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Actualité

Assouplissement du droit de bail: l'Asloca gronde

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Par Olivier Francey

Assouplissement du droit du bail: l’Asloca gronde - Elections cantonales genevoises: le bilan du bilan d’Antonio Hodgers

Nos invités:

Pierre Stastny, avocat à l’Asloca

Christophe Aumeunier, secrétaire général de la Chambre genevoise immobilière et député PLR

Boris Calame, députée Vert au Parlement Genevois

Le Club Radio Lac - Assouplissement du droit du bail: l'Asloca gronde
Le Club Radio Lac - Le bilan d'Antonio Hodgers

 

 

 

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Genève

Les rampes du Pont-Rouge et Quidort sont désormais fermées dans un sens

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Depuis ce lundi, le département des infrastructures de l'Etat de Genève a entamé sa phase test pour améliorer la vitesse de trajet de certaines lignes de bus. Deux mesures concernent les rampes du Pont-Rouge et Quidort à Lancy. 

Il est maintenant interdit pour les automobilistes de redescendre la rampe du Pont-Rouge à Lancy. La voie de circulation a été fermée au trafic individuel motorisé. Elle ne reste accessible qu'aux cycles taxis, et lignes de bus. Il est cependant toujours possible pour les voitures et les motos d'emprunter la voie montante. Schéma similaire sur la rampe Quidort, mais dans l'autre sens : la voie de circulation montante est désormais fermée au trafic individuel motorisé pour permettre la réalisation de bandes cyclables sécurisées. Ces deux mesures sont à l'essai pour une durée d'une année. Elles visent à améliorer la vitesse commerciale des lignes de bus 21, J, K et du tram 14.

Pour rejoindre la zone du Pont-Rouge depuis le Petit-Lancy, les véhicules motorisés doivent dorénavant passer par la route de Chancy ou le pont de Lancy. Ce lundi matin, beaucoup d'automobilistes ignoraient encore que ces mesures étaient en vigueur. Résultat : des bouchons se sont créés dans devant la voie descendante de la rampe du Pont-Rouge. Nous étions sur place.

 

 

 

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Suisse Romande

Maëlys et Lucien enquêtent avec l'Orchestre de chambre de Lausanne

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L'OCL attend son public pour deux concerts en novembre basés sur les enquêtes de Maëlys (archives). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

L'Orchestre de chambre de Lausanne (OCL) va donner deux concerts inspirés des livres à succès "Les enquêtes de Maëlys". Ils sont programmés les 8 et 9 novembre.

Alors que la série de livres fête son 10e anniversaire, son autrice, Christine Pompéï, a intitulé son 27e tome "Concert de folie à Lausanne". Dans ce nouvel ouvrage, Maëlys et son ami Lucien enquêtent sur des têtes de mort apparues sur les partitions de l'orchestre.

L'OCL s'est inspiré de ce nouveau livre. Dirigé par la cheffe Ana María Patiño-Osorio, ce concert-enquête sera raconté par la comédienne Laurie Comtesse, tandis que le concept du spectacle a été imaginé par le magicien Pierric Tenthorey. Au programme: "une heure de musique classique (Mozart, Haydn, Beethoven, Gounod, Dvorák) et de mystères", promet l'OCL dans son communiqué.

Les billets seront mis en vente le 15 juin, au moment de l'ouverture de la billetterie pour la saison 2023-2024.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Economie

Les ventes de chocolat toujours en dessous du niveau pré-Covid

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Les volumes de chocolat écoulés en Suisse n'ont pas encore retrouvé en 2022 leur niveau d'avant la pandémie. (archive) (© KEYSTONE/ADRIEN PERRITAZ)

Les ventes de chocolat en Suisse ont reculé en volume l'année dernière, alors que le chiffre d'affaires généré par la branche, soutenu par les hausses de prix, a progressé.

"Le marché intérieur ne s'est pas encore remis de la brèche creusée par la pandémie", a indiqué lundi Chocosuisse dans un communiqué . Par rapport au niveau de 2019, les ventes restent inférieures de 4,7% en termes de volume et de 4,9% pour ce qui est des recettes, relève l'association faîtière.

Après une augmentation massive (+10%) en 2021, les importations de chocolat n'ont connu qu'un "ralentissement insignifiant" l'année dernière (-1,5%). "La pression exercée par les produits meilleur marché fabriqués à l'étranger reste importante et la fidélité des consommateurs suisses aux produits indigènes est limitée", explique le vice-président de Chocosuisse, Daniel Bloch, cité dans le document.

Les exportations en revanche ont progressé de 8,3% en rythme annuel en volume et le chiffre d'affaires correspondant de 8,4%. L'évolution positive des ventes à l'étranger n'a toutefois pas permis de compenser la hausse des coûts, notamment le prix du sucre, qui a presque doublé en Suisse l'année dernière.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Economie

Le chômage devrait reculer en Suisse cette année (KOF)

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Les Offices régionaux de placement ne devraient pas connaître de surcharge de travail ces prochaines années, selon les économistes consultés périodiquement par le KOF. (archive) (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

Les économistes sondés par le KOF se montrent davantage optimistes quant à la croissance et au chômage en Suisse cette année. L'inflation devrait encore rester à un haut niveau.

Les experts tablent sur une hausse du produit intérieur brut (PIB) réel de 0,8% en 2023, contre 0,7% en décembre dernier. L'année prochaine comme dans cinq ans, il devrait atteindre 1,6%, souligne lundi le consensus KOF.

Les investissements devraient être plus importants qu'attendu, avec une augmentation de 1,6% au lieu de 1,1%, portés par les équipements. En revanche, ceux dans la construction devraient baisser de 0,8% en moyenne. Le consensus est davantage confiant pour les exportations réelles, revues à la hausse pour l'année en cours à 3,1% après 2,8%. L'an prochain, il table sur 3,6%.

Les économistes interrogés par l'institut de recherche économique de l'Ecole polytechnique fédérale de Zurich (EPFZ) misent désormais sur un taux de chômage de 2,1% en 2023 et de 2,2% dans cinq ans, contre respectivement 2,4% et 2,5% lors du relevé de décembre. A long terme, la prévision s'établit à 2,2%, soit le niveau le plus bas depuis l'introduction de ce point en 2014. L'an dernier, le taux de chômage s'était établi à 2,2%.

Cette année encore, l'inflation devrait rester hors du cadre que s'est fixé la Banque nationale suisse (BNS). Elle est ainsi attendue à 2,4% en 2023 par les experts sondés par le KOF. En revanche, elle devrait se rétracter à 1,3% en 2024. A long terme, elle devrait se fixer à 1,1%, soit dans la moyenne des attentes des années 2015 à 2019.

En 2022, le renchérissement annuel moyen a grimpé à 2,8%, après 0,6% en 2021.

La majorité des participants s'attend à une hausse des taux d'intérêt à court et long terme au cours de l'année prochaine. Le taux d'intérêt au comptant à dix ans calculé par la Confédération est escompté à 1,69% dans les trois mois et à 1,82% dans les douze mois, après 1,21% et 1,44% au dernier pointage.

Quant au taux de change, le franc devrait rester stable face à l'euro, à savoir 0,99 CHF/EUR dans les trois et douze prochains mois.

Quinze économistes ont participé au sondage réalisé avant le relèvement du taux directeur à 1,5% par la Banque nationale suisse.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Genève

Pluie de démissions au FIFDH à Genève

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Irène Challand ne sera restée que quelques mois à la tête du Festival du film international sur les droits humains (FIFDH) à Genève (archives). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Le Festival du film international sur les droits humains (FIFDH) de Genève fait face à une pluie de démissions après la crise qu'il subit depuis quelques mois. La codirectrice et directrice des programmes Irène Challand se retire, a dit lundi le Conseil de fondation.

L'organe de surveillance s'est réuni jeudi dernier pour discuter des tensions qui avaient été relayées dans la presse. Trois de ses membres, Nadia Dresti, Ursula Meier et Stina Werenfels ont présenté leur démission.

Elles estiment que la mission donnée à Mme Challand n'est pas soutenue par l'équipe opérationnelle. Souhaitant ne pas mettre sa santé davantage en péril, la directrice des programmes a également signifié sa démission.

Selon les conflits qui ont été mentionnés dans les médias, elle était au centre des tensions pour des accusations d'"incompétences" et de "volonté de contrôle extrême" qui auraient presque remis en cause l'organisation du festival. Alors que sa codirectrice avait déjà remis son mandat, elle était en arrêt de 50% et se disait victime de harcèlement.

Au moment du renouvellement il y a quelques mois du Conseil de fondation et des dirigeants, le FIFDH avait mis en avant la féminisation du nouveau dispositif. Quelques mois plus tard, il ne reste que deux femmes dans l'organe de surveillance.

Afin de garantir une continuité, le président du FIFDH Yves Daccord reste lui en fonction. Il rend hommage à Mme Challand et regrette profondément les "circonstances" de ces démissions. Il faut une "remise en question du fonctionnement de notre festival et de ses objectifs", selon lui. Une tâche à laquelle le Conseil de fondation va s'atteler dans les prochaines semaines à Genève.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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