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Genève: une start-up aide Caritas à réinsérer les chômeurs longue durée

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@judith monfrini

Développer des talents d’orateur ou de communication pour décrocher un emploi. C’est ce que propose une start-up genevoise qui s’allie à Caritas et qui lance une recherche de fonds.

La start-up «123 Next generation» active dans la formation s’associe à Caritas Genève pour favoriser l'insertion et la réinsertion professionnelle. Ensemble, ils ont lancé un appel aux dons pour financer des formations destinées à une vingtaine de chômeurs suivis par Caritas. Le coup d’envoi  du crowdfunding a été donné ce dimanche avec l’un des donateurs du projet. Il a couru le marathon de Paris en 4h27 pour soutenir cette Course à l’emploi. 123 Next Generation, se propose de développer les soft skills des candidats. Les explications de Maxime Lagame, son fondateur.

Maxime LagameFondateur et directeur de 123Next Generation

La vingtaine de personnes concernées et suivies par Caritas sont des jeunes et des plus de 55 ans. Ce sont des chômeurs de longue durée, souvent en fin de droit. Les précisions de Camille Kunz, directeur de l’espace de formation et d’insertion professionnelle et de tout le réseau vente de Caritas Genève.

Camille KunzDirecteur de l'espace de formation et d'insertion professionnelle et de tout le réseau vente de Caritas Genève

La formation de 123Next Generation est complémentaire à celle donnée par Caritas. Camille Kunz.

Camille KunzDirecteur de l'espace de formation et d'insertion professionnelle et de tout le réseau vente de Caritas Genève

Caritas offre un programme spécifique aux jeunes en rupture mais aussi aux moins jeunes.

Camille KunzDirecteur de l'espace de formation et d'insertion professionnelle et de tout le réseau vente de Caritas Genève

La start-up 123 Next Generation aide habituellement plutôt les entreprises, comme l’explique son fondateur Maxime Lagame.

Maxime LagameFondateur et directeur de 123Next Generation

Responsabilité des entreprises

L’espoir du jeune entrepreneur: que son réseau d’entreprises fasse preuve de solidarité.

Maxime LagameFondateur et directeur de 123Next Generation

Avec l’argent récolté, les partenaires souhaitent offrir des demi-journées de formation avec des experts dans chaque domaine. Des compétences qui renforcent la personnalité, indispensables pour décrocher un emploi selon Maxime Lagame.

Maxime LagameFondateur et directeur de 123Next Generation

La Course à l’emploi espère récolter 30’000 francs avec le crowdfunding. Le lien si vous souhaitez participer à la recherche de fonds:

https://www.gofundme.com/f/123NG-Caritas

 

 

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Economie

Les sénateurs favorables à leur tour à une offensive éolienne

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Après le solaire, le Parlement est d'accord d'avancer sur l'énergie éolienne (archives). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Le Parlement veut avancer sur l'énergie éolienne. Après le National, le Conseil des Etats a adopté jeudi à l'unanimité un projet visant notamment à accélérer les procédures d'autorisation de construction. Le dossier retourne au National.

Les procédures d'autorisation des installations éoliennes sont actuellement très longues. La proposition sur la table, une initiative parlementaire de la commission compétente du National, veut donner un coup d'accélérateur aux projets de construction déjà bien avancés.

Il faut permettre à l'éolien de jouer pleinement son rôle dans l'approvisionnement énergétique de la Suisse, surtout en hiver, a estimé Adèle Thorens Goumaz (Vert-e-s/VD) pour la commission.

Concrètement, l'autorisation de construire pour les éoliennes d'intérêt national et bénéficiant d'un plan d'affectation déjà entré en force sera délivrée par le canton, et plus par les communes. Or celles-ci ne seront pas oubliées: elles devront avoir déjà approuvé les projets dans une phase de planification antérieure.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Economie

Philippe Fleury, nouveau directeur de la FER

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Philippe Fleury succède à Blaise Matthey à la tête de l'association patronale FER Genève. (© Olivier Vogelsang)

La Fédération des entreprises romandes Genève (FER Genève) a un nouveau directeur général. Philippe Fleury a officiellement succédé jeudi à Blaise Matthey, qui a dirigé la fédération depuis 2007 et qui y a travaillé pendant 35 ans.

Nommé en mai 2022 par le Conseil de direction de la FER Genève, Philippe Fleury a rejoint l'organisation en janvier 2023 pour permettre une période de transition avec son prédécesseur. Il assume officiellement la fonction de directeur général depuis le 1er juin, indique un communiqué.

Ce détenteur d'un double master en lettres et en droit est devenu avocat au barreau de Genève en 2002. Il a entamé sa carrière comme avocat stagiaire avant de poursuivre ses activités professionnelles au Département fédéral des finances, puis depuis 2007 chez KPMG. Il y a exercé la fonction du chef du bureau de Genève depuis 2020.

Philippe Fleury a occupé différentes fonctions au sein du Parti démocrate-chrétien genevois. Il a par ailleurs le grade de colonel au sein de l'armée suisse et est en charge de la protection militaire de l'aéroport de Genève.

A la tête de la FER Genève, Philippe Fleury veut être au service de sa communauté. Il souhaite une organisation de terrain, proche des entrepreneurs. Dès septembre 2023, il devrait également assurer la fonction de secrétaire général de la faîtière romande FER.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Economie

Les Suisses négligent l'argent liquide, une tendance qui ralentit

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En 2017, la part du numéraire atteignait 70%, avant de chuter à 43% en 2020. L'utilisation des cartes de débit et de crédit est restée stable, représentant toujours respectivement un tiers (33%) et 13% du nombre des paiements courants (archives). (© KEYSTONE/CHRISTIAN BEUTLER)

L'argent liquide perd de plus en plus de terrain comme moyen de paiement en Suisse, à en croire les statistiques de la Banque nationale suisse (BNS). Pour les dépenses courantes, les billets et les pièces ne représentent qu'un gros tiers (36%) des transactions.

Le rythme de la baisse a néanmoins ralenti ces deux dernières années, précise jeudi l'institut d'émission. En 2017, la part du numéraire atteignait 70%, avant de chuter à 43% en 2020. L'utilisation des cartes de débit et de crédit est restée stable, représentant toujours respectivement un tiers (33%) et 13% du nombre des paiements courants.

Ainsi, une transaction sur deux est effectuée sur un terminal de paiement, la plupart du temps (75%) par le biais de la fonction sans contact.

Les applications de paiement séduisent de plus en plus. Le recours à ces plateformes a plus que doublé en deux ans, leur part passant à 11% du nombre de transactions recensées par la BNS, contre 5% auparavant.

Pour les dépenses courantes, l'argent liquide demeure cependant une valeur sûre. Une majorité reste attachée aux billets de banque et aux pièces de monnaie, selon les résultats d'une enquête menée par la BNS auprès d'un échantillon de 2000 personnes domiciliées en Suisse.

Attachement à l'argent liquide

Le numéraire doit rester disponible comme moyen de paiement, malgré l'engouement pour les cartes et les applications, estiment les sondés. Ceux-ci avouent toutefois qu'ils utiliseraient moins le numéraire si l'infrastructure venait à être réduite.

L'argent liquide reste largement accepté dans les points de vente, souligne la BNS dans son communiqué. De ce point de vue, le niveau de satisfaction demeure élevé (92% d'avis positifs) pour les sondés. Il est très rare qu'un règlement ne puisse pas être effectué en Suisse, des incidents techniques (dans 52% des cas concernés) ou le refus d'un "instrument" de paiement (47%) pouvant entraver les opérations de paiement.

Si l'on envisage les dépenses courantes au travers des volumes en francs, la carte de débit reste le moyen privilégié en Suisse (33%), devant l'argent liquide (24%). Les applications de paiement ont également gagné du terrain, doublant leur part en deux ans pour générer 8% des volumes.

Pour les paiements récurrents, les virements par banque en ligne sont clairement entrés dans les moeurs, ceux-ci représentant 52% des transactions effectuées. Le service eBill, qui permet de faciliter ces opérations, reste moins utilisé que l'ordre permanent.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Economie

Nouvelle hausse du taux de référence en vue pour l'hiver ou 2024

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Martin Tschirren a expliqué jeudi à Berne l'impact à attendre de la hausse du taux de référence hypothécaire. (© KEYSTONE/ANTHONY ANEX)

Une nouvelle hausse du taux d'intérêt de référence pour les contrats de bail à hauteur de 0,25 point de pourcentage "est à attendre pour l'hiver prochain ou 2024", a annoncé jeudi le directeur de l'Office fédéral du logement (OFL) Martin Tschirren.

"Il est relativement vraisemblable qu'un nouveau pas (dans la hausse) sera franchi l'hiver prochain, mais il est difficile de dire quand précisément", a déclaré M. Tschirren devant les médias à Berne.

Les banques estiment que le taux de référence pourrait monter à 2% à l'horizon 2025, "mais nous nous gardons d'une telle anticipation", a ajouté M. Tschirren.

Plusieurs facteurs entrent en jeu, comme les taux directeurs de la BNS ou le comportement du marché hypothécaire, si bien que les prévisions s'avèrent complexes.

Le fait que la hausse du taux annoncée jeudi (de 1,25 à 1,5%) soit la première depuis 2008 rend en outre difficile la mesure de l'impact que cela aura sur les loyers, a précisé l'OFL.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Discriminations salariales: Travail.Suisse dresse une liste noire

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Vice-présidente de Travail.Suisse, la conseillère nationale Léonore Porchet (PS/VD) se bat pour l'égalité salariale. (© KEYSTONE/ANTHONY ANEX)

Travail.Suisse dresse dès jeudi une liste noire des entreprises ne respectant pas les exigences de la nouvelle loi sur l'égalité salariale. Trois ans après son introduction, cette loi ne s'est pas révélée efficace, estime l'organisation.

Les entreprises dès 100 salariés sont tenues légalement de procéder à une analyse comparative des salaires de leurs employés et employées et d'en communiquer les résultats au personnel. La loi ne prévoit cependant pas de sanction pour celles qui ne feraient pas cet examen.

Par conséquent, Travail.Suisse se fait lanceur d'alerte pour les entreprises manquant à ce devoir d'examen. Celles-ci peuvent être signalées de façon anonyme sur la plate-forme Respect8.-3.ch. Il s'agit d'"une liste noire contre les discriminations salariales", a annoncé l'organisation à Berne.

Un examen attentif des salaires constitue selon elle un préliminaire pour résoudre les inégalités. Travail.Suisse estime entre 8 et 9% la "part inexpliquée" en moyenne en Suisse des écarts de revenus entre hommes et femmes.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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