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Des familles de membres de l'EI se sont échappées d'un camp

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Au moins 26 civils ont été tués dimanche dans le nord syrien par des bombardements et des tirs des forces turques ou leurs supplétifs syriens. (©KEYSTONE/AP/BADERKHAN AHMAD)

Les forces turques et leurs supplétifs syriens progressent malgré la résistance des forces kurdes dans le nord de la Syrie. Des familles de membres du groupe djihadiste Etat islamique (EI) ont fui dimanche un camp situé à proximité des combats.

Les combats faisaient rage au cinquième jour d'une offensive d'Ankara qui a provoqué un tollé international. Au moins 26 civils ont été tués dimanche dans le nord syrien par des bombardements et des tirs des forces turques ou leurs supplétifs syriens, engagés dans une offensive contre une milice kurde, a rapporté une ONG dans un nouveau bilan.

Dans la localité frontalière de Ras al-Aïn, au moins dix civils ont péri dans une attaque de l'aviation turque qui a touché un convoi de civils et des journalistes, d'après l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).

Un journaliste tué

"Nous étions dans le convoi de civils kurdes pris pour cible par les forces turques ou leurs alliés à Ras Al Aïn. Notre équipe va bien, mais des confrères sont morts", a annoncé sur son compte Twitter une journaliste de France Télévisions, Stéphanie Perez, sans donner plus de précisions. L'OSDH a rapporté la mort "d'un journaliste", mais il n'était pas en mesure de donner son identité ou sa nationalité.

La Turquie et des supplétifs syriens ont lancé mercredi une offensive dans le nord de la Syrie pour éloigner de sa frontière la milice kurde des Unités de protection du peuple (YPG), considérée comme une organisation "terroriste" par Ankara.

En cinq jours, au moins 104 combattants kurdes ainsi qu'une soixantaine de civils ont été tués dans les violences, selon un dernier bilan de l'OSDH. Les violences ont provoqué la fuite de 130'000 personnes, d'après l'ONU.

Le ministère turc de la Défense a maintes fois répété que toutes les mesures nécessaires étaient prises dans le cadre de son opération pour éviter les pertes civiles.

Combats à Ras al-Aïn

Dimanche, les combats se concentrent sur une bande allant des villes de Ras al-Aïn à Tal Abyad tenues par les forces kurdes. Près de Tal Abyad, les forces turques et les supplétifs syriens ont conquis la localité de Suluk ainsi que la ville frontalière de Tal Abyad, d'après l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).

Tal Abyad est la plus grande ville conquise jusqu'à présent par les forces turques depuis le début de leur offensive mercredi, a précisé l'Observatoire, ajoutant que la seule cible majeure qui reste à prendre dans la phase initiale de l'assaut, est la ville de Ras al-Aïn.

Sur le front de Ras al-Aïn, plus à l'est, les forces kurdes ont fait reculer les militaires turcs et les combats se poursuivent à la périphérie de la ville, a indiqué l'OSDH. Un responsable des FDS à Ras al-Aïn a affirmé que ses forces avaient utilisé "des tunnels souterrains" pour prendre l'assaillant par surprise.

Face à la résistance des combattants kurdes, les forces turques progressent lentement. Elles ont pris au total depuis mercredi 36 villages aux Kurdes, mais n'ont pas encore conquis de villes majeures, selon l'OSDH.

Selon le Bureau de coordination des affaires humanitaires de l'ONU (Ocha), "des déplacements significatifs continuent d'être rapportés autour de Tal Abyad et Ras al-Aïn". Ces déplacés ont été installés dans des écoles transformées en abri dans des zones relativement épargnées par les violences.

Dimanche, "plus d'une centaine de personnes, des femmes et des enfants", ont fui le camp de déplacés de Aïn Issa, situé à proximité des combats, a indiqué un responsable du camp. Des "bombardements ont visé" le camp, selon les autorités kurdes. L'OSDH a confirmé qu'"environ une centaine" de femmes "étrangères" et d'enfants des familles de l'EI ont pris la fuite, sans autre précision.

La France est "inquiète" après la fuite annoncée de 800 proches de djihadistes étrangers d'un camp et appelle une nouvelle fois Ankara à mettre fin "au plus vite" à son offensive contre les Kurdes, a déclaré dimanche la porte-parole du gouvernement français.

La chancelière allemande Angela Merkel a enjoint dimanche au président turc Recep Tayyip Erdogan d'immédiatement faire cesser l'offensive dans le nord de la Syrie, mettant en garde contre une plus grande instabilité de la région et la résurgence du groupe Etat islamique (EI).

Source: ATS

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International

Du givre trouble la vision du télescope spatial européen Euclid

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Euclid avait entre autres permis de capturer en novembre dernier cette image de la galaxie IC 342, située à plus de 11 millions d'années-lumière de la nôtre. (© KEYSTONE/AP European Space Agency)

Un givre envahissant trouble la vision du télescope spatial européen Euclid, surnommé par les chercheurs "détective de l'Univers sombre." Des scientifiques ont commencé des opérations pour tenter d'éliminer cette fine couche de glace... avec un peu de chauffage.

C'est le dernier souci technique en date pour cette mission de six ans, lancée en juillet 2023 pour dresser une carte des étoiles et galaxies couvrant le tiers du ciel observable. Grâce à celle-ci, les scientifiques espèrent en apprendre plus sur la nature de l'énergie sombre et de la matière noire, deux entités encore jamais observées et censées constituer 95% de l'Univers.

Dès novembre dernier, les équipes au sol ont remarqué qu'un instrument du télescope, qui restitue des images en lumière visible, recevait moins de lumière que prévu, a expliqué à l'AFP un responsable des opérations de l'instrument, Ralf Kohley. L'observation de certaines étoiles a révélé qu'elles apparaissaient moins brillantes qu'elles devaient l'être. Une impossibilité pour des astres dont la stabilité se compte en millions d'années.

L'épaisseur d'un brin d'ADN

L'ESA pense que ce "gros problème" de vision, selon le scientifique, vient d'une fine couche de glace, de l'épaisseur d'un brin d'ADN, qui s'accumule sur l'optique de l'imageur. Tous les instruments envoyés dans l'espace emportent avec eux des quantités infimes de vapeur d'eau, qui givrent dans le froid spatial. Les scientifiques pensent qu'une quantité substantielle de vapeur d'eau s'est logée dans les couches de matériaux isolant de l'appareil.

Peu après le lancement d'Euclid, les scientifiques l'ont partiellement exposé aux rayons solaires. Et ont surtout activé des radiateurs embarqués, censés chauffer le télescope pour le débarrasser d'éventuelles traces d'eau. Cette opération pourrait être renouvelée, mais elle n'est pas sans inconvénients. "Tout chauffer va beaucoup perturber la mission", explique Ralf Kohley. La chaleur, en dilatant les matériaux, imposerait un recalibrage de tout le télescope d'au moins un mois.

C'est pourquoi l'ESA a commencé un chauffage la semaine dernière de deux des trois miroirs du télescope. Prévu jusqu'au 21 mars, son résultat ne sera pas connu avant la mi-avril, selon M. Kohley. En cas d'échec il restera la solution du chauffage de l'ensemble du télescope Euclid, en le faisant passer de -140 degrés Celsius à -3 degrés.

Perte de six mois d'observations

Une partie du problème vient du fait que les scientifiques ne savent pas exactement où la couche de givre s'accumule, ni même sa quantité exacte.

Et même si l'opération de chauffage s'avérait un succès, rien ne garantit que des molécules d'eau ne givrent pas à nouveau sur un des miroirs du télescope, avertit M. Kohley. Auquel cas Euclid serait soumis à un chauffage complet annuel, qui retirerait au final six mois d'observations sur les six années de la mission. Ce scénario reste à ce stade "purement spéculatif", indique le scientifique, qui espère toujours possible de "se débarrasser de ce problème d'une façon plus élégante".

Euclid a connu son lot de déboires depuis son lancement. Avec d'abord l'influence de rayons cosmiques, par définition impossibles à prévoir ni éviter, qui ont perturbé le système de guidage du vaisseau spatial. Et imposé une mise à jour compliquée de son système informatique.

Une lumière solaire parasite a aussi interféré avec ses observations. Ce problème a été réglé avec une petite rotation du télescope.

Le télescope a officiellement démarré ses observations scientifiques en février, après avoir livré de premières images époustouflantes en novembre de galaxies situées dans les profondeurs du cosmos.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Négociations au Qatar, opération israélienne contre un hôpital

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Des Palestiniens recherchent des disparus dans les décombres d'une maison bombardée par Israël dans le camp de réfugiés d'Al Nusairat, dans le sud de la bande de Gaza. (© KEYSTONE/EPA/MOHAMMED SABER)

Les efforts des médiateurs s'intensifient mardi pour parvenir à une trêve dans la bande de Gaza, devenue un "cimetière à ciel ouvert". Israël mène dans ce contexte une opération dans le plus grand complexe hospitalier du territoire palestinien.

Plus de cinq mois après le début de la guerre entre Israël et le mouvement islamiste palestinien, ONG et agences de l'ONU continuent de tirer la sonnette d'alarme sur le risque de famine dans le territoire assiégé, devenu un "cimetière à ciel ouvert" selon le chef de la diplomatie européenne, Josep Borrell.

Le ministère de la santé du Hamas a fait état mardi de 78 morts dans la soirée et la nuit dans les opérations israéliennes à travers la bande de Gaza, parmi lesquels 15 personnes incluant des femmes et des enfants, à Rafah, dans l'extrême sud du territoire.

Du sang déjà au réveil

Dans cette ville, des Palestiniens se recueillaient mardi à l'hôpital al-Najjar sur les corps de leurs proches tués dans une frappe israélienne.

"Lors du mois sacré (du ramadan), les musulmans se réveillent le matin avec le repas du sohour. Nous, le sohour c'est du sang", a lancé en pleurs Ibrahim Jarghun, un habitant de Gaza.

Hôpital visé

Dans le nord du territoire, l'armée israélienne poursuit par ailleurs mardi, pour la deuxième journée, des "opérations précises pour contrecarrer le terrorisme" dans le complexe hospitalier Al-Chifa de Gaza-Ville.

Elle a dit avoir tué "plus de 50 terroristes" et arrêté "approximativement 180 suspects". Des combats accompagnés de bombardements aériens ont eu lieu autour et dans le complexe, que l'armée avait pris d'assaut le 15 novembre avant de s'en retirer.

Le ministère de la Santé du Hamas a fait état mardi de "dizaines de martyrs et blessés" aux abords de l'hôpital et ailleurs dans le quartier Al-Rimal et celui d'Al-Nasr, sans donner de chiffres précis.

Depuis le début de la guerre, les hôpitaux de Gaza sont souvent pris pour cible par l'armée qui accuse le Hamas d'utiliser les civils comme boucliers humains.

Près de 32'000 morts

Le 7 octobre, des commandos du Hamas infiltrés depuis Gaza ont mené une attaque dans le sud d'Israël, qui a entraîné la mort d'au moins 1160 personnes, selon un décompte de l'AFP établi à partir de sources officielles israéliennes. D'après Israël, environ 250 personnes ont été enlevées et 130 d'entre elles sont toujours otages à Gaza, dont 33 seraient mortes.

En représailles, Israël a promis d'anéantir le mouvement islamiste palestinien, au pouvoir à Gaza depuis 2007. Son armée a lancé une campagne aérienne massive, suivie le 27 octobre d'une offensive terrestre qui lui a permis d'avancer du nord au sud du petit territoire côtier et a coûté la vie à 251 soldats, selon un dernier bilan mardi.

Ces opérations militaires ont fait jusqu'à présent 31'819 morts à Gaza, en majorité des civils, selon le ministère de la Santé du Hamas.

Efforts de médiation infructueux

Après des mois d'efforts infructueux des médiateurs - Etats-Unis, Qatar et Egypte - pour parvenir à une trêve, le chef des services de renseignement israélien David Barnea s'est rendu lundi à Doha pour y rencontrer, selon une source proche des négociations, le Premier ministre qatari, Mohammed ben Abdelrahman Al-Thani, et des responsables égyptiens.

M. Barnea a quitté Doha mardi mais des "équipes techniques" continuent de discuter des détails d'un éventuel accord sur un cessez-le-feu et la libération des otages, a indiqué le porte-parole du ministère des Affaires étrangères du Qatar, Majed al-Ansari, se déclarant "prudemment optimiste".

Nouvelle tournée de Blinken

Dans le même temps, le chef de la diplomatie américaine, Antony Blinken doit entamer mercredi une nouvelle tournée régionale, en Egypte puis en Arabie saoudite, dans le cadre des efforts pour parvenir à un cessez-le-feu à Gaza et y augmenter l'aide humanitaire.

Dans un entretien téléphonique avec le président américain, Joe Biden, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a réaffirmé lundi être déterminé à "atteindre tous les objectifs de la guerre" à Gaza incluant "l'élimination du Hamas".

En dépit des pressions internationales, Israël se prépare à une opération terrestre à Rafah où s'entassent selon l'ONU près de 1,5 million de Palestiniens, pour la plupart des déplacés.

Blocage de l'aide, possible crime de guerre

Le président Biden, qui s'est dit "profondément inquiet" à cette perspective, a demandé l'envoi à Washington d'une délégation israélienne pour discuter "des façons de cibler le Hamas sans mener une vaste offensive terrestre à Rafah".

Israël a imposé un siège total à la bande de Gaza depuis le début de la guerre et contrôle l'entrée de l'aide humanitaire. Cette aide arrive principalement depuis l'Egypte via Rafah, mais reste très insuffisante face aux besoins immenses de la population. Elle parvient très difficilement dans le nord.

Les sévères restrictions imposées par Israël à l'entrée de l'aide et la possible utilisation de la faim comme arme pourraient "constituer un crime de guerre", a affirmé l'ONU mardi.

Un habitant sur deux à Gaza, soit plus de 1,1 million de personnes, connaît une situation alimentaire "catastrophique", en particulier dans le nord, ont prévenu lundi des agences de l'ONU, le patron de l'Organisation mondiale de la Santé, Tedros Adhanom Ghebreyesus, évoquant une "famine imminente".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Prison pour exhibition sexuelle sur le Web: première en Angleterre

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Cette condamnation est une première en Angleterre et au Pays de Galles, où une loi faisant de ce type d'exhibition sexuelle sur internet une infraction a été adoptée en janvier. (© KEYSTONE/DPA Deutsche Presse-Agentur GmbH/FABIAN SOMMER)

Un homme a été condamné mardi par la justice britannique à 15 mois de prison pour avoir envoyé sur WhatsApp une photo de son pénis à deux femmes, dont une mineure de 15 ans.

Cette condamnation est une première en Angleterre et au Pays de Galles, où une loi faisant de ce type d'exhibition sexuelle sur internet une infraction a été adoptée en janvier.

Un homme de 39 ans qui avait déjà été condamné pour des délits sexuels a été placé en détention mardi, après le jugement rendu par le tribunal de Southend, dans l'Est de l'Angleterre. Il devra rester en prison 66 semaines, soit plus de 15 mois.

Le 9 février, il a envoyé une photo de son pénis en érection à une adolescente de 15 ans et à une femme majeure. Cette dernière a fait une capture d'écran, qu'elle a ensuite présentée à la police.

Lors d'une précédente audience, l'homme a plaidé coupable d'avoir envoyé une photographie de parties génitales dans le but de provoquer inquiétude, détresse ou humiliation.

Il était déjà inscrit au registre des délinquants sexuels après avoir été reconnu coupable l'an dernier d'activité sexuelle avec un mineur de moins de 16 ans et d'exhibition.

La nouvelle infraction sur l'exhibition sur internet vise des personnes envoyant des images sexuelles non sollicitée, en particulier des photos de parties génitales, sur les réseaux sociaux, les applications de rencontre ou en Bluetooth.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Suisse

Holcim se renforce en Suisse avec le rachat de Cand-Landi

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L'opération porte les effectifs en Suisse de Holcîm à plus de 600 collaborateurs (archives). (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

Le béhémoth des matériaux de construction Holcim étoffe sensiblement sa présence sur son marché d'origine en rachetant son modeste homologue du nord-vaudois Cand-Landi et ses 250 emplois.

L'opération doit en effet porter les effectifs en Suisse de la multinationale zougoise à plus de 600 collaborateurs, répartis sur une trentaine de sites.

Le rachat "constitue la suite logique d'une collaboration de longue date et assure la pérennité de notre entreprise", explique Antoine Maillard, président du conseil de Cand-Landi, cité dans le communiqué diffusé mardi. La publication fait en revanche l'impasse sur toute considération financière autour de cette transaction.

Sous réserve de l'approbation réglementaire usuelle, Cand-Landi continuera d'opérer sous sa raison sociale actuelle en tant que filiale de Holcim. La société, fondée il y a plus de 125 ans, est active dans les domaines du terrassement, des matériaux, de la logistique, de la canalisation et du recyclage.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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International

Nombreux records d'indicateurs climatiques battus l'année dernière

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La secrétaire générale de l'Organisation météorologique mondiale (OMM) Celeste Saulo a lancé une "alerte rouge" sur le climat depuis Genève (archives). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

La température moyenne n'est pas le seul record battu l'an dernier. Du recul des glaciers à la chaleur à la surface des océans en passant par la montée des eaux ou les gaz à effet de serre, des indicateurs ont atteint des plus hauts, a annoncé l'ONU mardi à Genève.

C'est "du jamais vu", a estimé l'Organisation météorologique mondiale (OMM) dans un rapport. Dès avril, la température à la surface des mers a atteint des records chaque mois, surtout l'été. Plus de 90% des océans ont fait face à des vagues de chaleur à un moment donné l'année dernière. Les glaciers ont reculé d'environ 10%, notamment en Suisse.

Le volume de l'Antarctique a atteint un plus bas en plus de 40 ans en février 2023, puis un volume inférieur à d'habitude sur la période de juin à novembre. Sans atteindre un record, l'Arctique était aussi en dessous de la normale.

Et les concentrations des trois principaux gaz à effet de serre étaient en 2022 les plus importantes jamais observées. Plusieurs stations d'évaluation montrent une nouvelle augmentation l'année dernière, dit l'OMM.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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