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Alerte aux fortes chaleurs à Genève, Nyon et en Valais

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KEYSTONE/Salvatore Di Nolfi

Météosuisse a émis une alerte de degré 3 sur 5 de jeudi midi au 1er août à 18h pour le bassin genevois et le Valais central. Les températures pourront grimper jusqu’à 38 degrés.

Ces prochains jours vont être caniculaires pour les Genevois, les vaudois de la Côte et le Valais central. MétéoSuisse a émis ce mercredi une alerte de degré 3 sur 5 aux fortes chaleurs. Elle s'étend de jeudi midi jusqu’au samedi 1er août à 18h. Les températures maximales oscilleront la journée entre 33 et 38 degrés. Pas de répit le soir, puisque les nuits seront tropicales avec des températures qui resteront autour des 18 à 22 degrés. MétéoSuisse précise encore que le pic d’intensité de cette vague de chaleur sera vendredi et samedi.

A noter que le Tessin a également été placé en état d’alerte. Depuis mardi, une vague de chaleur va toucher le sud du Tessin jusqu’à samedi.

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Suisse

Nouveau record de chaleur en novembre: 23,5° enregistrés à Delémont

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Ce jeudi, le mercure a battu un record à Delémont avec 23,5 degrés (archives). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Avec 23,5 degrés, un nouveau record de température pour un mois de novembre a été atteint jeudi à Delémont (JU). Le dernier remontait à 2023, pour 22,8 degrés dans la même localité, selon Meteonews.

Le service météorologique s'attend à ce que les stations météo enregistrent d'autres valeurs élevées au cours de la journée. En début d'après-midi, les températures étaient proches de la barre des 20 degrés en de nombreux endroits, par exemple à La Brévine (NE) avec 18,3 degrés ou à Genève avec 18,5 degrés.

Le nouveau record de Delémont est nettement plus élevé que celui de 2023, a écrit Meteonews sur sa plateforme X. Les données de mesure y sont collectées depuis 1959. D'autres candidats possibles au record sont les vallées à foehn. A Vaduz, dans la Principauté du Liechtenstein, le record actuel est par exemple de 23,7 degrés en novembre.

Les services météorologiques prévoient également des températures douces pour demain, vendredi. Celles-ci sont "exceptionnellement élevées" pour la saison, écrit Meteonews sur son site Internet. L'isotherme zéro degré se situait jeudi entre 3300 et 3500 mètres.

Jusqu'au début de la semaine prochaine, le temps sera ensuite plus maussade et plus froid. Lundi, un front froid traversera finalement le nord de la Suisse. La limite des chutes de neige devrait descendre en dessous de 1500 mètres, selon les mêmes sources.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Séisme de magnitude 3,1 près d'Aoste (I)

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En règle générale, on ne s’attend pas à des dégâts pour un tremblement de terre de cette magnitude. (© )

Un séisme de magnitude 3,1 sur l'échelle de Richter s'est produit jeudi dans la région d'Aoste, tout près de la frontière italo-suisse. La secousse s'est produite à 13h39 à 12 km au nord-est de la ville italienne, selon le Service sismologique suisse (SED) de l'EPFZ.

En règle générale, on ne s’attend pas à des dégâts pour un tremblement de terre de cette magnitude. Le Service sismologique suisse enregistre entre 1000 et 1500 séismes chaque année. La population n'en ressent que 10 à 20. Ces tremblements de terre présentent en général des magnitudes de 2,5 ou plus.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Devoir de vigilance des entreprises: détricotage de la loi en vue

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Les eurodéputés ont soutenu par 382 voix contre 249 la baisse des ambitions de la loi sur le devoir de vigilance des grandes entreprises (archives). (© KEYSTONE/EPA/OLIVIER HOSLET)

Le Parlement européen a soutenu jeudi le détricotage d'une loi sur le "devoir de vigilance" sociale et environnementale des grandes entreprises. Droite et extrême droite ont mêlé leurs voix lors du vote.

Les eurodéputés ont approuvé par 382 voix contre 249 la baisse des ambitions de ce texte, en limitant le nombre d'entreprises concernées et en supprimant certaines de leurs obligations.

L'extrême droite a savouré une "grande victoire" après ce vote, marqué par une alliance de circonstance avec le PPE (droite). "Nous avons prouvé qu'une autre majorité - et une autre politique pour l'Europe - est possible. Ce n'est qu'un début", a assuré le groupe des Patriotes, présidé par Jordan Bardella.

Virage pro business

Adoptée il y a seulement un an et demi, cette loi sur le devoir de vigilance fait les frais du virage pro business de l'Union européenne, bousculée par la concurrence de la Chine et les droits de douane des Etats-Unis. Son entrée en vigueur a déjà été reportée d'un an.

Mais Bruxelles voulait aller plus loin et a fait de la révision de ce texte l'un des premiers actes de sa politique de "simplification" pour alléger les charges administratives des entreprises sur le continent.

Travail des enfants, travail forcé

Sous peine de sanctions, la loi adoptée en 2024 voulait obliger les entreprises de plus de 1000 salariés à prévenir et remédier aux violations de droits humains (travail des enfants, travail forcé, sécurité...) et aux dommages environnementaux tout au long de leurs chaînes de valeur, y compris chez leurs fournisseurs dans le monde.

Jeudi, dans le sillage des Etats membres, le Parlement européen a relevé le seuil des entreprises concernées, à plus de 5000 employés et plus d'1,5 milliard d'euros de chiffre d'affaires annuel.

Surtout, les eurodéputés ont supprimé le régime de responsabilité civile européenne, qui servait à harmoniser les obligations des entreprises et leurs responsabilités en cas de manquements. Les parlementaires ont préféré renvoyer aux législations de chaque pays.

Texte "vidé de sa substance"

Cette simplification permet de "sauver nos entreprises de l'asphyxie normative", revendique l'eurodéputé de droite François-Xavier Bellamy.

Mais les discussions ont été très difficiles avec le centre et les sociaux-démocrates. Mercredi soir, ces groupes dits pro-européens avaient renoncé à trouver un compromis, laissant la porte ouverte à cette majorité alternative avec l'extrême droite qui faisait jusqu'ici office d'exception.

Après ce vote, les négociations vont s'engager avec les Etats membres, en vue d'une adoption définitive de la loi revue et corrigée. Mais aux yeux des écologistes et des organisations environnementales, le texte est désormais "vidé de sa substance".

"Machine de lobbying"

Le processus "déraille complètement", fustige Swann Bommier, de l'ONG Bloom, qui s'en prend aux "lobbies industriels" et à la "machine de lobbying de l'administration Trump" aux Etats-Unis.

L'absence de responsabilité civile européenne risque d'introduire "une concurrence entre les 27 États membres pour savoir qui a le régime le plus laxiste pour essayer d'attirer des entreprises", met-il en garde.

Au nom de la lutte contre la bureaucratie, le chancelier allemand Friedrich Merz et le président français Emmanuel Macron avaient appelé à supprimer purement et simplement cette loi.

Mais même si elle n'est que sabrée, la pilule est difficile à avaler pour une partie des parlementaires qui avaient célébré son adoption "historique" en avril 2024 après plusieurs années de bras de fer au sein même des institutions européennes.

Les superlatifs ne manquaient pas à l'époque, y compris chez les macronistes, dont la présidente actuelle du groupe centriste Valérie Hayer (Renew).

Catastrophe du Rana Plaza

Les eurodéputés présentaient cette directive comme une réponse à la catastrophe de Rana Plaza, du nom de l'immeuble abritant un atelier de confection de prêt-à-porter au Bangladesh qui s'était effondré en avril 2013, faisant 1130 morts.

Mais les équilibres politiques ont changé dans l'hémicycle depuis les élections de juin 2024, marquées par le renforcement de la droite et la percée de l'extrême droite, prompte à combattre le "pacte vert", la batterie de mesures environnementales adoptées lors du précédent mandat.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Genève

Genève: quatre start-up obtiennent des soutiens financiers du FIF

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Le Plan cantonal de l'innovation déploie ses premiers effets. Il avait été présenté en mars dernier par la conseillère d'Etat Delphine Bachmann (archives). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Grâce à un doublement des financements publics dédiés aux projets innovants, le Fonds cantonal pour l'innovation de la FONGIT (FIF), à Genève, peut désormais diversifier son champ d’action. De nouvelles filières thématiques ont ainsi été créées. Elles ont sélectionné les quatre premières start-up qui bénéficieront d’un prêt et d’un accompagnement spécifique.

En juin 2025, le Grand Conseil acceptait d’augmenter le budget des soutiens publics aux projets innovants. Sur la période 2025-2027, plus de 8 millions de francs viendront aider les entreprises genevoises à développer leurs idées, rappelle le Département de l'économie, de l'emploi et de l'énergie (DEE) jeudi dans un communiqué.

Cette dotation est au c½ur du premier Plan directeur de l'innovation présenté en mars dernier. Deux nouvelles prestations de soutien à l’innovation ont ainsi pu être créées: le FIF Digital et le FIF Impact. Le premier vise à renforcer spécifiquement le développement des technologies numériques, tandis que le second accompagne des projets innovants à fort impact social.

Nouveaux instruments

Les premières start up bénéficiaires, dont trois sont actives notamment dans le domaine de l'IA, ont été sélectionnées. Ovomind reçoit ainsi un prêt de 50'000 francs du FIF Digital pour son projet de personnalisation des expériences de jeux vidéo grâce à l’analyse des émotions en temps réel.

Même attribution pour ZenOwn et son logiciel d’augmentation de la visibilité des produits dans les commerces de détail, ainsi que pour DiPriMa qui optimise la gestion des contrats pour les entreprises. Enfin NanoAid reçoit une bourse de 20'000 francs du FIF Impact pour sa solution innovante et miniaturisée de désinfection et de potabilisation de l’eau, destinée aux régions où l’accès à cette ressource essentielle demeure un défi majeur.

Accompagnement

Au-delà du financement, ces quatre jeunes pousses seront accompagnées par les équipes de la FONGIT. Elles les conseilleront et les orienteront pour développer leurs modèles d’affaires et favoriser le passage de l’idée de départ au stade de sa production industrielle.

Les comités de sélection se réunissent au moins six fois par an. Ils peuvent décider de soutenir des projets pour un montant total de 3 millions de francs annuellement, ce qui correspond à environ 36 start-up genevoises bénéficiant de différentes prestations.

"En créant un véritable fonds cantonal de soutien à l’innovation, nous renforçons la place de Genève en tant qu’incubateur international de projets innovants", commente la conseillère d’Etat en charge du DEE Delphine Bachmann, citée dans le communiqué.

"Par ailleurs, l’élargissement des champs couverts par le fonds va permettre de soutenir de nouveaux secteurs à haut potentiel et participer ainsi à la diversification du tissu économique genevois, garante de sa prospérité et de sa résilience", ajoute-t-elle.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Corruption: Zelensky impose des sanctions contre un proche

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Selon un haut responsable ukrainien travaillant étroitement avec le chef de l'Etat, ce dernier a été pris au dépourvu par les révélations de l'enquête. "Bien sûr, il ne considère pas cela comme normal et a pété un câble lorsqu'il a découvert ce qui se passait", a assuré ce responsable. (© KEYSTONE/EPA/STRINGER)

Le président ukrainien a imposé jeudi des sanctions contre un homme d'affaires considéré comme son ami proche et accusé d'avoir orchestré une vaste affaire de corruption. Il tente ainsi de régler l'une des pires crises politiques qu'il traverse depuis l'invasion russe

Ces sanctions visant Timour Minditch, 46 ans, ainsi qu'un autre homme d'affaires impliqué dans ce scandale, prévoient notamment le gel de leurs biens, selon un décret présidentiel.

M. Minditch est accusé d'avoir orchestré un vaste système de corruption dans le secteur énergétique, avec 100 millions de dollars de pots-de-vin et impliquant plusieurs hauts responsables dont des ministres.

Cet homme, qui a quitté l'Ukraine peu avant le scandale, est copropriétaire de la société de production audiovisuelle fondée par M. Zelensky, qui était un humoriste vedette avant de se lancer en politique.

Ce scandale éclate alors que le réseau énergétique ukrainien a été gravement endommagé par une série de frappes massives russes, qui ont provoqué des coupures de courant à l'approche de l'hiver.

Inquiétude sur les répercussions

Il s'agit de l'une des pires crises politiques pour le président Zelensky depuis le début de l'invasion russe de l'Ukraine en février 2022.

Des voix s'inquiètent en Ukraine de la réaction d'alliés européens à ce scandale, alors que l'effort de guerre de Kiev dépend fortement de l'aide occidentale.

Le chancelier allemand Friedrich Merz, dont le pays est le principal bailleur européen de Kiev, a réclamé jeudi, lors d'un entretien téléphonique avec le président Zelensky, que ce dernier lutte "avec énergie" contre la corruption.

M. Zelensky n'a pas, lui, mentionné le dossier de corruption en commentant son entretien avec M. Merz sur X. "J'ai assuré à Friedrich que l'Ukraine fera tout le nécessaire pour renforcer la confiance des partenaires", s'est-il borné à indiquer.

"Pété un câble"

Interrogé par l'AFP, un haut responsable ukrainien travaillant étroitement avec le chef de l'Etat a assuré que le chef de l'Etat avait été pris au dépourvu par les révélations de l'enquête.

"Bien sûr, il ne considère pas cela comme normal et a pété un câble lorsqu'il a découvert ce qui se passait", a assuré ce responsable. "Il soutient pleinement l'enquête. Tout le monde au gouvernement va aider l'enquête".

Cette source a assuré que "le président avait pris les mesures les plus dures possible dans le cadre de ses pouvoirs" en imposant des sanctions et réclamant le départ de deux ministres.

"Le président n'a pas parlé avec Minditch" depuis l'éclatement de cette affaire, a encore affirmé le responsable. "Qu'y a-t-il à discuter ? Qu'il aille voir ailleurs. Il a créé un tel problème", s'est-il insurgé.

Soupçonné d'avoir influencé des décisions

Timour Minditch est également soupçonné d'avoir influencé des décisions de hauts responsables du gouvernement, parmi lesquels l'ex-ministre de la Défense, Roustem Oumerov, aujourd'hui secrétaire du Conseil de sécurité national, et un vice-Premier ministre, Oleksiï Tchernychov.

Les ministres de l'Energie et de la Justice, Svitlana Gryntchouk et Guerman Galouchtchenko, ont annoncé mercredi leur démission, à la demande de M. Zelensky, après la révélation du scandale.

M. Galouchtchenko, ex-ministre de l'Energie, est accusé d'avoir perçu des "avantages personnels" dans cette affaire en échange du contrôle sur les flux financiers du secteur énergétique donné à M. Minditch.

Mme Gryntchouk n'est, elle, pas directement visée par des accusations de corruption à ce stade mais elle est considérée comme une personne de confiance de M. Galouchtchenko, selon des médias ukrainiens.

Passeport israélien

Timour Minditch et un autre homme d'affaires ukrainien cité par dans l'enquête et visé par les sanctions, Oleksandre Tsoukerman, possèdent des passeports israéliens, selon la présidence ukrainienne.

Un vote parlementaire entérinant le renvoi des deux ministres est attendu mardi, selon des députés, dont beaucoup se disaient scandalisés par cette affaire.

"C'est un bordel! J'en peux plus", a lancé auprès de l'AFP une source parlementaire proche du parti présidentiel.

Le président Zelensky a par ailleurs annoncé avoir effectué dans la matinée une visite auprès des soldats combattant dans la région

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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