des ménages, est chahutée par les droits de douane mis en place par le président Donald Trump depuis son retour au pouvoir en janvier. Les vendeurs de voitures et pièces détachées ont connu la plus forte baisse (-3,5% de ventes sur un mois), suivis par le secteur de matériaux de construction et d'entretien des jardins (-2,7%).

Les restaurants et débits de boissons ont aussi vu leur chiffre d'affaires reculer (-0,9%). "Les consommateurs n'ont pas la tête aux dépenses parce qu'ils n'aiment pas comment l'économie se présente", avait déclaré à l'AFP, avant la publication, Dan North, économiste chez Allianz Trade North America.

Il estimait que de mauvais chiffres sur la consommation allaient pousser une nouvelle fois le président Donald Trump à demander à la Réserve fédérale (Fed) de baisser les taux. "Si les ventes au détail déçoivent, vous verrez certainement un tweet du gouvernement parlant du président (de la Fed Jerome) Powell", pointait-il.

Les responsables de la banque centrale des Etats-Unis tiennent mardi et mercredi leur traditionnelle réunion de politique monétaire. Un statu quo sur les taux est attendu à l'issue.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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