Rejoignez-nous

Football

Lancy: un entraînement pour jeunes footballeurs prometteurs

Publié

,

le

On parle football et entraînement de pointe. Ou comment améliorer sa technique individuelle alors qu’on est un joueur de foot prometteur. Judith Monfrini était au stade des Fraisiers au Grand Lancy mercredi dernier avec Flavio Perreira Martins. 

Retrouvez toutes les infos sur @FPV 1on1 Training

 

 

Cliquez pour commenter

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Football

La victoire et rien d'autre pour l'équipe de Suisse

Publié

le

La victoire et rien d'autre pour l'équipe de Suisse face au Bélarus (© KEYSTONE/PATRICK STRAUB)

La note artistique importe peu, seule la victoire compte: tel est le message délivré par Murat Yakin et Silvan Widmer à la veille des trois coups de la Suisse dans le tour préliminaire de l'Euro 2024.

"Nous avons cette semaine organisé un séminaire interne avec les joueurs. Nous sommes arrivés à une seule conclusion: il n'y a que les victoires qui vous font avancer !" A écouter les propos de Murat Yakin, la grande révolution n'est pas pour demain. Malgré l'humiliation du huitième de finale de la Coupe du monde, Murat Yakin restera cet entraîneur pragmatique qui ne recherche que l'efficacité quitte à dérouter parfois son monde.

Ce samedi (18h) dans le huis clos de Novi Sad face au Bélarus, le sélectionneur demandera de "faire preuve de patience face au bloc adverse et de bien défendre sur les balles arrêtées." "Nous avons étudié le Bélarus lors de ses rencontres de l'an dernier en Ligue des Nations. Comme toutes les équipes, cette sélection peut être dangereuse si on la laisse jouer, explique-t-il. A nous d'imposer notre football, de gagner les duels en un contre un et de forcer la réussite dans la surface adverse."

Trois pour une place

Breel Embolo sur le flanc - "sa blessure au genou s'est aggravée au fil des jours", précise Murat Yakin -, la Suisse devra évoluer avec un nouveau no 9 à Novi Sad. Qui tiendra le rôle du Monégasque, buteur à quatre reprises lors des six derniers matches officiels de la sélection ? "Les jeux sont encore ouverts", glisse un Murat Yakin soucieux de ne pas dévoiler trop vite ses cartes.

Ils sont trois pour cette place de no 9. Entre Noah Okafor, présent à la Coupe du monde avec un temps de jeu limité toutefois à 45 minutes, le meilleur buteur de Super League Cedric Itten et Zeki Amdouni, remarquable avec le FC Bâle depuis le début de l'année, le choix que doit arrêter Murat Yakin n'est pas "simple". On veut croire toutefois que le sélectionneur cultive un petit penchant pour Amdouni...

"La page est tournée" Silvan Widmer

Avant cette rencontre de Novi Sad, Murat Yakin s'est rendu à Londres et à Manchester pour s'entretenir avec Granit Xhaka et Manuel Akanji. Il a également fait le voyage à Mayence pour une partie contre Mönchengladach qui lui a permis de rencontrer quatre de ses sélectionnés: Edimilson Fernandes, Silvan Widmer, Jonas Omlin et Nico Elvedi. Entretenir un tel contact avec les joueurs a sans doute aidé à panser les plaies du 6-1 contre le Portugal. "Il ne faut cependant pas regarder trop derrière soi", sourit toutefois Murat Yakin.

"La page est tournée" assure, pour sa part, Silvan Widmer, qui fut, faut-il le rappeler, le grand absent de ce huitième de finale en raison de cette maudite climatisation qui n'avait cessé de sévir lors de cette Coupe du monde. C'est son forfait qui avait incité Murat Yakin à opter pour une défense à trois.

Que l'on se rassure. L'Argovien est à nouveau opérationnel et l'Equipe de Suisse retrouvera ses fondamentaux à Novi Sad. "Cette campagne ne sera sans doute pas de tout repos. Nous serons parfois poussés hors de notre zone de confort, explique Silvan Widmer. Mais nous devons nous donner comme objectif de la maîtriser à la perfection."

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Equipe de Suisse

Euro 24: Embolo blessé retourne dans son club

Publié

le

Breel Embolo - à droite - a dû quitter le camp de l'Equipe de Suisse à cause de fortes douleurs à un genou (© KEYSTONE/Georgios Kefalas).

Breel Embolo s'est blessé et doit renoncer à jouer les deux matches qualificatifs pour l'Euro 24.

Murat Yakin devra se passer de Breel Embolo pour les deux premiers matches qualificatifs en vue de l'Euro'24 à Novi Sad (Voivodine/Serbie) face à la Biélorussie samedi (18h) et contre Israël mardi à Genève (20h45). L'attaquant de l'Association Sportive de Monaco doit quitter le rassemblement de l'Equipe de Suisse à cause de douleurs à un genou. Il retourne dans son club; aucun joueur ne sera appelé pour le remplacer. L'absence d'Embolo s'ajoute à celle de Xherdan Shaqiri. La présence de Noah Okafor, Cédric Itten, Ruben Vargas et Zeki Amdouni, sans oublier Christian Fassnacht offre quelques options au coach national.

 

 

Continuer la lecture

Equipe de Suisse

Euro 24: ne pas se prendre les pieds dans le tapis

Publié

le

Contrairement aux apparences, le match face à la Biélorussie samedi à Novi Sad ne sera pas un jeu d'enfant pour Breel Embolo, Manuel Akanji, Djibril Sow, Granit Xhaka et Zeki Amdouni, même si les "Rouges" de Murat Yakin partent favoris (© KEYSTONE/Georgios Kefalas).

1er rendez-vous qualificatif pour l'Euro, le match Biélorussie - Suisse constitue un match-piège pour les joueurs de Murat Yakin.

109 jours après la défaite 6-1 que l'on peut qualifier de honteuse en huitième de finale de la Coupe du monde contre le Portugal, l'équipe de Suisse remet le couvert samedi (18h) à Novi Sad face à la Biélorussie. Avec un mot d'ordre: interdiction de se prendre les pieds dans le tapis!

Nonante-septième au classement FIFA, la Biélorussie reste sur une campagne ratée en Ligue des Nations avec une dernière place en Ligue C dans un groupe qui comprenait le Kazakhstan, l'Azerbaïdjan et la Slovaquie. Une seule comparaison suffit à souligner le fossé entre les deux équipes. Le capitaine de l'équipe de Suisse est l'un des joueurs clés du leader de la Premier League. Yauhen Yablonski, le joueur qui va serrer la main de Granit Xhaka lors du toss, est, en revanche, remplaçant à l'Aris Limassol, troisième du Championnat de Chypre.

Kondratiev: 2 buts face aux Helvètes

Les références du sélectionneur sont, en revanche, bien plus prestigieuses que celles de son capitaine. A nouveau à la tête de la sélection depuis deux ans, Georgi Kondratiev se souviendra qu'il avait signé, sous les couleurs soviétiques, un doublé lors d'un succès 4-0 contre l'équipe de Suisse de Paul Wolfisberg le 2 mai 1985 à Moscou pour le compte du tour préliminaire de la Coupe du monde 1986.

 

Georgi Kondratiev sait fort bien que la rencontre de samedi n'épousera pas le même scénario. Même sans Xherdan Shaqiri, la Suisse ne devrait rencontrer aucune difficulté pour asseoir sa supériorité. Un tout autre résultat qu'une victoire pour lancer ce tour préliminaire de l'Euro 2024 avant la venue d'Israël mardi à Genève s'apparentera à un camouflet aussi dévastateur que le 6-1 contre le Portugal.

Des choix pas innocents

Même s'il n'y a pas vraiment débat pour neuf des onze titulaires, les choix de Murat Yakin pour cette rencontre de Novi Sad ne seront pas "innocents". Lancera-t-il Fabian Rieder et Zeki Amdouni, sans doute les deux joueurs les plus brillants de la Super League depuis le début de l'année, dans le grand bain? Ou redonnera-t-il une chance à Noah Okafor, auquel il avait quelque peu marchandé sa confiance lors de la Coupe du monde et qui ne brille pas vraiment ces dernières semaines à Salzbourg? Ruben Vargas et Cedric Itten postulent également pour épauler Breel Embolo à la pointe de l'attaque.

Opération: rachat

Grandissime favorite de ce groupe qui comprend également la Roumanie, le Kosovo et Andorre, l'Equipe de Suisse de Murat Yakin peut, pourquoi pas, nourrir l'ambition de gagner les dix matches de cette campagne qu'elle achèvera le 21 novembre. L'un des grands enseignements de "The Pressure Game", l'excellent documentaire produit par la SSR sur la vie de cette équipe de Suisse tout au long de l'année dernière, est bien ce degré d'exigence que ne cessent de cultiver le coach national, le capitaine et les joueurs. Auquel s'ajoute depuis ce funeste 6 décembre la quête d'un rachat qu'ils doivent à leurs supporters. Seules des victoires à la pelle permettront d'oublier...

 

 

Continuer la lecture

Football

Zeki Amdouni comme une évidence

Publié

le

Zeki Amdouni brille avec le FC Bâle. (© KEYSTONE/MICHAEL BUHOLZER)

Deux ans après avoir porté les couleurs de l'équipe de Turquie M21, Zeki Amdouni veut s'affirmer comme le nouveau buteur de la Suisse.

La trajectoire singulière de sa carrière peut lui permettre de nourrir une telle ambition.

Recalé par le Servette FC avant de se révéler la saison dernière au Lausanne-Sport après des passages à Etoile Carouge et au Stade Lausanne-Ouchy, Zeki Amdouni est tout simplement cette saison l'un des deux grands artisans avec le gardien Marwin Hitz de la réussite du FC Bâle sur la scène européenne. Le plus réjouissant est cette impression qu'il est encore loin à 22 ans d'avoir exprimé tout son potentiel.

Le leader offensif du FCB

La semaine dernière à Bratislava face au Slovan, c'est bien lui qui maintenu son équipe en vie avec son but dans le temps additionnel pour arracher les prolongations. Avec sa rage de vaincre et un registre de plus en plus étendu, il est devenu le leader offensif du FC Bâle. Nul doute que David Degen n'hésitera pas une seule seconde avant de lever l'option d'achat du prêt négocié l'été dernier avec le Lausanne-Sport.

Mais avant de défier Nice en quart de finale de la Conference League, Zeki Amdouni espère honorer très vite sa deuxième sélection en équipe de Suisse. Murat Yakin l'avait lancé en septembre dernier à St-Gall en fin de match contre la République tchèque. Il ne devait toutefois pas passer le cut pour la Coupe du monde au Qatar en raison, sans doute, d'une première partie de saison un peu trop discrète à Bâle.

Aujourd'hui, tout a changé. Buteur à neuf reprises depuis le début de l'année, Zeki Amdouni a été préféré à Haris Seferovic pour être l'un des joueurs susceptibles d'évoluer aux côtés de Breel Embolo sur le flanc de l'attaque. "Je suis là pour démontrer mes qualités. Pour obtenir du temps de jeu et, pourquoi pas, une place de titulaire", dit-il. Depuis lundi, il s'efforce de gagner du crédit auprès de Murat Yakin. La présence lors de ce rassemblement de quatre autres joueurs romands - Jérémy Frick, Edimilson Fernandes, Denis Zakaria et Cédric Zesiger - ôte en grande partie les difficultés que la barrière de la langue aurait pu créer.

"Je savais qu'il y avait une place à aller chercher dans ce groupe", poursuit-il comme pour signifier que sa sélection répond à une évidence. "Tout se passe très bien pour moi à Bâle ces derniers temps", glisse-t-il. En 2021, il avait répondu à la convocation de la Fédération turque peut-être sous le coup de la déception de n'avoir pas été retenu par Mauro Lustrinelli pour la phase finale de l'Euro 21 en Slovénie.

"Le choix du coeur et de la tête"

Zeki Admouni devait avouer dans "Proxifoot" avoir vécu "une expérience folle" lors du match amical face à la Serbie dont il avait disputé la première mi-temps. Mais il savait que ce match avec les espoirs turcs ne lui fermait pas les portes de l'équipe de Suisse. Il fallait seulement attendre que Murat Yakin les lui ouvre. "Le choix de jouer pour la Suisse est celui du coeur et de la tête", lâche-t-il à deux jours de l'envol pour la Serbie où la Suisse entamera samedi sa campagne du tour préliminaire de l'Euro 2024 face au Bélarus. Dans laquelle il entend apporter sa part.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Football

La cinquième campagne de Yann Sommer

Publié

le

Yann Sommer motivé comme jamais avec la Suisse (© KEYSTONE/GEORGIOS KEFALAS)

Au soir du funeste 6 décembre dernier, il avait laissé planer le doute quant à son avenir en équipe de Suisse. Yann Sommer disputera bien sa 5e campagne dans le rôle du no 1 de l'équipe de Suisse.

"J'en veux encore", lâche Yann Sommer trois mois et demi après le naufrage de Doha contre le Portugal, cette défaite 6-1 dans un huitième de finale qu'il n'aurait pas dû, affirme Murat Yakin avec le recul nécessaire, jouer en raison de son état grippal. "Je veux contribuer à la qualification pour l'Euro 2024", poursuit celui qui a succédé à Diego Benaglio au lendemain de la Coupe du monde 2014 et qui honorera samedi dans le huis clos de Novi Sad face à la Biélorussie sa 81e sélection.

Une autre galaxie

De l'eau a coulé sous les ponts entre Doha et Novi Sad. Le 18 janvier dernier, Yann Sommer est entré dans une autre galaxie avec sa signature au Bayern Munich. Après huit ans et demi à Mönchengladbach, le Bâlois découvre à 34 ans l'ivresse de porter les couleurs d'un club armé pour remporter la Ligue des Champions. Les dirigeants bavarois ont très vite estimé qu'il était le seul en mesure de remplacer Manuel Neuer, sur le flanc en raison d'une fracture de la jambe contractée lors de ses vacances à la neige.

Entre le 20 janvier, date de sa première sous ses nouvelles couleurs, et le 19 mars, Yann Sommer a disputé 13 rencontres avec le Bayern Munich. "Tout est démultiplié, glisse Yann Sommer. Les stades, le devoir d'exigence auquel vous êtes confronté lorsque l'on joue pour le Bayern, la pression, bien sûr, et le regard que l'on porte sur vous." Le Bâlois sait qu'une bourde commise dans un grand match peut vous coller à la peau à jamais. Il sait, ainsi, que son dribble manqué dans sa surface lors du huitième de finale retour de la Ligue des Champions contre le PSG aurait pu lui coûter très cher. Il ne fut sauvé qu'au prix d'un réflexe extraordinaire de Matthijs De Ligt sur la ligne. Les 700 kilos de chocolat suisse qu'il a offert à son coéquipier néerlandais pour ce sauvetage sur la frappe de Vitinha ne sont rien face aux conséquences liées à un but concédé de la sorte dans une telle rencontre.

"On dirait que Yann joue depuis cinq ans avec nous"

Ses parades devant Kylian Mbappé au match aller et face à Sergio Ramos au retour lui ont toutefois permis de signer deux clean sheets lors de ce huitième de finale. Et de conforter ses dirigeants dans la justesse de leur choix. "On dirait que Yann joue depuis cinq ans avec nous", souligne ainsi le directeur sportif Hasan Salihamidzic.

Les deux rencontres de l'équipe de Suisse contre la Biélorussie et Israël tombent avant un mois d'avril qui sera celui de la vérité pour le Bayern et Yann Sommer: le "Klassiker" contre Dortmund le 1er avril suivi par les quarts de finale de la Ligue des Champions contre Manchester City et de Coupe d'Allemagne contre le SC Fribourg. "L'idée de zapper les deux matches de l'équipe de Suisse ne m'est pas venue une seule seconde, dit-il. Changer d'air me fait du bien, retrouver mes coéquipiers en sélection aussi."

"Nous sommes les favoris de ce groupe. A nous de faire le nécessaire pour justifier ce statut, poursuit Yann Sommer. La clé sera de préparer tous les matches avec la même minutie." Le natif de Morges ne veut pas croire que cette campagne sera la dernière de sa carrière internationale. "Il y aura bien un moment où je remarquerai que mon temps est compté, lâche-t-il. Mais aujourd'hui, je suis aussi motivé que jamais."

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture