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Enquête sur des allégations d'agressions sexuelles à Vancouver

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La franchise des Vancouver Whitecaps fait l'objet d'une enquête de la MLS (© KEYSTONE/AP/DARRYL DYCK)

La Ligue nord-américaine (MLS) a annoncé jeudi avoir lancé une enquête indépendante sur la manière dont les Whitecaps de Vancouver ont géré des allégations d'agression sexuelle.

Ces allégations impliquent deux anciens entraîneurs de l'équipe féminine du club.

La MLS a indiqué avoir engagé les avocates Janice Rubin et Melody Jahanzadeh pour enquêter sur des allégations visant Bob Birarda et Hubert Busby Jr. Birarda fait l'objet d'une procédure pénale au Canada pour plusieurs chefs d'accusation parmi lesquels celui d'agression sexuelle, portant sur une période allant de 1988 à 2008.

L'ancien entraîneur des Vancouver Whitecaps, qui était aussi celui de l'équipe canadienne des moins de 20 ans, avait quitté ses deux fonctions en 2008 d'un "commun accord", après la révélation d'allégations à son endroit.

Une "vieille" affaire

Celles visant Busby ont fait surface dans un article du Guardian le mois dernier. L'ancienne joueuse Malloree Enoch a déclaré au journal anglais que l'ancien coach lui avait fait des avances sexuelles lorsqu'il était à la tête des Whitecaps de 2010 à 2011. Busby a été suspendu de ses fonctions de sélectionneur de l'équipe nationale féminine de Jamaïque cette semaine à la suite de ces allégations.

Vendredi, le directeur général des Whitecaps, Axel Schuster, a présenté ses excuses pour la façon dont le club avait géré les allégations contre Busby il y a dix ans. "Les dirigeants du club avaient été mis au courant à la fin de la saison 2011 et ont rapidement fait appel aux services d'un médiateur indépendant pour superviser une enquête sur cette affaire", a déclaré Schuster. "Nous avons depuis appris que l'enquête n'a pas établi certaines des allégations divulguées cette semaine."

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Trump presse Poutine de trouver un "accord" sur l'Ukraine

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Pour la première fois, Donald Trump a mis clairement la pression sur Vladimir Poutine. (© KEYSTONE/EPA/JIM LO SCALZO / POOL)

Le président américain Donald Trump, tout juste investi lundi, a pour la première fois sommé son homologue russe Vladimir Poutine de trouver un "accord" pour "mettre fin à la guerre" en Ukraine. Sans accord, la Russie risque d'être "détruite", a averti Trump.

Avant de devenir le 47e président des Etats-Unis, le milliardaire républicain a plusieurs fois affirmé qu'il préparait une rencontre au sommet avec le président russe pour "en finir" avec ce conflit, déclenché par l'invasion de l'Ukraine le 24 février 2022.

Alors qu'il retrouvait lundi le bureau ovale pour signer une série de décrets, Donald Trump a réaffirmé devant la presse qu'il "devait parler au président Poutine [...] qui sera très satisfait de mettre fin à cette guerre".

Mais, pour la première fois, il a mis clairement la pression sur le maître du Kremlin en jugeant que la Russie courrait à la catastrophe si elle refusait de négocier un accord de cessez-le-feu ou de paix avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky.

"Zelensky veut un accord"

M. "Zelensky veut passer un accord. Je ne sais pas si Poutine le souhaite, peut-être pas. [Mais] il devrait le faire. Je crois qu'il est en train de détruire la Russie en ne trouvant pas un règlement", a lancé Donald Trump.

De retour à la tête de la première puissance mondiale, Donald Trump avait maintes fois dénoncé en campagne les dizaines de milliards de dollars d'aide militaire et économique déversés à Kiev par le gouvernement américain précédent.

"La Russie court au-devant de gros problèmes. Regardez l'économie, l'inflation", a dit aux journalistes dans le bureau ovale le nouveau président américain, en relevant que Moscou avait tablé en février 2022 sur une "guerre terminée en une semaine et que l'on en est à trois années".

"Je m'entends très bien avec lui [M. Poutine, ndlr] et j'espère qu'il veut passer un accord", a conclu l'ancien homme d'affaires, adepte d'une diplomatie transactionnelle.

Le président russe, de son côté, est "ouvert au contact" avec Donald Trump, sans "conditions" préalables, avait dit il y a dix jours le Kremlin, saluant la volonté de celui qui n'était pas encore président américain en fonction de "résoudre les problèmes par le dialogue".

M. Poutine veut cependant toujours la reddition de l'Ukraine, que celle-ci renonce à rejoindre l'OTAN et que la Russie garde les territoires ukrainiens dont elle a revendiqué l'annexion.

Elu le 5 novembre, Donald Trump avait promis pendant sa campagne de mettre un terme "en 24 heures" au conflit en Ukraine et appelé à un "cessez-le-feu immédiat" et à des pourparlers. Il a reconnu par la suite que le processus pourrait prendre des mois.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Une 7e journée qui promet en Ligue des champions

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Arne Slot espère que ses Reds vont poursuivre sur leur lancée en C1 (© KEYSTONE/EPA/ADAM VAUGHAN)

C'est l'heure de la reprise en Ligue des Champions, et la 7e et avant-dernière journée de la phase de ligue s'annonce cruciale.

Seule équipe à avoir réalisé un carton plein avec 18 points, Liverpool peut valider mathématiquement son ticket pour les 8es de finale mardi soir avec la réception de Lille.

Les Reds mènent le bal avec 3 longueurs d'avance sur le FC Barcelone, qui se déplace au Portugal pour y défier le Benfica de Zeki Amdouni mardi dès 21h également. Un Benfica qui, avec ses 10 points conquis en six matches et son 15e rang provisoire, nourrit encore l'espoir d'éviter la case des barrages.

Monaco et son trio helvétique Köhn/Zakaria/Embolo, qui affichent le même nombre de points que la formation portugaise, jouent également gros mardi dès 18h45. L'ASM accueille l'une des bonnes surprises de la compétition, Aston Villa, qui pointe pour sa part à la 5e place avec 13 unités à son compteur.

Quatrième avec 13 points également, le Bayer Leverkusen de Granit Xhaka se déplace pour sa part à Madrid pour y défier l'Atletico (11e avec 12 points) dans un choc qui promet. Côté suisse, on notera aussi mardi le "derby" entre le Bologne de Freuler et Ndoye (33e, 2 points) et le Borussia Dortmund de Gregor Kobel (9e, 12 points).

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Hockey

Champions League: Une formalité pour le "Z"

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Le GSHC du duo Franzen/Treille aura besoin d'un miracle mardi soir (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Genève-Servette aura besoin d'un miracle mardi soir dès 20h15 à Zurich pour espérer défendre victorieusement son titre en Champions League.

Le GSHC aborde la demi-finale retour avec un handicap de cinq buts dans le derby helvétique qui l'oppose aux Zurich Lions.

Les Genevois s'étaient inclinés 6-1 au match aller mercredi dernier, aux Vernets qui plus est. Les Grenat ne se sont par ailleurs guère rassurés en National League samedi en chutant lourdement sur la glace des Rapperswil-Jona Lakers (7-3).

Champion de Suisse en titre, Zurich a pour sa part maté Lugano 4-1 dans le même temps. Les Lions devraient pouvoir assurer sans trop de difficultés leur qualification pour la finale de cette Champions League. Ils devraient y affronter les Suédois de Färjestad, qui se sont quant à eux imposés 6-2 à Prague en demi-finale aller.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

TikTok: Trump reporte de 75 jours l'application de l'interdiction

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Le réseau social TikTok a été inaccessible pendant quelques heures ce week-end aux Etats-Unis (archives). (© KEYSTONE/AP/Jeff Chiu)

Le président américain Donald Trump a pris lundi un décret ordonnant de suspendre pour 75 jours l'application de la loi interdisant le réseau social TikTok aux Etats-Unis. Cette loi, votée par le congrès en 2024, est entrée en vigueur dimanche.

Elle impose à la maison mère de la plateforme de la vendre sous peine d'interdiction sur le territoire américain. Elle a entraîné l'inaccessibilité au réseau social durant quelques heures ce week-end.

La loi prévoit de très lourdes amendes pour les fournisseurs d'Internet et les boutiques d'application, jusqu'à 5000 dollars par utilisateur pour ces dernières. Ces sanctions seraient infligées par le ministère de la justice, à qui Donald Trump a enjoint de ne pas intervenir durant deux mois et demi, le temps de "consulter [ses] conseillers", selon le texte du décret.

Il entend aussi évaluer les risques que posent TikTok et son actionnaire chinois en matière de sécurité et "déterminer si les mesures déjà prises par TikTok sont suffisantes".

Cession de 50% du capital

Les élus américains avaient justifié le vote de la loi par la nécessité d'empêcher les autorités chinoises d'accéder aux données d'utilisateurs américains ou de manipuler l'opinion aux Etats-Unis.

Lors d'un événement ouvert à la presse à la Maison-Blanche lors duquel il a signé ce décret ainsi que de nombreux autres, le nouveau chef d'Etat a relativisé les risques que pose le réseau social sur le plan de la sécurité nationale.

"Il y a tant de produits qui sont fabriqués en Chine et le seul dont ils se plaignent, c'est TikTok", a déclaré Donald Trump en référence aux élus du congrès. "Soyons honnêtes, nous avons des problèmes plus graves que de voir la Chine récupérer des informations sur de jeunes enfants", utilisateurs de TikTok, a-t-il ajouté.

Plutôt que de trouver un acheteur, hypothèse à laquelle s'est toujours refusée la société ByteDance, le président a proposé, comme il l'avait fait dimanche, que le groupe chinois octroie aux Etats-Unis 50% du capital de TikTok en contrepartie de la non-application de la loi.

Le gouvernement pourrait ensuite attribuer cette participation à des intérêts privés américains, a déclaré le nouveau président.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Les premières annonces-choc de Trump, à peine investi à Washington

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L'un des premiers décrets signés par Donald Trump concerne un nouveau retrait des Etats-Unis de l'accord de Paris sur le climat. (© KEYSTONE/AP/Matt Rourke)

Etat d'urgence à la frontière avec le Mexique, retrait de l'accord de Paris sur le climat et de l'OMS, grâces pour des centaines d'assaillants du Capitole: à peine investi président des Etats-Unis, Donald Trump a signé une pluie de décrets lundi à Washington.

Une partie de ces mesures spectaculaires risque néanmoins d'être difficile à mettre en oeuvre et promet de vives contestations devant les tribunaux. Certaines semblent même violer la constitution américaine.

Offensive anti-immigration

Promise, la vaste offensive anti-immigration de Donald Trump a pris forme dès son discours d'investiture à la mi-journée. "Toutes les entrées illégales seront immédiatement arrêtées et nous commencerons à renvoyer des millions et des millions d'étrangers criminels là d'où ils viennent", a martelé le président républicain.

"Je vais envoyer des troupes à la frontière sud pour repousser l'invasion désastreuse de notre pays". Dans la soirée, il a signé à la Maison-Blanche le décret déclarant l'état d'urgence à la frontière avec le Mexique.

Donald Trump compte aussi s'attaquer au droit d'asile et au droit du sol. Premier effet concret dès lundi: la plateforme de demandes d'asile lancée par l'ancien gouvernement a cessé de fonctionner. "Les rendez-vous existants ont été annulés", indique le service sur son site en ligne.

Climat et OMS

Le retrait des Etats-Unis de l'accord de Paris est en marche: Donald Trump l'a mis en scène en en faisant un de ses premiers décrets signés, sur un bureau installé sur la scène même de la grande salle de Washington dans laquelle quelque 20'000 de ses partisans étaient réunis.

Cette mesure, venant du deuxième plus gros pollueur mondial derrière la Chine, met en péril les efforts mondiaux face au dérèglement climatique. Elle devrait être effective dans un an. Les Etats-Unis avaient déjà quitté brièvement l'accord international sous le premier mandat du milliardaire américain, avant que l'ancien président américain Joe Biden n'acte leur retour.

Donald Trump, notoirement climatosceptique, a également signé un décret déclarant un "état d'urgence énergétique" pour doper la production d'hydrocarbures aux Etats-Unis. "Nous allons forer à tout-va", a-t-il répété, une formule devenue un de ses slogans de campagne ("We will drill, baby, drill").

Autre décret-surprise: le retrait des Etats-Unis de l'Organisation mondiale de la santé (OMS). "L'OMS nous a escroqués", a-t-il lancé, affirmant que la contribution des Etats-Unis à l'organisation internationale est beaucoup plus importante que celle de la Chine.

Canal de Panama

"Nous allons reprendre" le canal de Panama, a lancé encore le nouveau président. Construit par les Etats-Unis, son contrôle a été transféré au Panama en 1999, après un accord conclu en 1977. C'est "un cadeau insensé", a fustigé Donald Trump.

"L'objectif de notre accord et l'esprit de notre traité ont été totalement violés", a-t-il affirmé. "Les navires américains sont gravement surtaxés [...] Et surtout, la Chine exploite le canal de Panama, et nous ne l'avons pas donné à la Chine".

"Le canal appartient et continuera d'appartenir au Panama", lui a répondu le président panaméen José Raul Mulino.

Sur l'autre sujet territorial du moment, le Groenland, dont il souhaite prendre le contrôle, le président américain s'est dit "sûr que le Danemark va se faire à l'idée" que les Etats-Unis en ont "besoin pour la sécurité internationale".

Assaillants du Capitole

M. Trump a également gracié plus de 1500 participants à l'assaut du Capitole le 6 janvier 2021. Pour les quatorze autres personnes condamnées, leur peine est commuée en période de prison déjà purgée.

"Nous espérons qu'ils sortiront cette nuit", a déclaré Donald Trump. Les poursuites encore en cours contre quelques centaines de personnes sont également annulées.

Droits de douane

"Nous imposerons des droits de douane et des taxes aux pays étrangers pour enrichir nos citoyens", a promis le 47e président des Etats-Unis dans son discours d'investiture.

Dans le bureau ovale en soirée, il a précisé en envisager "de l'ordre de 25% sur le Mexique et le Canada". A partir de quand? "Le 1er février", a-t-il estimé. Les plus proches voisins des Etats-Unis sont pourtant théoriquement protégés par un accord de libre-échange signé durant son premier mandat.

Genre

Enfin, le milliardaire républicain veut "mettre fin au délire transgenre", un autre de ses engagements de campagne. "A partir d'aujourd'hui, la politique officielle du gouvernement des Etats-Unis sera de dire qu'il n'y a que deux sexes, masculin et féminin", définis à la naissance, a asséné lundi Donald Trump lors de son investiture à Washington.

"Ces sexes ne sont pas modifiables et sont ancrés dans une réalité fondamentale et incontestable", a complété un décret publié par la Maison-Blanche dans la soirée, texte qui devra être appliqué par toutes les agences fédérales.

"Les fonds fédéraux ne doivent pas être utilisés pour promouvoir l'idéologie de genre", affirme le même décret, qui veut "restaurer la vérité biologique". Un autre texte ordonne la fin de tout programme de diversité et d'inclusion au sein du gouvernement fédéral.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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