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Genève: 200 militaires en soutien des hôpitaux dès lundi

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Cinq cantons ont fait appel à l'armée, mais seule la requête de Genève a été acceptée pour le moment, a indiqué Anne Lévy, directrice de l'Office fédéral de la santé publique (OPFSP) devant la presse vendredi. (©KEYSTONE/ANTHONY ANEX)

Le canton de Genève recevra le soutien de l'armée dès lundi. Les tests rapides, qui détectent la présence du Covid-19 en quinze minutes, seront aussi déployés à large échelle dans ce canton dès mercredi.

"On n'est plus aussi pessimiste qu'il y a quelques jours", a toutefois noté Stefan Kuster, chef de la division Maladies transmissibles de l'Office fédéral de la santé publique (OFSP). Mais il a ajouté que les chiffres sont toujours critiques.

La Suisse comptait vendredi 9409 cas supplémentaires de coronavirus en 24 heures, selon l'OFSP. Septante décès supplémentaires sont à déplorer et 231 malades ont été hospitalisés. Les deux jours précédents, la barre des 10'000 nouvelles contaminations avait été dépassée.

Cinq cantons ont fait appel à l'armée

Cinq cantons ont fait appel à l'armée, a rappelé Anne Lévy, la directrice de l'Office fédéral de la santé publique. Seule la requête de Genève a été acceptée pour le moment. Le nombre de places en soins intensifs y est faible, des patients genevois ont déjà dû être envoyés dans d'autres hôpitaux et le risque d'un manque de personnel existe, a-t-elle expliqué.

La cheffe de l'OFSP a encore souligné que la situation était toujours tendue au niveau des places dans les unités de soins intensifs dans toute la Suisse. "Les réserves diminuent." Elles sont passées de 36 à 25% au cours des cinq derniers jours. Le nombre de patients en soins intensifs double tous les huit jours.

Soins intensifs: limite atteinte le 10 novembre

La limite de leur capacité pourrait être atteinte le 10 novembre, a précisé Martin Ackermann, chef de la Task Force scientifique. Les mesures prises le 18 octobre n'ont pas suffi à ralentir l'évolution de l'épidémie.

Les chiffres du Valais sont révélateurs: alors que le canton a pris des mesures plus strictes dès le 23 octobre, les contaminations ont continué de croître, a illustré l'expert.

"En ce moment, on n'a pas d'indication qu'un renversement de tendance est en cours", a-t-il complété. Il s'agit maintenant de voir si les nouvelles mesures annoncées par la Confédération la semaine dernière ainsi que les restrictions prises par certains cantons font effet.

Taux de reproduction trop élevé

De manière générale, le taux de reproduction est toujours supérieur à 1 ce qui donne lieu à une croissance exponentielle. Selon lui, il est essentiel de ramener cette valeur en-dessous de 1. "C'est la seule manière de freiner l'épidémie", a dit M. Ackermann.

La Task Force recommande de poursuivre le traçage des contacts et le dépistage: "Cette bataille ne peut être abandonnée". Thomas Steffen, médecin cantonal de Bâle-Ville et membre du comité de l'Association des médecins cantonaux suisse (AMCS) est sur la même ligne: les tests rapides peuvent révéler des cas asymptomatiques actuellement peu ou pas détectables et qui de ce fait continuent de contaminer leur entourage.

Tests rapides envoyés à Genève

A Genève, les tests rapides, qui détectent la présence du Covid-19 en quinze minutes, seront déployés à large échelle dès mercredi. La Protection civile (PC) a été appelée en renfort pour effectuer ces dépistages. Au total, près de 5000 tests devraient être réalisés par jour, dont 1500 rapides.

"Le système de santé est poussé dans ses retranchements", a insisté Adrien Bron, directeur général de la santé de ce canton. La courbe des infections quotidienne ne baisse pas, avec environ 1000 à 1300 cas. "Cette deuxième vague est plus sévère que la première", selon la médecin cantonale Aglaé Tardin.

RHT: 20 millions de francs par jour

Après la santé, l'économie: un total de 8,3 milliards de francs a été dépensé jusqu'à présent pour les indemnités en cas de réduction de l’horaire de travail (RHT) en raison de la pandémie, a relevé pour sa part Oliver Schärli, chef du centre de prestations Marché du travail et assurance-chômage du Secrétariat d'Etat à l'économie (SECO).

Actuellement, le montant des indemnités en cas de RHT s'élève à environ 20 millions de francs par jour. Une légère augmentation des demandes a été enregistrée en novembre. Au printemps, lors de la première vague, le montant était de plus de 100 millions de francs par jour, a comparé M. Schärli.

Au cours de l'année, 50'000 demandeurs d'emploi supplémentaires ont été enregistrés jusqu'à présent, a poursuivi M. Schärli. Pour faire face aux demandes croissantes, les offices régionaux de placement (ORP) ont employé 10% de personnel en plus, a-t-il ajouté. Et M. Schärli de souligner que les fonds étaient toutefois suffisants auprès des ORP et des caisses de chômage.

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Suisse

Manifestation interdite à Neuchâtel: recours au TF

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Le 14 juin 2023, 6000 femmes avaient manifesté à Neuchâtel, tout comme dans d'autres villes de Suisse (photo symbolique prise à Lausanne). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Le 14 juin 2023, la commune de Neuchâtel a interdit à la manifestation de la Grève féministe d’emprunter l’avenue de la Gare, invoquant la primauté des bus. Un recours au Tribunal fédéral a été déposé.

"Le droit de manifester est un droit fondamental qui ne peut être restreint qu'à des conditions très strictes. Devoir déplacer des bus pendant une heure et demie n'est pas un motif suffisant de restrictions, a déclaré lundi devant les médias Olivier Peter, avocat de la Grève féministe.

Le Tribunal cantonal a donné tort sur le fond au collectif le 9 janvier. Un recours au TF a été déposé. Le collectif aimerait toutefois que la Ville revienne sur sa décision administrative. Cela permettrait aussi au procureur général de retirer sa plainte pénale contre Solenn Ochsner, organisatrice de la manifestation.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Washington confirme la réunion avec la Russie mardi à Ryad

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On reconnaît le président ukrainien Volodymyr Zelenskyy (3e depuis la gauche) lors de la rencontre préparatoire de Munich la semaine dernière, en compagnie notamment du vice-président américain JD Vance (1er à droite) et du secrétaire d'Etat des Etats-Unis Marco Rubio (à sa droite). (© KEYSTONE/AP/Matthias Schrader)

Moscou et Washington ont confirmé lundi la rencontre, mardi à Ryad, entre des représentants des deux pays, à la suite d'un long téléphone entre Vladimir Poutine et Donald Trump. Pendant ce temps à Paris, des Etats européens tentent d'esquisser une réaction.

Le secrétaire d'Etat américain, Marco Rubio, le conseiller à la Sécurité nationale du président américain, Mike Waltz et l'envoyé spécial pour le Moyen-Orient, Steve Witkoff, représenteront les Etats-Unis à la rencontre avec la Russie mardi à Ryad, a déclaré la porte-parole du département d'Etat, Tammy Bruce.

Le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov et Iouri Ouchakov, conseiller diplomatique de Vladimir Poutine, doivent s'envoler lundi pour Ryad pour cette réunion, a indiqué plus tôt mardi la présidence russe.

Les présidents russe et américain se sont entendus pour sortir des relations conflictuelles "anormales" opposant Moscou et Washington, a indiqué lundi chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov.

"Poutine et Trump se sont entendus sur la nécessité de laisser derrière eux les relations absolument anormales. Les présidents ont décidé que le dialogue doit reprendre" entre les Etats-Unis et la Russie, a ajouté M. Lavrov en marge d'une rencontre avec son homologue serbe.

Pas de place pour l'Europe

Le chef de la diplomatie russe a asséné lundi que l'Europe n'avait pas de place dans les futures négociations impliquant la Russie et les Etats-Unis pour mettre fin au conflit en Ukraine, car elle veut "continuer la guerre".

"Si (les Européens) se mettent à la table des négociations (...) avec l'intention de poursuivre la guerre, alors pourquoi on les inviterait", a déclaré Sergueï Lavrov, à la veille de pourparlers russo-américains en Arabie Saoudite qui doivent notamment aborder le conflit en Ukraine.

Réagissant à la rencontre bilatérale de Ryad, des pays européens se réunissent lundi à Paris, une rencontre qui se tient également au lendemain d'une conférence sur la Sécurité à Munich où le discours hostile du vice-président américain J.D. Vance à l'encontre de ses alliés a sidéré les Européens.

Seront présents à cette réunion présentée comme informelle: le président français Emmanuel Macron, les chefs de gouvernement de l'Allemagne, du Royaume-Uni, de l'Italie, de la Pologne, de l'Espagne, des Pays-Bas et du Danemark, ainsi que le président du Conseil européen, la présidente de la Commission européenne et le secrétaire général de l'Otan.

Critiques

La Slovénie a regretté que les autres pays membres de l'UE n'aient pas été invités.

"Sur un plan symbolique, les organisateurs du sommet de Paris montrent au monde que, même au sein de l'UE, tous les Etats ne sont pas traités sur un pied d'égalité", a commenté dans un communiqué la présidente slovène Natasa Pirc Musar.

Le gouvernement hongrois s'est lui aussi montré critique. "Aujourd'hui à Paris, des dirigeants européens frustrés, pro-guerre et anti-Trump se réunissent pour empêcher un accord de paix en Ukraine", a déclaré le ministre des Affaires étrangères Peter Szijjarto en marge d'une conférence de presse au Kazakhstan, retransmise sur son compte Facebook.

"Contrairement à eux, nous soutenons les ambitions de Donald Trump. Contrairement à eux, nous soutenons des négociations entre la Russie et les Etats-Unis", a-t-il ajouté.

Viktor Orban, l'un des rares dirigeants de l'UE à afficher sa proximité avec Donald Trump et Vladimir Poutine, ne cesse de plaider pour un cessez-le-feu et la mise en place de discussions de paix, tout en refusant d'envoyer de l'aide militaire à Kiev.

Depuis le retour à la Maison Blanche de l'ex-magnat de l'immobilier, il s'estime conforté dans ses positions et déplore "l'impuissance" de l'UE, pas conviée à la table des pourparlers.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Otages de l'EI en Syrie: Nemmouche dit qu'il n'était pas le geôlier

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Mehdi Nemmouche lors d'un procès précédent, en juin 2019 devant les Assises à Bruxelles, a été condamné à la réclusion criminelle à perpétuité pour quatre "assassinats terroristes" commis le 24 mai 2014 au musée juif de la capitale belge. (© KEYSTONE/AP/BENOIT P)

L'audience n'a débuté qu'il y a quelques minutes lundi quand Mehdi Nemmouche annonce "une déclaration préalable": "Je n'ai jamais été le geôlier des otages occidentaux ni d'aucun autre" en Syrie, déclare-t-il à l'ouverture de son procès d'assises à Paris.

Mehdi Nemmouche, 39 ans, sweat de sport noir, cheveux bruns coiffés au gel, rasé de près, est accusé d'avoir été le geôlier de quatre journalistes français détenus pendant près d'un an par le groupe djihadiste Etat islamique en Syrie en 2013. Trois d'entre eux sont présents dans la salle.

Le président Laurent Raviot commence par demander à Mehdi Nemmouche et ses deux coaccusés de décliner leur identité.

"Nemmouche Mehdi, de père inconnu, adresse officielle à Tourcoing mais ça remonte à 2006", répond-il, visiblement à l'aise, à renfort de larges mouvements de bras. "Et je vais faire une déclaration préalable", annonce-t-il sans laisser le choix à la cour. "Je n'ai jamais été le geôlier des otages occidentaux".

"On verra ça plus tard", répond le président.

Mises en scène macabres

Mehdi Nemmouche reprend une minute plus tard. "Je n'ai jamais été le geôlier des otages occidentaux ni d'aucun autre. Et je n'ai jamais rencontré ces personnes en Syrie", dit-il, assurant n'avoir été qu'un "soldat sur le front" pour différents groupes djihadistes en Syrie, "contre le régime de Bachar al-Assad".

"La première fois que j'ai vu Nicolas Hénin, l'un des quatre journalistes, c'était devant la cour d'assises de Bruxelles", où Mehdi Nemmouche a été condamné à la perpétuité en 2019 pour l'attentat au musée juif de Bruxelles.

Les journalistes français - Nicolas Hénin, Didier François, Edouard Elias et Pierre Torres - avaient été enlevés à 10 jours d'intervalle en juin 2013, comme de nombreux journalistes et humanitaires occidentaux, souvent détenus ensemble.

Ils n'ont été libérés que près d'un an plus tard, le 18 avril 2014, après des mois de supplice, entre violences physiques et psychologiques, privations de nourriture et simulacres d'exécution.

Plusieurs autres otages, dont le journaliste américain James Foley et l'humanitaire britannique David Haines, ont été exécutés, en tenue orange, dans des mises en scène macabres et filmées qui ont choqué le monde.

Sûrs à "100%"

Un mois après le retour en France des journalistes, Mehdi Nemmouche avait abattu, le 24 mai 2014, quatre personnes au musée juif de Bruxelles. Il fut le premier d'une longue liste de djihadistes de l'EI rentrant de Syrie pour commettre des attentats en Europe.

Quand il a été arrêté quelques jours plus tard à Marseille, sa photo a été publiée dans la presse. Certains ex-otages l'ont immédiatement reconnu: il est "Abou Omar", l'un de leurs geôliers "pervers", "sadique" en Syrie. En entendant sa voix, ils en sont sûrs "à 100%".

Nicolas Hénin espère que ses geôliers s'exprimeront durant l'audience. "J'ai envie de les entendre. C'est nécessaire à la manifestation de la vérité", a-t-il souligné lundi matin sur France Inter, prêt à se "bagarrer y compris au tribunal pour leur faire comprendre qu'ils ont perdu".

Sur RMC, Didier François a lui relevé que "Mehdi Nemmouche, en soi, ce n'est que l'un des geôliers, que l'un des tortionnaires, que l'un des djihadistes qui a porté ce projet" djihadiste.

Nemmouche sait qu'il mourra en prison

L'avocat de Mehdi Nemmouche, Me Francis Vuillemin, a assuré devant la presse que son client s'exprimerait durant l'audience.

"Il est d'une grande sérénité. Il ne risque rien, il sait qu'il est en prison à vie, il sait qu'il mourra en prison. Il a été silencieux pendant 10 ans, il va parler, c'est une certitude".

Comparaissent aussi Abdelmalek Tanem (35 ans), déjà condamné en France pour avoir rejoint la Syrie en 2012 et soupçonné d'avoir été un des geôliers, et le Syrien Kais Al Abdallah (41 ans), facilitateur de l'enlèvement de Nicolas Hénin et Pierre Torres selon l'enquête. Tous deux nient.

Sont en outre jugés - même s'ils sont présumés morts - le haut cadre de l'Etat islamique Oussama Atar (déjà condamné par défaut à la perpétuité au procès des attentats du 13 novembre qu'il avait commandités) et Salim Benghalem, considéré comme le chef de la détention des otages.

Le procès est prévu jusqu'au 21 mars.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Suisse

Swisscom augmente les salaires de ses collaborateurs

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Les augmentations de salaire ont été négociées entre Swisscom et ses partenaires sociaux, le syndicat Syndicom et l'association du personnel Transfair (archives). (© KEYSTONE/ENNIO LEANZA)

Swisscom va augmenter les salaires de son personnel de 1,3% à compter du 1er avril, annonce l'entreprise de télécommunications. Cette mesure concerne environ 9500 collaborateurs Swisscom soumis à la convention collective de travail (CCT).

"Afin de prendre en compte le renchérissement, la plupart du personnel bénéficiera d'une hausse de salaire générale d'un montant plus ou moins important selon la position dans la bande salariale", fait savoir lundi Swisscom dans un communiqué.

"Le personnel dont le salaire est supérieur à la bande salariale recevra un versement unique", précise l'entreprise.

Cette décision est le résultat des négociations salariales entre Swisscom et ses partenaires sociaux, le syndicat syndicom et l'association du personnel transfair.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Suisse

Il y a 40 ans, « neige du siècle » en Suisse romande

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Les 16 et 17 février 1985, la Suisse romande a été le théâtre d'un épisode neigeux exceptionnel, souvent qualifié de « neige du siècle ». Cet événement a marqué les esprits par son intensité et les perturbations qu'il a engendrées.

Tout a débuté le vendredi 15 février 1985, lorsque une masse d'air arctique a envahi la Suisse romande, faisant chuter les températures de manière drastique. En l'espace de quatre heures, le mercure est passé de 7°C à -1°C, pour atteindre -4°C en soirée. Cette arrivée d'air glacial a posé les bases d'une situation propice à des chutes de neige abondantes.

Le samedi 16 février, en fin d'après-midi, le ciel était couvert d'une épaisse couche de nuages gris. À 18h15, les premiers flocons ont commencé à tomber sur Genève, accompagnés d'une bise glaciale. Les chutes de neige se sont intensifiées au fil des heures, réduisant considérablement la visibilité. À 23h20, la visibilité horizontale n'était plus que de 400 mètres, et l'aéroport de Genève a dû interrompre ses activités.

La neige a continué de tomber sans discontinuer durant la nuit et toute la journée du dimanche 17 février. Des vents atteignant 40 km/h ont formé des congères, rendant les opérations de déneigement particulièrement ardues. Ce n'est qu'en soirée, entre 19h et 21h, que les précipitations ont cessé.

Les accumulations de neige ont atteint des niveaux inédits pour les régions de plaine du bassin lémanique et du Chablais. À Genève, on a mesuré jusqu'à 45 cm de neige, tandis qu'à Lausanne il y avait plus de 70  cm. Ces quantités exceptionnelles ont paralysé les infrastructures : routes impraticables, trafic ferroviaire perturbé et aéroport fermé. Les écoles sont restées fermées, et de nombreux habitants ont profité de cette neige abondante pour pratiquer le ski ou la luge en ville.

Cet épisode neigeux reste gravé dans la mémoire collective comme un événement météorologique hors du commun, illustrant la puissance et l'imprévisibilité de la nature.

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