Steve Guerdat sera une fois de plus la tête d'affiche du CHI de Genève, qui se tient de mercredi à dimanche à Palexpo. La présence du cavalier jurassien, qui revient de blessure, tient du "miracle".
Opéré du dos en septembre, le triple médaillé olympique n'a repris la compétition qu'à la toute fin novembre, à l'occasion du concours 2* de Riesenbeck, en Allemagne. Cela lui a permis de remettre ses chevaux, dont sa jument Dynamix, dans le bain avant "son concours fétiche", a-t-on pu lire sur son site internet.
"C'est un miracle que Steve puisse être présent à Genève", s'est réjoui Alban Poudret, le directeur sportif du CHI, lors de la conférence de presse de présentation du concours genevois. Mais c'est surtout sa participation à la finale du Top 10 de vendredi qui mérite un tel qualificatif.
Steve Guerdat a en effet manqué plusieurs mois de compétition cette année. Il avait été opéré une première fois du dos en février, ce qui l'avait contraint de déclarer forfait pour la finale de la Coupe du monde à Bâle. Mais ses excellentes performances de l'été - il a terminé troisième des prestigieux Grands Prix d'Aix-la-Chapelle et de Spruce Meadows (Calgary) - lui ont suffi pour figurer parmi les dix meilleurs cavaliers du classement mondial.
Un plateau très relevé
Le natif de Bassecourt est le seul à avoir remporté trois fois (2010, 2018, 2023) la prestigieuse finale du Top 10, qui se tiendra pour la 20e fois à Genève. Il devra faire fort pour battre les autres cadors: l'Ecossais Scott Brash, l'Américain Kent Farrington, l'Allemand Richard Vogel, le Néerlandais Harrie Smolders ou encore l'Anglais Ben Maher.
Avec Steve Guerdat, ces derniers seront également les principaux favoris du Grand Prix de dimanche, point d'orgue du concours genevois. Mais d'autres Suisses pourraient briller lors du quatrième GP estampillé Grand Chelem (avec Bois-le-Duc, Aix-la-Chapelle et Spruce Meadows).
Le Zurichois Martin Fuchs, vainqueur en 2019 et 2021 et qui ne disputera pas la finale du Top 10, aura forcément envie de briller sur la piste de Palexpo. Tout comme le Jurassien Anthony Bourquard, qui sort de la plus belle année de sa carrière avec d'excellentes performances en Coupe des Nations.
Aussi le cross et l'attelage
La 64e édition du Concours hippique international de Genève sera comme de coutume l'occasion pour les spectateurs de suivre d'autres disciplines que celle du saut d'obstacles. Le cross de vendredi et les deux épreuves d'attelage à quatre chevaux de samedi et dimanche devraient notamment attirer de nombreux curieux.
En attelage, le Valaisan Jérôme Voutaz cherchera à briller une nouvelle fois devant le public romand. Sur son char, le meneur de Sembrancher devra sortir le grand jeu s'il entend battre l'Australien Boyd Exell et le Néerlandais Bram Chardon, les deux grands dominateurs de la discipline.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Bruno P. Nobs
2 novembre 2019 à 9 h 34 min
Chère radio lac
Un commentaire si vous le permettez :
Il n'existe aucune "fiesta del dià de muertos" au Mexique...
Mais il y a :
un ""Día de muertos" le jour des morts, qui n'est pas du tout une fête au sens ou n l'entend en Europe.
Une "tradition" qui est d'origine relativement récente, mise en place par les gouvernements issu de la Révolution de 1910, pour unifier culturellement le pays, cela n'existait quasiment nulle part, on fêtait alors la Toussaint, et n'a aucune relation avec les commémorations précolombiennes, les indigènes ayant totalement perdu leur culture ancestrale.On notera qu'aucun voyageur n'a décrit cela dans les récits (ni même les français durant leur intervention de 1862 à 1867) d'avant 1920...
La calavera garbancera (1912/13 de Posada) est d'inspiration médiévale européenne..baptisés dans les années 40 par Diego Rivera "la Catrina".
Un petit tour sur les sites officiels mexicains qui y sont consacrés vous aidera.
Cordialement