Des portraits des employés-e-s exposés à Genève pour sensibiliser aux travailleurs de l'ombre et pour réduire le littering. Près d'un tiers des 60'000 tonnes de déchets sont jetés à terre chaque année.
En Ville de Genève, les employés de la voirie font le maximum, ils prient la population de faire le minimum, comprenez de jeter le moins possible de déchets. Une campagne de sensibilisation débute ce mardi avec des portraits d’employés, une douzaine d’entre eux sont exposés devant les Bastions, au passage de la Monnaie et sur le quai Wilson.
Le but: rendre visible les travailleurs de l’ombre qui débutent à 4 heures du matin pour nettoyer la ville et faire disparaître le littering. Le détail avec la Maire chargée de la voirie Marie Barbey-Chappuis.
Marie Barbey-Chappuis
Maire de Genève - chargée de la sécurité et de la voirie
Marie Barbey-ChappuisMaire de Genève - chargée de la sécurité et de la voirie
Marie Barbey-ChappuisMaire de Genève - chargée de la sécurité et de la voirie
Chaque année, 60'000 tonnes de déchets sont collectés par les 335 collaborateurs dont un tiers, sont jetés par terre. Notez que cet été 50 écopoints vont être ajoutés aux 138 existants pour répondre à l’afflux de personnes sur l’espace public à la belle saison.
Selon la Maire de Genève, l'immense majorité des Genevois jouent le jeu et jettent leurs déchets à la poubelle. Pour les récalcitrants, la Ville a renforcé son dispositif coercitif.
Marie Barbey-Chappuis
Maire de Genève - chargée de la sécurité et de la voirie
Marie Barbey-ChappuisMaire de Genève - chargée de la sécurité et de la voirie
Marie Barbey-ChappuisMaire de Genève - chargée de la sécurité et de la voirie
Le montant des amendes varie entre 100 et 150 francs. "Il s'agit de toucher au porte-monnaie pour faire changer les comportements", comme l'indique la Maire.
Employés ravis
Les douze portraits réalisés par David Vagnières, photographe genevois, sont accompagnés d'une petite phrase, un slogan, qui caractérisent les employés photographiés. Ecoutez le témoignage de Bachir Karimsido, sur les affiches de l'exposition.
Bachir Karimsido
Employé de la voirie - agent de propreté
Bachir KarimsidoEmployé de la voirie - agent de propreté
Bachir KarimsidoEmployé de la voirie - agent de propreté
Marie Henrich conduit les camions de la voirie. Elle aussi reçoit des messages et elle espère que son exemple va faire des émules.
Marie Henrich
Employée de la voirie - conductrice de camions
Marie HenrichEmployée de la voirie - conductrice de camions
Marie HenrichEmployée de la voirie - conductrice de camions
Le photographe a rencontré chaque employé-e-s. On écoute Davaid Vagnières.
David Vagnières
Photographe genevois
David VagnièresPhotographe genevois
David VagnièresPhotographe genevois
Certains employés sont également filmés et mis sur les réseaux sociaux de la Ville de Genève.
A Genève, le Ministère public a fait recours contre l'interruption de peine accordée jeudi à Erwin Sperisen par le Tribunal d'application des peines et des mesures (TAPEM). L'ex-chef de la police nationale du Guatemala pourrait ne pas sortir lundi de prison.
Ce recours, révélé vendredi par Léman Bleu, a été confirmé à Keystone-ATS par le Ministère public. L'effet suspensif est accordé au recours, car le risque qu'Erwin Sperisen quitte le pays est concret. Lors de l'audience jeudi devant le TAPEM, Erwin Sperisen avait dit vouloir idéalement vivre en dehors de Suisse, car "après cette injustice", il ne voulait plus rien à voir avec ce pays.
Le maintien en détention d'Erwin Sperisen est donc ordonné jusqu'à ce que le recours soit tranché. La libération d'Erwin Sperisen est à ce stade compromise. "Cette situation est tellement kafkaïenne et instable que tout semble encore pouvoir se produire dans les prochains jours", a déclaré Florian Baier, l'un de ses avocats. L'effet suspensif pourrait être levé ces prochains jours.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
L'Institution genevoise de maintien à domicile (IMAD) a inauguré vendredi son nouveau siège situé dans un immeuble flambant neuf de l'esplanade de Pont-Rouge à Lancy (GE). Ces locaux de 7900 m2 destinés aux 2400 membres du personnel de l'IMAD offrent des espaces de travail ouverts et intègrent un campus dédié à la formation.
"Plus de 90% de l'effectif est directement sur le terrain", a souligné Marie Da Roxa, directrice générale de l'IMAD. Par rapport à l'ancien siège situé à Carouge, les places de travail individuelles ont été réduites de moitié au bénéfice des espaces collaboratifs.
Les nouveaux locaux sont lumineux et privilégient les grands volumes. L'IMAD loue ce bâtiment, qui appartient à la Caisse de pension de l'Etat de Genève (CPEG), pour un montant annuel de 3,5 millions de francs. Ce loyer se situe dans la "fourchette moyenne" pour ce type de locaux, selon l'IMAD.
Pierre Maudet, qui a pris la tête du département de la santé il y a un peu plus de trois mois, a insisté sur l'importance des soins à domicile dans la politique de la santé. Son mentor en politique, le radical Guy-Olivier Segond, avait déjà désigné le maintien à domicile comme un maillon essentiel de la santé. C'était en 1992.
Digitalisation
En 2023, alors que l'IMAD fête ses 10 ans, ce sont 8300 prestations fournies quotidiennement à plus de 18'300 patients de tous les âges. "Le système a démontré toute son agilité pendant la crise sanitaire", a relevé M. Maudet. Et pour l'institution, les défis à venir sont nombreux. Ecoutez Marie Da Roxa, directrice générale de l'IMAD.
Marie Da Roxa
Directrice générale de l'IMAD
Marie Da RoxaDirectrice générale de l'IMAD
Marie Da RoxaDirectrice générale de l'IMAD
L'IMAD rassemble plus de 170 métiers, a indiqué Mme Da Roxa. Cet établissement autonome public est l'entreprise qui forme le plus d'assistant en soins et en santé communautaire à Genève. Mais ça ne suffira pas pour répondre aux besoins dans le canton, selon M.Maudet. Après une période d'observation pour poser un diagnostic, il compte bien "bousculer les acteurs de la santé" et les "sortir de leur zone de confort".
A Genève, huit recours ont été déposés auprès du Tribunal administratif fédéral (TAF) contre le second tronçon du projet d'extension du tram 15 entre la zone industrielle de Plan-les-Ouates (ZIPLO) et Saint-Julien (F). Le canton pourrait demander la levée de l'effet suspensif.
Les recours visent la décision d'approbation des plans relative au second tronçon du projet délivrée par l'Office fédéral des transports le 10 juillet 2023, précise vendredi Sébastien Deshusses, porte-parole de l'Office cantonal des transports. Il confirmait une information de la Tribune de Genève.
Ce type de recours entraîne un effet suspensif. Si celui-ci n'est pas levé, ces recours entraîneraient un retard de plusieurs mois sur le début des travaux. Le démarrage de la construction de cette infrastructure est prévu à l'horizon du deuxième semestre 2024.
La première partie du tronçon, entre les Palettes et ZIPLO, où les travaux battent encore leur plein, sera mise en service en décembre. Le prolongement du tram 15 permettra à terme de relier au Léman Express les communes de Lancy, Plan-les-Ouates, Confignon, Perly-Certoux et de Saint-Julien grâce à la gare de Lancy-Pont-Rouge.
Selon Léman Bleu et la Tribune de Genève, des commerçants s'opposent au tracé tel qu'il est prévu entre ZIPLO et Saint-Julien (F). Ils craignent pour la survie de leurs commerces si le trafic de transit est complètement supprimé avec le passage du tram sur la route de Saint-Julien.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
La phase de test grandeur nature des navettes autonomes des TPG a débuté jeudi sur le site de Belle-Idée.
Depuis jeudi et jusqu'au 30 novembre, le grand public peut tester les trois navettes autonomes des TPG qui sillonnent le site des HUG à Thônex. Les utilisateurs peuvent ainsi se déplacer sur les 38 hectares du site, sans arrêts fixes, à bord d’un véhicule automatisé.
Radio Lac a testé ces navettes électriques et sans chauffeur. Reportage.
Benoît Rouchaleau
Reportage
Benoît RouchaleauReportage
Benoît RouchaleauReportage
Pour la phase de test, la loi prévoit qu'un conducteur des TPG soit à bord du véhicule mais à terme les navettes seront totalement autonomes. Comment ça fonctionne? Les explications de Melisa Fazlic, coordinatrice innovations aux TPG.
Melisa Fazlic
Coordinatrice innovations aux TPG
Melisa FazlicCoordinatrice innovations aux TPG
Melisa FazlicCoordinatrice innovations aux TPG
Et en cas de souci technique? Pour les tests ouverts au public, un opérateur des TPG est présent pour tous les trajets et s'assure que tout fonctionne mais demain tout sera supervisé à distance depuis un bureau de contrôle.
Melisa Fazlic
Coordinatrice innovations aux TPG
Melisa FazlicCoordinatrice innovations aux TPG
Melisa FazlicCoordinatrice innovations aux TPG
Et la suite?
Le projet s'inscrit dans la cadre du programme ULTIMO, auquel participent trois villes pilotes d’Europe, à savoir Genève, Kronach et Oslo. Avec l'ambition, dès 2025, de déployer plusieurs véhicules autonomes.
C’est ce que l’on saura dans 10 jours, après la première édition du Chef Festival!
Ce concours débute vendredi et et se déroule jusqu’au 8 octobre. 15 restaurants se sont pris au jeu de proposer une recette originale qui n’est pas à la carte, au prix imposé de 17 francs. Tout le monde peut participer grâce à un code.
Cette idée est née dans les esprits de deux amis, Xavier et Valentin, qui ne sont pas du monde de la gastronomie. Pourquoi cette idée? La réponse de Xavier Lacroix:
Xavier Lacroix
Co-fondateur du Chef Festival
Xavier LacroixCo-fondateur du Chef Festival
Xavier LacroixCo-fondateur du Chef Festival
Comment sont-ils parvenus à convaincre les restaurateurs:
Xavier Lacroix
Co-fondateur du Chef Festival
Xavier LacroixCo-fondateur du Chef Festival
Xavier LacroixCo-fondateur du Chef Festival
A la fin du concours, le Chef Festival remettra deux trophées, un prix du public et le deuxième le prix du chef.
C’est Danny Khezzar, finaliste de Top Chef, et chef du Bayview à Genève qui choisira parmi les trois meilleurs burgers ayant reçu les meilleures notes du public.