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Genève

Faut-il fermer les dépôts d’hydrocarbures?

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Dépôts d'hydrocarbures à Vernier - archives (KEYSTONE/Salvatore Di Nolfi)

Le dépôt d'hydrocarbures à Vernier (GE) doit être préventivement fermé, exigent MCG et l'UDC après la révélation par les médias d'un projet d'attentat. "Nous exigeons le retrait immédiat de l’autorisation d’exploitation pour la zone de stockage Petrostock SA", écrivent les deux partis dimanche dans un communiqué commun.

Le conseiller d'Etat Mauro Poggia (MCG) a confirmé vendredi à demi-mot les révélations par Le Temps, d'un projet d'attentat islamiste contre le dépôt d'hydrocarbures qui était planifié au printemps dernier. Ces révélations montrent, une fois encore, les dangers encourus par la population à cause de la présence de ces installations, affirme le Mouvement citoyen genevois (MCG) et l'UDC.

Les sections de Vernier de ces deux partis applaudissent les services de sécurité, le Service de renseignement de la Confédération notamment, qui ont déjoué le projet. Mais elles "s’inquiètent forcement car cela ne constitue, hélas, pas une surprise".

Et ces partis de rappeler qu'en 2016 déjà, il ont essayé en vain de demander au canton un renforcement immédiat de la sécurité de ces installations. Citant un avis du Tribunal fédéral, elles affirment que l'installation de Petrostock S.A, la plus porche des zones habitées, doit être démantelée. Elle ne respecte plus l’ordonnance de prévention des accidents majeurs (OPAM), selon le MCG et l'UDC verniolans.

D'après eux, le retrait d'autorisation est de la compétence du canton. Or le conseiller d'Etat en charge du dossier Antonio Hodgers renvoie au niveau fédéral.

D'après Le Temps, des Suisses enrôlés par le groupe Etat islamique (EI) auraient planifié de faire exploser les citernes de Vernier, près de l'aéroport de Genève. Le service de renseignement de la Confédération (SRC), informé par les Américains, auraient transmis l'informations à la police genevoise.

"La circulation de l'information a joué", a dit M. Poggia sur les ondes de la RTS en allusion à la police genevoise qui fait office de bras armé de la Confédération en matière de lutte antiterroriste. Mais lui-même, qui a repris la police et la sécurité à son collègue Pierre Maudet, n'était pas au courant de ces plans.

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Genève

Mityukov vit "une saison particulière"

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Roman Mityukov est confiant avant d'aborder les Mondiaux de Singapour (© KEYSTONE/PATRICK B. KRAEMER)

Comme il en a pris l'habitude, Roman Mityukov ne se fixe pas d'objectif précis avant les Mondiaux en grand bassin de Singapour (27 juillet-3 août).

"C'est une saison particulière après des JO", lors desquels le Genevois s'était paré de bronze sur 200 m dos l'été dernier.

"Je ne sais pas vraiment où j'en suis par rapport à la concurrence internationale. Cela fait quasiment un an que je ne me suis pas mesuré à elle", souligne Mityukov, qui n'avait pas trop eu l'occasion de le faire lors des Mondiaux 2024 en petit bassin avec trois courses disputées seulement à Budapest en décembre.

"Je ne sais toujours pas ce que je faisais là-bas", rigole le Genevois, joint au téléphone par Keystone-ATS vendredi dernier. Aligné sur trois disciplines en Hongrie (100 et 200 dos, 100 libre), il avait été éliminé à chaque fois dès les séries. "Je voulais rentrer le plus vite possible pour m'entraîner", souligne-t-il.

"J'emmagasine de l'énergie"

"Je n'étais pas affûté, ça arrivait trop tôt pour moi dans la saison. J'ai coupé longtemps après les Jeux de Paris. Or, j'ai l'habitude de monter en puissance", rappelle Mityukov, qui n'a en outre pas l'habitude de nager en bassin de 25 mètres. "Ca s'est transformé en mini-camp d'entraînement", glisse-t-il.

Depuis, il a eu tout loisir de préparer son seul "vrai" grand rendez-vous de la saison, les Championnats du monde en bassin de 50 m. "Je me réjouis d'y être", lâche le Genevois (25 ans le 30 juillet), dont le voyage en Asie était prévu ce mercredi.

"Je me sens très bien, tant physiquement que mentalement. Je relâche peu à peu le kilométrage", souligne-t-il. Les entraînements les plus durs sont derrière lui. "Je me détends, j'emmagasine de l'énergie", explique Mityukov, qui devrait ne nager plus que 3 kilomètres quotidiennement lors des jours précédant son entrée en lice.

Si la mécanique est bien huilée, il faut en revanche toujours faire preuve de souplesse dans la planification. "L'affûtage dépend de mes sensations. Clément (Bailly, son coach) sait mieux que moi si j'ai besoin de nager plus ou moins", précise-t-il.

"Pas trop se relâcher"

"Mais il en faut pas trop se relâcher, car il faudra tenir", rappelle Mityukov, qui s'alignera sur les trois distances du dos (50, 100 et 200 m) et éventuellement en relais. Sa première course individuelle est prévue le lundi 28 juillet, avec les séries du 100 m dos. Celles du 200 m, sa distance fétiche, sont prévues le 31.

Présent sur le podium du 200 m dos lors des trois dernières compétitions intercontinentales en grand bassin (bronze en 2023 et argent en 2024 aux Mondiaux, bronze olympique en 2024), le Genevois peut-il viser autre chose qu'un podium à Singapour? "C'est vraiment dur de donner un objectif précis", coupe-t-il.

"Je suis confiant, je serai compétitif", rassure Roman Mityukov, 8e performeur 2025 sur 200 m dos avec les 1'55''64 réalisés lors des championnats de Suisse de Sursee début avril. "Mais il faudra à coup sûr se battre, d'abord pour passer en demi-finale, puis pour aller en finale", souffle-t-il.

"Je devrai simplement faire ma course, sans me mettre de pression", lâche le 21e nageur le plus rapide de l'histoire dans la discipline. "J'avais fait cette erreur aux Européens de 2022, où je voulais absolument l'or", mais où il avait dû digérer trois 4es places (100 et 200 m dos, 4x200 m libre). On ne l'y reprendra plus.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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EURO 2025

Girelli envoie l'Italie en demi-finales

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Cristiana Girelli, héroïne italienne (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Le premier quart de finale de l'Euro féminin a souri à l'Italie. A Genève, les Transalpines ont dominé la Norvège 2-1 grâce à un doublé de Cristiana Girelli.

Grâce à l'attaquante de la Juventus, les "Azzurre" mettent fin à une disette de 28 ans en rejoignant cette fois le dernier carré.

Ce sont d'ailleurs les Italiennes qui ont été les premières à mettre le feu aux poudres dans cette rencontre. A la 50e, Girelli a pu habilement dévier un centre de Cantore pour ouvrir le score.

Les Norvégiennes ont eu l'opportunité de revenir à la marque dix minutes plus tard sur penalty, mais la star Ada Hegerberg a tiré à côté, ratant son deuxième penalty de la compétition après celui contre la Suisse en ouverture de cette compétition.

Seulement l'attaquante de Lyon, qui a fêté ses 30 ans il y a six jours, n'a pas été la première Ballon d'Or féminine par hasard. A la 66e, Hegerberg a pu égaliser en étant la plus prompte à toucher le ballon dans la surface de réparation transalpine.

Et alors que l'on imaginait des prolongations, un nouveau centre parfait de Cantore à la 90e a trouvé la tête de Girelli pour faire exploser le stade de la Praille et toute l'Italie avec.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

Des parlementaires russes et ukrainiens sont attendus à Genève

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Un tank en taille réel fait entièrement de ballons biodegradable lors d'une campagne de l'ONG Handicap International sur la place des Nations le 5 avril 2022 (KEYSTONE/Salvatore Di Nolfi)

Des représentants majeurs des Parlements russe et ukrainien sont attendus à Genève, à la fin du mois de juillet, pour participer à la sixième Conférence mondiale des présidents de Parlement. Il se trouve toutefois que certains membres de la délégation russe sont sous un régime de sanctions de la part de la Suisse, leur interdisant d'entrer dans le pays ou d'y transiter. Des dérogations sont cependant possibles.

L'Union interparlementaire (UIP), qui organise la conférence, annonce la participation, côté ukrainien, du président du Parlement Ruslan Stefanchuk. Côté russe, la délégation doit être emmenée par la présidente du Conseil de la fédération de Russie (chambre haute) Valentina Matvienko.

L'information a été révélée mercredi par les journaux alémaniques de Tamedia. La Conférence mondiale des présidents de Parlement se tiendra du 29 au 31 juillet au Palais des Nations, à Genève.

La délégation ukrainienne qui compte se rendre sur les bords du Léman est composée de quatre personnes, selon une liste provisoire fournie par l'Union interparlementaire sur son site internet. La délégation russe, pour sa part, est forte de 13 personnes.

Sur la liste russe, outre Mme Matvienko, sont aussi annoncés le vice-président du Sénat Konstantin Kosatchev, et Piotr Tolstoï, le vice-président de la Douma.

Prêt à lever les sanctions

Valentina Matvienko et Piotr Tolstoï figurent notamment sur la liste des personnes sanctionnées par l'Union européenne et la Suisse. Au Département fédéral des affaires étrangères (DFAE), on indique que la Suisse veut faciliter la venue de délégations officielles étrangères à cette conférence. La Suisse serait prête, si besoin, à lever les sanctions qui visent certaines personnes pour la durée de l'événement. La décision reviendrait soit au DFAE soit au Secrétariat d'Etat aux migrations (SEM).

La Suisse ne ferait qu'appliquer les règles figurant dans l'Ordonnance instituant des mesures en lien avec la situation en Ukraine. Il est notamment envisagé des dérogations pour des personnes qui participent à des conférences internationales. Le DFAE a toutefois précisé à Keystone-ATS qu'il ne s'exprimait pas sur des cas spécifiques.

Rencontre possible

Il n'est pas encore certain que les délégations russe et ukrainienne se rendront à Genève pour cette conférence. Il n'y a pas d'assurance, non plus, que des rencontres auront lieu entre les représentants des deux pays. Ce constat vaut aussi pour les délégations d'Israël et de Palestine qui doivent prendre part à la conférence.

Interrogé au 12h30 de la RTS, le secrétaire général de l'UIP Martin Chungong a dit que pour l'instant, aucune rencontre bilatérale n'était confirmée. "Nous continuons de déployer des efforts pour rapprocher les deux parties. Il n'est pas exclu qu'il y ait une rencontre entre les deux délégations."

"Il y a certains dossiers qui sont discutés avec les deux parties et elles sont d'accord pour mener une coopération avec l'UIP en vue du règlement de ces cas." Et de citer celui des enfants déplacés suite à la guerre et qui se trouvent en Russie. "Les deux parties sont d'accord pour déployer des efforts tendant à réunir ces enfants avec leurs familles."

Le thème de la guerre n'est pas à l'ordre du jour de la conférence. Un débat est prévu sur la coopération parlementaire et le multilatéralisme en faveur de la paix, de la justice et de la prospérité pour tous.

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Genève

La Plage de la Plaine à Dardagny fermée à cause de cyanobactéries

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Photo prétexte KEYSTONE Byline MARTIAL TREZZINI

Attention si vous comptiez aller piquer une tête à la Plage de la Plaine à Dardagny. La baignade y est désormais interdite. Les prélèvements réalisés mardi 15 juillet par l'office cantonal de l'eau ont révélé des dépassements des seuils autorisés de cyanobactéries. Elles peuvent produire des toxines potentiellement dangereuses pour la santé humaine et animale. 

Ces cyanobactéries de type Woronichinia excèdent le seuil recommandé par l'OMS pour les eaux de baignade. Raison pour laquelle le médecin cantonal a décidé de fermer temporairement la Plage.

Ces toxines représentent un danger pour la santé lorsqu’on les avale, qu’on entre en contact direct avec elles ou qu’on les respire, rappellent le Département du territoire et le Département de la santé et des mobilités dans un communiqué. Elles peuvent toucher la peau, provoquer des troubles digestifs, ou causer des symptômes qui ressemblent à une grippe, des maux de tête ou des vertiges. Les cyanobactéries peuvent être particulièrement dangereuses pour les jeunes enfants et les animaux de compagnie.

Le fort développement de cyanobactéries peut s'expliquer par  les fortes chaleurs de ces dernières semaines, et également par le fait que l'étang de baignade soit peu profond et que l'eau y stagne.

Si vous pensez avoir été contaminé vous pouvez contacter le 144.

L'office cantonal de l'eau a mis en place un suivi hebdomadaire de la qualité sanitaire de l'eau. L'interdiction pourra être levée lorsque la situation sera revenue à la normale.

 

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Genève

Genève: au fil du Rhône sur le D'Artagnan, barge poubelle des SIG

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Les barges poubelle des SIG évoluent dans une nature sauvage sur 12 km avant d'atteindre l'usine des Cheneviers. (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Depuis près de six décennies, les barges poubelles des SIG transportent au fil du Rhône des milliers de tonnes de déchets ménagers du centre-ville de Genève jusqu'à l'usine des Cheneviers. Une équipe de Keystone-ATS a fait le trajet sur un long fleuve pas toujours tranquille.

A la bucolique pointe de la Jonction, vers 8h30, quelques rares coureurs et un ballet de camions poubelles. Les poids lourds déversent tour à tour les ordures ménagères de la ville de Genève et des communes de la rive gauche dans une barge abritée sous un couvert.

Sous des brumisateurs qui luttent contre les nuages de poussière, les tas de déchets sont égalisés, aplatis. Puis la benne d'une soixantaine de mètres de long, baptisée "D'Artagnan", est fermée par des stores mécaniques pour éviter les odeurs, la dispersion des ordures et d'attirer les gourmands rapaces qui tournoient non loin.

Sur 12 km

"Aujourd'hui, nous avons 165 tonnes, ce qui n'est pas loin du maximum", explique Philippe Riesen, responsable de la réception des marchandises et chef de l'équipe. La barge n'étant pas motorisée, un bateau pousseur, le "Tréville", la tire avec douceur hors du quai de chargement, avant de repousser une benne vide dans le chenal.

Très techniques, les manoeuvres sur le Rhône se déroulent "pile poil à la Jonction, là où le Rhône mange l'Arve", commente le chef d'équipe. Elles permettent de placer D'Artagnan devant le Tréville qui poussera la benne sur douze kilomètres.

Aux manettes de l'imposant convoi, Cédric Bernard, responsable du service de transport fluvial et l'un des cinq pilotes de barges des Services industriels de Genève. La vie à bord serait-elle un long fleuve tranquille? "Cela dépend des périodes", répond-il.

"Les péniches peuvent naviguer par tous les temps, notre seule contrainte, c'est le courant qui peut être très irrégulier. Nous nous sommes fixé une limite à un débit de 650 mètres cubes. En hiver, le brouillard peut perturber la navigation, il faut alors l'aide du radar", poursuit-il.

Tout un système d'alerte

"La période estivale est, elle, particulièrement stressante: le Rhône est envahi de nageurs, d'embarcations et d'objets flottants non identifiés", glisse M. Bernard. "Il faut être hyper vigilant". Et de montrer à une centaine de mètres en avant un canoë qui ignore superbement le coup de corne du bateau, avant de finalement se ranger sur le côté.

Dès le milieu de la matinée, "c'est l'enfer", abonde M. Riesen, "si bien que des mesures ont dû être prises: depuis 2019, une escorte fluviale précède la barge l'après-midi. Elle invite les adeptes de la descente du Rhône à se ranger sur la droite ou à s'arrêter. Banderoles et pancartes lumineuses font de même avant le pont de la Jonction".

"Ce n'est pas pour embêter, mais il est vraiment compliqué d'arrêter un convoi frôlant les 400 tonnes: lorsqu'il part en dérive, il est difficilement rattrapable", note le capitaine.

Nature sauvage

Après deux virages délicats passés de main de maître, le bateau continue sa course paisible dans la nature sauvage, à une "vitesse de pointe de 17 à 18 km/h". Suivant les méandres du fleuve d'un vert émeraude, il se faufile entre les roselières, sous le pont Butin, les tours du Lignon, la passerelle de Chèvres, "la plus complexe à passer, car il faut tenir compte de la dérive", relève M. Bernard qui avoue parfois quelques petites frayeurs.

Descendue à fleur de l'eau verte du fleuve, la barge arrive à bon port à l'usine des Cheneviers à Aire-la-Ville, où sont déchargées et incinérées les ordures ménagères. La descente aura duré 45 minutes. "Il faudra une heure pour le retour, les bennes vides étant plus difficiles à diriger", observe le capitaine.

40% des ordures du centre-ville

Par année, en moyenne 40'000 tonnes de déchets sur les 90'000 produites par le centre de Genève et la rive gauche sont transportées sur le Rhône, soit environ 40%. Les quatre barges - toutes au nom de mousquetaires - réalisent en général neuf allers et retours hebdomadaires, relève Thomas Servant, responsable d'unité, lors de l'arrivée au chenal de l'usine d'incinération.

"Outre le nombre de camions en moins sur les routes, ce moyen de transport doux permet de limiter les émissions de CO2. La capacité d'une benne équivaut à celle d'une petite vingtaine de poids lourds. A titre de comparaison, un camion transporte environ 8 tonnes", illustre-t-il.

Crues plus importantes

Reste que ce type de transport est soumis aux aléas climatiques. L'été dernier, à la suite à de pluies torrentielles, "l'Arve a transporté beaucoup de sable. Un gros volume de sédiments s'est déposé dans le chenal à la Jonction. Conséquence: les coques touchaient le fond et le trafic a été interrompu".

"Le problème des crues est récurrent. Mais force est de constater une accentuation de la gravité de ces épisodes", indique M. Servant.

Le dragage des sédiments fait d'ailleurs partie du travail de l'équipe, deux fois par an. Là aussi, les volumes sont de plus en plus importants. Huit mille mètres cubes vont notamment été retirés à la Jonction lors de la prochaine campagne, de fin août à mi-octobre.

Selon Thomas Servant, "l'activité va rester pérenne encore très longtemps". Et de rappeler qu'elle avait été imaginée par des ingénieurs lors l'ouverture de la première usine d'incinération des Cheneviers en 1966. Le transport fluvial de déchets se pratique ailleurs, notamment en France et aux Pays-Bas, précise le responsable.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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