La hausse du taux d'intérêt de référence, qui va entraîner une augmentation des loyers, est une "nouvelle désastreuse pour les plus pauvres", alerte Caritas. Elle s'ajoute à l'inflation et à une forte augmentation des primes d'assurance maladie, rappelle-t-elle.
Pour une famille de quatre personnes avec deux jeunes enfants dont le loyer précédent était de 1800 francs, le surcoût sera de "136 francs par mois rien que pour le logement", déclare Andreas Lustenberger, membre de la direction de Caritas dans un entretien diffusé vendredi dans les journaux alémaniques du groupe de presse Tamedia.
A cela s'ajoutent la hausse des prix des denrées alimentaires et la forte augmentation des primes d'assurance maladie, ajoute-t-il, pointant, pour ces dernières, une nouvelle hausse importante qui se dessine pour l'année prochaine. "On peut parler d'une crise multiple pour les personnes à bas revenus".
"Cela ne peut plus être supporté"
La pandémie de Covid-19 avait déjà montré qu'un cinquième des Suisses n'avaient pas 2500 francs d'épargne, poursuit M. Lustenberger. "Maintenant, nous sommes quelques crises plus loin et cela ne peut plus être supporté".
Les épiceries Caritas ont enregistré durant les trois premiers mois de l'année un chiffre d'affaires 40% supérieur à celui de la même période de 2022, note le responsable. Il conseille aux locataires de vérifier si une augmentation de loyer est justifiée.
Caritas propose à court terme "des prestations complémentaires pour les personnes en situation précaire", poursuit M. Lustenberger, mais à moyen terme, le monde politique "devrait veiller à ce qu'il y ait plus de logements abordables".
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Boumald
7 février 2018 à 13 h 40 min
Bonjour ,je tiens Remercié radio lac et Aurélie selli pour son émission ,cette souffrance touche de plus en plus des parents et les enfants suite au comportement et de l'incompétence de certains assistants et services de protection de l'enfance qui agissent souvent comme des pompiers pyromanes , trop d'abus , trop de négligence, copinages....,c'est pour cela j'ai décidé de organiser cette marche pour nos enfants pour dénoncer à les autorités et pour leur ouvrir les yeux car eux aussi sont victimes de la confiance qui ont mis dans ce service qui prétend etre la pour le bien des enfants,merci encore pour vous efforts et intérêt a notre souffrance . Boumald Jamal , organisateur de la marche de l'espoir , touche pas à mon enfant -ch ,0788677810
Franc
14 mars 2018 à 16 h 56 min
Les Juges n'ont pas évolué depuis toujours et on en est encore au schéma classique: la mère au foyer et le père y ramène l'argent. Nos Juges doivent probablement tous encore avoir un complexe d'œdipe vis à vis de leur propre mère (pas étonnant puisque le rôle éducatif du père est totalement ignoré et inconnu dans ce pays).
En fait, plus le père essaie de valider (et défendre) sa place auprès et avec ses enfants, plus la Justice le détruit par tous les moyens les plus retords et les plus sournois.
Pas de garde alternée si le couple parental ne s'entend pas ==> donc les mères font tout (et leurs avocats les y encouragent à dessein) pour que l'entente se dégrade; elles refusent la médiation, font du chantage aux sentiments sur les enfants ou les aliènent contre leur père, etc....(plus le conflit s'éternise plus c'est rentable pour les avocats, pédopsy, assistants sociaux, etc).
Autorité parentale partagée ==> à quoi ça sert si le père ne voit ses enfants que 4 jours par mois (moins que leurs enseignants !).
Et lorsque le père est irréprochable (ici, les Juges donnent aux mères, toutes puissantes, le bon Dieu sans confession !!), le dernier recours des avocats est de suspecter le père d'avoir un comportement " pédophile" (par définition, un père est suspect dès lors qu'il souhaite vivre le quotidien de ses enfants plus que le minimum habituel !). Et même si aucun soupçon de preuve n'existe, le mot est lancé, la rumeur se diffuse et cela suffit à alerter les services de l'enfance et de la jeunesse qui viennent se mêler, à vitesse grand V, de l'affaire.
A ce stade, le père est étiqueté et il perd tous ses droits, sauf celui de payer et de se taire, c'est tout. L'affaire est réglée.
Tel est la pratique de notre système sordide et pervers des jugements de divorce en Suisse. (en résumé: le père doit acheter un droit de visite pour voir ses propres enfants et la mère doit retrouver le même niveau de vie avec les enfants que pendant le mariage; le comble de l'ironie !!).
Sauf que dans tous ces drames, ce sont les enfants qui souffrent le plus de ces situations, avec les conséquences délétères sur leur développement psychique et social (mais comme le rôle du père dans le développement de l'enfant est inconnu en Suisse, malgré toutes les études faites hors frontières à ce sujet, les Juges préfèrent jouer à l'autruche, tête dans le sable).
Et que l'on ne vienne pas me dire que tout est fait, pensé pour le bien "supérieur" de l'enfant, ce serait le summum de la malhonnêteté et de l'hypocrisie. — exaspéré.
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