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Actualité

Quatre candidats pour succéder à de Quattro

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La PLR Christelle Luisier affontera finalement trois autres candidats lors de l'élection complémentaire au Conseil d'Etat vaudois du 9 février (archives). (©KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Quatre candidats et non cinq brigueront le siège de Jacqueline de Quattro au Conseil d'Etat vaudois le 9 février. La PLR Christelle Luisier affrontera l'indépendant Toto Morand, Jean-Marc Vandel du Parti pirate et une militante de la Grève du climat, Juliette Vernier.

A la suite des contrôles effectués à l’échéance du dépôt des listes pour le premier tour lundi, le Bureau électoral cantonal a constaté que quatre listes ont été valablement déposées, pour un total de quatre candidats, écrit-il mardi dans un communiqué.

Lundi, la validation des listes avait été reportée d'un jour en raison d'une candidature de dernière minute ne remplissant pas les conditions légales: celle de Denis Erni de la liste "Ethique et respect de la Constitution".

A la fin du délai imparti, les défauts relevés dans cette liste n’ont pas été supprimés. Conformément à la loi sur l’exercice des droits politiques, elle est donc déclarée nulle, indique le canton.

Source: ATS

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International

Les efforts s'intensifient pour une trêve à Gaza

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Gaza, l'espoir d'une trêve? (© KEYSTONE/EPA/MOHAMMED SABER)

Les efforts diplomatiques en vue d'une trêve dans les combats à Gaza associée à la libération d'otages se sont intensifiés dimanche. Dans le même temps, Israël poursuivait ses frappes sur le territoire palestinien assiégé et menacé de famine.

Un haut responsable du Hamas a annoncé qu'une délégation du mouvement donnera lundi au Caire sa réponse à une proposition de trêve israélienne associée à la libération des otages, près de sept mois après le début de la guerre, déclenchée par l'attaque sanglante du mouvement islamiste palestinien contre Israël le 7 octobre.

Samedi, le Hamas avait annoncé "étudier" cette contre-proposition, précisant qu'il "soumettra sa réponse une fois son étude terminée".

Pendant ce temps, la guerre ne connait aucun répit dans le petit territoire assiégé où le Hamas a pris le pouvoir en 2007. L'armée israélienne a indiqué dimanche avoir frappé "des dizaines de cibles terroristes" dans le centre de Gaza.

Appel de l'Arabie saoudite

Elle affirme préparer par ailleurs une offensive terrestre à Rafah où s'entassent un million et demi de Palestiniens, principalement des déplacés. De nombreuses capitales et organisations humanitaires redoutent un bain de sang dans cette ville déjà régulièrement bombardée par l'armée.

Depuis l'Arabie Saoudite, où se tient à partir de dimanche une réunion spéciale du Forum économique mondial (WEF), le président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, a appelé les Etats-Unis a empêcher une invasion terrestre à Rafah. Si elle devait avoir lieu, cette opération serait le "plus grand désastre de l'histoire du peuple palestinien", a-t-il déclaré.

Le secrétaire d'État américain Antony Blinken est également attendu en Arabie Saoudite, où il discutera notamment "des efforts en cours visant à parvenir à un cessez-le-feu à Gaza qui permette la libération des otages", selon le département d'État.

A Beyrouth, le ministre français des Affaires étrangères, Stéphane Séjourné, discutera dimanche de son côté avec des responsables libanais, des moyens d'éviter une extension du conflit.

Depuis le début de la guerre, les échanges de tirs à la frontière nord d'Israël sont quotidiens entre l'armée israélienne et le mouvement islamiste libanais Hezbollah .

"Un accord maintenant"

Ces tractations diplomatiques se font, en attendant la réponse du Hamas à la la contre-proposition israélienne.

Les détails de cette proposition n'ont pas filtré mais selon le site Axios, qui cite des responsables israéliens, elle inclut la volonté de discuter de "l'établissement d'un calme durable" à Gaza.

Pendant ce temps, la pression interne sur le gouvernement de Benjamin Netanyahu ne cesse de s'accentuer. Samedi soir, des milliers de personnes se sont rassemblées à Tel Aviv pour exiger la libération des otages enlevés le 7 octobre.

"Un accord, maintenant!" ont scandé samedi soir les manifestants, tout en appelant le gouvernement Netanyahu à démissionner. Peu avant, le Hamas avait diffusé une vidéo montrant deux otages, Keith Siegel, 64 ans, et Omri Miran, 47 ans. C'est la deuxième vidéo diffusée en quelques jours par le Hamas.

Lors du rassemblement à Tel-Aviv, le père de M. Miran a exhorté le Hamas à "faire preuve d'humanité", lui demandant également de "prendre une décision maintenant".

Frappes et tirs d'artillerie

Sur le terrain, pas d'accalmie. Tout au long de la journée de samedi, la marine israélienne a visé des cibles du Hamas et fourni un appui au troupes déployées dans le centre du territoire, a indiqué l'armée dimanche.

Selon un correspondant de l'AFP, l'armée israélienne a effectué des frappes aériennes et des tirs d'artillerie dans plusieurs zones de la bande de Gaza, notamment à Khan Younès et Rafah, deux villes du sud du territoire, ainsi qu'à Gaza-Ville (nord).

Au total, 66 Palestiniens sont morts en 24 heures, selon le Hamas.

"Nous sommes fatigués après sept mois de déplacement et de lutte dans les camps. Nous avons donc insisté pour rentrer et rester dans une tente sur les décombres de notre maison", à Khan Younès, a dit à l'AFPTV Abdelqader Mohammed Qwaider.

Outre les destructions et le bilan humain lourd, la guerre a provoqué une catastrophe humanitaire dans le territoire palestinien où vivent 2,4 millions de personnes. Strictement contrôlée par Israël, l'aide humanitaire entre au compte-gouttes.

Samedi, un navire britannique a quitté Chypre pour héberger des centaines de membres de l'armée américaine qui construisent une jetée artificielle à Gaza afin de faciliter l'acheminement de l'aide humanitaire.

Dans la foulée, Chypre a annoncé qu'un navire chargé d'aide, revenu de Gaza début avril après qu'une frappe israélienne a tué sept travailleurs humanitaires, repartait en direction du territoire palestinien.

L'armée israélienne a indiqué samedi que 25'000 camions d'aide humanitaire étaient entrés dans Gaza depuis le 7 octobre. Le bureau des Affaires humanitaires de l'ONU (Ocha), avance, lui, le chiffre de 23'000 camions.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Politique

Record de nuitées en 2023 pour les auberges de jeunesse suisses

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Les auberges de jeunesse suisse jouent un rôle important pour le tourisme suisse (archives). (© KEYSTONE/MICHELE LIMINA)

A l'occasion des festivités de leur 100e anniversaire, les Auberges de jeunesse suisses (AJS) annoncent dimanche avoir enregistré un nombre record de nuitées en 2023. Celles-ci affichent une hausse de 7,4% sur un an à 807'196, dans les 42 établissements affiliés.

La part des hôtes suisses a atteint 73,3%, en progression de 3,1 point par rapport à l'année "pré-Covid" 2019. "L’envie de voyager est définitivement revenue", se réjouit l'AJS dans un communiqué. Pour les hôtes internationaux, un léger recul de 1,7 point se manifeste par rapport à 2019.

Dans l'ensemble, les bons chiffres de 2023 se confirment au cours des premiers mois de 2024. De quoi laisser présager "une année anniversaire elle aussi couronnée de succès", prévoit la directrice de l'organisation à but non lucratif, Janine Bunte.

Parmi les quelque 500 invités présents dimanche pour les festivités à Rapperswil-Jona (SG), au bord du lac de Zurich, figurait le conseiller fédéral Guy Parmelin.

"Au début, il y a 100 ans, l’idée était de promouvoir les loisirs de manière judicieuse et de proposer une offre à cet effet", a-t-il déclaré. "Les auberges de jeunesse suisses y sont clairement parvenues, soulignant leur rôle important pour le tourisme suisse et sa carte de visite."

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Concours Science et jeunesse: 23 romands primés

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Les jeunes finalistes du concours ont présenté leurs projets au public à l'Université Fribourg vendredi et samedi. Ici: Valentine Thürler explique son étude sur les étoiles binaires et le système d'Argol pour lequel elle a reçu un prix spécial. (© Fondation Science et jeunesse)

Lors de la finale du 58e Concours national de la Fondation Science et jeunesse à Fribourg samedi, 23 jeunes Romandes et Romands ont été primés. En tout, 106 projets portés par 116 jeunes des quatre coins de la Suisse ont été retenus par le jury.

La valeur totale des prix distribués en espèces s'élève à plus de 200'000 francs, a précisé la Fondation Science et jeunesse dans un communiqué dimanche. Le jury a également décerné 31 prix spéciaux, comme par exemple un stage de recherche au Jungfraujoch ou encore une place dans les délégations qui représenteront la Suisse au concours européen et international pour jeunes scientifiques.

Les participants étaient âgés entre 17 et 23 ans. La majorité des projets ont été réalisés dans le cadre de travaux de maturités gymnasiales ou professionnelles et sont le fruit d'une année de réflexion.

Présentés par les finalistes au public vendredi et samedi à l'Université de Fribourg, les projets se sont vu attribuer la mention "excellent", "très bien" ou "bien" en fonction de leur qualité. Ils ont été réalisés dans des domaines variés, mais essentiellement scientifiques: de la physique à la biologie, en passant par l'architecture, l'histoire-géographie ou encore les mathématiques et la littérature.

Un des jeunes lauréats romands s'est par exemple penché sur l'approvisionnement en eau des cabanes de montagne romandes, une autre a comparé les temps de réaction "entre des individus phobiques et non-phobiques face à un stimulus visuel d'araignée". Une troisième a examiné l'effet de l'apport de lisier sur une réserve naturelle de zone humide en Thurgovie.

La Fondation Science et jeunesse s'est donné pour but de repérer des jeunes passionnés et contribuer à entretenir leur motivation, leur curiosité et leur compétence. Elle leur propose un programme de coaching ciblé et les guide dans la construction de leur réseau professionnel.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Santé

Quarante ans après sa découverte, le VIH n'est toujours pas vaincu

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L'objectif de l'OMS est de mettre fin à l'épidémie de VIH d'ici 2030 (photo symbolique). (© KEYSTONE/EPA/NARENDRA SHRESTHA)

Il y a 40 ans, le gouvernement américain annonçait que le VIH est à l'origine du sida. Malgré d'importants progrès, la maladie reste aujourd'hui encore un problème. En Suisse, le virus est diagnostiqué chez plus d'une centaine de personnes chaque année.

"Mais la situation actuelle est fondamentalement différente de celle d'il y a quarante ans", a indiqué Dominique Braun, de l'Hôpital universitaire de Zurich, à Keystone-ATS. Ce médecin et chercheur participe à l'Etude suisse de cohorte VIH, en cours depuis plus de 35 ans.

Il y a exactement quarante ans, les scientifiques du monde entier ont lancé une course aux armements contre le virus de l'immunodéficience humaine ou VIH. Le 23 avril 1984, la ministre américaine de la santé Margaret Heckler annonçait lors d'une conférence de presse: "La cause probable du sida a été trouvée!"

Selon son pronostic, audacieux, un vaccin empêchant la contamination serait probablement disponible dans les deux ans. Un grand moment, car une contamination par le VIH équivalait alors à une condamnation à mort. Cinq à six ans après l'infection, le système immunitaire des personnes atteintes du sida, nom donné au stade final de l'infection, était tellement affaibli qu'elles mouraient.

En 1994, le sida était la première cause de mortalité chez les 25 à 44 ans aux États-Unis. A l'heure actuelle, il n'existe toujours pas de vaccin et le nombre d'infections a continué d'augmenter dans le monde entier.

Premier traitement efficace

La première grande percée dans la lutte contre le VIH n'a eu lieu qu'en 1996, avec la trithérapie. Il s'agit d'une combinaison de trois médicaments qui attaquent le VIH à différents endroits. Les décès ont ainsi pu être réduits de manière drastique. L'Etude suisse de cohorte VIH a joué un rôle décisif dans la démonstration de l'efficacité de cette thérapie.

"Ces premières thérapies étaient toutefois si toxiques que la qualité de vie des personnes concernées était faible", note Dominique Braun. Ce n'est que progressivement que les effets secondaires ont été réduits.

Un autre grand pas a été franchi en 2008: le Bulletin des médecins suisses publie le "Swiss Statement", dans lequel il est mentionné que les personnes recevant un traitement efficace ne sont plus contagieuses.

"Pour les personnes concernées et leurs proches, cela a été libérateur", souligne le médecin. La Suisse a ainsi été le premier pays à stipuler que les personnes séropositives sous traitement peuvent renoncer au préservatif lors de rapports sexuels.

Aujourd'hui, le VIH se traite bien. Non seulement les personnes sous traitement ne sont plus contagieuses, mais leur espérance de vie est comparable à celle de la population générale. La grande majorité des patients prend une pilule combinée contenant deux ou trois substances actives par jour.

Réduction drastique

Ainsi, même sans vaccination, le nombre de contaminations a pu être drastiquement réduit. Alors que dans les années 1990, 1300 cas par an en moyenne étaient déclarés à l'Office fédéral de la santé publique (OFSP), ils n'étaient plus que 371 en 2022. Les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes sont proportionnellement les plus touchés.

Les spécialistes espèrent une nouvelle réduction grâce à la prophylaxie pré-exposition (PrEP) qui protège contre l'infection. Elle sera remboursée par l'assurance maladie en Suisse à partir de juillet 2024. Elle est destinée aux hommes et aux femmes qui ne sont pas porteurs du VIH et qui ont des relations sexuelles avec de multiples partenaires ou avec des personnes dont le statut sérologique n’est pas connu.

Selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS), environ 39 millions de personnes vivent avec le VIH dans le monde. L'objectif de l'OMS est de mettre fin à l'épidémie de VIH d'ici 2030.

"On dispose des instruments qui pourraient théoriquement réduire encore plus les nouvelles infections", relève Dominique Braun. Mais dans la pratique, les choses sont plus compliquées, ajoute le chercheur, jugeant cet objectif "très ambitieux". La situation politique ou les ressources financières dans certains pays rendent en effet difficiles les mesures de lutte ou de prévention.

Des recherches sont également menées afin de guérir le sida. Les cinq cas de guérison répertoriés dans le monde prouvent que c'est possible. On sait comment cela pourrait fonctionner, mais les risques sont encore beaucoup trop grands par rapport aux bonnes possibilités de traitement qui existent actuellement, conclut le médecin.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Dublin veut légiférer pour renvoyer des migrants au Royaume-Uni

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Interrogé dans une interview diffusée dimanche sur Sky News, le Premier ministre britannique Rishi Sunak a évoqué l'effet dissuasif de la loi, adoptée cette semaine, qui doit permettre au Royaume-Uni d'expulser prochainement des migrants vers le Rwanda (archives). (© KEYSTONE/EPA/JASON ALDEN / POOL)

Le gouvernement irlandais entend légiférer en urgence pour pouvoir renvoyer des migrants vers le Royaume-Uni, face à afflux en provenance de son voisin dans le sillage de la politique britannique d'expulsions vers le Rwanda.

Selon le gouvernement irlandais, 80% des arrivées récentes d'étrangers en situation irrégulière se font via la frontière terrestre, ouverte en vertu de l'accord de paix de 1998 - entre la province britannique d'Irlande du Nord et la République d'Irlande.

Interrogé dans une interview diffusée dimanche sur Sky News, le Premier ministre britannique Rishi Sunak a évoqué l'effet dissuasif de la loi, adoptée cette semaine, qui doit permettre au Royaume-Uni d'expulser prochainement des migrants vers le Rwanda.

Selon le média public irlandais RTE, citant un porte-parole du Premier ministre Simon Harris (centriste), celui-ci a demandé à sa ministre de la Justice de faire des propositions la semaine prochaine pour "amender la loi actuelle concernant la désignation de pays tiers sûr et permettre le renvoi vers le Royaume-Uni des demandeurs de la protection internationale non-admissibles".

Il s'agit "d'une mesure parmi de nombreuses autres que nous prenons pour renforcer notre système et faire en sorte qu'il soit fort, efficace et agile", a souligné le porte-parole.

Tensions croissantes

Si selon son porte-parole le chef du gouvernement irlandais "ne fait pas de commentaire sur la politique migratoire d'un autre pays", il souligne "l'importance de protéger l'intégrité du système migratoire en Irlande". Le pays de cinq millions d'habitants, membre de l'Union européenne, est en proie ces derniers mois à des tensions croissantes au sujet de l'hébergement des migrants, avec une multiplication de manifestations hostiles parfois émaillées d'incidents.

Sur RTE, la ministre irlandaise de la Justice Helen McEntee - responsable des questions intérieures - a indiqué samedi qu'elle évoquerait le renvoi de migrants vers le Royaume-Uni avec le ministre britannique de l'Intérieur James Cleverly lors d'une visite à Londres lundi.

"Ce qui est clair dans la décision qu'a prise le Royaume-Uni en choisissant le Brexit est qu'ils observent une hausse des demandeurs d'asile dans leur pays", a déclaré samedi la ministre sur RTE.

"Mon souci en tant que ministre de la Justice est de faire en sorte que nous ayons un système et des structures en matière d'immigration efficaces", a-t-elle déclaré. "C'est pourquoi je présenterai une législation d'urgence cette semaine pour faire en sorte que nous puissions en effet renvoyer des gens de manière efficace au Royaume-Uni", a-t-elle ajouté.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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