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Elections: les Verts confirment leur progression

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Les candidats au Conseil administratif de la Ville de Geneve, de gauche a droite, Alfonso Gomez, Les Verts, Christina Kitsos, Parti socialiste, Sami Kanaan, Parti socialiste, et Frederique Perler, Les Vertsdevant, arrivent vers le centre centralise de depouillement de Uni Mail, lieu a huis clos a cause de la pandemie du coronavirus COVI-19, lors des elections municipales, ce dimanche 15 mars 2020 a Geneve. Les 45 communes genevoises elisent dimanche leurs executifs et leurs deliberatifs. Les resultats definitifs des executifs seront connus dans la journee, mais peut-etre pas ceux des deliberatifs. (KEYSTONE/Salvatore Di Nolfi)

Cinq mois après les élections fédérales, la vague verte se confirme à Genève. Dimanche, lors des élections générales des 45 communes du canton, les Verts ont gagné des sièges.

Au premier tour, les Verts placent un second magistrat au Conseil administratif de la Ville de Genève, selon les résultats anticipés basés sur près de 95% des votants. Le socialiste Sami Kanaan, unique magistrat sortant de la première ville du canton à se représenter, arrive en tête de l'élection à l'exécutif, sans pour autant obtenir la majorité absolue.

Il est suivi par ses trois colistiers, la socialiste Christina Kitsos et les Verts Frédérique Perler et Alfonso Gomez. Le PLR Simon Brandt décroche la cinquième et dernière place. Pour l'heure, il permet à la droite de conserver son unique siège à l'exécutif de la Ville de Genève, détenu jusqu'à présent par le PDC Guillaume Barazzone qui ne se représentait pas à cause de l'affaire des notes de frais.

Alliances élargies?

Les candidats écologistes se réjouissent de la confirmation de la vague verte, qui "ne s'est est pas faite au détriment du PS". Selon Alfonso Gomez, les Verts auraient gagné de nouveaux électeurs. Les quatre candidats en tête souhaitent repartir ensemble au second tour. Une alliance avec l'extrême gauche dépendra de son résultat au délibératif.

Afin de contrer ce bloc, le PLR Simon Brandt appelle à une alliance de la droite élargie pour soutenir sa candidature et celle de la PDC Marie Barbey, qui pointe à la sixième place. Mais le PDC refuse de s'allier avec le MCG et l'UDC. Distancée à la dixième place, la PDC Alia Chaker Mangeat se retire et invite à soutenir sa colistière.

La Vert'libérale Susanne Amsler parvient à la septième place. Elle est suivie par Maria Perez, du Parti du Travail, et Pierre Bayenet, d'Ensemble à Gauche, qui souhaite une alliance élargie de la gauche au second tour. Quant aux MCG Luc Barthassat, ex-conseiller d'Etat PDC, et Daniel Sormanni, ils arrivent en onzième et douzième position.

Les assemblées générales des partis décideront des stratégies pour l'élection au second tour des exécutifs, qui aura lieu le 5 avril. Le délai pour le dépôt des listes est fixé à mardi midi.

Délibératifs plus verts

La vague verte touche aussi le Conseil municipal de la Ville de Genève, où les Verts passent de 8 à 18 sièges, selon les résultats anticipés. Ils deviendraient ainsi le deuxième parti du délibératif - qui compte 80 élus - après le PS (19) et avant le PLR (15), qui conservent leurs sièges. L'autre gagnant de ce scrutin serait l'UDC. Pour l'heure, le parti passe de 6 à 8 sièges.

Le MCG et le PDC perdent chacun 4 de leurs 11 sièges. L'extrême gauche perd aussi 4 sièges. Avec 7,48% des suffrages, Ensemble à Gauche parvient à dépasser le quorum fixé à 7% et à obtenir 6 sièges, tandis que le Parti du travail frôle les 4%. Si ces résultats se confirment, la majorité du Conseil municipal de la Ville de Genève basculera à gauche.

Les Verts estiment avoir plus que doublé leur représentation dans les délibératifs par rapport à 2015. Ils gagnent des sièges dans une quinzaine de communes, dont 10 en Ville de Genève et 4 à Carouge. Souvent alliés au PDC, les Verts'libéraux confirment leur bon résultats des élections fédérales de l'automne en entrant dans les délibératifs de huit communes.

PLR et MCG perdants

Toujours ébranlé par l'affaire Maudet, le PLR continue à perdre des voix. Le premier parti du canton recule dans les délibératifs d'une vingtaine de communes, dont Anières, Chêne-Bougeries, Onex et Prégny-Chambésy. Quant au MCG, il perd une trentaine d'élus et disparaît des délibératifs de Carouge et de Thônex.

Les Verts devraient aussi réussir à décrocher des sièges dans les exécutifs d'autres communes. A Chêne-Bourg, le trio de tête est composé d'un Vert, d'une PLR et d'un PS, au détriment des autres candidats de l'Entente (PLR-PDC). A Versoix, une Verte arrive en seconde position, détrônant un magistrat sortant PLR.

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International

Cadre d'un accord très solide avec la Chine, affirme Trump

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Donald Trump assure qu'il va obliger la Chine à ouvrir l'accès à son marché. (© KEYSTONE/EPA/ALI HAIDER)

"Nous avons le cadre d'un accord très, très solide avec la Chine", a affirmé le président américain Donald Trump sur à la télévision Fox News mardi soir. Les droits de douane prohibitifs que les deux pays s'étaient mutuellement imposés doivent être suspendus mercredi.

"Il est temps pour la Chine de s'ouvrir et cela fait partie de notre accord. Nous allons faire que la Chine s'ouvre. A mon avis, c'est la partie la plus intéressante", a ajouté sans donner de précisions, le président américain, en tournée au Moyen-Orient pour plusieurs jours et interrogé à bord de l'avion Air Force One.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Sport

Soirée cruciale pour le LS et Yverdon

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L'entraîneur du LS Ludovic Magnin, ici lors de la demi-finale de la Coupe de Suisse perdue contre Bâle, retrouvera les Rhénans mercredi à Lausanne en Championnat. (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Les deux matches de l'antépénultième journée de Super League, mercredi soir, vaudront leur pesant de suspense pour les clubs vaudois.

Avant-dernier, Yverdon ira jouer une partie capitale à Zurich contre "la lanterne rouge", GC.

Quant au Lausanne-Sport, il aura une revanche à prendre, à domicile, face à Bâle. Les Rhénans avaient éliminé le LS en demi-finale de la Coupe de Suisse (3-2 ap). Assurés d'être champions, ils ne jetteront peut-être pas toutes leurs forces dans la bataille mercredi soir (20h30) à la Tuilière, face à des Lausanne toujours en course pour accrocher une des trois places restantes donnant accès aux Coupes d'Europe.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Gaza: "Allez-vous agir pour empêcher un génocide?" (ONU)

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Selon le chef des opérations humanitaires de l'ONU, Israël impose délibérément et sans la moindre gêne des conditions inhumaines aux civils de Gaza (archives). (© KEYSTONE/AP/MOHAMMAD ABU SAMRA)

"Allez-vous agir, de façon décisive, pour empêcher un génocide" à Gaza?, a lancé mardi le chef des opérations humanitaires de l'ONU aux membres du Conseil de sécurité. Selon lui, les conditions imposées par Israël dans le territoire palestinien sont "inhumaines".

"Israël impose délibérément et sans la moindre gêne des conditions inhumaines aux civils du territoire palestinien occupé", a décrit Tom Fletcher dans un discours choc et sans concession visant Israël mais aussi le Conseil de sécurité.

"Je peux vous dire, pour avoir visité moi-même ce qui reste du système de santé de Gaza [avant la fin du cessez-le-feu, ndlr] que la mort à cette échelle à un son et une odeur qui ne vous quittent pas, comme une infirmière l'a décrit: 'Des enfants qui crient pendant qu'on arrache le tissu brûlé de leur peau'".

"Nous avons informé ce conseil en détail sur le mal fait de façon extensive aux civils dont nous sommes témoins chaque jour: mort, blessure, destruction, faim, maladie, torture, autres traitements cruels, inhumains ou dégradants, déplacements répétés à large échelle", a-t-il ajouté. "Nous avons décrit l'obstruction délibérée des opérations humanitaires et le démantèlement systématique de la vie des Palestiniens et de ce qu'il en reste à Gaza".

"Pour les morts et ceux dont les voix sont réduites au silence, de quelles preuves supplémentaires avez-vous besoin? Allez-vous agir, de façon décisive, pour empêcher un génocide et assurer le respect du droit humanitaire international ou direz-vous à la place: 'Nous avons fait tout ce que nous avons pu'?".

"Faim" comme "monnaie d'échange"

La Cour internationale de justice est saisie d'une accusation de génocide contre Israël, "mais ce sera trop tard", a-t-il prévenu. "Pour ceux qui ne survivront pas à ce qui, nous le craignons, se profile à la vue de tous, ce ne sera pas une consolation de savoir que les générations futures nous tiendrons nous, dans cette salle, pour responsables", a-t-il encore lancé.

Après 18 mois de guerre entre Israël et le Hamas, provoquée par l'attaque du mouvement palestinien contre Israël le 7 octobre 2023, le premier ministre israélien Benyamin Netanyahou a annoncé que l'armée entrerait "avec toute [sa] force" dans les jours à venir dans la bande de Gaza dévastée et assiégée.

Après deux mois de blocage de l'entrée de l'aide humanitaire, le territoire est confronté "à un risque critique de famine", selon le rapport IPC (cadre Intégré de classification de la sécurité alimentaire), publié lundi.

Dans ce contexte, Tom Fletcher a une nouvelle fois rejeté les propositions pour réautoriser l'entrée de l'aide avancées par Israël depuis quelques semaines et reprises en partie, selon des sources diplomatiques, par le projet américain de création d'une fondation pour prendre en charge cette aide humanitaire.

"Cela fait de la faim une monnaie d'échange. C'est un spectacle cynique, une distraction délibérée, un prétexte pour plus de violence et de déplacements", a-t-il dénoncé.

Principes humanitaires

Le système, dont les détails n'ont pas été rendus publics et au sujet duquel des responsables de l'ONU ont rencontré "12 fois et encore aujourd'hui" les autorités israéliennes, "exclut quasiment de nombreuses personnes y compris handicapés, femmes, enfants, personnes âgées et blessées", a-t-il assuré.

"Nous sommes très inquiets concernant les propositions d'établir un nouveau mécanisme pour la fourniture de l'aide, qui, selon l'ONU, ne respecte pas les principes humanitaires", ont également estimé dans une déclaration commune cinq membres européens du Conseil de sécurité (France, Royaume-Uni, Slovénie, Grèce, Danemark). "L'aide humanitaire ne doit jamais être utilisée comme outil politique ou tactique militaire".

L'ambassadeur israélien à l'ONU, Danny Danon, a rejeté des accusations "sans fondement et scandaleuses" contre son pays.

"L'ONU veut préserver le cadre humanitaire qui sert le Hamas, un système qui nourrit les terroristes pendant que les civils et les otages meurent de faim", a-t-il ajouté.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Sur TF1, Macron réinvestit tous azimuts la politique française

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L'intervention d'Emmanuel Macron sur TF1 a duré plus de trois heures. (© KEYSTONE/EPA/LUDOVIC MARIN / POOL)

Le président français Emmanuel Macron a longuement abordé, mardi sur la chaîne télévisée TF1, de nombreux aspects de la politique française. Il a évoqué des pistes de référendums, tout en défendant âprement son bilan, notamment la réforme des retraites.

Pendant plus de trois heures, répondant au journaliste Gilles Bouleau et à plusieurs intervenants, le chef de l'État a semblé tourner une page mardi soir. Il a esquissé quelques pistes, prônant notamment la tenue "dans les prochaines semaines d'une "conférence sociale".

Le "financement de notre modèle social" repose "beaucoup trop sur le travail", a jugé M. Macron, qui souhaite également l'ouverture d'une "négociation sociale" sur "la qualité" et "l'évolution des formes de travail".

Attendu sur le sujet, Emmanuel Macron a expliqué "ne rien s'interdire" en matière de référendum, sans pour autant annoncer de projet arrêté de consultation des Français.

"Je souhaite qu'on puisse organiser une consultation multiple, c'est-à-dire un référendum, plusieurs référendums dans les mois qui viennent", a-t-il précisé, évoquant notamment la question des temps scolaires ou encore celle de l'accès aux réseaux sociaux pour les moins de quinze ans.

Politique fiscale et retraites

Interrogé sur la fin de vie, après un témoignage de l'ancien journaliste Charles Biétry atteint de la maladie de Charcot, il a dit souhaiter que la loi en cours d'examen "soit votée" au Parlement. Mais sans exclure d'en appeler aux Français en cas de désaccord entre les deux chambres.

Il a également répondu "pourquoi pas" à l'idée de référendum sur les finances publiques prônée par François Bayrou, dont il attend cependant encore "le plan". Il a en revanche rejeté l'hypothèse d'un référendum sur les questions d'immigration, hors cadre de la constitution, malgré les demandes répétées de la droite et de l'extrême droite.

Pour le reste, le président a longuement défendu son bilan économique et social, de sa politique fiscale menée dès 2017 à la réforme des retraites adoptée sans vote par l'article 49.3, un an après sa réélection. Pas question pour lui d'accepter un référendum sur cette réforme, comme le lui a suggéré la secrétaire générale du syndicat CGT, Sophie Binet.

Insécurité et immigration

M. Macron a rappelé avoir été réélu en prônant une réforme des retraites. "En face de vous, vous aviez l'extrême droite. Même moi j'ai voté pour vous", lui a rétorqué Mme Binet.

Confronté au maire de Béziers Robert Ménard sur les questions d'insécurité et d'immigration, M. Macron a dit vouloir une loi étendant les pouvoirs des polices municipales.

Il s'est également dit favorable à une participation des détenus à leurs frais de détention, idée défendue par le garde des Sceaux Gérald Darmanin, et à la location, "si besoin était", de places de prison à l'étranger. Tout comme il a opiné en faveur de l'interdiction des mariages si un futur époux réside de façon irrégulière en France.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Microsoft restructure, milliers de licenciements

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Moins de 6000 personnes sont touchées par les coupes, selon Microsoft (image prétexte). (© KEYSTONE/AP/Jason Redmond)

Microsoft va procéder à une nouvelle vague de licenciements, dans le but notamment de simplifier sa structure hiérarchique, a indiqué mardi l'entreprise à l'AFP.

Le groupe n'a pas précisé le nombre d'employés affectés. Une source proche du dossier a indiqué que ce plan social portait sur "moins de 3%" des effectifs du groupe, soit environ 6000 personnes. Microsoft comptait 228'000 employés à la clôture de son exercice comptable décalé, fin juin 2024.

"Même lorsque la conjoncture est favorable, nous ajustons régulièrement nos effectifs pour faire face aux exigences stratégiques de notre activité", a expliqué la société. Un avis légal envoyé aux autorités de l'Etat du Washington, où se trouve le siège de Microsoft, mentionne la disparition prévue de 1985 postes à partir du 12 juillet.

Ce chiffre ne comprend pas les licenciements concernant d'autres régions américaines ou d'autres pays d'implantation du groupe. "Nous gagnons en agilité en réduisant les échelons" hiérarchiques, a précisé Microsoft qui, selon plusieurs médias, s'était déjà séparé d'environ 2000 salariés depuis le début de l'année.

"Nouvelles technologies"

Début 2023, l'entreprise de Redmond (Etat du Washington) avait licencié environ 10'000 personnes, une décision présentée comme un contrecoup à l'accélération des dépenses informatiques lors de la pandémie de coronavirus.

"Nous continuons à effectuer des changements organisationnels afin de positionner au mieux la société pour réussir sur un marché en mouvement", a dit une porte-parole. Le directeur général Satya Nadella a révélé fin avril, lors d'un échange public avec le PDG de Meta Mark Zuckerberg, que 20% à 30% du code informatique produit par Microsoft était désormais généré par l'IA.

"Nous allons permettre aux employés de passer plus de temps à des tâches utiles grâce au déploiement de nouvelles technologies et fonctionnalités", a décrit Microsoft, mardi. Le conglomérat informatique, présent dans les logiciels mais aussi l'informatique à distance et les équipements, a publié, fin avril, des résultats supérieurs aux attentes et a assuré que la demande de services et de capacités liés à l'IA était toujours soutenue.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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