Steve Guerdat est devenu le premier triple vainqueur de l'histoire de la prestigieuse Finale du Top 10, épreuve-phare de la journée de vendredi au CHI de Genève.
Le champion d'Europe 2023 a triomphé en selle de Venard de Cerisy, après avoir déjà gagné en 2010 avec Jalisca et en 2018 sur Alamo.
Le Jurassien, plus "lent" parmi les trois cavaliers auteurs d'un sans faute en première manche derrière Shane Sweetnam (James Kann Cruz) et le tenant du titre Henrik von Eckermann (King Edward), a mis la pression sur l'Irlandais et le Suédois en signant un deuxième parcours exempt de toute erreur. Avec un chrono de 48''13.
Le no 1 mondial Henrik von Eckermann n'a pas tenu le choc, commettant une faute fatale et terminant au 2e rang. Le no 10 de la hiérarchie Shane Sweetnam a lui aussi craqué, en fin de parcours, commettant même deux fautes qui l'ont rejeté à la 6e place du classement final.
"C'est un sentiment extraordinaire", a lâché Steve Guerdat à l'issue de cette épreuve. "Chaque victoire ici est exceptionnelle, je l'ai répété dix fois, cent fois, mille fois. C'est juste un rêve qui se réalise. Je suis un gamin qui continue de rêver", a poursuivi le champion olympique 2012.
Fuchs 5e
Cette prestigieuse épreuve se refuse en revanche toujours à Martin Fuchs (5e), qui la disputait pour la cinquième fois. En selle de Conner Jei, le Zurichois a perdu toute chance de s'imposer dès la première manche en commettant deux fautes. Il s'est parfaitement repris avec un deuxième parcours immaculé, en vain.
Martin Fuchs sera dimanche avec Leone Jei l'un des grands favoris du Grand Prix, qu'il a déjà gagné à deux reprises à Palexpo. Il reste en outre sur un succès en Grand Chelem, à Spruce Meadows en septembre. Vainqueur quant à lui à trois reprises du GP genevois, Steve Guerdat montera Dynamix de Belhême dimanche.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Bruno P. Nobs
2 novembre 2019 à 9 h 34 min
Chère radio lac
Un commentaire si vous le permettez :
Il n'existe aucune "fiesta del dià de muertos" au Mexique...
Mais il y a :
un ""Día de muertos" le jour des morts, qui n'est pas du tout une fête au sens ou n l'entend en Europe.
Une "tradition" qui est d'origine relativement récente, mise en place par les gouvernements issu de la Révolution de 1910, pour unifier culturellement le pays, cela n'existait quasiment nulle part, on fêtait alors la Toussaint, et n'a aucune relation avec les commémorations précolombiennes, les indigènes ayant totalement perdu leur culture ancestrale.On notera qu'aucun voyageur n'a décrit cela dans les récits (ni même les français durant leur intervention de 1862 à 1867) d'avant 1920...
La calavera garbancera (1912/13 de Posada) est d'inspiration médiévale européenne..baptisés dans les années 40 par Diego Rivera "la Catrina".
Un petit tour sur les sites officiels mexicains qui y sont consacrés vous aidera.
Cordialement