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Economie

Une nouvelle association pour le commerce de détail genevois

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La nouvelle association Genève Commerces réunit la Fédération du commerce genevois (FCG) et le Trade Club, les deux associations cantonales historiques (photo prétexte). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Genève Commerces est la nouvelle association cantonale du commerce de détail. Elle réunit la Fédération du commerce genevois (FCG) et le Trade Club, les deux associations cantonales historiques. Ses objectifs: dynamiser le secteur du commerce de détail local et assurer la défense des intérêts des commerçants genevois.

Genève Commerces compte actuellement 73 membres, auparavant rattachés à la Fédération du commerce genevois (FCG) ou au Trade Club. Ils ont décidé de s’unir pour donner un nouveau souffle au commerce de détail et représenter de manière unie l’ensemble des acteurs du secteur, a communiqué jeudi la nouvelle association.

Genève Commerces vise également à renforcer sa dimension humaine et à garantir le respect du partenariat social. L’association s’est dotée d’une charte d’éthique, disponible sur le site internet de l’association, qui lie les enseignes représentées.

"Après deux années compliquées pour les commerçants, nous allons nous investir pour favoriser la reprise de leurs activités et leur apporter un soutien et des prestations qui répondent à leurs besoins. Nous devons leur assurer des conditions-cadre favorables, indispensables à un fonctionnement serein et durable", a relevé Claudio Marra, coprésident de Genève Commerces, cité dans le communiqué.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Economie

Les sénateurs favorables à leur tour à une offensive éolienne

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Après le solaire, le Parlement est d'accord d'avancer sur l'énergie éolienne (archives). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Le Parlement veut avancer sur l'énergie éolienne. Après le National, le Conseil des Etats a adopté jeudi à l'unanimité un projet visant notamment à accélérer les procédures d'autorisation de construction. Le dossier retourne au National.

Les procédures d'autorisation des installations éoliennes sont actuellement très longues. La proposition sur la table, une initiative parlementaire de la commission compétente du National, veut donner un coup d'accélérateur aux projets de construction déjà bien avancés.

Il faut permettre à l'éolien de jouer pleinement son rôle dans l'approvisionnement énergétique de la Suisse, surtout en hiver, a estimé Adèle Thorens Goumaz (Vert-e-s/VD) pour la commission.

Concrètement, l'autorisation de construire pour les éoliennes d'intérêt national et bénéficiant d'un plan d'affectation déjà entré en force sera délivrée par le canton, et plus par les communes. Or celles-ci ne seront pas oubliées: elles devront avoir déjà approuvé les projets dans une phase de planification antérieure.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Economie

Philippe Fleury, nouveau directeur de la FER

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Philippe Fleury succède à Blaise Matthey à la tête de l'association patronale FER Genève. (© Olivier Vogelsang)

La Fédération des entreprises romandes Genève (FER Genève) a un nouveau directeur général. Philippe Fleury a officiellement succédé jeudi à Blaise Matthey, qui a dirigé la fédération depuis 2007 et qui y a travaillé pendant 35 ans.

Nommé en mai 2022 par le Conseil de direction de la FER Genève, Philippe Fleury a rejoint l'organisation en janvier 2023 pour permettre une période de transition avec son prédécesseur. Il assume officiellement la fonction de directeur général depuis le 1er juin, indique un communiqué.

Ce détenteur d'un double master en lettres et en droit est devenu avocat au barreau de Genève en 2002. Il a entamé sa carrière comme avocat stagiaire avant de poursuivre ses activités professionnelles au Département fédéral des finances, puis depuis 2007 chez KPMG. Il y a exercé la fonction du chef du bureau de Genève depuis 2020.

Philippe Fleury a occupé différentes fonctions au sein du Parti démocrate-chrétien genevois. Il a par ailleurs le grade de colonel au sein de l'armée suisse et est en charge de la protection militaire de l'aéroport de Genève.

A la tête de la FER Genève, Philippe Fleury veut être au service de sa communauté. Il souhaite une organisation de terrain, proche des entrepreneurs. Dès septembre 2023, il devrait également assurer la fonction de secrétaire général de la faîtière romande FER.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Economie

Les Suisses négligent l'argent liquide, une tendance qui ralentit

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En 2017, la part du numéraire atteignait 70%, avant de chuter à 43% en 2020. L'utilisation des cartes de débit et de crédit est restée stable, représentant toujours respectivement un tiers (33%) et 13% du nombre des paiements courants (archives). (© KEYSTONE/CHRISTIAN BEUTLER)

L'argent liquide perd de plus en plus de terrain comme moyen de paiement en Suisse, à en croire les statistiques de la Banque nationale suisse (BNS). Pour les dépenses courantes, les billets et les pièces ne représentent qu'un gros tiers (36%) des transactions.

Le rythme de la baisse a néanmoins ralenti ces deux dernières années, précise jeudi l'institut d'émission. En 2017, la part du numéraire atteignait 70%, avant de chuter à 43% en 2020. L'utilisation des cartes de débit et de crédit est restée stable, représentant toujours respectivement un tiers (33%) et 13% du nombre des paiements courants.

Ainsi, une transaction sur deux est effectuée sur un terminal de paiement, la plupart du temps (75%) par le biais de la fonction sans contact.

Les applications de paiement séduisent de plus en plus. Le recours à ces plateformes a plus que doublé en deux ans, leur part passant à 11% du nombre de transactions recensées par la BNS, contre 5% auparavant.

Pour les dépenses courantes, l'argent liquide demeure cependant une valeur sûre. Une majorité reste attachée aux billets de banque et aux pièces de monnaie, selon les résultats d'une enquête menée par la BNS auprès d'un échantillon de 2000 personnes domiciliées en Suisse.

Attachement à l'argent liquide

Le numéraire doit rester disponible comme moyen de paiement, malgré l'engouement pour les cartes et les applications, estiment les sondés. Ceux-ci avouent toutefois qu'ils utiliseraient moins le numéraire si l'infrastructure venait à être réduite.

L'argent liquide reste largement accepté dans les points de vente, souligne la BNS dans son communiqué. De ce point de vue, le niveau de satisfaction demeure élevé (92% d'avis positifs) pour les sondés. Il est très rare qu'un règlement ne puisse pas être effectué en Suisse, des incidents techniques (dans 52% des cas concernés) ou le refus d'un "instrument" de paiement (47%) pouvant entraver les opérations de paiement.

Si l'on envisage les dépenses courantes au travers des volumes en francs, la carte de débit reste le moyen privilégié en Suisse (33%), devant l'argent liquide (24%). Les applications de paiement ont également gagné du terrain, doublant leur part en deux ans pour générer 8% des volumes.

Pour les paiements récurrents, les virements par banque en ligne sont clairement entrés dans les moeurs, ceux-ci représentant 52% des transactions effectuées. Le service eBill, qui permet de faciliter ces opérations, reste moins utilisé que l'ordre permanent.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Economie

Nouvelle hausse du taux de référence en vue pour l'hiver ou 2024

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Martin Tschirren a expliqué jeudi à Berne l'impact à attendre de la hausse du taux de référence hypothécaire. (© KEYSTONE/ANTHONY ANEX)

Une nouvelle augmentation de 0,25 point de pourcentage du taux d'intérêt de référence pour les contrats de bail "est à attendre pour l'hiver prochain ou 2024", a annoncé jeudi le directeur de l'Office fédéral du logement (OFL) Martin Tschirren.

"Il est relativement vraisemblable qu'un nouveau pas (dans la hausse) sera franchi l'hiver prochain, mais il est difficile de dire quand précisément", a déclaré M. Tschirren devant les médias à Berne.

Les banques estiment que le taux de référence pourrait monter à 2% à l'horizon 2025, "mais nous nous gardons d'une telle anticipation", a ajouté M. Tschirren.

Plusieurs facteurs entrent en jeu, comme les taux directeurs de la BNS ou le comportement du marché hypothécaire, si bien que les prévisions s'avèrent complexes.

Le fait que la hausse du taux annoncée jeudi (de 1,25 à 1,5%) soit la première depuis 2008 rend en outre difficile la mesure de l'impact que cela aura sur les loyers, a précisé l'OFL.

Un bail sur deux concerné

Une hausse d'un quart de point du taux de référence donne le droit au bailleur d'exiger une hausse de loyer de 3%, à la condition toutefois que le loyer actuel soit fondé sur l'ancien taux de référence de 1,25%. "Cette condition devrait concerner environ la moitié des baux", a précisé l'OFL. Pour l'autre moitié, il ne devrait donc pas y avoir de hausse.

Si le loyer est basé sur un taux plus ancien et supérieur au taux actuel, il existe, au contraire, un droit à la baisse. Pour rappel, plus de 60% des résidents en Suisse sont locataires, un taux très élevé en comparaison internationale.

Une fois une éventuelle hausse de loyer notifiée, les locataires ont 30 jours pour s'y opposer. L'Office fédéral du logement les invite à s'informer de leurs droits sur le site de l'OFL et à s'adresser au besoin à l'autorité de conciliation en matière de baux et loyers, s'ils s'estiment floués.

L'OFL insiste sur le fait qu'il n'y "aura pas de hausse générale des loyers. Si vous avez conclu un bail il y a cinq ans à un taux de référence de 2,25%, vous pouvez dormir tranquilles", a-t-il illustré.

L'incertitude subsiste. "On ne sait pas comment les bailleurs vont réagir. Mais il faut prévoir que ceux qui ont accordé des baisses par le passé vont procéder à des augmentations", a encore noté l'OFL.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Le Parlement favorable à l'obligation de signaler les cyberattaques

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Certaines infrastructures critiques comme les transports publics seront soumises à une obligation de signaler des incidents (photo d'illustration). (© KEYSTONE/CHRISTIAN BEUTLER)

La Suisse doit renforcer sa capacité de résistance aux cyberattaques. Après le National, le Conseil des Etats a approuvé jeudi à l'unanimité l'obligation de signaler des incidents contre les infrastructures critiques. Une divergence subsiste toutefois.

Actuellement, iI manque une vue d'ensemble, car les signalements au Centre national pour la cybersécurité (NCSC) se font sur une base volontaire. Une obligation de signaler permettra de connaître rapidement les nouveaux modes opératoires, a indiqué la ministre de la défense Viola Amherd.

Le signalement sera obligatoire si une cyberattaque grave met en péril le fonctionnement de l'infrastructure critique touchée. Le National a étendu cette obligation d'annonce aux vulnérabilités des équipements informatiques. Le Conseil des Etats n'a pas suivi par 31 voix contre 13. Cette disposition n'est pas assez précise et amènera davantage de charge administrative, a estimé Hans Wicki (PLR/NW).

Le dossier retourne au National.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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