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Genève ordonne la fermeture de toutes les boîtes de nuit

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AP Photo/Manu Fernandez

Genève impose des mesures plus restrictives afin de freiner la propagation du coronavirus. Le canton a ordonné vendredi la fermeture de toutes les boîtes de nuit, discothèques, dancings et cabarets.

Cette mesure restera en vigueur jusqu'au 23 août et pourra être prolongée en fonction de la situation épidémiologique, a indiqué vendredi le Conseil d'Etat. Le nombre de nouvelles infections a très significativement augmenté durant trois semaines d'affilée en juillet, passant de 37 à 79 puis à 216 cas par semaine.

Cette semaine, 225 nouveaux cas ont été diagnostiqués positifs et 14 personnes sont actuellement hospitalisées, selon la médecin cantonale Aglaé Tardin. Durant la même période, le pourcentage de tests positif est passé de 2% à 9%. Et 40% des personnes positives ont été contaminées dans plus de vingt lieux festifs du canton, relève le Conseil d'Etat.

Consommer assis

Autre mesure annoncée vendredi: l'obligation pour les clients des bars et des restaurants de consommer en restant assis autour d'une table ou au bar. Les distances interpersonnelles doivent être respectées. Et le port du masque obligatoire s'applique désormais aussi aux clients lors de tout déplacement dans un établissement, même sur les terrasses.

Enfin, tout comme les lieux festifs jusqu'à l'annonce de leur fermeture, les exploitants des bars ont désormais l'obligation de collecter l'identité et un moyen de contact fiable des clients. Des amendes sont prévues pour les personnes qui ne respectent pas ces mesures.

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Suisse

L'armée cherche une solution "moderne" pour les bunkers

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La salle du fort d'artillerie de Dailly. (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

L'armée cherche une solution "moderne" pour les bunkers désaffectés des lance-mines de forteresse. Dans l'idéal, selon l'appel d'offres, les bunkers doivent être transformés en n½uds de défense difficilement attaquables.

"Compte tenu de l'évolution de la situation en matière de menaces, il convient désormais d'examiner comment l'armée peut utiliser les anciens emplacements de manière moderne", peut-on lire dans une annonce préalable de l'Office fédéral de l'armement Armasuisse sur la plateforme d'acquisition Simap. La Neue Zürcher Zeitung et le Blick ont rapporté samedi l'appel d'offres.

Selon l'appel d'offres, "il convient d'évaluer et de trouver une solution adaptée à la milice, capable d'avoir un effet à longue portée contre des cibles blindées et non blindées au sol et/ou contre des cibles volant à basse altitude. L'objectif est de trouver une solution capable d'agir de manière ad hoc (c'est-à-dire en quelques heures). Idéalement, les sites existants ne devraient pas nécessiter d'installations fixes supplémentaires au-delà de l'infrastructure déjà en place.

Mise en réseau de différents acteurs

L'appel d'offres s'adresse apparemment aux start-ups, aux entreprises et aux hautes écoles qui travaillent sur des technologies liées à la sécurité. C'est ce qui ressort de l'inscription sur Simap. Les personnes intéressées obtiendront donc de plus amples informations lors d'une journée de l'innovation organisée par la Société suisse technique et armée (STA) à la mi-septembre. "Les contributions aux projets à élaborer dans le cadre du mandat d'étude doivent provenir de tous les domaines, même en dehors de la technologie de défense", écrit la STA dans l'invitation à la manifestation. La STA espère que cette journée permettra de créer des partenariats entre les participants pour d'éventuels projets.

En réaction à la guerre en Ukraine, l'armée avait déjà stoppé la vente de bunkers en 2023. A l'époque, le chef de l'armée Thomas Süssli avait déclaré dans une interview accordée à Tamedia que l'armée passait en revue le catalogue des installations de commandement et de combat. "Nous devons prendre ce que nous avons", avait-il déclaré. Pour les installations des lance-mines de forteresse, il s'agit donc maintenant de trouver une solution efficace ainsi qu'une solution avantageuse en termes de coûts et de personnel, comme l'indiquait l'annonce préalable d'Armasuisse.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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EURO 2025

Un France - Allemagne qui promet en quart

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Laurent Bonadei espère bien emmener la France jusqu'en finale de l'Euro (© KEYSTONE/AP/Alessandra Tarantino)

Le dernier carré du championnat d'Europe sera complété samedi, à l'issue d'un ultime quart de finale qui s'annonce passionnant. La France affronte à Bâle une équipe d'Allemagne en reconstruction.

Les Bleues du coach Laurent Bonadei abordent ce choc dans le costume des favorites. Elles ont fait forte impression en remportant leurs trois matches dans une poule qui comprenait également l'Angleterre et les Pays-Bas, écrasant les Néerlandaises 5-2 lors de l'ultime journée.

L'Allemagne du sélectionneur Christian Wück, privée de sa capitaine Giulia Gwinn (blessée lors du premier match de son équipe dans cet Euro), a pour sa part pris la 2e place de son groupe. La sèche défaite (4-1) subie face à la Suède samedi passé a mis en exergue les carences défensives de la "Mannschaft".

La France, qui n'a jamais dépassé le stade des demi-finales dans un Euro féminin, semble mûre pour aller décrocher un premier trophée international. L'Allemagne espère pour sa part renouer avec un glorieux passé: son huitième et dernier sacre continental date de 2013, son deuxième et dernier titre mondial de 2007.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Le Salvador renvoie "tous" les Vénézuéliens détenus dans sa prison

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Les migrants libérés par le Salvador à leur arrivée au Venezuela, à l'aéroport de Maiquetia. (© KEYSTONE/AP/Ariana Cubillos)

Des dizaines de migrants vénézuéliens libérés d'une prison salvadorienne de haute sécurité, où ils avaient été envoyés par les Etats-Unis, sont rentrés chez eux vendredi, mettant fin à une détention décriée par les défenseurs des droits de l'Homme.

Deux avions transportant ces hommes ont atterri dans la soirée à l'aéroport desservant Caracas.

"Libres, enfin libres !", s'est réjoui le président vénézuélien Nicolas Maduro lors d'un événement public, après des mois d'incertitude sur le sort des 252 Vénézuéliens expulsés des États-Unis en mars pour être incarcérés au Centre de confinement du terrorisme (Cecot) au Salvador, une prison de haute sécurité prévue pour les membres de gangs.

Le Venezuela n'a pas indiqué combien de ses ressortissants étaient rentrés, mais le président salvadorien Nayib Bukele a déclaré plus tôt sur X avoir remis à Caracas "tous les citoyens vénézuéliens détenus dans notre pays, accusés d'appartenir à l'organisation criminelle Tren de Aragua".

Invoquant une loi de 1798 sur les ennemis de l'étranger rarement utilisée, les États-Unis avaient expulsé vers le Salvador ces migrants accusés, sans preuves ni procès, d'appartenir au gang vénézuélien, des accusations rejetées par leurs proches, restés sans nouvelles depuis.

Le président Maduro a remercié vendredi son homologue américain Donald Trump pour le retour chez eux de ces migrants, saluant "la décision de rectifier cette situation totalement irrégulière".

"Je ne peux pas contenir ma joie", a réagi Mercedes Yamarte, mère de Mervin Yamarte, un Vénézuélien détenu au Cecot, avant l'atterrissage des deux avions.

"Prix élevé"

Cette libération est liée à un échange de prisonniers entre Caracas et Washington.

L'administration Trump a indiqué dans la journée que les migrants vénézuéliens avaient été libérés en échange de dix Américains détenus au Venezuela et d'un nombre inconnu de "prisonniers politiques" vénézuéliens.

Le chef de la diplomatie américaine, Marco Rubio, a remercié le président Bukele "d'avoir aidé à obtenir un accord pour la libération de tous nos détenus américains".

L'ambassade des États-Unis au Venezuela a publié une photo de ces hommes dans un avion, souriants et brandissant des drapeaux américains.

Selon Global Reach, une ONG qui vient en aide aux Américains détenus à tort à l'étranger, parmi les personnes libérées figure Lucas Hunter, un Franco-Américain de 37 ans, arrêté en janvier par les gardes-frontières vénézuéliens pendant des vacances en Colombie.

"Nous avons hâte de le voir en personne et de l'aider à se remettre de cette épreuve", a dit sa soeur, Sophie Hunter, citée dans un communiqué de l'ONG.

L'Uruguay a annoncé qu'un de ses citoyens, résident aux États-Unis, Fabian Buglio, faisait partie des personnes libérées.

Dans un communiqué, Caracas a estimé avoir payé un "prix élevé" pour assurer le retour de ses concitoyens. "Des terroristes contre des innocents", a déclaré le président Maduro.

En plus de la libération des Américains, le Venezuela a accordé des "mesures alternatives" à l'emprisonnement à des Vénézuéliens détenus pour "leur implication dans des crimes communs et des infractions contre l'ordre constitutionnel".

Enfants "sauvés"

Plus tôt dans la journée, un autre avion est arrivé à l'aéroport de Maiquetia en provenance de Houston, avec à son bord 244 Vénézuéliens expulsés des États-Unis et sept enfants que le ministre vénézuélien de l'Intérieur Diosdado Cabello a dit "sauvés de l'enlèvement dont ils étaient victimes".

Ces enfants font partie des 30 qui, selon Caracas, ont été séparés de leur famille et son restés aux États-Unis après l'expulsion de leurs parents vénézuéliens.

La lutte contre les migrants sans-papiers est une priorité de la nouvelle administration américaine, qui a multiplié les descentes de police et les expulsions.

Washington et Caracas se sont mis d'accord pour renvoyer les Vénézuéliens sans papiers dans leur pays, et des vols arrivent presque quotidiennement des Etats-Unis ou du Mexique.

Selon les chiffres officiels, depuis février plus de 8200 personnes ont été rapatriées au Venezuela depuis ces deux pays, dont environ 1000 enfants.

Sans nouvelles

Au Cecot, les Vénézuéliens détenus n'avaient pas le droit de passer des appels ni de recevoir des visites, et leurs proches ont demandé en vain des preuves de vie.

La dernière fois qu'ils ont été aperçus remonte à mars, lorsqu'ils sont apparus entravés, crâne rasé, à genoux dans la méga-prison salvadorienne.

Nayib Bukele a fait construire le Cecot dans le cadre de sa guerre contre les gangs mais avait accepté des millions de dollars des États-Unis pour y détenir les Vénézuéliens.

Amnesty International, Human Rights Watch et d'autres groupes de défense des droits ont dénoncé à plusieurs reprises ces détentions comme violant les droits humains.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Israël et la Syrie s'accordent sur un cessez-le-feu

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Scènes de guerre au sud de la Syrie, jeudi. (© KEYSTONE/EPA/AHMAD FALLAHA)

Le gouvernement syrien et Israël se sont accordés vendredi soir sur un cessez-le-feu sous l'égide des Etats-Unis, mais des affrontements opposent toujours des combattants tribaux et druzes à l'entrée de Soueida, dans le sud de la Syrie.

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu et le président intérimaire syrien Ahmad al-Chareh "ont accepté un cessez-le-feu", a annoncé l'émissaire américain pour la Syrie Tom Barrack, deux jours après des bombardements israéliens sur Damas.

"Nous appelons les druzes, les bédouins et les sunnites à déposer les armes, et, ensemble, avec les autres minorités, à construire une identité syrienne nouvelle et unie, dans la paix et la prospérité avec ses voisins", a écrit M.Barrack sur le réseau social X.

La présidence syrienne a affirmé vendredi travailler à l'envoi d'une "force spéciale" dans la région à majorité druze de Soueida, d'où elle avait retiré ses soldats la veille sous la pression d'Israël.

Depuis dimanche, les affrontements entre groupes druzes et tribus bédouines locales, aux relations tendues depuis des années, y ont fait au moins 638 morts selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH).

L'hôpital gouvernemental de Soueida, le seul de la ville qui fonctionne encore, a accueilli "plus de 400 corps depuis lundi matin", parmi lesquels "des femmes, des enfants et des personnes âgées", a dit à l'AFP le médecin Omar Obeid.

"Une fosse commune"

"Ce n'est plus un hôpital, c'est une fosse commune", a déclaré à un correspondant de l'AFP Rouba, membre du personnel de l'hôpital qui ne veut pas donner son nom de famille.

Ces violences fragilisent encore plus le pouvoir d'Ahmad al-Chareh qui, à la tête d'une coalition de groupes rebelles islamistes, avait renversé le président Bachar al-Assad en décembre, dans un pays meurtri par près de 14 ans de guerre civile.

Dans un communiqué vendredi soir, la présidence a exhorté "toutes les parties à faire preuve de retenue et à privilégier la raison", tout en affirmant travailler "à l'envoi d'une force spéciale pour mettre fin aux affrontements".

Le pouvoir syrien, disant vouloir rétablir l'ordre, avait déjà déployé ses forces mardi à Soueida, jusque-là contrôlée par des combattants druzes. L'OSDH, des témoins et des groupes druzes ont toutefois accusé les forces syriennes d'avoir combattu au côté des bédouins et d'avoir commis des exactions.

Les forces gouvernementales s'étaient retirées jeudi de la ville, après des menaces et des bombardements d'Israël qui a dit vouloir protéger la minorité druze, M.Chareh affirmant sa volonté d'éviter une "guerre ouverte" avec Israël.

Un cessez-le-feu a été conclu entre les parties syriennes, mais la présidence a accusé jeudi les combattants druzes de l'avoir violé.

Vendredi matin, des combattants de tribus arabes sunnites, qui ont afflué de différentes régions syriennes pour prêter main forte aux bédouins, s'étaient massés autour de Soueida, selon des correspondants de l'AFP sur place.

Et vendredi soir, quelque 200 de ces combattants ont été vus par l'AFP échangeant des tirs d'armes automatiques à l'entrée ouest de la ville avec les groupes druzes positionnés à l'intérieur.

"Plus de lait pour les nourrissons"

L'OSDH a confirmé des combats dans ce secteur, ajoutant que "des bombardements visaient des quartiers de la ville".

Un chef tribal, Anas Al-Enad, a affirmé au correspondant de l'AFP près du village druze de Walgha être venu avec ses hommes de la région de Hama (centre) "en réponse aux appels à l'aide des bédouins".

Le correspondant de l'AFP a vu des maisons, des commerces et des voitures brûlés à Walgha, désormais sous contrôle des forces tribales et des bédouins.

Selon l'OSDH, "les combattants tribaux sont encouragés et soutenus par les autorités syriennes qui ne peuvent plus se déployer à Soueida en raison des menaces d'Israël".

Près de 80'000 personnes ont été déplacées en raison des violences, s'est alarmée l'Organisation internationale pour les migrations (OIM).

Dans Soueida privée d'eau et d'électricité et où les communications sont coupées, "la situation est catastrophique. Il n'y a même plus de lait pour nourrissons", a déclaré à l'AFP le rédacteur en chef du site local Suwayda 24, Rayan Maarouf.

Le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) s'est dit "profondément préoccupé par la détérioration rapide de la situation humanitaire" dans la région.

"Les gens manquent de tout. Les hôpitaux ont de plus en plus de mal à soigner les blessés et les malades", a déclaré Stephan Sakalian, chef de la délégation du CICR en Syrie.

Présente principalement à Soueida, la communauté druze de Syrie comptait avant la guerre civile quelque 700'000 personnes. Cette minorité ésotérique issue d'une branche de l'islam est aussi implantée au Liban et en Israël.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Canada: Six millions d'hectares brûlés par les feux de forêt

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Un feu de forêt au Manitoba, fin mai. (Manitoba government via AP) (© KEYSTONE/AP Manitoba government)

Avec près de six millions d'hectares brûlés pour l'instant, soit la superficie de la Croatie, la saison des feux de forêt au Canada est l'une des pires jamais enregistrées au pays, selon une mise à jour des autorités vendredi.

En raison de la sécheresse et des températures supérieures à la normale, le pays de 40 millions d'habitants a connu une saison précoce et extrême avec plusieurs mégafeux actifs. Et ces derniers dévorent les terres à un rythme rarement vu depuis 40 ans.

"Il s'agit de l'une des superficies cumulées les plus élevées pour cette période de l'année, derrière le record de la saison des incendies de 2023", a souligné Michael Norton, porte-parole de Ressources naturelles Canada.

Mais contrairement à l'été hors du commun de 2023, où l'activité des incendies "ne s'est pas stabilisée" et où près de 18 millions d'hectares ont brûlé au total, "nous observons cette année un schéma d'incendie plus normal", a-t-il poursuivi.

L'intensité des feux a ralenti en juin mais le pays entre "dans ce qui est normalement les deux mois les plus actifs de la saison", avec des conditions propices aux incendies dans plusieurs régions, a-t-il prévenu.

Plus de 560 feux sont actuellement actifs dans le pays. Ottawa a fait appel à l'aide internationale et 533 pompiers des Etats-Unis, Nouvelle-Zélande, Australie, Costa Rica et du Mexique sont sur place.

L'intensité des brasiers a forcé la province du Manitoba (centre) à déclarer l'état d'urgence pour une deuxième fois en quelques mois le 10 juillet et les autorités ont indiqué que le nombre d'hectares brûlés cette année est dix fois supérieur à la moyenne.

Depuis ce printemps, 39'000 autochtones ont été évacués, a indiqué vendredi la ministre des Services aux Autochtones, ajoutant que les Premières nations sont "touchées de manière disproportionnée" par les feux et sont "108 fois plus susceptibles d'être évacuées lors d'urgences".

Le Canada, qui se réchauffe deux fois plus rapidement que le reste de la planète, est confronté à de plus en plus d'événements météorologiques violents.

Liée au changement climatique d'origine humaine, la hausse des températures entraîne moins de neige, des hivers plus courts et plus doux, et des conditions estivales plus précoces qui favorisent les incendies, selon les experts.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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