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Apprendre à se servir des outils numériques aux Automnales

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Parmi les nombreux stands aux Automnales 2019 à Palexpo, l’Etat de Genève a le sien. Baptisé « E-démarches », le Canton y va au contact de la population et prodigue des conseils pour l’utilisation des différents outils numériques pour les démarches administratives. 

Un triporteur. C’est par ce moyen que l’Etat va au-devant des gens pour les aider. Il s’agit d’un vélo à trois roues, qui permet de porter différents objets. En l'occurence, deux ordinateurs et un scanner, ce dernier servant à vérifier - par exemple - les cartes d'identité.

Démarches nombreuses

Si la Suisse n'est pas en avance dans son développement numérique, les "e-démarches" gagnent tout de même du terrain. Il est désormais possible d'effectuer quantité de démarches, notamment sa déclaration d'impôt. Cette liste s'agrandit "régulièrement" d'après le site internet de l'Etat. Hugues Richard, de la coordination et la promotion des "E-démarches" pour le Département des finances, estime qu'il s'agit là d'un véritable "guichet universel" qui simplifie la vie pour effectuer ses démarches administratives:

Hugues Richard Coordination et promotion des E-démarches, Département des finances

Kiosk numérique 

L'exemple en matière d'outils numérique est l'Estonie. Dans ce pays, il est possible d'effectuer la grande majorité de ses démarches en ligne. Hugues Richard reconnait que ces dix dernières années, Genève a pris du retard. Pourtant, il estime qu'un virage pourrait être pris et ainsi donner un coup d'accélérateur au développement des démarches administratives en ligne.

Hugues Richard Coordination et promotion des E-démarches, Département des finances

Formation 

A ce stand de l'Etat de Genève aux Automnales, deux jeunes sont également présents. Salma (16 ans) et Alexis (17ans) sont tous les deux étudiants en deuxième année à l'école de commerce. Dans le cadre de leur formation, ils passent un semestre au contact du monde professionnel. Il s'agit de l'Espace Entreprise, un centre de formation rattaché au Département de l'instruction publique. Une formation "professionnalisante" qui plait à Alexis, lui qui aime le contact humain. Il nous explique aussi ce qu'il fait - concrètement - à ces Automnales :

Alexis Etudiant en école de commerce, Espace entreprise

Pour de plus amples informations, rendez-vous sur le site internet de l'Etat de Genève.

 

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Culture

"Drii Winter" meilleur film - Trois Quartz pour "La Ligne"

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Le réalisateur du film "Drii Winter" Michael Koch (à droite) arrive sur le tapis rouge lors de la remise du Prix du cinéma suisse vendredi au Bâtiment des Forces Motrices à Genève. (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

"Drii Winter" de Michael Koch remporte le Prix du meilleur film suisse de fiction 2023 et "Cascadeuses" d'Elena Avdija , celui du meilleur documentaire. "La Ligne" d'Ursula Meier obtient trois prix: meilleur scénario, meilleure actrice et meilleur second rôle féminin.

La comédienne Stéphanie Blanchoud dans "La Ligne" repart avec le prix de la meilleure interprétation féminine et l'adolescente lausannoise Elli Spagnolo avec celui du meilleur second rôle.

Du côté des hommes, le prix du meilleur acteur masculin a été remporté par l'acteur bernois Manfred Liechti, qui incarne le forcené biennois dans "Peter K. - Seul contre l'Etat".

A "Foudre", de la réalisatrice genevoise Carmen Jaquier, sont attribués les prix de la meilleure musique de film et du meilleur son. Le prix de la meilleure photographie revient à "Unrueh" de Cyril Schäublin.

"Je suis noires" de Juliana Fanjul et Rachel M’Bon, qui déconstruit le racisme en Suisse, se voit attribuer le prix du meilleur court métrage. Le prix du meilleur film d'animation va pour "The record" de Jonathan Laskar.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Economie

Reprise du Credit Suisse par UBS: majorité de Suisses sceptiques

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La part des personnes interrogées qui se sont dites très d'accord avec la reprise de Credit Suisse par UBS est faible, à 5%. Pour 11% des sondés, l'accord n'est pas ou pas encore évaluable. (© KEYSTONE/PETER KLAUNZER)

Une majorité de la population suisse est sceptique concernant la reprise du Credit Suisse (CS) par UBS, montre un sondage commandé par la SSR. 54% des personnes interrogées sont plutôt pas ou pas du tout d'accord avec la solution choisie.

Dans ce sondage publié vendredi par l'institut de recherche gfs.berne, 30% des personnes interrogées déclarent être plutôt d'accord avec cette solution. La part de celles qui se sont dites très d'accord est faible, à 5%. Pour 11% des sondés, l'accord n'est pas ou pas encore évaluable.

La part des insatisfaits est la plus élevée parmi les électeurs des Verts et de l'UDC, avec respectivement 62 et 61%. Parmi les partisans du PS, 53% ont déclaré n'être certainement pas ou plutôt pas d'accord avec la reprise.

Majorité de satisfaits seulement au PLR

Le soutien est plus important parmi la base des Vert'libéraux, du Centre et du PLR. 48% de l'électorat des Vert'libéraux s'est toutefois déclaré certainement ou plutôt contre la reprise, alors que 44% sont très ou plutôt d'accord. Les sympathisants du Centre sont eux 50% à la considérer positivement. Il n'y a que chez les électeurs du PLR que la solution choisie trouve une majorité, à 55%.

Chez les personnes non affiliées à un parti, le scepticisme l'emporte à 53%, contre 22% de satisfaits. C'est aussi dans ce groupe que la proportion d'indécis est la plus élevée (25%).

Nationalisation pas un tabou

S'agissant des alternatives possibles, 40% des sondés considèrent une nationalisation temporaire du CS comme une meilleure solution. 32% préfèrent une reprise par UBS, 16% considèrent les deux solutions comme équivalentes. 12% ne se prononcent pas.

Le soutien à une reprise de Credit Suisse par l'Etat est comparativement élevé, non seulement à gauche mais aussi au sein de la base de l'UDC, constatent les auteurs de l'étude. 46% des sondés du PS auraient préféré cette solution, contre 44% à l'UDC et 42% chez les Verts.

Interrogées sur leurs émotions face à la chute de CS, 66% des personnes interrogées se disent en colère. Si ce sentiment est le plus fort à gauche, il est majoritairement partagé dans tous les camps politiques, tout comme le sentiment d'insécurité.

Ce ressenti se reflète également dans les revendications politiques des participants à l'enquête: 96% estiment que les responsables de la stratégie de Credit Suisse devraient être tenus pour responsables.

La "nouvelle" UBS doit être divisée

Les interventions dans la structure de la grande banque fusionnée recueillent également une nette majorité. 79% des personnes interrogées sont d'avis que l'UBS est trop grande après la reprise, et qu'elle doit être divisée.

Le Parlement avait rejeté une séparation légale des activités classiques de la banque d'investissement suite à la crise financière de 2008. La gauche et l'UDC s'étaient alors engagées en faveur de ce projet.

Une majorité de 58% des personnes interrogées demandent que les activités suisses de Credit Suisse soient maintenues sous l'ancien nom.

Perte d'emploi

La perte d'emplois est le point qui inquiète le plus les sondés. 83% s'attendent à d'importantes suppressions de postes en Suisse. 73% estiment que la réputation de l'économie suisse dans son ensemble en souffrira.

D'un autre côté, exactement la moitié des personnes interrogées s'attendent à ce que la place économique se remette rapidement des turbulences. 38% seulement s'attendent à ce qu'UBS soit affaiblie par la reprise.

Pour ce sondage en ligne, gfs.berne a interrogé 14'191 personnes entre mardi et jeudi. Les réponses ont été pondérées en fonction de variables sociodémographiques, de l'affiliation à un parti et du niveau de formation des personnes interrogées de manière à être représentatives de l'ensemble de la population. La marge d'erreur est de +/- 4,4 points de pourcentage.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Economie

Reprise du Credit Suisse par UBS: majorité de Suisses sceptiques

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La part des personnes interrogées qui se sont dites très d'accord avec la reprise de Credit Suisse par UBS est faible, à 5%. Pour 11% des sondés, l'accord n'est pas ou pas encore évaluable. (© KEYSTONE/PETER KLAUNZER)

Une majorité de la population suisse est sceptique concernant la reprise du Credit Suisse (CS) par UBS, montre un sondage commandé par la SSR. 54% des personnes interrogées sont plutôt pas ou pas du tout d'accord avec la solution choisie.

Dans ce sondage publié vendredi par l'institut de recherche gfs.berne, 30% des personnes interrogées déclarent être plutôt d'accord avec cette solution. La part de celles qui se sont dites très d'accord est faible, à 5%. Pour 11% des sondés, l'accord n'est pas ou pas encore évaluable.

La part des insatisfaits est la plus élevée parmi les électeurs des Verts et de l'UDC, avec respectivement 62 et 61%. Parmi les partisans du PS, 53% ont déclaré n'être certainement pas ou plutôt pas d'accord avec la reprise. Le soutien est plus important parmi la base des Vert'libéraux, du Centre et du PLR.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

Les bases sont posées pour la construction d'une nouvelle prison

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Vétuste et chroniquement surpeuplée, la prison de Champ-Dollon ne répond plus aux normes de détention (archives). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Le Grand Conseil genevois a voté vendredi le projet de loi qui définit la planification pénitentiaire du canton. Ce texte pose les jalons pour la construction d'une nouvelle prison afin de remplacer le vétuste établissement de Champ-Dollon qui ne répond plus aux normes.

Le projet de loi du Conseil d'Etat a été accepté par 57 voix contre 39. Il s'agit d'une loi cadre qui fixe les orientations en matière de détention. Le canton devra disposer "d’espaces de privation de liberté en qualité et quantité suffisantes, conformes aux standards nationaux et internationaux".

La loi qui a été adoptée devra être complétée par d'autres projets de loi pour débloquer des crédits d'études et de construction. Selon les chiffres présentés dans le rapport accompagnant le projet de loi, la planification dote le canton de plus de 1120 places, soit 300 de plus par rapport à la situation actuelle.

Mauro Poggia, conseiller d'Etat en charge de la sécurité, avait annoncé l'été dernier sa volonté de détruire Champ-Dollon pour reconstruire dans le même périmètre un nouveau site pénitentiaire de plusieurs bâtiments d’ici à 2030. Le dernier mot reviendra donc au Grand Conseil.

Ce projet de loi cadre avait été concocté suite à l'échec du projet de prison des Dardelles devant le Grand Conseil en automne 2020. Vendredi, tous les partis se sont accordés sur le fait que les conditions de détention à Champ-Dollon étaient indignes. Mais la gauche aurait voulu que des alternatives soient étudiées plutôt que de se lancer dans la construction de nouveaux établissements.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Economie

Credit Suisse: pétition pour interrompre les licenciements

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L'Association suisse des employés de banques (Aseb) a lancé une pétition pour demander une interruption des licenciements au Credit Suisse jusqu'à fin 2023. (© KEYSTONE/MICHAEL BUHOLZER)

L'Association suisse des employés de banques (Aseb) lance une pétition pour une interruption des licenciements au Credit Suisse jusqu'à fin 2023, après l'annonce du rachat par UBS.

Les directions des deux grandes banques ne peuvent pas licencier des collaborateurs de manière précipitée et sans considération, a exigé l'Aseb dans un communiqué publié vendredi.

L'incertitude est grande, en particulier pour les quelque 17'000 collaborateurs de Credit Suisse dans la Confédération, mais aussi parmi les employés d'UBS. Les deux banques et le Conseil fédéral ont le devoir d'éviter des coupes claires et de sauver le plus possible d'emplois.

Il convient de cesser les licenciements chez Credit Suisse et UBS jusqu'à la fin de cette année, jusqu'à ce que tous les plans d'UBS pour l'avenir soient sur la table et qu'il soit clair de quelle façon ils seront mis en oeuvre, a exigé l'association.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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