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Economie

Annulation du sommet de l'OMC: "pour les hôteliers, c'est une catastrophe"

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L’annulation du sommet de l’OMC initialement prévu mardi à Genève a de lourdes conséquences économiques pour les hôteliers genevois. 

Encore un coup dur pour les hôteliers genevois. Le sommet interministériel de l’OMC, qui devait se tenir mardi  à Genève, a été reporté à la dernière minute, en raison des risques liés au nouveau variant Omicron du Covid.

Après le succès du sommet Biden-Poutine à Genève, après un été correct et des espoirs de reprise, c’est une nouvelle douche froide pour les hôteliers. Gilles Rangon, le président de la société des hôteliers de Genève, parle même d'un cauchemar qui recommence. 

Gilles RangonPrésident de la Société des hôteliers de Genève

Avec le sommet de l'OMC, bon nombre d'établissements autour du siège de l'OMC affichaient complets jusqu'au 2 décembre. Encore une déconvenue pour une profession qui ne cache pas son désarroi.

Gilles RangonPrésident de la Société des hôteliers de Genève


Et au-delà des hôteliers, c'est tout un secteur qui en pâtit.

Gilles RangonPrésident de la Société des hôteliers de Genève

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Coronavirus

Contrats informatiques pour la vaccination: manquements à l'OFSP

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Contrats informatiques liés à la vaccination contre le Covid: manquements constatés à l'OFSP. (© KEYSTONE/MICHAEL BUHOLZER)

L'OFSP se fait épingler par le Contrôle fédéral des finances (CDF) pour des manquements en lien avec l'application informatique sur la vaccination contre le Covid-19. Défaut de transparence des contrats, factures inexpliquées, les négligences sont diverses.

Le CDF a constaté "des manquements et des faiblesses dans le processus d’acquisition et dans le contrôle des contrats et des factures" en lien avec le système de gestion des inscriptions à la vaccination et l'enregistrement des données, révèle l'audit publié lundi.

Parmi les reproches adressés à l'Office fédéral de la santé publique (OFSP), le rapport pointe des factures inexpliquées à hauteur de 2 millions de francs, des conflits d'intérêts et un risque de dépendance vis-à-vis des fournisseurs des prestations, notamment.

L'ensemble des contrats, pour le système lui-même et pour sa maintenance et son développement, portait sur 11,15 millions de francs, auprès de deux fournisseurs.

L'OFSP se défend notamment en invoquant l'urgence qu'il y avait à agir pour suppléer les cantons.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Economie

CS: manifestation à Zurich contre une forme d'"arnaque"

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Credit Suisse a distribué des milliards en bonus et en dividendes, critiquent les manifestants. (© KEYSTONE/ENNIO LEANZA)

Après la reprise de Credit Suisse par UBS, plusieurs centaines de personnes ont manifesté lundi soir sur la Paradeplatz à Zurich. Les Jeunes socialistes et d'autres organisations et partis avaient appelé à protester contre une forme d'"arnaque".

Il est scandaleux que la grande banque se soit enrichie pendant des années et que la collectivité doive maintenant payer. L'établissement a distribué des milliards en bonus et en dividendes, relèvent les organisateurs dans l'appel à manifester. Les responsables doivent rendre des comptes.

"Profits privés, pertes pour l'Etat", pouvait-on lire sur une banderole. Durant la manifestation, des slogans comme "brisons le pouvoir des banques et des multinationales!" ont été scandés.

La lutte contre la crise climatique, une prévoyance vieillesse sûre ou l'aide aux personnes en quête de protection sont soi-disant trop chères, mais pas le sauvetage des banques, ont souligné plusieurs orateurs. Ils ont appelé à la "décence" et à la "responsabilité". "Si le monde était une banque, vous l'auriez sauvé depuis longtemps", proclamait une banderole.

Outre les Jeunes socialistes, le mouvement de la grève du climat, les Jeunes Verts, le PS zurichois, les Verts zurichois, la Liste Alternative, le collectif de la grève féministe de Zurich et Unia ont également participé à cette manifestation, qui était autorisée.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Economie

Rachat de Credit Suisse: 9500 à 12'000 postes sont menacés (BAK)

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Des milliers d'emplois pourraient disparaître à Zurich. (© KEYSTONE/MICHAEL BUHOLZER)

Le rachat de Credit Suisse par UBS ne causera pas de graves dommages à l'économie suisse, estime lundi l'institut de recherches et conseils économiques BAK Economics. Néanmoins, jusqu'à 12'000 emplois pourraient disparaître.

Les deux banques comptent actuellement au total 37'000 emplois (équivalents plein temps/ETP) en Suisse. A moyen terme, le démantèlement du réseau de succursales et d'autres mesures de rationalisation consécutifs au rachat "entraîneront probablement la perte de 9500 à 12'000 ETP", ont calculé les experts.

Zurich sera le canton le plus touché: le potentiel de suppressions d'emplois est évalué entre 6500 et 8000 ETP. Soit 0,9% de l'ensemble des emplois cantonaux.

Malgré cela, il ne faut pas craindre une augmentation soudaine du taux de chômage, relève l'institut. Le processus de rationalisation d'UBS prendra plusieurs années. De plus, une partie des personnes concernées devrait être facilement employable sur le marché du travail, qui se caractérise par une pénurie de travailleurs qualifiés.

Selon BAK Economics, les effets négatifs de l'opération resteront largement limités au secteur bancaire. Le deal "réduit le risque d'une crise bancaire générale et permet de maintenir les services financiers sans restriction pour les clients de Credit Suisse".

BAK Economics maintient ses prévisions de croissance du PIB réel suisse pour 2023 à 0,7% et à 1,6% pour 2024.

Les sorties de fonds de la part de clients à l'étranger devraient désormais cesser, prévoit encore l'institut. En revanche, la perte de valeur ajoutée subie par la place financière suisse "risque d'être permanente". S'y ajoutent les incertitudes quant à l'éventuel impact sur le développement des activités internationales de gestion de fortune des banques suisses.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Economie

Le PLR veut une nouvelle stratégie pour la place financière suisse

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Le président du PLR Thierry Burkart veut lui aussi clarifier les responsabilités dans le naufrage de Credit Suisse. (© KEYSTONE/MICHAEL BUHOLZER)

Le PLR veut une nouvelle stratégie pour la place financière helvétique après la reprise de Credit Suisse par UBS. Le parti exige que les autorités fédérales interviennent sur les bonus des dirigeants de la banque aux deux voiles en déconfiture.

La reprise de Credit Suisse par UBS n'est pas une transaction purement commerciale, mais un sauvetage public avec une participation du secteur privé via UBS, a estimé lundi le président du PLR Thierry Burkart lors d'un point de presse. Si l'action était nécessaire pour éviter un effet domino, ce qui s'est passé est une "honte pour la Suisse", a-t-il réitéré.

La Suisse a besoin d'une nouvelle stratégie pour sa place financière afin de limiter les risques d'une méga-banque pour l'économie nationale. "Une UBS, avec un total de bilan de 1,5 billion de francs, est trop grande pour la Suisse", prévient le parti. Il exige qu'UBS se sépare des activités suisses rentables du CS ou les gère de manière indépendante sous une autre forme.

Le PLR demande aussi des comptes aux anciens dirigeants de la banque: il invoque l'article 10a de la loi sur les banques pour que les autorités interdisent à Credit Suisse de verser un bonus à ses managers cette année ou réclament le remboursement de bonus aux ex-dirigeants. "La mauvaise gestion flagrante des managers hautement rémunérés est à blâmer pour le sauvetage de Credit Suisse", a justifié le président du parti.

Faille dans la réglementation

Ce qui est problématique, c'est que les mécanismes préparés depuis des années n'ont pas marché, a encore souligné Thierry Burkart. C'est pourquoi le parti veut une remise à plat globale pour permettre aussi de vérifier l'efficacité de la réglementation, s'en prenant en particulier à la responsabilité de l'ancien ministre des finances, Ueli Maurer. "Nous aurions pu réagir plus tôt sur l'un ou l'autre front", a complété M. Burkart.

"L'échec du CS montre que la réglementation existante n'était pas efficace dans le cas d’espèce. Il faut également déterminer si la FINMA a fait son travail. La loi doit être évaluée et, le cas échéant, révisée, revendique le PLR dans un communiqué.

Session extraordinaire

Comme le PS et les Verts, le PLR appelle lui aussi de ses voeux une session extraordinaire du Parlement. Celle-ci devra déterminer la nécessité d'une commission d'enquête parlementaire (CEP) sur les responsabilités dans la débâcle du numéro deux bancaire helvétique.

Evoquant une situation "tragique" pour les collaborateurs de Credit Suisse dans le monde entier, et en particulier des près de 17'000 en Suisse, le PLR demande "à assurer une sécurité dans la planification pour ces personnes". Il attend que la banque communique rapidement et de manière simple et compréhensible les conséquences de la reprise aussi pour ses clients.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Economie

L'action UBS rebondit vigoureusement

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Alerte Info (© )

Après un début de séance laborieux au lendemain de l'annonce de la reprise forcée du concurrent Credit Suisse en grande difficulté, UBS voyait son action rebondir lundi après-midi. Vers 14h40, le titre du numéro un bancaire suisse s'envolait de 6,02% à 18,14 francs.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : awp / ats

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