Les communes genevoises lancent une campagne de communication. Quatre affiches de couleurs intitulés ma commune - mon quotidien. Le but: montrer quelles sont les prestations qu'elles assument en faveur de la population.
Les communes genevoises lancent une campagne de communication. Quatre affiches de couleurs intitulées ma commune - mon quotidien. A l’aide de pictogrammes, elles montrent les prestations dispensées à la population. Entretien des parcs, petite enfance, solidarité aux aînés ou encore parascolaire sont à la charge des autorités communales. Une campagne destinée également à montrer au Canton l’action des 45 Communes à l’heure de la discussion sur la répartition des tâches. Le président de l’association des communes genevoises, Gilbert Vonlanthen.
Gilbert Vonlanthen
Président de l'Association des communes genevoises
Gilbert VonlanthenPrésident de l'Association des communes genevoises
Gilbert VonlanthenPrésident de l'Association des communes genevoises
Un site internet détaille les prestations communales. Geneve-communes.ch
Les communes sont le niveau le plus proche des habitants et cette campagne, qui est une première, vise à rappeler cette proximité. Gilbert Vonlanthen.
Gilbert Vonlanthen
Président de l'Association des communes genevoises
Gilbert VonlanthenPrésident de l'Association des communes genevoises
Gilbert VonlanthenPrésident de l'Association des communes genevoises
Péréquation financière
Les affiches se déclinent en quatre couleurs et permettent en un clin d’œil de voir la pluralité des prestations. Le président de l’ACG a rappelé l’existence des fonds intercommunaux qui permettent de financer les écoles, les équipements publics et l’accueil parascolaire. En tout 200 millions de francs alloués chaque année, grâce à la péréquation intercommunale.
Les plus riches donnent aux moins fortunées. A l’heure de la discussion sur la répartition des tâches entre Canton et Communes, il est important de le rappeler à l'Etat, selon Gilbert Vonlanthen.
Gilbert Vonlanthen
Président de l'Association des communes genevoises
Gilbert VonlanthenPrésident de l'Association des communes genevoises
Gilbert VonlanthenPrésident de l'Association des communes genevoises
Parcs et collecte des déchets
Parcs et lieux publics, collecte des déchets, sont des tâches assumées par les communes. Ce qui représente 65 parcs. 180'000 tonnes de déchets ménagers sont traités chaque année par les collectivités dans 800 écopoints. Du côté de la police municipale, 360 agents assurent la sécurité. Autres tâches assumées, la solidarité aux aînés, l’état civil mais aussi le 80% du réseau routier et 100% en Ville de Genève, ce qui représente 1500 kilomètres de routes et de pistes cyclables à entretenir.
Écoles primaires
Autre grosse charge, les bâtiments scolaires. En effet, les écoles primaires du canton sont construites par les communes, ce qui représente un coût important. Entre 1,5 et 2 millions par classe. Xavier Magnin, Conseiller administratif de Plan-les-Ouates.
Xavier Magnin
Conseiller administratif à Plan-les-Ouates et membre du bureau de l'ACG
Xavier MagninConseiller administratif à Plan-les-Ouates et membre du bureau de l'ACG
Xavier MagninConseiller administratif à Plan-les-Ouates et membre du bureau de l'ACG
Le Fonds intercommunal du développement urbain assume également ce coût.
Sport et culture
En matière de sport et de culture, les collectivités locales jouent un rôle important. Le Conseiller administratif chargé des finances, Alfonso Gomez.
Alfonso Gomez
Conseiller administratif à Genève et membre du bureau de l'ACG
Alfonso GomezConseiller administratif à Genève et membre du bureau de l'ACG
Alfonso GomezConseiller administratif à Genève et membre du bureau de l'ACG
Pour le Magistrat, il est essentiel de rappeler le rôle des communes à la population.
Alfonso Gomez
Conseiller administratif à Genève et membre du bureau de l'ACG
Alfonso GomezConseiller administratif à Genève et membre du bureau de l'ACG
Alfonso GomezConseiller administratif à Genève et membre du bureau de l'ACG
Parascolaire et petite enfance
Carole-Anne Kast, Conseillère administrative à Onex a relevé l’implication des communes dans l’accueil parascolaire avec 27'000 enfants inscrits au GIAP. Ce qui représente plus de 2'000 collaborateurs à gérer. 80% du coût est assumé par les communes et 20% par les parents. Le détail avec Carole-Anne kast.
Carole-Anne Kast
Conseillère administrative à Onex et membre du bureau de l'ACG
Carole-Anne KastConseillère administrative à Onex et membre du bureau de l'ACG
Carole-Anne KastConseillère administrative à Onex et membre du bureau de l'ACG
La petite enfance également est du ressort principal des municipalités. Une place en crèche coûte CHF 40'000 francs et le 90% de cette somme est financée par elles. Carole-Anne Kast.
Carole-Anne Kast
Conseillère administrative à Onex et membre du bureau de l'ACG
Carole-Anne KastConseillère administrative à Onex et membre du bureau de l'ACG
Carole-Anne KastConseillère administrative à Onex et membre du bureau de l'ACG
Notez que le GIAP, le groupement intercommunal pour l'animation parascolaire recherche une centaine de personnes immédiatement.
La campagne d'affichage s'étale jusqu'en juin 2023. Coût de la campagne: CHF 28'000.-.
Un incendie s'est déclaré vendredi, en fin d'après-midi, dans un appartement du quartier des Pâquis, à Genève. Le feu s'est propagé aux combles de l'immeuble. Les trois occupants du logement, incommodés par les fumées, ont été emmenés à l'hôpital.
Les locataires de l'appartement en feu, deux adultes et un enfant, se sont réfugiés sur le toit de l'immeuble. Ils ont été secourus et évacués grâce à une grande échelle, a indiqué le porte-parole du Service incendie et secours (SIS) de Genève, le lieutenant Nicolas Millot, confirmant une information de la Tribune de Genève.
Les pompiers sont intervenus avec 10 véhicules et 40 hommes. Outre les 3 occupants de l'appartement détruit par les flammes, les secours ont pris soin de 7 personnes, qui ont été contrôlées au nid de blessés qui avait été aménagé par le SIS. Une enquête de police a été ouverte pour déterminer les causes de l'incendie.
En début de soirée, vendredi, l'incendie était sous contrôle. Les pompiers ont démonté le toit du bâtiment pour dénicher d'éventuels foyers cachés qui auraient permis au feu de redémarrer.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Un important feu d'appartement s'est déclaré ce vendredi après-midi aux Pâquis.
Un feu d’appartement à Genève.
Les flammes sont parties au 4e étage d’un immeuble aux Pâquis, rue du Docteur Alfred Vincent, 21. L’alerte a été donnée vers 16h. Les pompiers ont été confrontés à un important dégagement de fumée à leur arrivée. Sept personnes ont été impliquées, trois qui se trouvaient sur le toit ont été évacuées par les soldats du feu. Il s’agit de deux adultes et d’un enfant. Ils ont été transportés aux HUG, aucun pronostic vital n’est engagé.
Trois ambulances, 40 pompiers, 10 véhicules et deux lances incendies sont mobilisés. Le feu n’est toujours pas maîtrisé.
Le Trophée du Léman se déroule ce week-end à la Queue d'Arve.
C’est un sport peu connu en Suisse: le patinage artistique à roulettes. Une compétition est organisée ce dimanche à Genève.
Connaissez-vous le patinage artistique à roulettes?
Si ce n’est pas le cas, vous pourrez le découvrir ce dimanche lors de la deuxième édition du Trophée du Léman. Un événement qui va regrouper une centaine de jeunes de 5 à 20 ans venant de toute la suisse, et d’un club italien. 21 patineurs issus du Geneva Roller Skating, le club organisateur y participeront. Chaque danseur doit présenter une chorégraphie individuelle entre une et trois minutes suivant les catégories.
Reportage lors d'un entraînement:
Et dimanche 21 avril marquera un jour historique pour les sports à roulettes, car il y a 100 ans naissait à Montreux la Fédération Internationale de Patinage à Roulettes (FIPR).
Le Trophée du Léman se déroule ce week-end à la Queue d'Arve.
A Bernex, la fête des mères à l’école de Lully tourne à la polémique suite à l’annonce d’un nouveau concept mis en place par le personnel de l’établissement scolaire.
Le pot de fleurs en poterie ou la carte dessinée que les écoliers réalisent habituellement en classe pour la fête des mères tournent à la polémique politicienne à Bernex. En cause : un nouveau concept de la fête des mères souhaité par le directeur de l’école primaire de Lully.
Dans un courrier adressé jeudi aux parents d’élèves, le chef d’établissement explique que dans un souci d’inclusion et d’égalité homme-femme, le concept de fêtes mères va changer cette année. Ainsi, les enfants prépareront désormais des cadeaux pour les “gens qu’ils aiment” et non plus spécifiquement pour leurs parents. Avec une date fixée au 24 mai.
L'équipe enseignante de l'école de Lully précise dans la lettre avoir pris la décision, "au vu de la mouvance actuelle traitant de l'inclusion des genres et de l'égalité femme/homme, de ne plus fêter exclusivement les mamans durant le mois de mai, mais, de manière plus globale, les gens qu'on aime."
Il n’en fallait pas plus pour que l’UDC Genève ne dénonce aussitôt “la nouvelle mission woke du DIP”, assurant même que la conseillère d’Etat Anne Hiltpold avait déclaré la guerre avec les parents. Inquiétude aussi dans les rangs du MCG qui a déposé une question écrite au Grand Conseil.
Sauf que la conseillère d’Etat en charge du DIP parle, elle, d’une erreur de la part de la direction de l’école et lui demande de revenir sur sa décision.
A Genève, le Conseil d'Etat a décidé d'agir face à la multiplication des manifestations à caractère politique au centre-ville. Une hausse qui provoque l'exaspération des commerçants. Désormais, il ne sera plus possible de défiler quand on veut et où on veut.
Ces restrictions concernant les parcours et les horaires ont été annoncées par la conseillère d'Etat Carole-Anne Kast sur les ondes de la télévision locale Léman Bleu. L'idée est de faire une pesée entre trois libertés: la liberté d'expression, la liberté de manifester et la liberté de commercer.
Ce changement de cap prendra un peu de temps avant de se concrétiser. Les autorisations déjà délivrées ne sont pas remises en cause. Seules les nouvelles demandes seront soumises au nouveau régime. La manifestation pour Gaza samedi aura ainsi lieu comme prévu, selon le parcours qui a été validé.
Depuis le début de l'année, il existe une hausse importante des demandes des organisateurs de manifestation de faire passer leur cortège d'une rive à l'autre, relève vendredi le porte-parole du département des Institutions et du numérique (DIN) Laurent Paoliello. Les défilés sont presque devenus hebdomadaires.
Ces manifestations génèrent des coûts collatéraux, souligne encore M. Paoliello. Elles bloquent par exemple les transports publics. De leur côté, les commerces du centre-ville se plaignent d'un manque à gagner, surtout lorsque les manifestations ont lieu le samedi, jour de grande affluence pour eux.
Projet de loi
Cette question n'a pas échappé au monde politique. Le PLR Genève a ainsi déposé un projet de loi pour que "les manifestations n'entravent pas les principaux axes de circulation et ne péjorent pas les commerçants". Le parti veut empêcher les défilés d'emprunter les tracés dévolus aux trams et le périmètre du "U Lacustre".
Interrogée par la Tribune de Genève, Clémence Jung, une juriste travaillant pour la campagne de boycott contre Israël BDS dit craindre une violation des libertés d'expression et de manifestation. "Si des refus par principe devaient être signifiés, la justice serait saisie", avertit-elle.