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Deal de rue: la stratégie du gouvernement a les faveurs des députés

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La lutte contre le deal de rue et le renforcement des moyens policiers notamment ont été discutés mardi au Grand Conseil (archives). (© Keystone/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Le Grand Conseil vaudois a entamé mardi la problématique du deal de rue. Hormis des voix à gauche, les élus se sont montrés favorables au projet de loi du Conseil d'Etat visant à intensifier et mieux coordonner sa lutte contre la consommation et le trafic de drogues.

Le projet du gouvernement répond à dix interventions parlementaires. Il prône une stratégie globale et transversale contre le deal de rue axée sur la prévention, le sociosanitaire et la formation pour accompagner le volet répressif, avec comme maître-mot, la pluridisciplinarité. Le canton veut mettre davantage l'accent sur la demande, soit la consommation, tout en continuant à agir sur l'offre, soit la vente et le trafic de drogue.

Interdiction de périmètre critiquée

Dans l'ensemble, l'hémicycle a salué un projet reposant sur les quatre piliers de la stratégie nationale (prévention, traitement, réduction des risques et répression), à l'instar du PLR et de l'UDC. "Il était temps. Enfin des mesures concrètes (...). Il n'y a pas de prévention sans répression", a lancé le chef de groupe UDC Yvan Pahud.

Le Parti socialiste a lui souligné l'importance d'une approche systémique qui vise autant les trafiquants que les consommateurs, afin de lutter contre un milieu qui s'est "diversifié et banalisé", a dit son chef de groupe Jean Tschopp.

C'est la question de l'interdiction de périmètre pour les trafiquants arrêtés afin de réduire leur présence dans l'espace public qui a fait le plus discussion et nécessitera un deuxième débat la semaine prochaine. Cette interdiction sera d'abord signifiée verbalement pour 24h puis, si elle n'est pas respectée, par écrit jusqu'à trois mois au maximum, avant une dénonciation et une amende.

"Un joli principe, mais qui manque d'efficience", a résumé l'écologiste David Raedler. "Le trafic ne fera que se déplacer, il sera plus difficile de suivre les trafiquants et il y aura une perte de contrôle sur les autres mesures de la loi", a-t-il énuméré, citant les professionnels du milieu.

Article ambigu

La gauche radicale a pour sa part critiqué un article où la notion des mesures d'éloignement est "trop vague et trop floue", et qui pourrait ainsi ne pas cibler uniquement le deal de rue.

Les députés EP Vincent Keller et Hadrien Buclin se sont inquiétés de cette ambiguïté, notamment des termes "trouble à l'ordre public" et "importuner des tiers". Ils craignent que cet article puisse aussi s'appliquer à des manifestants, des musiciens de rue voire des enfants qui jouent au foot dans l'espace public. Il y a un risque "de dérives sécuritaires", selon l'un, et "que la police utilise ces mesures d'éloignement de manière indistincte", selon l'autre.

Le conseil d'Etat en charge de la sécurité Vassilis Venizelos a tenu à les rassurer. "Cette interdiction de périmètres est un nouvel outil, une possibilité supplémentaire, contre les trafiquants de drogue. Elle sera mise en oeuvre de manières proportionnée et nuancée", a-t-il promis. "Le but n'est pas d'engorger les tribunaux". "Cette nouvelle mesure ne va pas régler de manière catégorique et définitive le deal de rue mais l'apaiser", a-t-il dit.

Coût de 10 millions sur cinq ans

La nouvelle politique publique du cantron de Vaud de lutte contre le deal de rue s'inspire d'expériences dans d'autres cantons, notamment Berne et Zurich. Le coût total de la douzaine de mesures de ce plan d'action prévu sur cinq ans (2022-2026) s'élève à 10 millions de francs (2 millions par an). Ce programme compte par exemple renforcer la prévention en milieu scolaire.

Parmi d'autres mesures phares, il y a un dispositif de surveillance du marché des stupéfiants. Il s'agit d'un projet-pilote d'analyse des substances des drogues (qualité, composition, coupage, etc.) pour évaluer leur dangerosité et informer sur les risques.

L'idée est de cibler des lieux de fêtes - festivals, rave-party, etc - afin de proposer aux consommateurs d'analyser sur place les produits qu'ils s'apprêtent à utiliser avec un "laboratoire de poche" composé d'une lampe de poche haute technologie connectée à une tablette de la taille d'un smartphone (appareil "NIRLab").

Le marché vaudois de la drogue est particulièrement lucratif. Son chiffre d'affaires annuel se monte à 80 millions de francs en moyenne, pour quelque 40 millions de bénéfice. Quelque 3,5 à 5 tonnes de cannabis sont consommées chaque année par 25'000 à 35'000 individus. La cocaïne suit avec 500 kilos par an (14'000 consommateurs) et l'héroïne avec 200 kilos par an (2000 consommateurs).

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Sport

Un succès très précieux pour Ambri-Piotta

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Dominik Kubalik (au premier plan) affole la défense du HC Davos. (© KEYSTONE/JUERGEN STAIGER)

Quatrième match face à Davos et quatrième succès pour Ambri-Piotta. Victorieux 2-0 aux Grisons, les Tessinois ont réussi une superbe opération.

Ces trois points leur donnent un peu d'air dans la lutte pour une place en play-in. Et leur permettent de faire le plein de confiance avant de croiser le fer à Genève vendredi dans une rencontre qui vaudra vraiment son pesant d'or.

Face à un adversaire privé de son attaquant Enzo Covi pour la fin de la saison et qui a dû déplorer la sortie au deuxième tiers de son gardien Sandro Aeschilmann blessé à un pouce après un choc involontaire avec Chris DiDomenico, Ambri a cueilli une victoire qui ne souffre aucune discussion. Elle a été acquise sur une déviation de Manix Landry et sur une réussite de Tim Heed à 5 contre 4.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Scandale d'abus sexuels: Bayrou échappe à une motion de censure

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François Bayrou, 73 ans, ancien candidat centriste à la présidentielle et figure récurrente de la politique française, a été ministre de l'Education entre 1993 et 1997 (archives). (© KEYSTONE/AP/Aurelien Morissard)

Le Premier ministre français François Bayrou a échappé mercredi à une nouvelle motion de censure au Parlement. Mais il reste fragilisé par une affaire de pédocriminalité il y a des décennies dans une école catholique, sur laquelle l'opposition l'accuse d'avoir menti.

L'Assemblée nationale a sans surprise rejeté mercredi soir la motion de censure déposée par les députés socialistes, qui visait à protester contre un gouvernement ayant "cédé aux passions tristes de l'extrême droite". Mais elle n'a recueilli que 181 votes pour, loin des 289 voix nécessaires pour le renverser, le parti d'extrême droite Rassemblement national (RN) ayant fait savoir qu'il ne soutiendrait pas cette motion.

Le texte évoquait l'affaire de violences dans une école du sud-ouest de la France, Notre-Dame-de-Bétharram, dans laquelle plusieurs de ses enfants ont été scolarisés, estimant que le "Premier ministre ne peut se soustraire aux interrogations légitimes des victimes et de leurs proches, de la représentation nationale et de la presse".

"Bétharram", institution catholique presque bicentenaire avec son pensionnat à la réputation "stricte", est au coeur d'une vaste enquête sur des violences, agressions sexuelles et viols sur des enfants.

Garde à vue

Le même jour, le parquet a annoncé la garde à vue de trois hommes suspectés de "viols aggravés, agressions sexuelles aggravées et/ou violences aggravées" dans le cadre de cette enquête.

A Bétharram, les châtiments corporels - gifles, violences, adolescents laissés en sous-vêtements en plein hiver par punition, étaient très fréquents, selon plusieurs avocats et témoins interrogés par l'AFP.

A ce climat de "violence gratuite" s'est greffé au sein du pensionnat "un système de prédateurs" longtemps tu, selon Alain Esquerre, porte-parole des victimes.

Parmi les récits des victimes, âgées de huit à 13 ans à l'époque des faits: des masturbations et fellations imposées ou subies plusieurs fois par semaine, des châtiments corporels, menaces et humiliations.

Au total, 112 plaintes ont été déposées auprès du parquet, qui a ouvert une enquête l'année dernière pour des violences, agressions sexuelles et viols commis essentiellement entre les années 1970 et 1990.

"Jamais informé"

Or François Bayrou, 73 ans, ancien candidat centriste à la présidentielle et figure récurrente de la politique française, a été ministre de l'Education entre 1993 et 1997.

S'il se défend de n'avoir "jamais été informé" des crimes et délits à Bétharram, il a expliqué avoir diligenté une inspection générale en 1996 après le dépôt d'une première plainte d'un élève, camarade de classe d'un de ses fils, giflé violemment par le surveillant général.

"Est-ce que vous croyez que nous aurions scolarisé nos enfants dans des établissements dont il aurait été soupçonné ou affirmé qu'ils se passent des choses de cet ordre ?", s'est-il ému devant l'Assemblée nationale, alors que plusieurs députés l'accusent d'avoir menti.

Il y a aussi ce gendarme chargé de l'enquête sur le père Carricart, ex-directeur de l'institution accusé de viol en 1998, qui évoque une "intervention" de François Bayrou auprès de la justice à l'époque, alors qu'il était député.

"Misérable polémique"

Le juge qui enquête sur le viol en 1998 a également relaté dans plusieurs médias que François Bayrou avait "fait la démarche de venir" le voir lorsque le prêtre était en détention, mais sans "jamais" parler du dossier.

Mardi, le Premier ministre a encore martelé n'être "jamais" intervenu, "ni de près ni de loin" auprès de la justice et a contre-attaqué en visant le gouvernement socialiste de Lionel Jospin, au pouvoir à la fin des années 1990.

Une "misérable polémique politicienne", a répondu Elisabeth Guigou, alors ministre de la Justice.

L'exécutif français navigue en eaux troubles depuis la dissolution de l'Assemblée début juin par le président Emmanuel Macron, dans la foulée de la déroute de son camp aux élections européennes. Depuis, l'Assemblée est divisée en trois blocs (gauche, centre-droit, extrême droite), dont aucun ne dispose de la majorité.

La gauche reproche parallèlement au gouvernement Bayrou d'avoir trop fait de concessions à l'extrême droite. Le PS vise notamment le débat polémique ouvert sur le droit du sol par le ministre de la Justice Gérald Darmanin. M. Bayrou est aussi vivement critiqué à gauche pour avoir évoqué récemment un "sentiment de submersion" migratoire en France.

M. Bayrou avait été brièvement ministre de la Justice en 2017, avant de démissionner en raison d'une enquête sur des soupçons d'emploi fictifs.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Un match sans histoire pour le Borussia Dortmund

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Gregor Kobel: un coup à jouer comme l'an dernier avec Dortmund en Ligue des Champions. (© KEYSTONE/EPA/FABIAN STRAUCH)

Il n’y a pas eu de mauvaise surprise pour Gegor Kobel et le Dortmund. Le portier zurichois et ses coéquipiers n’ont pas tremblé devant le Sporting huit jours après leur victoire 3-0 à Lisbonne.

A la peine en Bundesliga, le BVB a dû toutefois se contenter d’un nul 0-0 lors d’un match retour sans relief. Les Allemands auraient toutefois dû l’emporter avec notamment un penalty raté par Serhou Guirassy et un poteau de Giovanni Reyna. Ils ont également buté sur un gardien de valeur. Rui Silva fut, en effet, l’homme du match.

En huitième de finale, le Borussia affrontera Lille ou Aston Villa. Ces deux équipes semblent à la portée des finalistes de l’an dernier malgré toutes leurs limites actuelles.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Pas de millionnaire au tirage du Swiss Loto

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Lors du prochain tirage samedi, 8,9 millions de francs seront en jeu. (archives) (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Personne n'a trouvé la combinaison gagnante du Swiss Loto mercredi soir. Pour empocher le gros lot, il fallait cocher les numéros 12, 17, 21, 23, 34 et 40. Le numéro chance était le 1, le rePLAY le 11 et le Joker le 579887.

Lors du prochain tirage samedi, 8,9 millions de francs seront en jeu, indique la Loterie Romande.

https://jeux.loro.ch/games/swissloto/

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Le Hamas prêt à libérer tous les otages restants en un seul échange

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Un responsable du Hamas a annoncé avoir informé les pays médiateurs que le mouvement était prêt "à libérer tous les otages en une seule fois". (© KEYSTONE/AP/Ohad Zwigenberg)

Le Hamas s'est dit prêt mercredi à libérer en une seule fois tous les otages encore captifs dans la bande de Gaza, lors de la deuxième phase de la trêve avec Israël devant commencer début mars.

Les négociations, par médiateurs interposés, sur cette deuxième étape censée mettre fin définitivement à la guerre, ont été jusqu'à présent retardées, les deux camps s'accusant mutuellement de violations de l'accord de cessez-le-feu.

Le ministre israélien des Affaire étrangères Gideon Saar a assuré qu'elles commenceraient "cette semaine".

L'accord de trêve, composé de trois phases, est entré en vigueur le 19 janvier après 15 mois de guerre dévastatrice à Gaza entre Israël et le Hamas, déclenchée par une attaque sans précédent du mouvement islamiste palestinien le 7 octobre 2023 dans le sud d'Israël.

Un responsable du Hamas, Taher al-Nounou, a annoncé avoir informé les pays médiateurs -Qatar, Egypte- que le mouvement était prêt "à libérer tous les otages en une seule fois" durant la deuxième phase, "plutôt que par étapes" comme lors de la première.

Mardi, le mouvement islamiste a indiqué qu'il rendrait jeudi à Israël les corps de quatre otages, parmi lesquels ceux des deux derniers enfants détenus à Gaza et de leur mère, dans le cadre de la première phase de 42 jours s'achevant le 1er mars.

Shiri Bibas, 34 ans, et ses fils, Ariel, alors âgé de quatre ans, et Kfir, de neuf mois, avaient été enlevés devant leur maison du kibboutz Nir Oz, le 7 octobre 2023.

Les images, diffusées par des combattants du Hamas, de Shiri Bibas serrant ses enfants dans les bras, avaient fait le tour du monde, et tous trois étaient devenus le symbole de l'effroi qui a saisi Israël ce jour-là.

"Trêve durable"

La famille Bibas s'est dite "chamboulée" par l'annonce du Hamas, mais ajouté n'avoir reçu aucune "confirmation officielle" de la mort de ses proches. "Tant que nous n'aurons pas de confirmation irréfutable, notre combat continuera."

Le père des deux enfants, Yarden Bibas, 35 ans, a été libéré le 1er février de Gaza.

Après la restitution des quatre dépouilles jeudi, le Hamas doit libérer samedi six otages vivants en échange de celle de Palestiniens détenus par Israël, conformément à l'accord de trêve.

Ces six otages sont les derniers "en vie" devant retourner en Israël durant la première phase, a précisé le négociateur en chef du Hamas, Khalil al-Hayya.

Il s'agit, selon le Forum des familles d'otages, d'Eliya Cohen, Tal Shoham, Omer Shem Tov, Omer Wenkert, enlevés le 7 octobre 2023, ainsi que de Hicham al-Sayed et Avera Mengistu, tous deux otages à Gaza depuis une dizaine d'années.

Depuis le 19 janvier, 19 otages israéliens ont été libérés contre plus de 1.100 détenus palestiniens au cours d'échanges successifs. Au total, 33 otages, dont huit morts, doivent être remis à Israël, et 1900 Palestiniens retrouver la liberté durant la première phase.

M. Nounou a expliqué l'annonce de libérer d'un seul coup tous les otages par la "pleine volonté (du Hamas) d'aller de l'avant pour régler ce problème et poursuivre les efforts visant à consolider le cessez-le-feu et parvenir à une trêve durable".

Reconstruction

Si la deuxième phase de la trêve se déroule comme prévu, la dernière étape de l'accord de cessez-le-feu doit porter sur la reconstruction de la bande de Gaza en ruines.

Selon l'armée israélienne, sur 251 personnes enlevées le 7-Octobre, 70 sont toujours retenues à Gaza, dont 35 mortes.

La "coordination complète" entre Israël et Washington affichée durant la visite du secrétaire d'Etat Marco Rubio à Jérusalem, "donne plus de marge de manoeuvre" aux dirigeants israéliens " pour faire pression sur le Hamas", relève Michaël Horowitz, expert pour le cabinet de conseil en gestion du risque Le Beck International.

Mauvais traitements

Plusieurs observateurs mettent aussi en avant que les capacités militaires du Hamas sont entamées et les Gazaouis exsangues.

Le mouvement "veut empêcher la reprise de la guerre à tout prix, avec quelques principes non négociables", comme le fait "qu'ils devraient continuer à exister", relève Muhammad Shehada du Conseil européen des relations étrangères (ECFR).

Le président américain Donald Trump a soulevé un tollé international en annonçant un plan prévoyant de placer le territoire palestinien sous contrôle américain et d'en expulser les 2,4 millions d'habitants.

L'Arabie saoudite doit accueillir vendredi un mini-sommet arabe pour répondre à ce projet, salué en Israël mais rejeté par les Palestiniens et les pays arabes.

L'armée israélienne a par ailleurs annoncé l'inculpation de cinq soldats pour mauvais traitements d'un Palestinien en juillet 2024 dans un centre de détention proche de Gaza où sont incarcérés des Palestiniens arrêtés depuis le 7-Octobre.

Ils sont accusés de lui avoir infligé "de graves blessures", notamment des côtes fêlées, un poumon perforé et une fissure anale.

L'attaque du Hamas a entraîné la mort de 1.211 personnes du côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l'AFP basé sur des données officielles israéliennes et incluant les otages morts ou tués en captivité.

L'offensive israélienne lancée en représailles a fait au moins 48.297 morts à Gaza, en majorité des civils, selon les données du ministère de la Santé du Hamas, jugées fiables par l'ONU.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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