La Confédération tire un bilan intermédiaire positif de l'exercice national de gestion de crise qui s'est déroulé jeudi et vendredi. Une multitude d'acteurs, aux trois échelons de l'Etat, ont collaboré durant cet "exercice intégré".
Selon ce premier bilan, l'objectif d'examiner la collaboration et la coordination de la gestion de crise sur le plan politico-stratégique à l'échelle nationale a été atteint. L'évaluation finale de l'exercice sera réalisée durant la première moitié de 2026, a indiqué vendredi la Chancellerie fédérale dans un communiqué. Sur cette base, un rapport sera établi, avec des recommandations d'amélioration concrètes.
L'exercice, qui "s'est rapidement transformé en un défi complexe et plausible", a commencé jeudi à 03h00 du matin et s'est poursuivi jusqu'à vendredi soir. Dans le scénario, la Suisse devait gérer une menace hybride. Une guerre éclatait entre deux pays fictifs situés à la périphérie de l'Europe et le gouvernement de l'Etat attaqué se réfugiait à Genève.
Conséquence: la Suisse devait faire face à des revendications politiques, à des cyberattaques contre les infrastructures ferroviaires et hospitalières, à la présence de drones près d'infrastructures critiques et à des difficultés dans les chaînes d'approvisionnement. Elle devait encore faire face à une menace diffuse d'intervention militaire, à la perspective d'un afflux de réfugiés et à des attentes d'acteurs internationaux à son égard.
165 observateurs
De nombreux acteurs ont pris part à l'exercice: l'administration fédérale, les organisations de gestion de crise de tous les cantons, plusieurs chancelleries d'Etat, le Parlement fédéral, le Ministère public de la Confédération, la Principauté du Liechtenstein, plusieurs conférences intercantonales, les villes de Berne, Zurich, Genève, Bienne et Thoune, ainsi que des organisations scientifiques, Migros, les CFF et plusieurs hôpitaux.
Le Conseil fédéral a tenu trois séances extraordinaires pendant les deux jours de l'exercice. L'organisation de crise de l'administration fédérale, entrée en vigueur le 1er février dernier, a aussi pu être testée, avec la mise en place d'un état-major de crise politico-stratégique et d'un état-major de crise opérationnel.
Au total, 165 observateurs se sont répartis dans toute la Suisse et au Liechtenstein pour observer méthodiquement la gestion de crise au sein des organisations participantes, a développé la Chancellerie fédérale. Et de relever qu'il s'agissait d'un des exercices de crise les plus vastes et les plus complexes qui aient jamais été réalisés sur le plan politico-stratégique en Suisse.
L'exercice a été organisé conjointement par la Confédération et les cantons. La codirection était assurée par le conseiller d'Etat grison Martin Bühler et par Erika Laubacher-Kubat, de la Chancellerie fédérale. La plateforme politique du Réseau national de sécurité a assuré la supervision du projet.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Marina
6 mars 2019 à 16 h 48 min
Tout d abord je voudrais laissé un mesage pour les familles de victimes...
C est terriblement triste et je suis vraiment mais vraiment désolé , pour ce que c est passé.
C est cruel et orible... La douleur interior ,que on peux sentir c est inexplicable et intransmissible.. Que Dieu vous aide avoir de la patience, de courage et beaucoup des forces
Dans tout cette histoire moche et infernale noir... je me pose une seule question...
Commbien encore on va pardonné et chaque fois donne des nouveaux chances a des persones que sont des monstres et qui empêche de vivre tranquille ?
Ils avez fait deja des autre sanctions...
Et non... on les a laissé arrivé jousqu a quand il doivent tuées pour voir que, ils sont vraiment dangereux.
Mais maintenant c est trop tard...
Les victimes, viendront plus jame à la vie normal.
Et pour tant si a ces monstres on aurais donné une bon leçon ou bon moment,les garcons victimes, aurais êtes bien et en bon santé aujourd’hui